Plus que quelques minutes, il ne s'était jamais sentit autant stressé ?

Il regarda une nouvelle fois l'heure.

A trois heures pile il ouvrait le restaurant.

Sa mère et Juvia occupèrent l'une des tables en attendant l'ouverture.

Ses amis, accompagné de leur copine passèrent la porte du restaurant.

Ils étaient en avance.

Juvia sautèrent directement dans les bras de Grey dès qu'elle le vit.

— Grey !

— Du calme.

Ils rirent tout les deux, au moins lui il avait l'habitude de ses réactions excessives.

Ses amis lui souhaitèrent tous bon courage.

— Euh... Merci.

— Détend toi, leur dirent t'il

Facile à dire.

Quand la porte s'ouvrit à nouveau, il resta statufier un long moment.

Cette fille allait le tuer un jour.

Putain !

Comment pouvait-on être si belle ? Et quand elle lui sourit, son cœur s'affola.

Là tout de suite, il avait juste envie de fondre sur elle.

Un désir monta en lui, c'était vraiment pas le moment là.

Elle avait mise une robe noir, courte, semi-transparente aux épaules nues et épissée en dentelle.

Tout ce qui pouvait le plaire, comment ne pas la désirer ?

S'était limite s'il n'était pas déjà mort devant tant de beauté.

S'arrêtant tout près de lui, Levy le détailla et le rouge lui monta aux joues.

Était-ce possible d'être autant séduisant ?

Elle n'aurait jamais cru que le voir avec un vêtement de cuisinier lui ferait tant d'effet.

Elle avait chaud d'un coup.

Non non ce n'était pas le moment Levy.

Gajeel se mit à un coin avec elle, loin des regard déjà assez indiscret de leurs amis.

A peine furent-ils à l'écart qu'ils fondirent chacun sur leurs lèvres avec empressement.

Le coeur de Levy n'arrêtait de battre et elle lâcha des soupirs incontrôlés.

— Tu vas me tuer Lev, sursurra t'il.

— Mais toi tu l'as déjà fait, rétorqua t'elle.

Il lui prit la main qu'il se mit à un coin où on ne pourrait leur voir.

Ils ressentaient tout deux leur désir l'un pour l'autre.

Gajeel se remit à l'embrasser caressant ses bras nus.

— La soirée va être longue, souffla t'il.

Ils avaient tout deux envie de taire leur désir mais ce n'était pas le moment.

Elle l'embrassa à nouveau puis posa un doigt sur ses lèvres qu'elle ne cessait de désirer.

— Ça va être très longue. Toute fois ça sera pour une prochaine fois, Amica mea.

Il sourit puis ils se séparèrent vu qu'ils étaient l'un contre l'autre.

Ils retournèrent donc auprès de leur amis essayant d'être naturel mais leur fin rougeur ne trompait pas.

Ne voulant pas discuter de l'état dans lequel se trouvait Gajeel et Levy, ils parlèrent d'autre chose.

A l'heure d'ouverture, Gajeel laissa grande ouverte la porte.

Cela n'avait tardé et les clients firent présences. Il y eut un empressement de personne, les anciens clients du café.

Levy se chargea de l'accueil avec sa mère parce qu'elle voulait le faire.

Juvia et les autres filles récupéraient les commandes et les garçons de jouaient les serveurs.

Emira était arrivé plus tard s'excusant.

Le restaurant se remplissait peu à peu au fil du temps.

Tout le monde adorait la cuisine de Gajeel au café alors personne n'avait voulu manquer ce jour.

Il savait qu'avec l'arrivé de ses invités qui était prévue pour six heure ça allait être chaud pour les commandes.

Au fond heureusement qu'il y'avait Emira.

Le restaurant se vidait puis se remplissait de nouveau, il ne pensait pas avoir autant d'afluence aujourd'hui.

Une heure s'écoula puis deux et ensuite trois. Bientôt six heures et y'avait pas eu le restaurant vide à un moment.

Les tables se vidèrent à nouveau. Parfait !

Il quitta les fourneaux et Levy vint vers lui.

— Gajeel, mes parents arrivent.

— Vient avec moi.

Il lui prit la main et tout les deux attendirent devant la porte.

Les premiers invité à venir fut ses anciens camarades qui le félicitèrent tous, ensuite des professeurs qui avait bien pu venir qu'il salua de la main.

— Et bien Gajeel félicitations.

— Merci.

Monsieur Hakima fit un sourire.

— J'espère que tu ne regretteras pas l'offre.

— Non, je ne compte pas changer de décision.

— Très bien.

Il salua donc Levy qui était là puis entra à l'intérieur.

Alors que Levy voulut s'adresser à Gajeel, elle aperçurent la voiture de ses parents garer parmis tant d'autres déjà la.

La famille Mcgarden descendirent de voiture pour se diriger vers l'entrée du restaurant où était très lisiblement écrit Redfox Dîner's.

— Euh et bien content que vous soyez venu, remercia Gajeel.

— Le plaisir est pour nous, répondit le père de Levy.

Wendy salua Gajeel avec joie.

— Vous pouvez entrer, dit-il.

Il s'adressa à Levy.

— Montre les leur table et reste avec eux.

— Tu es sur ? Je peux t'aider ?

— Non ça va, va avec eux.

Levy alla donc avec ses parents.

Gajeel reçut ses derniers invité puis ferma la porte du restaurant lorsque celui-ci fut plein.

Ses amis et sa famille aux premiers rangs, et les invités par la suite.

Ils vinrent leur apporter à manger.

Pour eux le repas et la boisson était offerte. Chance aux clients qui étaient à l'intérieur.

On vint tous leur servir après qu'ils eurent passer leur commande.

Leur visage était illuminé.

Gajeel était content que le service les plaisait à tous.

Accoudé au mini bar, il souffla un peu demanda à Emira de faire une pause aussi.

Une petite main se fraya dans la sienne.

— Tu n'es pas trop épuisé ?

— Non ça va j'ai l'habitude. Mais toi, pourquoi t'es pas avec tes parents ? Tu les as laissé à table, c'est pas très poli ça.

— Tu déteins sur moi on dirait.

Elle n'etait pas serieuse des fois.

— Alors Gajeel tu n'as rien à nous dire ? s'éleva une voix dans le salle.

Il haussa un sourcil et se retourna vers eux

— Un mot de bienvenue.

Un discours ? Il n'avait pas pensé à ça ou si mais il n'avait pas eu le temps d'en préparer un.

Il chuchota à Levy.

— Suis censé leur dire quoi ?

— Tu n'as pas préparé ton message ?

— Euh et bien j'avais pas vraiment la tête d'en préparer un cette semaine si tu vois.

— Ne t'en fais pas, je vais t'écrire un message vite fait.

Levy se procura de quoi noter et se mit à écrire un mot tout en réfléchissant.

Pendant ce temps, il jeta un coup d'œil à la salle, il manquait une personne à l'appel.

Son père n'était toujours pas là. Super, ironisa t'il.

A l'instant sa mère et Juvia s'approchèrent de lui.

— Gajeel écoute, je viens d'avoir ton père au téléphone, il dit qu'il n'a pas pu se libérer du travail à temps.

— C'est ça, fit-il.

— Ne le prend pas aussi mal, il viendra mais un peu en retard.

— Hmm...

— J'ai fini, lui dit Levy.

Il se concentra sur elle pour lire ce qu'elle avait écrit.

— Ça te plaît ?

— Et bien...

C'était quoi ces mots compliqués ?

— Tu pouvais pas faire un message simple ?

— Mais il est simple.

Les invités réclamèrent Gajeel.

— Va falloir que j'improvise là.

— Mais mon message ?

— Y'a trop de mot compliqué, j'ai rien compris.

— Mais...

Levy bouda.

— Au mieux tu ne dis que ce qui te viens à l'esprit, proposa Emira puisqu'elle était à côté.

Gajeel leva les yeux vers elle.

— Euh et bien je voulais dire...

— Ouais t'as raison.

Il se tourna vers Levy et sa famille.

— Sérieux, retourner à table.

Elles s'executèrent.

Il souffla avant de se tenir devant eux et tout les regards se porta vers lui.

Euh... C'était un peu flippant là. Tout ces regard braqués sur lui et la salle était un peu trop silencieux à son goût.

Mais bon il devait se lancer.

— Bonsoir et euh... Merci d'être venu ce soir. Hum... Que dire ?

Il se racla la gorge.

— Alors suis censé remercier des gens c'est ça ?

La salle se mit à rire.

— Bon, alors je dis un merci à ceux qui financer tout ce travail pour mettre le restaurant sur place, mes parents.

Sa mère sourit gênée, son mari allait l'entendre quand il arrivera. Comment pouvait-il être en retard à un jour aussi important pour leur fils ?

— Un autre merci à ceux qui ont participé à ma formation, mes professeur, un merci à ceux qui m'ont soutenu et surtout à une personne très spécial qui a toujours cru en moi.

Son regard se dirigea vers Levy ce qui attira l'attention des convives vers elle.

Gênée de tout ses regards sur elle, elle rougit de gêne et baissa le regard.

— Oh, il parle de toi ? demanda Wendy.

— Et bien... Peut-être.

Elle se reconcentra sur Gajeel.

— Ce jour n'aurait peut-être pas eu lieu, j'avais le choix d'être ici ou de réaliser un grand rêve. C'était une opportunité en or on va dire et si j'ai choisi de rester c'est parce que j'ai toute les bonnes raisons.

Son regard ne lachait plus Levy.

— Ce que je vais dire n'aura peut-être rien à voir et c'est pas vraiment dans mes habitudes mais je profite devant tout le monde ce soir pour te dire que, Levy je t'aime et je ne regrette pas d'être rester pour toi.

Il la regarda et elle était surprise qu'il lui ait dit ça devant tout ce beau monde.

Son cœur battait tellement vite et elle sentait des regard instant sur elle pendant que ses parents la regardait en souriant.

— Euh et bien... Grâce à toi je peux suivre un autre chemin et profiter pleinement de cette expérience qui se présente à moi en ouvrant ce restaurant. Je vous souhaite donc à tous une bienvenue au Redfox Diner's.

Des applaudissements se fit attendre et Gajeel s'éloigna de leur regard.

C'était vraiment pas dans ses cordes de s'exprimer ainsi.

— Tu as été génial Gajeel, dit sa sœur à s'approchant de lui.

— J'ai raconté n'importe quoi.

— Mais non c'était magnifique surtout quand tu as dis que tu aimais Levy. Même moi je m'y attendais pas.

— Ça nous a surpris à tous, lui dit Grey.

Ses camarades venaient leur féliciter doublement parce qu'il était amoureux.

Il ne leur prêta pas attention, son regard était tourné vers la table de Levy.

Elle n'était pas venue le voir.

Le fait qui lui avait dit je t'aime devant tout le monde l'avait rendu timide ?

A la table de Levy, ses parents lui consolaient parce qu'elle s'était mise à pleurer.

— Tu n'as pas à pleurer pour ça, lui dit sa mère.

— C'est juste que ça... Ça m'a surpris. Je pensais pas qu'il allait dire ça comme ça... Devant tout le monde.

Ses parents firent un faible sourire, c'est sur que ça l'avait ému.

— Il regarde par ici depuis longtemps. Allez va le voir.

Levy essuya ses traces de larmes pour se diriger vers Gajeel et le chemin se fraya jusqu'à lui tout seul.

Elle tomba dans ses bras et il la serra fort contre lui.

— Gajeel !

— Hey tu pleurais ?

— Oui, je t'aime Gajeel, je t'aime tellement.

Il sourit et elle s'éloigna de lui. C'est sur que tout le monde était en train de les regarder là.

Toutefois, ils ne s'en soucièrent guère et ils s'embrassèrent.

*

Il devait déjà être huit heures quand Gajeel rouvrit à nouveau les portes du restaurant et fit monter ses invités à la maison pour la soirée d'ouverture.

Pourtant il y'avait des clients au restaurant, Gajeel était obligé de faire des va et vient.

Ah la la, il s'épuisait son petit ami car il s'occupait du restaurant seul ayant demandé à Emira de monter aussi s'amuser.

Alors que Levy descendit au restaurant avec un plateau qu'elle devait déposer en cuisine, elle faillit le reverser.

— Fait attention.

— Monsieur Redfox ? Oh je suis vraiment désolé, je ne vous avais pas vu. Euh...

C'était vraiment absurde son excuse, vu qu'il était aussi grand et imposant que Gajeel. Comment avait-elle fait pour ne pas le voir ?

Oh et puis c'était maintenant qu'il arrivait ?

— Il est où Gajeel ? demanda t'il.

— À la maison.

— Sais pas quel excuse trouver, j'ai vraiment tarder.

— Euh... Vous avez sans doute eu du travail, il va comprendre.

— Peut-être. Et ça va ?

— Oui... Oui, répondit-elle toujours autant surprise.

Monsieur Redfox monta donc à la maison laissant Levy étonnée.

Elle avait échangé plus de deux mots avec le père de Gajeel, elle n'arrivait pas à le croire.

Leur conversation n'allait jamais au bout d'un bonjour ou d'un bonsoir.

Un sourire se fraya sur ses lèvres.

Elle déposa le plateau et remonta s'enquérir auprès de ses parents s'il passait un bon moment.

— Oui c'est une très belle soirée.

— Au fait Levy, où sont ses parents ? lui demanda son père.

— De Gajeel ?

— Oui. Vous êtes ensemble, on a bien le droit de les connaître.

— Ah euh sans doute. Je vais le prévenir.

Elle alla rejoindre Gajeel qui était assez occupé.

— Suis un peu occupé là.

— C'est que c'est important.

— C'est quoi ?

— Mes parents veulent rencontrer les tiens.

— Hein ? Et bien... Euh c'est d'accord.

Il amena ses parents au près de ceux de Levy.

Ils avaient laissé seul car il désirait s'entretenir entre eux.

— Au moins ils ont l'air de s'entendre, dit-elle.

— Ouais.

— Et ton père il t'a dit quoi ?

— Sur ?

— Sur son retard.

— J'ai pas cherché à savoir. Il fait comme il veut.

— Ne le prend pas mal, c'est sur que s'il avait pu se libérer plus tôt il l'aurait fait.

— Hmm...

Il changea de sujet.

— Tu descends avec moi ? Dernier client puis je ferme le restaurant, bientôt dix heures.

— Oui bien sûr.

Ils descendirent et Levy jeta un dernier coup d'œil à la salle, contente que ses amies s'amusaient tous ensemble.

*

Il était tard, très tard. Les gens commençait à rentrer peu à peu tandis qu'elle était encore accoudée sur le balcon de la terrasse de la maison.

Pour une ouverture, le restaurant avait bien démarré et la soirée avait été parfaite.

Gajeel avait assuré.

Elle souffla un coup, triste.

Elle pensait au message qu'il avait tenu et lorsqu'il avait dit devant tout le monde aimer Levy, elle avait ressenti une immense douleur dans le cœur.

Elle ferait mieux de rentrer.

Emira alla dire aurevoir à Gajeel, Levy toujours prêt de lui.

— Et bien je m'en vais.

— Euh... Merci d'être venu et de m'avoir aidé.

— Ça m'a fait plaisir, je vous laisse alors.

— Attend, euh je veux dire... Fait bon voyage demain.

— Merci.

Elle s'en alla sans plus tarder.

Une nouvelle vie allait commencer pour elle demain et qui sait ? Elle rencontrera peut-être quelqu'un qui voudrait bien d'elle, pensa t'elle en souriant.

Le restaurant était fermé depuis longtemps, les invités rentrés il y'a un bon bout de temps.

Juvia dit aurevoir à Grey, en lui donnant un long baiser.

Il ne restait que Levy et Juvia ainsi que leur parents.

Ceux de Levy était descendu l'attendre dans la voiture après l'avoir demandé de dire rapidement aurevoir car Wendy était déjà très fatiguée et puis il était très tard, elle se devait de rentrer avec eux.

— Je suis épuisée, lâcha Juvia. Et puis quand je pense qu'il y aura encore toute la maison à nettoyer demain, je veux mourir.

Tout le monde se mit à rire.

— Papa, maman vous allez nous aider n'est-ce pas ?

— Demain on s'en va ma chérie, lui rappela sa mère.

— Ça va me faire tout bizarre de ne plus vivre avec vous.

— Mais vous pouvez nous rendre visite quand vous le voulez.

— C'est vrai. Mais demain qui va nous aider ? cria t'elle.

Juvia regarda Levy.

— Oh non, je suis beaucoup trop épuisée pour revenir demain.

— C'est ça, fit Gajeel.

Levy rit.

— Désolée mais tu vas devoir te débrouiller seul.

— Attend, t'es sérieuse là ?

Elle sourit malicieusement sans répondre.

Gajeel souffla dépité, après tout le travail qu'il avait abattu aujourd'hui, il allait devoir tout faire tout seul demain.

Il sentait déjà sa nuit courte parce qu'il allait devoir se réveiller très tôt s'il comptait ouvrit le restaurant à temps en journée. Super, ironisa t'il.

Un klaxon se fit entendre, Levy s'exclama.

— Se sont mes parents, je dois rentrer.

Elle salua les parents de Gajeel puis Juvia et il décida de l'accompagner en bas.

Main dans la main, ils sortirent du restaurant et devant la bâtisse de la maison, il lui sourit.

— Merci pour tout.

Elle fondit sur ses lèvres, toute cette soirée, ils n'avaient pas vraiment eu de moment pour eux.

Levy entoura ses bras autour de son cou, ils ne se lâchaient plus, échangeant un très long baiser.

Le souffle court ils se séparaient, avant de reprendre avec plus d'empressement leur lèvres.

Fiévreuse, son regard se perdit dans ceux de Gajeel et elle se souvint de sa demande la veille.

Tu voudrais pas m'épouser plus tard ?

C'est une demande officielle ?

A toi voir.

— Gajeel ?

— Mh ?

— Tu étais sérieux hier ?

Il ne comprenait pas vraiment de quoi elle parlait, puis il essaya de se souvenir de ce qu'il lui avait dit hier.

— Tu parles de ma demande ?

— Oui.

— Ça dépend de ce que tu veux.

Gajeel savait la rendre heureuse.

— Je veux bien un avenir avec toi.

Il posa un front contre elle.

— Ça va être long.

— Je sais, souffla t'elle.

Mais aussi, elle savait qu'elle se donnerait corps et âme pour surmonter toutes les épreuves ensemble.

Il reprit ses lèvres, il ne voulait pas se séparer.

Mais un nouveau klaxon les séparèrent, ses parents étaient pressés on dirait.

— Va falloir que j'y aille.

— Et demain ?

— Je viendrais pas, je fais la grasse mat.

— Super, dit-il ironique.

— Tu vas t'en sortir.

— T'es sérieuse ?

Elle rit puis vint l'embrasser avant de se séparer de lui pour pouvoir rentrer.

Mais encore, elle fit demi tour et l'embrassa encore ce qui le fit rire.

Elle s'éloigna finalement mais étant sur le point d'entrer dans la voiture, elle s'exclama.

— Non un dernier pour la route.

Elle partit l'embrasser encore ce qui fit rire ses parents.

— Je crois que c'est bon, souffla t'elle contre lui.

Il secoua la tête, elle n'était pas possible cette fille, mais ça lui fit sourire.

Elle monta finalement en voiture et il les regardait s'en aller.

Je veux bien un avenir avec toi.

Il sourit.

Il monta à la maison et consulta son téléphone et à la minute, il reçut son message.

Je dois venir demain à quel heure ?

Au fond, il n'était pas surpris.

Très tôt.

Mais non, j'aurais sommeil aussi.

Ok. Je te ferais signe.

D'accord.

J'espère que tu vas rêver de moi.

De qui d'autre si non ?

Très bonne question.

Je t'aime.

Il sourit. Il ne regrettera jamais d'être resté, car elle était son plus grand rêve.

FIN