Bonjour à tous,

Merci à tous pour votre fidélité. Et je suis contente que vous aimiez mon Darcy. J'ai toujours trouvé qu'il avait un petit côté vulnérable. Sa timidité le fait paraître fier et hautain, mais que se soit Bingley, le colonel Fitzwilliam ou Georgiana disent qu'il est totalement différent avec ses proches. Sans parler du fait que les moments où il est détestable, est les moments où il est avec Miss Bingley et Lady Catherine. A Pemberley, il est franchement différent. Et Pour être honnête, il est franchement attendrissant par moment. C'est se ressentit que j'ai voulu mettre en avant et je suis contente que cela vous plaise.

Pour changer un peu de sujet je dois vous annoncer que cette fanfiction arrive à son terme. Il reste encore deux chapitres plus l'épilogue.

Bonne lecture à tous?

Juliana.


Chapitre 40

Darcy était en vue de Pemberley, il avait dû rester une semaine de plus que prévu et en se mois de mai, Elizabeth entrait dans son sixième mois de grossesse. Heureusement, il n'était pas prévu qu'il reparte avant la fin de la saison pour le bal des Fitzroy et de son oncle et sa tante. Ces trois semaines loin d'Elizabeth avait été compliqué. En sortant de la voiture il fut surpris de voir son épouse sur le seuil avec Georgiana. Son visage était lumineux, tant elle semblait heureuse. Sa grossesse la rendait encore plus belle si cela était possible. En arrivant en haut des marches il ne put s'empêcher de prendre son épouse dans ses bras. Il mourait d'envie de l'embrasser, mais la présence de Georgiana l'en empêcha. Il lâcha son épouse et alla saluer sa sœur avant de lui remettre la lettre qu'Emma lui avait confié pour elle. Georgiana les laissa rapidement pour aller lire sa lettre. Darcy en profita pour prendre de nouveau Elizabeth dans ses bras et l'embrassa immédiatement. Il la sentit se blottir dans ses bras, pendant qu'elle répondait à son baiser. Quand ils se séparèrent Darcy passa la main sur le ventre d'Elizabeth puis en la regardant il lui dit :

« Tu m'as manqué mon amour. Trois semaines sans toi c'est trop long.

- Tu m'as manqué Fitzwilliam. Je n'aime pas être seule la nuit.

- Est-ce la seule chose qui t'as manqué mon amour. Ma présence dans ton lit, lui demanda Darcy avec un sourire.

- Tu sais bien que non, tout nos moments ensemble me manque. Mais tu dois bien admettre que c'est l'endroit où nous passons le plus de temps ensemble. » Elizabeth avait un petit sourire ironique sur les lèvres, qui fit éclater de rire son mari. Ce dernier se pencha à nouveau sur elle pour prendre ses lèvres, tout en gardant une main sur le ventre de son épouse. C'est à se moment là que Darcy senti quelques choses sous sa main. Il sépara de son épouse et regarda sa main surpris. Puis levant les yeux il vit un doux sourire sur le visage de son épouse, qui lui dit :

« Il semblerait que Georgiana et moi ne soyons pas les seules à vouloir te souhaiter la bienvenue à la maison, Fitzwilliam. »

Darcy sourit à son tour, puis voyant qu'ils étaient toujours à l'extérieur, il prit la décision de de les faire rentrer.

Ce n'est que plus tard dans la soirée qu'ils se retrouvèrent tout les deux seul. Darcy se décida à lui demander :

« Elizabeth as-tu pensé au prénom que je t'ai proposé pour notre enfant.

- Oui, mais si nous lui donnons ce prénom, nous ne pourrons pas lui donner celui de ton père en second prénom. Il aurait exactement les même prénoms que mon frère.

- Nous pourrons utiliser le prénom de mon père pour un autre enfant.

- En es-tu sur ?

- Oui mon amour j'en suis sûr.

- Que propose tu comme second prénom ?

- Pourquoi pas celui de son parrain.

- Tu veux l'appeler Lewis Bennet ?

- Cela te dérange ?

- Non, mais les deux prénoms viennent de ma famille.

- Certes, mais si nous avons une fille, elle aura le prénom de ma mère, pense-tu que cela dérangerait ta famille. Et puis Lady Catherine sera heureuse que notre fils s'appelle comme son époux., puis posant la main sur son ventre Darcy dit, Je vois que notre enfant à bien grandit en trois semaines.

- Si tu veux dire que j'ai grossi, c'est effectivement le cas.

- Tu ne grossi pas, mon amour. C'est notre enfant qui grandit en toi. Et cela ne te rend que plus belle.

- Dire que tu ne me trouvais que tolérable, répondit sa femme en riant.

- Je me demande si un jour Emma et toi me laisserai oublier cette phrase.

- Il y a peu de chance mon amour. Mais tu peux toujours espérer.

- Je t'aime Elizabeth. »

Elizabeth regarda son mari surprise. Elle ne s'attendait pas à ce qu'il lui dise cela. Elle s'approcha de lui et l'embrassa, avant de le regarder tendrement et de lui dire :

« Je t'aime aussi Fitzwilliam. Tu es toute ma vie.

- Toi aussi Lizzie. Je ne sais pas ce que je ferais sans toi. »

Elizabeth se pencha alors pour l'embrasser. Elle savait qu'il était inquiet, elle avait écrit à son père pour savoir comment l'aider. Il lui avait seulement dit d'être patiente. Mais ce qui l'avait le plus surprise était la lettre de sa mère. Cette dernière lui avait dit de ne pas se vexer si son époux ne semblait pas attacher au bébé. Elizabeth devait comprendre que son mari était inquiet de la perdre, parce qu'il avait perdu sa mère de cette façon. Il l'aimait, de cela Mrs Bennet en était sûr, la façon dont Darcy la protégeait, montrait bien son amour tout comme son inquiétude pour elle en se moment. Mrs Bennet avait fini par expliquer que la première étape serait que Darcy puisse sentir le bébé. Et toute ses inquiétudes s'envoleront quand il tiendra son enfant dans ses bras et qu'il verra sa femme en santé. Darcy n'y pouvait rien et il ne servait à rien de lui en vouloir, s'il se mettait un peu en retrait par rapport au bébé avant sa naissance.

Pendant se temps Darcy avait remarqué un changement chez sa femme, elle semblait plus détendue et contrairement à d'habitude elle ne l'avait pas repris quand il avait parlé de la perdre. Elle n'avait fait que l'embrasser, baiser qu'il lui rendit avec ferveur. Elle lui avait manqué pendant les trois semaines qu'il avait passé à Londres. Il était plus qu'heureux de ne pas avoir à y retourner avant un moment. Un peu plus tard alors qu'il la tenait dans ses bras il lui demanda :

« Veux-tu que tes parents viennent ?

- Pas pour le moment. Mais j'aimerai qu'ils viennent au moment de la naissance.

- En es-tu sûr. Si tu as besoin d'eux je peux le comprendre.

- Je n'ai besoin que de toi pour le moment. Je veux que nous passions le plus de temps possible ensemble. La dernière lettre que j'ai reçue d'eux m'a permis de prendre conscience de certaines choses et de me rassurer sur d'autre.

- Vraiment ?

- Oui. Maintenant j'aimerai me reposer se cela ne te dérange pas. Notre enfant semble aimer m'empêcher de dormir.

- Dort mon amour. » Darcy déposa un baisé sur le front de son épouse. Cette dernière se blotti contre lui et s'endormi rapidement. Darcy resta à la regarder tranquillement pendant un moment. Sa magnifique épouse, la femme de sa vie. La femme qu'il aimait plus que tout. Il posa de la main sur son ventre de sa femme, il eut une nouvelle fois un petit mouvement. Un mouvement du bébé qui grandissait tranquillement dans le ventre de son épouse, du fruit de leur amour. Se fut à se moment là que des souvenirs remontèrent. Des souvenir de son père avec Emma bébé, il était en adoration devant elle, Emma avait toujours été la prunelle de ses yeux. En revanche il avait à peine jeté un regard sur Georgiana. Trop malheureux pour se préoccuper de l'enfant qui lui prenait sa femme. Bébé, Georgiana avait beaucoup pleuré, peu de personne se préoccuper d'elle. Jusqu'à ce qu'Emma du haut de ses quatre ans exige que l'on s'occupe de sa petite sœur. Voyant l'absence de réaction de sa nourrice, elle avait fait en sorte de faire intervenir Mrs Reynolds, qui vit la petite dernière pleurer dans son lit sans que personne ne se préoccupe de la calmer. Mrs Reynolds avait prévenu son employeur. Ce dernier avait alors fait en sorte que Georgiana soit soigné le mieux possible. Mais il n'avait jamais été proche d'elle, alors qu'Emma était restée la prunelle de ses yeux. Darcy réalisa alors, qu'Emma et Elizabeth avaient raison, il avait toujours été plus un père qu'un frère pour Georgiana. Car contrairement à son père, Darcy s'était accroché à cette enfant. Il revint au moment présent en caressant tendrement le ventre d'Elizabeth. Darcy savait qu'Elizabeth aimait déjà cette enfant et qu'elle voulait le meilleur pour lui. Et le meilleur c'est ce qu'Emma et lui avait eu, un père aimant et pas ce que Georgiana avait eu, de l'indifférence. Il se promit de faire de son mieux pour être le meilleurs père possible pour cet enfant, pour se cadeau que lui offrait Elizabeth. Et cela quoiqu'il se passe au moment de la naissance. Après tout l'enfant n'y serait pour rien, il ne souhaite surement pas perdre sa mère au moment de sa naissance. Sentir cette promesse de vie, avait prit conscience de la présence d'un petit être qui grandissait en Elizabeth.

Le lendemain, il décida de parler à sa jeune sœur. Il lui demanda de le rejoindre dans son bureau. Quand Georgiana entra dans le bureau, Darcy remarqua qu'elle était stressée. Il lui sourit et lui demanda se s'assoir. Une fois assise Georgiana poussa un soupire et demanda :

« Que veux-tu Fitzwilliam ?

- Rien de grave. Enfin cela pourrait l'être, mais j'espère que cela n'arrivera jamais, répondit Darcy soudain nerveux.

- Fitzwilliam ?

- Ne me laissa pas devenir comme Père.

- Pardon, Georgiana le regarda surprise.

- S'il devait arriver quelques choses à Elizabeth, ne laisse pas faire à cet enfant ce que père t'a fait.

- Fitzwilliam pourquoi me le demander à moi et pas à Emma ?

- Parce qu'Emma n'a pas eu à en souffrir et surtout elle voudra me protéger. Cet enfant aura aussi besoin d'un avocat et tu seras la seule à pouvoir le faire. Tu es la seule personne assez proche de moi, qui pourra le faire. Que j'accepterais auprès de moi si je devais perdre Elizabeth. » En disant cela Darcy sentit les larmes lui monter aux yeux. Cela choqua Georgiana, qui n'avait vu son frère aussi vulnérable c'était au moment de la mort de leur père. Elle se précipita pour réconforter son frère en le prenant dans ses bras. Georgiana savait que son frère avait toujours fait en sorte de la protéger le plus possible, mais là il se mettait à nu devant elle et cela pour le bien de son futur enfant. Alors qu'ils étaient dans les bras l'un de l'autre, Georgiana lui dit :

« Tu n'es pas comme père, Fitzwilliam. Lui ne s'est pas demandé ce qu'il m'arrivait après le décès de mère. Alors que toi tu prends des mesures pour que s'il arrive quelques choses à Lizzie, votre enfant soit protégé. Tu seras un bon père Fitzwilliam, fait toi confiance.

- Mais promet le moi, juste au cas où.

- Je te le promet, Fitzwilliam. Il n'arrivera rien à ton enfant.

- Merci. »

Le frère et la sœur restèrent encore un moment enlacé avant que Georgiana ne lui rappel qu'Elizabeth allait les attendre pour le thé. En allant rejoindre sa sœur par alliance, Georgiana réfléchissait à ce qu'elle devait faire. Elle aurait voulu en parler avec Elizabeth, mais elle s'inquiétait de la réaction de cette dernière. Elle pensa alors à Emma, car même de Londres elle pourrait surement la conseiller. Georgiana prit donc la résolution de d'écrire à sa sœur après le thé, sachant que Fitzwilliam prenait généralement un peu de temps pour le consacrer à Elizabeth. Cependant, elle ne savait pas que son frère avait décidé de faire une demande à sa femme à la suite de la conversation qu'il avait eu avec elle. Quand Georgiana sorti de la pièce pour laisser le couple seul et écrire à sa sœur, Darcy lui sourit et lui dit qu'il ne voyait aucun soucis à ce qu'elle parle à Emma de la conversation qu'ils venaient d'avoir. Georgiana se contenta de lui sourire, et sorti pour laisser du temps seul au couple Darcy. Une fois seul Darcy prit sa femme dans ses bras et il soupira de contentement en la sentant se blottir contre lui. Sa main vint immédiatement se poser sur son ventre, le caressant tendrement. Elizabeth le regarda faire émue, c'était la première fois qu'elle le voyait le faire. Sa mère avait eu raison, son mari avait eu besoin d'établir un lien quelconque avec le bébé. Darcy soupira en rapprochant sa femme de lui et l'embrassa. Puis s'éloignant un peu il lui dit :

« J'aimerais que nous choisissions Georgiana comme marraine pour le bébé.

- Georgiana, pas Emma, lui demanda Elizabeth.

- Non. Pour celui-ci je souhaiterai Georgiana. Je ne t'ai jamais réellement raconté ce qu'il c'était passé à la naissance de Georgiana.

- Non. Tu n'as jamais voulu en parler. Et je ne t'en ai jamais voulu pour cela.

- Je le sais bien. Mais je souhaite te raconter ce qu'il s'est passé pour que tu comprennes ma demande. Et je pense qu'il est aussi important que tu le sache. Ma mère est décédée d'une fièvre puerpérale quelques semaines après la naissance de Georgiana. Pendant toute la période de la malade de ma mère, mon père est resté près d'elle, repoussant Georgiana et demandant qu'on ne la lui présente pas. Cela a eu des conséquences sur son bien-être. J'avais déjà quitté la nurserie à l'époque, à 11 ans j'avais déjà rejoint les appartements de l'héritier avec une salle d'étude attenante. Je ne pouvais donc pas savoir ce qu'il se passait dans la nurserie. Mais Emma du haut de ses quatre ans y était toujours ? Et voyant notre sœur pleurer dans son berceau sans que personne ne se préoccupe d'elle, elle a décidé de faire quelques choses. Elle a essayé de dire à sa nourrice de s'occuper un peu plus de Georgiana, mais évidement elle n'a pas été écouté. Emma a fini par venir me voir pour que je l'aide à aller parler à Mrs Reynolds. J'étais habitué à ce genre de comportement de la part d'Emma, elle avait presque le droit de tout faire. Père lui laissait énormément de liberté, elle a toujours été sa préféré. Je crois que je n'oublierai jamais son petit air sérieux quand elle a dit à Mrs Reynolds qu'elle pensait que la nourrice ne s'occupé pas bien de notre petite sœur. Mrs Reynolds a commencé par douter, mais Emma a tellement insisté que Mrs Reynolds a demandé aux valets et aux femmes de chambre de surveiller discrètement ce qu'il se passait dans la nurserie. Certes normalement, elle n'a pas d'autorité direct sur les valets étant donné qu'ils sont sous les ordres du majordome, mais elle a présenté cela comme un service, ils l'ont fait volontiers. Quand elle a eu la confirmation qu'il y avait effectivement un problème, elle a demandé à mon père d'intervenir. Ma mère était morte à cette époque et mon père refusait toujours la présence de Georgiana, mais il a cependant exigé qu'elle soit traitée correctement et qu'il sévirait si ce n'était pas le cas. Georgiana était sa fille au même titre qu'Emma et il ne tolérerait pas qu'elle ne soit pas traitée avec tous les égard dû à son rang. Il a pourtant continué à l'ignorer et à gâter outrageusement Emma. Voyant cela je me suis mit à passer plus de temps avec Georgiana dans la nurserie. Je me suis beaucoup éloigné de mon père à cette époque, je crois que notre relation c'est brisé à ce moment-là et ne s'est jamais réellement rétablie.

- De quoi as-tu peur, Fitzwilliam, demanda doucement Elizabeth.

- J'ai peu de comme lui si je devais te perdre. C'est pour cela que j'ai demandé à Georgiana de m'empêcher de le faire. Je veux qu'elle soit l'avocate de ce petit être innocent. Je suis trop proche de mes sœurs pour les repousser, elles sont toutes les deux trop proches de moi.

- Et Emma sera trop préoccuper par toi et Bennet pour penser au bébé, je te l'accorde. Très bien si cela peut te rassurer, je suis d'accord pour que Georgiana soit la marraine du bébé. Mais je ne pense pas que se sera nécessaire.

- Elizabeth….

- Ce n'est pas ce que je veux dire mon amour. Je te vois monter des signes d'attachements envers notre enfant, Fitzwilliam. Il n'est pas encore né, et pourtant tu te préoccupe de son bien-être, au cas où il m'arriverait quelques choses. Et la façon dont tu touche mon ventre, c'est la première fois que tu le fais de cette manière. Ce n'est pas moi que tu touches, mais notre enfant. De plus je t'aime et je sais que tu seras le meilleur des pères mon amour. »

Elle tendit la tête vers son mari pour poser ses lèvres sur les siennes. Elizabeth était émue de ce que son mari venait de lui raconter. Elle ne pouvait imaginer la souffrance de ses trois enfants. Elle était même surprise de du lien entre Georgiana et Emma compte tenu de la situation. Le couple resta enlacé encore un moment avant que leur responsabilité respective ne les rappels. Cette conversation eut cependant le mérite de les rassurer. En effet Elizabeth était sûre que son enfant serait aimé de son mari quoi qu'il arrive et Darcy était rassuré par la confiance totale que son épouse montrait envers lui. Il savait qu'il aurait toujours peur de la perdre, mais cette conversation et celle qu'il avait eu avec Georgiana donnait espoir à Darcy que si le pire devait arriver, il réussirait à vivre pour son enfant. Les lettres qui arrivèrent une semaine plus tard, ne firent que continuer dans cette voix. En effet, il eut la surprise de trouver une lettre de son beau-frère et d'Emma. Si la lettre de sa sœur était prévisible, bien que plus rapide qu'il ne s'y était attendu. Celle de son beau-père était une surprise total, car il n'avait pas eu de nouvelle à la lettre qu'il lui avait écrite à Londres. Darcy décida de commencer par celle de sa sœur, qui lui rappela qu'il n'était pas comme leur père et qu'il ne l'avait jamais été. Sans compter qu'il avait trop vu leur jeune sœur souffrir pour faire subir la même chose à son enfant. La lettre de son beau-père était différente. Il lui rappelait qu'il devait passer le plus de temps possible avec son épouse. De prévoir le pire, mais espérer le meilleur. Mr Bennet lui disait qu'il avait le droit d'espérer un avenir avec Elizabeth, après tout Mrs Bennet avait mit au monde six enfants et dont des jumeaux et étaient en parfaite santé. Mr Bennet dit également à Darcy qu'il ne devait pas garder ses inquiétudes pour lui. Qu'il devait les partager avec Elizabeth, car elle devait également avoir ses propres inquiétudes. Après tout, elle avait perdu son frère enfant, et la présence du nom du troisième enfants de ses grands- parents dans le tombeau familiale possédant la même année de naissance et de décès, montrait d'autres risques qu'une futur mère ou une mère garde en mémoire. Elle avait donc besoin de savoir que son époux ne prenait pas ses distances parce qu'il ne moquait de ses inquiétudes, mais parce qu'il avait ses propres inquiétudes. Ils vivaient un moment important pour eux et il ne fallait pas gâcher tout cela. Darcy fut surpris du contenu de la lettre, car elle laissait entendre qu'il y avait surement eu un souci dans le couple Bennet. Il décida donc de montrer la lettre à sa femme. Elizabeth sourit en lisant la lettre et elle dit à Darcy que son père faisait référence à la période qui précédait la naissance de Jane. Mrs Bennet avait été persuadé que son mari lui reprocherait le fait que Jane ait été une fille. Elle n'a comprit la raison de son éloignement en le voyant le soulagement de Mr Bennet en voyant qu'elle avait survécu à la naissance de Jane. En voyant l'air surpris de son époux, Elizabeth lui dit que c'est une des choses que sa mère lui avait écrit dans la lettre qu'elle avait reçue d'elle la veille du retour de Darcy à Pemberley. Le regard qu'ils échangèrent à ce moment-là était particulièrement tendre. Et surtout tout deux espéraient pour que l'avenir soit plus clairement avec eux que le passé avec leurs parents.