Adams et Jules étaient enfermés dans la pièce.

Quand Jules vu Adams, il alla vers lui.

-J'ai eu ton mot.

-J'ai eu le tien aussi.

-On fait la paix ? demanda Jules.

-Oui, je suis désolé, répondit Adams qui prit Jules dans ses bras.

Ils s'assirent par terre mais ils remarquèrent que les écritures ne correspondaient pas à les leurs.

-Ce n'est pas moi qui ai écrit cela, Adams, dit Jules.

-Moi non plus je croyais que c'était toi.

-Alors qui a écrit à notre place ? se demanda Jules.

-C'est moi, dit Hanako qui apparue devant eux.

Ils eurent un mouvement de sursaut.

-Dis donc vous prenez tous peur devant un fantôme !

-C'est que on ne s'y fait jamais. Qui t'a demandé de nous aider ?

-Ton tuteur. Ils voulaient que vous vous réconcilier alors je vous ai aidé. Vous avez la permission de coucher ici, répondit Hanako.

-Ah bon ? Sensei était contre pourtant, dit Jules.

-Il vous pardonnera pour la réconciliation. De toute façon, il ne viendra pas vous chercher avant demain matin alors profitez-en.

Hanako disparue aussitôt.

-On est coincé donc.

-Oui on va dormir ici, dit Jules.

-Au moins, sensei sait ou on est, ajouta Adams.

-Si tu as faim, manges-moi.

-Merci mais pas pour l'instant. Toi, tu tiendras ?

-Oui ne t'en fait pas. Je suis un démon, je ne suis pas obligé de manger, répondit Jules.

De leur côté, Sebastian sermonnait Ciel.

-Tu as été méchant avec une des élèves. En plus, j'avais réglé le problème.

-Je voulais lui dire que tu m'appartiens et j'étais curieux de voir …

-Quoi donc ? Sa poitrine ? demanda Sebastian.

-Ben tu as dis qu'elle était forte. Alors je voulais voir si malgré le fait que tu sois gay, tu serais tenté.

-Tu sais que ta phrase n'a pas de logique, Ciel ? Je suis gay, sa poitrine ne me fera pas rien et surtout pas bander ! s'exclama Sebastian.

-Je sais mais je voulais m'en assurer.

-Tu sais ce qui me fait de l'effet ? Toi. Et si tu doutes, je vais te le montrer.

-Je suis désolé, s'excusa Ciel.

-Je vais te montrer que tu m'appartiens aussi.

Sebastian conduisit Ciel vers la chambre, le poussa sur le lit.

Il se mit sur lui et lui dit :

-Je t'aime Ciel.

-Moi aussi.

-Et j'espère que tu vas comprendre que tu m'appartiens. Je ne serai jamais excitée par une femme mais uniquement toi, dit Sebastian.

-Désolé. Je ne ferai plus ce genre de chose.

-J'y compte bien.