Je ne possède aucun des univers de ce recueil

Défi de la Gazette des Bonbons au citron : écrire 50 drabbles sur 50 couples.

Alors oui, je sais, je suis plus habitué à écrire sur des combats et des souffrances physiques mais voilà, en cette Saint Valentin j'avais envie d'amour pour une fois. En plus, je me suis dit que c'était l'occasion que le canon est riche en couple magnifiques et puissants (et sérieusement ça a été une galère de n'en garder que 50...

Alors pour une fois, voici quelques mots d'amour... Bonne Saint Valentin !

En espérant que cela vous plaise

Bonne lecture

PS : Au fait j'ai commencé à faire du tri et à remettre de l'ordre dans mes publications en faisant une sorte de table des matières dans mon profil alors n'hésitez pas à y faire un tour ;)


QUELQUES MOTS D'AMOUR

90. Actarus & Végalia (Goldorak)

POLITIQUE (228 mots)

Végalia était la fille du Grand Stratéguerre, Actarus était le prince d'Euphor et leurs parents ne leur avaient pas laissés le choix, ils devaient s'épouser pour garantir la paix aux deux royaumes. Actarus n'avait pas été heureux de ce choix politique, son cœur appartenant à une autre, mais Végalia était tombée folle amoureuse du prince aux yeux sombres. Eloignée des plans de son père, elle ne sut que tardivement qu'Euphor était détruite et pleura la mort de ce prince qu'elle avait tant aimé… jusqu'à ce que des rumeurs la bouleversent. Il serait vivant. Il serait sur la Terre, une planète que son père voulait réduire en esclavage et elle voulut en avoir leur cœur net. Les retrouvailles entre les deux promis avaint été étranges. Actarus ne savait pas si c'était une ennemie ou une amie et Végalia fut bouleversée de le voir hésiter, elle qui l'aimait tellement… D'ailleurs, elle était prête à tout pour lui prouver, prête à s'élever contre son père, prête à s'interposer pour le protéger, prête à mourir dans ses bras en lui révélant l'emplacement du camp de la Lune Noire, si cela pouvait l'aider à venger les siens… Quand Actarus lui ferma les yeux, des larmes baignaient son visage. Il n'était pas sûr de l'avoir aimé autant qu'elle l'avait aimé, mais il promit qu'elle serait la dernière personne à mourir dans ses bras.