NdA : Bon ! V'là donc la version lemonesque réclamée à grands cris par Lessa et Saya... Pour ceux qui n'ont pas lu la première version, je vous explique... C'est... C'est pas ma faute, d'accord ?! On faisait juste une partie de Gartic Phone entre copines (sur le thème de Harry Potter, m'voyez) quand tout d'un coup, Voldemort s'est retrouvé en possession d'un lapin ! Bon, et à partir de là, c'est parti en cacahuètes... Epsi s'est mise au fanart, Zalia et moi à l'écriture... Bref ! Un beau bordel... Evidemment, on a pas pu s'empêcher de poster nos conneries... Vous pouvez donc trouver l'OS de Lady Zalia sur son profil : Comment Voldemort s'est retrouvé en possession d'un lapin... Pour ma part, l'image qui illustre mon OS n'est autre que le p'tit fanart créé par Epsilon Snape, à partir de l'objet du litige (dessiné par nul autre qu'elle-même)...

Thèmes : délire complet, humour, parodie, lapin (si, si)

Discleamer: Ne faisons point de fioritures, le monde de Harry Potter est, et restera, toujours à JKR.

Sur ce, bonne lecture !


Voldy et le lapin (version lemonesque)


Lord Voldemort avait toujours rêvé de détenir un jour Harry Potter en son pouvoir. De pouvoir le torturer un temps indéfini, le faire hurler sous les sorts de sa baguette pour qu'enfin, le Soit-Disant-Survivant le supplie de l'achever. Ça, c'était dans la théorie. Bon, suite à de multiples... réserves de sa part (ça n'était certes pas des échecs, loin de là, simplement un peu de pitié pour le môme), il s'avérait que Potter était toujours vivant alors même qu'il entrait dans sa dix-septième année de vie. Ce qui était un record de longévité lorsqu'il avait décidé de prendre quelqu'un pour cible (enfin, si l'on omettait ce satané Dumbledore, mais Lord Voldemort remettait seulement sa mise à mort à plus tard) et à laquelle il fallait rapidement remédier.

Cependant, le sorcier le plus terrible de tous les temps (auto-proclamé) ne s'attendait pas à... eh bien à ça.

Lord Voldemort croisa un bras sur sa poitrine tout en se pinçant l'arrête du nez (qu'il n'a pas) de l'autre main.

- Est-ce que l'un de vous daignerait m'expliquer cette... fâcheuse situation, ou bien seriez-vous soudainement tous devenus demeurés ? demanda-t-il très calmement. Quoique ce point reste à éclaircir...

Il darda son regard rouge sang sur les trois Mangemorts transpirants qui lui faisaient face, agenouillés au sol, s'entre-regardant avec nervosité.

- C'est que... vous voyez..., commença l'un d'eux.

- On avait eu envie d'une bière..., continua un autre.

- Mais on était pas sur nos horaires de travail ! intervint le dernier.

- Eh, mais c'est vrai ça ! renchérit soudain le premier en se tournant vers les deux autres, chuchotant. Vous croyez qu'on peut négocier des heures sup' ?

- Je vais perdre patience..., prévint Voldemort d'une voix polaire.

Les trois Mangemorts eurent le bon goût de sursauter avant de pâlir et de déglutir face à l'air de fort méchante humeur de leur Maître. Il fallait dire qu'ils l'avaient tiré du lit à une heure tardive et que le sorcier portait encore sa chemise ainsi que son bonnet de nuit. Ce qui ne lui donnaient pas l'air moins effrayant, n'en doutez point.

- OnétaittranquillementattabléaubarquandPotterestrestréavecsescompagnonsetpuisonapaniqué, et voilà, débita celui du milieu à toute vitesse.

Voldemort considéra le Mangemort qui venait de parler d'un long regard méprisant. L'homme se mit à suer à grosses gouttes, envoyant des appels à l'aide silencieux à ses deux compagnons d'infortune, lesquels évitaient ostensiblement son regard. En vérité, Voldemort n'avait pas compris un traître mot de ce que lui avait raconté son serviteur, si ce n'était « Potter » (ce qui, honnêtement, méritait toute son attention). Mais si son silence prolongé pouvait effrayer ces imbéciles, alors tant mieux.

Le mot « Potter » l'ayant donc toutefois interpellé, Voldemort ne pouvait tout simplement pas aller se recoucher comme si de rien n'était, mine de rien, c'était peut-être important.

Finalement, il décida d'ignorer purement et simplement celui qui avait pris la parole et se tourna vers un autre, qui tenait une cage à lapin dans les bras, avec le lapin dedans.

- Si vous ne voulez pas que je sorte ma baguette, vous avez intérêt à vous expliquer plus clairement..., siffla-t-il, ses yeux lançant des éclairs.

L'homme dut visiblement se contenir pour ne pas pousser un misérable cri de frayeur, mais, malheureusement, ce ne fut pas le cas de son sphincter qui, lui, se relâcha. Cependant, Voldemort n'ayant pas de nez, il n'en fut pas gêné et incita l'homme à poursuivre s'il ne voulait pas souffrir.

- Je... N-nous étions au bar, quand... quand Harry Potter et sa bande sont entrés... Ils... ils étaient sept... et-et...

- Abrège, si tu ne souhaites pas que ce soit ta vie qui le soit, coupa Voldemort.

Cette fois, l'homme ne retint pas son gémissement de frayeur. Alors, dans un élan de... courage ? Inconscience ? Le Mangemort restant intervint :

- Ce n'était pas notre faute ! On ne sait pas qui a lancé le sort ! Si ça se trouve ce sont eux qui...

- La ferme, interrompit à nouveau Voldemort d'une voix glaciale. Je me fiche de savoir comment ou qui a lancé ce stupide sort, ce que je veux savoir, c'est pourquoi, trois stupides vermisseaux pensent judicieux de me réveiller à trois heures du matin pour me présenter un stupide lapin nain qui porte les lunettes de Potter !

Les trois Mangemorts tremblèrent et pensèrent sincèrement à changer de boulot. Mangemort était vraiment trop éreintant et la prime de risque trop peu élevée.

- Alors ? interrogea de nouveau Voldemort.

- C'est... c'est parce que c'est Potter..., couina l'un des hommes d'une petite voix.

Pardon ? Il avait peut-être mal entendu.

- Pardon ?

- Le... le lapin, expliqua l'homme. C'est Harry Potter, Maître...

Silence.

Les Mangemorts firent dans leurs chaussettes.

En réalité, Voldemort était tout simplement trop stupéfait pour parler, mais, encore, ses serviteurs ne devaient pas le savoir. De plus, ça les effrayait. Entretenir la terreur, ça, c'était un bon moyen de maintenir ses troupes.

- Disparaissez, ordonna-t-il alors.

Les Mangemorts ne se firent pas prier et filèrent à toute allure (l'un tenant son pantalon un peu trop rempli), laissant la cage à lapin sur le sol, face à Voldemort.

Le vil seigneur noir contempla alors d'un air considératif la cage du lapin Harry Potter. Ce dernier avait le pelage noir, des yeux verts, et... oui, des lunettes sur son museau, qu'il remuait d'ailleurs fort comiquement.

Voldemort s'accroupit soudain, le visage transformé, béat.

- Gentil petit lapin, minauda-t-il en avançant son doigt crochu à travers les barreaux. Mignon petit lapin, viens voir papa.

Le lapin lui niaqua le doigt.

- Aaaaarg ! Saloperie de bestiole !

Voldemort envoya un regard meurtrier au lapin. Cette saleté de petit... Le lapin remua le nez, semblant se moquer de lui. Voldemort plissa les yeux.

- Potter ? interrogea-t-il.

Le lapin le regarda de ses yeux étonnement verts. Emeraudes affrontèrent rubis. Puis le lapin lui tourna le dos et fit quelques mignons petits bonds dans sa cage.

- Ooooh..., gagatisa Lord Voldemort.

Le lapin se dressa sur ses petites pattes arrières et se mit à griffer les barreaux de la cage en couinant.

- Oh ? Tu veux sortir ? demanda Voldemort en ouvrant immédiatement la cage.

Le lapin se retourna et considéra l'ouverture puis le sorcier tour à tour, comme s'il estimait qu'il y avait un piège. Voldemort souffla puis écarta les bras.

- Pas de baguette, tu vois ? Allez, sors.

Le lapin ne bougea toujours pas, méfiant. Le sorcier se releva et ôta sa chemise de nuit.

- C'est mieux ? dit-il un tantinet excédé.

Le lapin écarquilla les yeux. Un observateur affuté aurait pu apercevoir, sous son pelage noir, ses joues rebondies se colorer de rouge, mais Voldemort ne l'était pas. Cependant, cette séance de strip-tease avait dû porter ses fruits, puisque, d'un pas hésitant, le lapin fit quelques bonds en dehors de la cage. Voldemort sourit (spectacle non recommandé à un public sensible!).

- Tu as faim, peut-être ? Soif ?

Le lapin le regarda d'un air interrogatif en penchant la tête sur le côté, une oreille tombante. Voldemort fondit de bonheur. Puis il se pencha et saisit le lapin juste au-dessous des pattes avants pour le lever devant sa figure. Etonnement, le lapin ne résista pas et se laissa faire, le contemplant de son regard vert.

- Tu es vraiment trop mignon, toi, rit Voldemort en déposant ses lèvres sur le museau de l'animal.

Il y eut alors un « pouf ! » assorti d'un scintillement, et une fumée blanche les enveloppa. Voldemort se retrouva alors à tenir sous les aisselles un Harry Potter plus vrai que nature (et très nu) à bout de bras. Déséquilibré et fort surpris de la tournure des évènements, Voldemort tomba en arrière, le Harry Potter sauvage lui atterrissant dessus en prime.

- Outch ! exhala Voldemort avant de s'écrier. Potter !

Le jeune homme était perché à califourchon sur ses hanches et le regardait d'un air gourmand.

- Potter ? demanda Voldemort alors que le brun se léchait les lèvres.

Qui avait transformé son adorable lapin en Potter ?!

- Merci d'avoir inversé le sort, susurra le jeune homme en se penchant vers lui.

Damn ! Où était donc sa baguette ? Le sort de Voldemort, choqué, resta coincé dans sa gorge, quand Potter la trouva à sa place et lui jeta un regard malicieux. Puis il se mit à la caresser dans sa longueur en le faisant rouler entre ses doigts, un sourire taquin aux lèvres. Un instant interloqué, Voldemort se reprit néanmoins bien vite et s'empara alors de la baguette de Potter. Lequel poussa un petit hoquet de surprise et raffermit sa prise sur celle de Voldemort.

Voldemort savait, par Ollivander, que leurs baguettes possédaient des cœurs jumeaux, mais il ne s'attendait néanmoins pas au frisson de pur plaisir qui le saisit lorsque chacun d'eux toucha la baguette de l'autre. Il y avait comme une connexion. Connexion qui allait au delà de simples baguettes jumelles.

Voldemort observa le jeune homme au dessus de lui. Il semblait perdu et perturbé par cet échange inattendu. Il avait les yeux embrumés et le souffle précipité, contrairement à Lord Voldemort qui ne sentait qu'un réchauffement dans sa poitrine et l'accélération de son rythme cardiaque. Les privilèges de l'expérience, sans doute.

Profitant de l'inattention de Potter, Voldemort, d'un habile coup de hanche, retourna le jeune homme sur le dos, se trouvant à son tour en position de force, l'écrasant sous son poids. Potter écarquilla les yeux, surpris, et poussa un gémissement sourd quand leurs corps entrèrent en contact. D'un mouvement vif, Voldemort attrapa le poignet de Potter et lui fit lâcher sa baguette avant de lui lever les bras et de les lier ensemble à l'aide d'un lien qui se trouvait là (fort pratique, par ailleurs, l'auteur s'est pas foulé).

Souriant d'un air dément, il lança au jeune homme :

- Tu te rends, Potter ?

Ce dernier lui envoya un regard sombre, les pupilles élargies.

- Jamais, gronda-t-il avec un sourire moqueur.

Voldemort plissa les yeux, agacé.

- Tsss... Tu feras moins le fier tout à l'heure..., menaça-t-il.

Il fit alors rouler la baguette de Potter entre ses doigts, se délectant du gémissement qu'il en tira de la part du brun. Quel sort allait-il donc lancer ? Hmm... Voyons...

- Virgo contendum, susurra-t-il avec satisfaction.

- Non ! hoqueta Potter en essayant de s'échapper lorsqu'il sentit le sort faire effet.

- Oh, si..., assura Voldemort en le maintenant au sol. Et quand j'en aurais terminé avec toi, Potter, tu me supplieras de t'achever.

Potter secoua la tête.

- Plutôt mourir !

- Ça n'est qu'une petite mort..., ricana Lord Voldemort.

Sa proie étant désormais à sa merci, Voldemort allait faire durer ce moment le plus longtemps possible. Avec délectation, il caressa alors la baguette de Potter avec lenteur, la contemplant d'un air spéculatif. Puis il la lécha dans sa longueur, enroula sa langue de serpent autour, avant de l'engloutir dans sa bouche, découvrant, fort heureusement, qu'elle n'avait pas un goût de bois, loin de là. Potter se mit alors à crier. Il se démenait dans ses liens, secouant la tête de droite à gauche, le dos cambré et les joues rouges, tout en lâchant des gémissements sonores.

Enfin, après un temps indéfini, Voldemort arrêta sa torture et se releva, contemplant le pauvre jeune homme essoufflé et transpirant.

- Alors ? Tu abandonnes, Potter ?

- N... non... Ja-jamais..., haleta-t-il tout en affrontant Voldemort du regard, un sourire effronté aux lèvres.

Voldemort grogna d'exaspération. Très bien, il allait passer à la vitesse supérieure, il l'avait cherché ce satané gryffondor !

- Je vais t'arracher cet odieux sourire, Potter ! Dans peu de temps, tu demanderas grâce à genoux devant moi.

- C'est une proposition ? répliqua l'intrépide jeune homme.

Sans répondre (honnêtement, ce n'était pas la peine, et puis, de toute façon, il n'allait pas donner raison à Potter), Voldemort saisit à nouveau la baguette du brun entre ses longs doigts fins, mais, sournoisement, dirigea alors l'un d'eux vers l'antre encore inviolée dont il fit céder la barrière en une fois, s'introduisant insidieusement en son sein. La bouche de Potter s'ouvrit dans un cri silencieux alors que son corps entier s'arquait.

- Alors ? demanda Voldemort en explorant la cavité interne de son doigt. Tu es prêt à me supplier ?

- Il... m'en faudra... plus que ça..., souffla Potter d'un ton insolent.

- Plus que ça, vraiment..., murmura Voldemort d'un air machiavélique en appuyant sur un renflement qu'il avait trouva sur une des parois internes du brun.

- Aaah, ouiiiii, plus..., gémit le jeune homme, le corps parcouru de soubresauts.

- Puisque c'est si gentiment demandé...

Sans attendre, un second doigt vint rejoindre son compagnon, et, à deux, ils se mirent à explorer l'endroit, élargissant le conduit, tout en frappant à répétition sur l'excroissance qui se trouvait là. Le gryffondor ne fut plus alors que cris et gémissements, son corps se tordant sous les tortures licencieuses du mage noir. Ricanant, Voldemort s'appliqua ensuite, de son autre main, à pincer les deux boutons de chair sur le torse du jeune homme. Lequel cria et gémit davantage, alors que ses yeux émeraudes se remplissaient d'eau.

- Aa-arrgg..., haletait-il.

Décidant de pousser plus loin Potter dans ses retranchements, Voldemort n'attendit pas de lui demander s'il abdiquait enfin, et un troisième doigt inquisiteur se joignit aux deux premiers. Tout trois poussèrent au plus loin qu'il pouvaient dans la grotte sombre, se séparant parfois afin d'en faciliter l'accès. Potter se tendit de tout son corps, fut parcourut de frisson tout en gémissant bruyamment. Il poussait des petits cris à chaque coups des mineurs en son antre, se crispant, se cambrant, s'agitant comme un beau diable, avant de sangloter, subissant les assauts sans pouvoir résister ni atteindre la délivrance.

Voldemort sentit qu'il était au bord de la rupture et que sa victoire était proche. Il arrêta alors tous ses mouvement, tirant encore un sanglot de désespoir au jeune homme qui savait que ce n'était pas fini, et lui susurra :

- Tu rends les armes, Potter ?

Le brun tourna ses émeraudes brouillées de larmes vers lui et secoua lentement la tête de droite à gauche. Il avait les joues rougies par l'effort et la sueur collaient ses boucles brunes à son front. Cette vision rendait Voldemort presque ivre de plaisir, mais, fort heureusement, il savait se contenir.

- N-non..., hoqueta Potter. Pas... encore...

Voldemort haussa les sourcils (qu'il n'avait pas), étonné. Cet espèce de petit gryffondor à la noix était plus résistant qu'il n'y paraissait. Voldemort était désappointé, ses mains et la baguette de Potter n'étaient plus suffisantes... Il n'avait plus le choix, il allait devoir utiliser sa propre baguette.

Voldemort vérifia alors qu'elle était prête à l'emploi avant de l'enfoncer d'une poussée dans l'antre chaude. De nouveau, l'un comme l'autre ressentit ce même étrange frisson de plaisir qu'ils partageaient lorsque leurs baguettes entraient en contact.

Voldemort entama alors une longue série de coups de baguettes sur le corps transpirant du jeune homme. Le pauvre Potter, il le voyait bien, n'arrivait plus à suivre le rythme. Sa respiration s'emballait totalement, ses membres étaient parcourus de frissons involontaires et même ses cris, devenus de véritables hurlements depuis que Voldemort avait commencé la véritable torture, étaient hachés et s'étranglaient dans sa gorge qui s'éraillait.

Les larmes ruisselantes sur ses joues, les lèvres rougies d'avoir été mordues et brillantes de salive, le corps arqué sous les coups de baguettes répétés de son tortionnaire, le Survivant avait désormais bien piètre allure. Il était totalement à la merci du mage noir, soumis à son pouvoir. La raison commençait à lui échapper, alors que toujours davantage de gémissements (ressemblant fort à des suppliques) s'échappaient de sa bouche.

- Ah... Aah... Aaghh... Nnhh ! Vol-Voldemort... J-je...

Voldemort sourit de toutes ses dents.

- C'est Lord Voldemort, Potter.

Le brun secoua la tête, hoquetant.

- N-non...

- Allons, tu peux le faire, Harry, l'encouragea Voldemort en poussant toujours plus sa baguette dans les tréfonds du gryffondor.

- Aaaggnnhh... Lo-lord... Voldemort... S'il... s'il-vous-plait..., haleta-t-il la voix cassée d'avoir trop crié.

- Que veux-tu ?

Potter poussa un gémissement de détresse.

- Laissez-moi... S'il-vous-plait...

Ses sanglots se mêlèrent à ses cris et il ne put plus articuler correctement un mot. Cependant, c'était suffisant pour Voldemort. Le gamin l'avait supplié à deux reprises et, en plus de ça, l'avait même appelé Lord Voldemort. Spectacle plus que jouissif pour le mage noir qui fut alors saisit par un orgasme fulgurant. Il eut tout juste le temps de murmurer le contre-sort qui retenait Potter avant de se relâcher à l'intérieur du gryffondor qui fit de même sur son ventre dans un long hurlement de délivrance.

Puis, après un temps indéfini, les étoiles s'ôtèrent de leur vision et Voldemort retira sa baguette de la cavité qui l'avait accueillie. Potter gémit sourdement et retomba, inerte, sur le sol, telle une poupée de chiffon. Saisissant le corps mou entre ses bras, Voldemort se releva et l'emporta sur le lit où il le coucha avant de le rejoindre à son tour. Presque aussitôt, il rejoignit Potter dans les limbes.

Le lendemain (ou plutôt quelques heures plus tard), lorsque Voldemort se réveilla, son adorable petit lapin noir sagement roulé en boule contre son flanc, il se dit, tout en caressant avec dévotion la tête douce, qu'il avait quand même fait un rêve sacrément bizarre.


NdA : Bon ! Aheum. Ça va vous ? Moi nickel. Bref. J'espère que ça vous a plu XD Vous pouvez retrouver l'OS de Lady Zalia (sur le même thème, à partir du même délire, oui, oui : Voldemort et un lapin) sur son profil !

Sinon.

CHOSE IMPORTANTE.

Si vous aimez le Voldemort/Harry Potter, je ne peux que vous conseiller d'aller lire Dépendant au serpent (terminée) et sa suite Dans la gueule du serpent (en cours) de Lady Zalia, ces fic sont juste... DE LA PUTAIN DE BOMBE SA MÈRE ! Pardon, je deviens vulgaire. Nan mais sérieux. Allez la lire. Elle est géniale. Et c'est pas un truc gnangnan dégoulinant d'amour ou quoi. Voldemort reste Voldemort, avec un brin de sadisme en plus et tellement calculateur... C'EST-GÉ-NIAL. Et Harry ne bascule pas du côté obscur de la force, il reste Harry et ses principes... Bref, je vous laisse découvrir. En plus, les combats sont d'la balle... Magnifiques. Puis elle nous pond d'ces scènes ! Incroyables. Beaucoup d'animaux fantastiques, une imagination incroyable, et un style littéraire très fluide et captivant. (On dirait que je fais une critique littéraire XD)

À vos reviews !