Résumé : Byakuya commence à cracher des pétales de fleur de sakura. Il est atteint du syndrome d'Hanahaki, une maladie à l'issue mortelle. Son seul espoir se trouve être l'amour d'Ichigo Kurosaki. Mais pourra-t-il convaincre le jeune homme alors que tout les séparait ? Ichigo n'était même plus un shinigami... N'ayant pas le choix, il partit pour le monde des humains. Mais une fois arrivé, il découvre qu'Ichigo a déjà pas mal d'ennui, peut-il lui ajouter cela sur les épaules ?


Chapitre 1 : Pétales de Sakura

Il toussa quelque peu et se massa doucement la poitrine avant de reprendre la rédaction de son rapport. Cela faisait quelques jours qu'il avait une gêne mais ne s'en inquiétait pas plus que cela. Il avait d'autres choses à penser. Avec la destruction du Central 46, les chamboulements dans les treize divisions et l'arrestation d'Aizen, une toux bénigne n'était qu'un moindre mal. D'autant plus qu'il aidait le capitaine par interim de la neuvième division. Pour certains détails, les vice-capitaines n'étaient pas encore prêts à en assumer la charge ou avaient besoin d'être guidés. Mais avec la désertion, puis la mort des capitaines Tosen et Ichimaru, Hisagi et Kira se retrouvaient seuls avec tout le poids décisionnel sur leur division sans y avoir été préparés.

« Capitaine Kuchiki, » fit le vice-capitaine de la sixième division en pénétrant dans le bureau.

« Oui, Renji ? Qu'y a-t-il ? »

« C'est pour informer que Rukia est revenue du monde des humains. Elle est actuellement en chemin pour les quartiers de la première division. »

Byakuya Kuchiki leva les yeux de son travail et fixa le shinigami en face de lui un instant. Si Rukia était de retour à la Soul Society, cela ne pouvait signifier qu'une seule chose : le shinigami suppléant, Ichigo Kurosaki, n'avait plus de pouvoir.

Il devait admettre que c'était dommage. Après tout ce temps à le fréquenter, l'observer de loin, le surveiller, ce jeune humain à la chevelure orangée n'avait cessé de surprendre les habitants du Seireitei. Un cœur noble avec pour seul désir celui de protéger tout le monde, tout le temps, se jetant corps et âme dans la bataille pour défendre ce en quoi il croyait, aujourd'hui, un an après la fin de la guerre contre Aizen, il perdait la dernière once d'énergie spirituelle qui lui restait. Il avait tout sacrifié pour sauver tout le monde.

Le noble représentant du clan Kuchiki tourna son regard par la fenêtre et observa lentement les pétales de fleurs tomber des cerisiers alors que son esprit se tournait vers le passé.

A à peine quinze ans, ce jeune garçon l'avait défié lui et toute la Soul Society pour sauver Rukia. Il avait travaillé durement pour cela, jusqu'à acquérir le Bankaï à une vitesse ahurissante. Et quel Bankaï ! Petit, entièrement couvrant, mais d'une extrême rapidité et précision. Ichigo Kurosaki était prêt à mourir pour sauver Rukia et avait même éveillé quelques cœurs de Shinigami pour lui venir en aide dans sa quête de justice.

Parmi ces cœurs, il y avait le sien. Byakuya avait combattu pour faire appliquer la loi du Seireitei au détriment de la vie de sa sœur. Ce qu'il ignorait à l'époque, c'était que derrière les décisions prises se trouvait Aizen et ses viles manipulations. En cela, il devait une fière chandelle à l'humain. Sans lui, sans sa détermination, Rukia serait morte et le chef du clan Kuchiki serait encore aujourd'hui en train de se morfondre pour sa lamentable erreur. Mais Rukia était saine et sauve en ce jour et l'équilibre des mondes étaient préservé. C'était tout ce qui importait. Encore une fois, grâce à Ichigo Kurosaki.

« Nous venons de perdre un vaillant combattant, » dit-il tout haut.

« Capitaine, c'est d'Ichigo que nous parlons. Il nous reviendra un jour. »

« Sûrement... » Il se racla la gorge pour tenter de chasser une nouvelle fois cette gêne et fit signe à Renji. « Remets-toi au travail. »

« Oui, mon capitaine. »

Byakuya l'observa quelques secondes pour s'assurer qu'il faisait bien comme demandé avant de se remettre lui aussi à la rédaction de son rapport.

xXxXxXx

Byakuya se redressa en toussant fortement. Il se tenait assis sur son futon, la main à la bouche. Il avait mal aux poumons tout d'un coup et sentait qu'il devait recracher quelque chose qui l'empêchait tout bonnement de respirer. Il toussa et expectora pendant ce qui lui sembla être une éternité avant de sentir quelque chose sortir enfin.

Sentant quelque chose d'humide et gluant sur sa main, il se leva et se dirigea vers un bassin d'eau. A la lumière d'un lampion extérieur, il observa perplexe les quelques pétales humides qui lui collaient sur la paume de la main.

Il avait recraché des pétales de sakura ?! Comment était-ce possible ? Qu'est-ce que cela signifiait ? Il les déposa dans un bol afin d'y réfléchir plus longuement au matin et se lava les mains avant de s'asperger le visage pour chasser toute la sueur. Puis, épuisé, il se recoucha simplement, oubliant pour une fois d'adresser une petite prière pour Hisana, sa défunte compagne, ce qui n'était vraiment pas dans ses habitudes.

Le lendemain matin, il se releva en toussant à nouveau mais sans plus. La gêne restait simplement sans qu'il puisse l'expliquer. Il observa quelques instants les pétales rosés séchés avant de finalement partir se purifier et déjeuner en compagnie de sa sœur. Une longue journée l'attendait.

xXxXxXx

Il se tenait dans l'immense jardin de son domaine, cette fois, sur un des chemins qu'affectionnait tant sa douce Hisana. Il observait les pétales qu'il venait de cracher encore sans comprendre ce qu'il lui arrivait. Était-ce une réaction de son zanpakuto ?

'Zenbonzakura ?' fit-il incertain.

'Je suis tout aussi perplexe que vous, Byakuya. Même si cela ressemble à une de mes lames, cela n'en est pas une.'

'Je sais encore reconnaître tes lames. Il s'agit de simples pétales. Mais je voulais m'en assurer.'

Il se leva, jugeant qu'il n'avait qu'une seule chose à faire alors qu'il marchait calmement vers la sortie de son domaine pour se rendre dans le secteur des casernes. Plus précisément, celui de la quatrième division, là où il y avait l'hôpital shinigami. Il ne s'y rendait que très rarement, détestant au plus au point cet endroit et préférant de loin user de son propre kido où demander à un médecin privé si nécessaire. Mais là, avec ce phénomène plus qu'anormal, il ne voyait personne d'autres à part Unohana, le capitaine de la quatrième division, capable de lui donner une réponse.

« Capitaine Kuchiki, » sourit la femme shinigami en le voyant pénétrer dans son bureau. « Que puis-je pour vous ? »

« J'aimerais que vous m'examiniez, Capitaine Unohana, » fit-il d'une voix légèrement rauque avant de tousser encore.

« Ah ? Bien sûr, mon ami. Installez-vous sur la table d'auscultation et dites-moi ce qui ne va pas. »

« J'ai une gêne constante qui m'empêche de respirer normalement ces dernières semaines, » répondit le capitaine de la sixième division d'une voix neutre. « Je tousse souvent. »

« Plus la nuit ? »

« Oui. Et dernièrement, il y a eu ceci, » ajouta-t-il en sortant les quelques pétales qu'il avait recrachés une heure plus tôt. « Auriez-vous une explication logique à cela ? »

« Aux pétales ? Faites-vous une allergie ? »

« Non… Non, je ne pense pas, » fit-il les sourcils froncés. « Je vous demandais pourquoi je me suis mis subitement à recracher des pétales. »

Les sourcils de la shinigami se haussèrent de surprise alors qu'elle portait la main à ces petites choses légères et pourtant si dérangeantes pour le chef de clan. Elle en prit un et l'examina attentivement. Byakuya la laissa faire plus ou moins en silence, toussant juste quelque peu pour tenter de se soulager.

« Je l'ignore, Capitaine Kuchiki, » répondit-elle avec honnêteté au bout d'un moment. « Mais je vais faire des recherches. En attendant, je ne peux que vous prescrire quelques herbes médicinales et vous conseiller fortement de prendre des bains chauds pour soulager vos voies respiratoires. Avec des huiles essentielles à l'eucalyptus ou à la menthe serait le mieux. »

« Très bien, » fit-il lentement.

Il récupéra la prescription et partit pour les casernes de la sixième division faire son inspection mensuelle.

xXxXxXx

Byakuya était alité, épuisé. Les trois dernières nuits avaient été épouvantables et il avait à peine fermé l'œil. Alors qu'il tentait de se reposer, il se surprit à songer aux événements passés, en particulier ceux concernant l'ancien shinigami suppléant. Il se demandait ce qu'il devenait dans le monde des humains maintenant qu'il ne chassait plus les hollows pour les purifier.

Il secoua la tête pour s'éclaircir les idées. Comment pouvait-il songer au jeune Kurosaki ? Il se redressa et partit pour l'ancienne chambre d'Hisana. Ne trouvant pas le repos, il préférait se recueillir devant la photo de sa douce quelques instants pour apaiser ses pensées. Il brûla un peu d'encens et pria longuement pour son amour avant de retourner se coucher et espérer dormir un peu.

Il resta ainsi au lit ou errant un peu dans son domaine durant une semaine entière, guettant le sommeil qui ne cessait d'être interrompu par ses quintes de toux florales. Il espérait vraiment qu'Unohana trouverait une solution à ce problème parce que cela commençait sérieusement à lui courir sur le haricot de cracher des pétales de fleur. Et en attendant, il délaissait son travail sur les épaules de son subordonné, Renji. Il espérait qu'il saurait s'en montrer digne au moins pour la majeure partie…

Finalement, au bord de l'épuisement et malgré ses toux, il réussit à trouver quelque peu de repos et put revenir dans son bureau de la caserne. Il trouva une pile de documents relativement importante sur son bureau mais avisait également la tête endormi sur sa table, des cernes sous les yeux. Le jeune shinigami avait probablement passé la nuit à travailler. Il n'avait certes pas fini mais il pouvait déjà voir aux différentes piles qu'il avait été débordé.

Il soupira avant de tousser encore quelque peu.

« Renji, » articula-t-il ensuite d'une voix rauque.

Le Vice-Capitaine se redressa vivement, à moitié paniqué.

« Je ne dormais pas ! »

« Rentre chez toi, » fit le Capitaine de la sixième division en partant s'installer à son bureau. « Tu continueras ton travail demain, une fois que tu seras reposé. »

L'homme se redressa et fit quelques pas vers la porte avant de se tourner vers Byakuya.

« Vous allez bien, mon capitaine ? » demanda-t-il.

« Pourquoi cette question, Renji ? »

« Vous semblez pâle. Vous devriez peut-être aussi rester chez vous pour vous remettre totalement... »

En temps normal, il l'aurait renvoyé d'un geste sec mais il savait plus ou moins à quoi il ressemblait et il devait paraître légèrement effrayant.

« Je te remercie de ta sollicitude, Renji, » dit-il plutôt. « Mais cela ira. Je me suis suffisamment reposé. »

« Hmmm… oui, mon capitaine. Au revoir. »

Byakuya hocha simplement la tête sans quitter les documents des yeux. Il avait beaucoup de travail à rattraper, même si Renji avait fait son possible pour pas qu'il en ait de trop.

xXxXxXx

« Vous en êtes certaine ? » demanda-t-il d'une voix blanche.

« Oui, » fit Unohana en se levant et l'invitant à le suivre.

Byakuya le fit et observa un tableau lumineux où il voyait des images sur fond sombre d'une cage thoracique.

« Vous voyez ces ramifications ici et là ? »

« Oui ? »

« Ce sont des plants de sakura en germination. »

« Je vous demande pardon ?! »

« Nous avons fait ces radio ce matin, vous en conviendrez, » fit-elle avec sérieux.

« Oui. »

« Ces quelques taches sombres que vous voyez là, dans vos poumons, sont les restes de la dernière floraison. N'avez-vous pas craché quelques pétales ce midi ? »

« Je … oui, » répondit Byakuya en se massant légèrement la poitrine.

Il en crachait presque tous les jours à vrai dire, toujours un petit nombre mais il allait progressivement en augmentant. De deux-trois quelques semaines plus tôt, il en était maintenant à six-sept. Sans parler de son essoufflement progressif…

« Qu'est-ce que vous en concluez ? » demanda-t-il ensuite.

« Après quelques recherches, et je dois l'avouer, un coup de main du Capitaine Kurotsuchi, nous en sommes arrivés à la conclusion suivante : vous êtes victime du syndrome d'Hanahaki. »

« Qui est ? »

« En quelque sorte, un mal d'amour. »

« Vous plaisantez, j'espère ? »

'Elle est bien bonne !' rit son zanpakuto.

'Je te conseille de te taire, Senbonzakura,' fit le Shinigami avec une once de colère.

« Hélas, je crains que non. Le Capitaine Kurotsuchi a fait des recherches sur ce syndrome il y a de cela quelques décades. Et il est même prêt à vous faire une fleur… hmmm… je vous demande pardon pour le jeu de mot. »

Byakuya la fusillait justement pour avoir osé le faire. Il en venait progressivement à détester cette plante dont il ne cessait de cracher les fleurs.

« Quel genre … de fleur ? » demanda-t-il.

« Il est prêt à vous opérer pour vous débarrasser de ces plants. »

« Pourquoi je sens qu'il y a un mais ? »

« Cela ne sera pas sans conséquence… »

« C'est-à-dire ? »

« La particularité de ce syndrome est qu'il nait des sentiments et ne peut être guéri que par les sentiments. En vous opérant, Kurotsuchi vous arrachera de votre cœur tous les sentiments qu'il pourrait contenir. Cela pourrait avoir de sérieuses répercussions, tant sur vous que sur les personnes de votre entourage. Je vous suggère de tenter de trouver la solution naturelle à votre mal avant de laisser Kurotsuchi s'occuper de votre cas, Capitaine Kuchiki. »

« Est-ce que c'est mortel ? »

« A la fin, oui, » fit tristement la shinigami. « Et extrêmement douloureux. »

« Combien de temps ? »

« Je l'ignore… A vue de nez, je dirais… un an… peut-être deux. Mais cela n'ira qu'en empirant. »

« Et comment suis-je sensé la trouver, cette solution ? »

« Interrogez votre cœur, c'est tout ce que je peux vous dire. Avez-vous eu des pensées … comment dire … obsédantes, ces derniers temps ? »

Il n'avait cessé de penser à Kurosaki à bien y réfléchir mais c'était juste qu'il avait une dette envers le jeune garçon pour avoir sauvé sa petite sœur. Rien de plus. Cela ne devait pas être ça.

'Mais si justement cela l'était ?' demanda Senbonzakura.

'Impossible ! Ce n'est encore qu'un enfant !'

'Un homme !'

'C'est un humain !'

'C'est un noble guerrier au cœur pur !'

'C'est contraire au règlement du Seireitei !'

'Parce que vous avez toujours respecté le règlement ? On parle de votre survie, Byakuya. D'un syndrome rare et pourtant mortel. Réfléchissez-y quand même.'

« Peut-être bien, » répondit alors le capitaine de la sixième division sans réelle conviction.

« Alors je vous suggère de creuser tant que vous en avez encore la force. Et continuez de prendre ces remèdes que je vous ai prescrits il y a quelques semaines. Ils ne vous seront pas d'une très grande aide mais ils pourront tout au moins soulager votre respiration. »

Le noble Kuchiki fit un hochement de tête et se leva pour prendre congé. Il avait beaucoup de choses auxquelles songer.

xXxXxXx

Byakuya ouvrit lentement les yeux et avisa les lieux où il se trouvait. L'infirmerie. Il sentit une main chaude qui tenait la sienne. Il bougea la tête et vit vaguement que sa sœur, Rukia, était endormie à son chevet. Son visage était déformé par l'inquiétude. C'était bien la première fois qu'elle le voyait ainsi affaibli et alité hors des combats. Il ne lui avait rien dit pour sa maladie pour ne pas l'inquiéter. Maintenant, il ne pourrait plus éviter ce problème…

Il toussa et porta la main à sa bouche. Ce fut là qu'il remarqua le masque sur son visage. Il voulut l'enlever mais la main de Rukia l'en empêcha.

« Non, mon frère, » fit-elle avec une voix ensommeillée. « Le Capitaine Unohana a ordonné que je t'empêche de l'enlever même si tu en as horreur. Cela te fait du bien. »

Il soupira et laissa sa tête retomber sur l'oreiller. La jeune femme s'installa plus confortablement sur sa chaise et le fixa de son regard mauve si expressif.

« Pourquoi tu ne me l'as pas dit ? » demanda-t-elle doucement.

« Je ne voulais pas t'inquiéter, » répondit Byakuya avec honnêteté. « Que s'est-il passé ? »

« Le Capitaine Unohana a dit que tu as été prix d'une quinte de toux lors de la réunion des capitaines et que tu t'es effondré au sol, incapable de reprendre ton souffle. Elle t'a ramené ici en urgence grâce à son Bankaï. Tu as inquiété tout le monde. »

« Et cela ne risquera pas d'aller en s'arrangeant, » soupira le Capitaine de la sixième division.

« Pourquoi ? »

« Parce que je dois trouver l'amour de ma vie et le convaincre de mes sentiments dont j'ignore encore la profondeur avant que je n'étouffe dans des pétales de fleurs de sakura… »

Il toussa encore et se massa la poitrine. Il vit la surprise sur le visage de sa sœur, qui mélangé à l'inquiétude qui l'habitait déjà, déformait son beau visage, réplique parfaite de celui de sa défunte Hisana.

« Et … tu sais qui est l'amour de ta vie ? » demanda-t-elle après un instant d'hésitation.

« J'essaie encore de le déterminer, » soupira-t-il. « Je n'arrive pas à comprendre ce que mon cœur essaie de me dire. »

« Si je peux, je t'aiderai, grand frère, » murmura Rukia en se rapprochant de lui. « Essaie encore de te reposer. Tu sembles épuisé. »

En temps normal, il ne l'aurait pas laissé lui parler de cette façon. Mais dans l'état où il était et l'inquiétude qu'il causait à ses proches et ses collègues, il ne pouvait nier qu'il devait en terroriser plus d'un. Il fit un simple hochement de tête et essaya de se rendormir pour prendre encore un peu de repos tant que cela lui était possible.


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