Tout avait commencé une nuit. Il se faisait très tard et les orages fendaient le ciel depuis plusieurs heures déjà dans un bruit sourd et effrayant faisant sursauter plus d'un.
La porte s'ouvrit en un grissement et celui allongé dans le lit bien éveillé à cause des orages, leva la tête pour voir de qui il s'agissait.
— Tu fais quoi là ? demanda t'il agressif à sa jeune sœur qui se trouvait au pas de sa porte.
— J'ai peur.
— T'es venu chercher quoi ?
— Je peux dormir ici ? Avec toi ?
— Non, dit-il, catégorique.
Un gros orage se fit entendre et elle se précipita toute apeurée dans le lit de son frère.
— Fais chier, va dans ta chambre, lui dit-il, alors qu'elle était camouflée dans sa couverture.
— J'ai trop peur.
Elle sursauta au énième orage qui passa et il soupira.
Il savait bien qu'elle en avait peur et si elle était finalement venu se réfugier dans sa chambre c'était qu'elle ne pouvait plus le supporter.
Depuis des heures déjà que le ciel grondait, si elle ne venait qu'à ce moment c'est qu'elle avait déjà tout fait pour ignorer cela.
— Tu dors de ce côté, t'as pas intérêt à bouger d'un millimètre, déclara t'il, se couchant à l'autre bout du lit.
— Merci, dit-elle.
— Pff... Chochotte.
Elle ne répondit rien, trop soulagée de ne plus être seule.
Le silence régna enfin mais tout deux n'était pas encore profondément endormi.
Les orages reprirent subitement, faisant crier de peur la jeune fille dans le lit.
— Mais putain, ne crie pas comme ça, s'énerva son frère.
— Désolée mais ça me fait peur.
— Ce ne sont que des orages.
— Oui mais c'est effrayant.
Il se retourna vu qu'il montrait le dos à sa sœur.
— Ça va passer, lui rassura t'il.
Elle ne put acquiscer qu'un déchirement se fit plus fort et elle se jeta contre son frère.
— Levy...
— S'il te plaît Gajeel restons comme ça j'ai moins peur.
Il soupira et laissa sa sœur se blottir contre lui bien qu'il ne se sentait pas à l'aise.
Finalement, les orages se stoppèrent mais Levy ne s'était pas éloignée de son frère appréhendant qu'ils pouvaient reprendre d'un moment à un autre.
Le silence régnait déjà depuis un certains temps et sa peur déjà presque envolée, elle constata que son frère était uniquement vêtu de son boxer. C'est vrai qu'il ne dormait jamais avec ses vêtements.
— Tu n'as pas froid ? demanda t'elle.
— Pas vraiment.
Et puis, la chaleur que sa sœur dégagea blottit ainsi contre lui le réchauffait et ce n'était sûrement pas correct de dire que c'était agréable mais ça l'était
Levy bougea se sentant un peu inconfortable et la couverture qui la recouvrait glissa totalement.
Elle ne la remit pas car son frère avait immédiatement posé sa main sur son dos.
La respiration de celle-ci rencontra son torse et à un moment donné, il en avait frisonné, juste un peu. Et se joignant à cette réaction, sa main descendit lentement le dos de sa sœur presque endormi.
Il ferma les yeux à son tour pour s'endormir oubliant d'éloigner sa sœur mais le sommeil ne vint pas.
Levy bougea encore et il se retourna totalement la prenant dans ses bras et celle-ci ouvrit les yeux à ce geste.
Une sorte de malaise s'était installé entre eux et chacun n'osa plus faire un geste.
Mais prise d'une certaine envie, Levy posa sa main sur le torse de son frère et cette nouvelle chaleur qui s'immisça en lui le poussa à descendre encore plus sa main sur le jeune corps de sa sœur.
Elle ne dit mot à cette initiative et ce malaise grimpa encore plus mais malgré tout, comme poussée par une force, elle fit de légère caresse de son index sur le torse de son frère.
Lui non plus ne dit mot, s'était comme s'ils ressentaient vulgairement et curieusement le besoin de se toucher. Alors à son tour, il continua sa descente mais plus en profondeur et se mit à caresser les jambes de sa sœur vu qu'elle portait un short.
Instinctivement, Levy fit monter une de ses jambes sur celle de son frère et il soupira, caressant cette fois-ci avec viracité les cuisses de sa sœur.
Levy ferma les yeux à cela et colla sa poitrine contre le torse de son frère, laissant glisser sa main dans son large dos continuant elle aussi à le caresser.
Le malaise les avait quitté faisant place à une sorte de gêne mais ils n'arrêtèrent pas pour autant leur geste, comme incapable ou tout simplement attiré par l'envie de se toucher encore plus.
De sa main, il caressa habillement ses cuisses sans plus s'arreter et Levy soupira de plaisir. C'était bon.
Elle pressa timidement son corps contre lui et il remonta sa main. Celle-ci devia pour glisser dans son haut et vu qu'elle ne portait pas de soutien, il posa sa main sur son sein.
La gène monta encore plus entre eux mais Levy continua à caresser son dos de ses doigts gracile. Voyant cela comme un encouragement, il exerça des pressions sur son sein et elle gémit pour une deuxième fois et son frère grogna quand elle pressa son bassin contre le sien, frottant sa jambe sur lui.
Le jeune corps de la fille contre celui vigoureux de son frère commença à s'échauffer sous leur contact interdit.
Ils ne disaient mots, sachant que cela leur mettra beaucoup plus mal à l'aise qu'ils ne l'étaient déjà.
Mais la jeune sœur sans savoir pourquoi saisit la main de son frère et le glissa sur elle pour qu'il continue ses caresses qu'elle appréciait honteusement.
Il glissa alors sa main jusqu'à l'enfuir dans sa culotte avec audace mais contrairement à ce qu'il s'attendait, sa sœur frisonna et gémit encore.
Il continua sa descente et laissa ses doigts chercher l'intimité de sa jeune sœur et au contact de celui-ci, elle le serra fort et soupira de plaisir, grimpant totalement au-dessus de son frère.
Ses doigts toujours dans sa culotte, il caressa ses lèvres vaginales de façon experte et elle bougea le bassin sur lui.
Quand ses doigts perçut un liquide, il ferma les yeux sentant lui aussi son bas ventre s'échauffer.
Levy appuya ses mains sur son torse et ondula sur lui, faisant naître une érection en lui.
Tout deux se sentit dégouté de se savoir exciter mais il ne s'arrêta pas. C'était comme impossible.
Gajeel continua ses caresses dans son intimité et à cela s'écoula entre ses doigts le liquide d'excitation de sa jeune sœur qui l'excita plus à son tour.
Il caressa son clitoris et Levy repoussa sa tête en arrière. C'était interdit mais que c'était bon.
D'un geste vif il introduit un doigt en elle qui glissa avec facilité, puis un second et un troisième.
Elle serra les jambes le faisant grogner de plaisir et ses doigts degoulina de cyprine.
Il fit des mouvements de rotation en elle et elle s'allongea sur lui, la tête dans son cou.
Un malaise toujours présent mais une envie qui prenait de plus en plus place leur empêchèrent de s'arrêter en allant aussi loin.
Levy laissa échapper ses soupirs de satisfaction contre son oreille en sentant les doigts experts de son frère dans son vagin lui procurant un doux plaisir.
Il enfuit son autre main dans son haut et tata son sein presque violemment et elle gémit fort cette fois.
Comblée de plaisir, elle voulut aussi en procurer à son frère et elle glissa donc ses lèvres dans son cou.
Il commença à lâcher des soupirs lui aussi et pressa son sein plus fort.
Sa verge gonfla de plus en plus et il retira ses doigts de l'intimité de sa sœur pour presser sa petite poitrine avec désir.
Levy repoussa la tête en arrière, C'était trop bon. Et sentant sa cyprine s'écouler sur sa cuisse, elle en fit honteuse d'éprouver un tel désir pour son frère.
Gajeel lui retira son haut et posant ses mains sur ses fesses, il fit descendre son short et sa culotte et Levy le laissa faire.
Après cela, il allongea sa sœur dans le lit se mettant à califourchon sur elle.
Seul leur respiration haletante brisait le silence de la chambre, et Levy entreprit de retirer le boxer que portait son frère libérant son érection.
Maintenant tout deux nu en face de l'autre, ce n'était plus question de gêne mais de désir.
Gajeel mit un doigt dans la bouche de sa sœur et elle commença à lécher. Il enfonça le deuxième puis le troisième et elle lècha avec délice. La salive qui s'imprégna sur ses doigts était excitant.
Elle termina de lécher les doigts qu'il avait enfoncé plus tôt dans son intimité.
Levy mouilla encore plus et Gajeel déposa ses lèvres dans son cou, chatouillant son intimité de son sexe.
Lentement, il décida de s'enfoncer en elle mais il rencontra une résistance.
— T'es vierge ? murmura t'il à son oreille.
— Oui.
— On doit pas faire ça.
Elle enroula ses jambes autour de lui, beaucoup trop excitée pour qu'il la laisse.
— Prend moi.
— T'es ma sœur.
— On a tout deux envie, soupira t'elle.
— T'es sûr ?
— Oui.
Aveuglé tout les deux par le désir, elle se laissa faire et il s'enfonça en elle.
Elle se crispa et il se mit à l'embrasser pour capturer ses cris de douleur.
Étrangement ça ne lui dégoûta pas de sentir les lèvres de son frère contre elle, au contraire, elle le donna accès à sa langue et ils se mélangèrent leur salive.
Il entra en elle et tout en l'embrassant, il recueillit ses larmes de douleur et effectua un mouvement.
Crispée, elle entoura fortement ses mains autour de son cou.
— Gajeel ça fait mal.
— Encore un peu.
Il continua ses coups de rein, s'excitant au fait qu'elle le morde pour étouffer sa douleur.
Il fit plusieurs coups de rein en elle où elle avait encore mal avant de ressentir un plaisir sans non.
Elle se mit à gémir sans retenu alors qu'il s'enfonça profondément en elle, bloquant ses bras sur le lit.
Il baisa sa sœur salement et elle cria de plaisir.
— C'est si bon, va plus vite.
— Je vais te faire mal.
— S'il te plaît va plus vite. J'ai envie de toi.
Alors laissant son désir prendre le contrôle, il s'enfonça durement en elle avant de ressortir et de recommencer et elle cria plus fort.
— C'est... C'est si bon... gémit-elle tremblante.
Toujours en bloquant ses mains sur le lit, il la baisa violemment et elle en éprouva un plaisir, fermant les yeux satisfaite.
Elle épousa ses rythmes en ondulant le bassin et leur claquement de peau résonna dans la chambre tant il était brusque.
Levy repoussa la tête en arrière les joues en feu et transpirante alors qu'il continua ses va en vient.
— Gajeel...
— Levy... T'es serré, grogna t'il.
— Gajeel... Ah Gajeel...
Il écarta encore plus les jambes de sa sœur pour frotter son sexe contre les extrémités de son vagin.
— Ne... Ne t'arrête pas... supplia t'elle.
Il était complètement allongé sur elle et les jambes serrées contre lui, il s'enfonça en elle en l'embrassant, sortant et entrant sans s'arrêter et lorsqu'il sentit qu'il allait flancher il murmura.
— Je... Je vais lâcher.
Il voulut se retirer mais elle refusa.
— S'il te plaît fais le en moi.
Gajeel lacha sa semence dans sa sœur et le liquide chaud qui s'écoula en elle la fit soupirer d'extase.
Complètement épuisés, ils s'endormirent l'un contre l'autre après s'être embrassé.