Bonjour/Bonsoir, on se retrouve aujourd'hui non pas pour un OS artistique comme j'ai l'habitude de vous partager mais pour un petit OS assez triste. Et je tenais à vous le partager avant que je ne parte pour deux semaines d'examen. Enfin bon, honnêtement, il m'a suffi d'une seule musique aux notes mélancoliques pour que je rédige cela d'une traite. Bien sûr, j'ai ensuite bien reprisé la chose bien que j'y trouve encore assez brouillon à certains endroits et j'ai peur de vous perdre.

En outre, je préfère prévenir avant que l'on m'en fasse la remarque, il y a de nombreuses répétitions, je sais. C'est fait exprès et je ne voulais pas rédiger mon récit autrement.

Sinon, on se place dans un premier temps après la bataille du Sanctuaire, et dans un second temps au début de l'arc Hadès. Mais je ne suis pas vraiment la canonicité de l'œuvre d'origine et j'ai pris soin de réécrire la chose à ma manière (notamment une scène). Et si le traitement que je donne au personnage "principal" vous déplaît, vous m'en voyez profondément navrée. Il faut aussi tenir compte qu'un chevalier demeure humain avant tout et peut exprimer ses sentiments, surtout lors de la perte d'un proche.

Disclaimer : Les personnages sont tirés de l'univers de Saint Seiya de Masumi Kurumada.


Il y avait des jours avec et des jours sans. Il y avait des jours où un grand sourire jusqu'à lui en faire mal aux joues éclairait son visage. Il y avait des jours où ses traits tirés lui donnaient bien triste mine. Il y avait des jours où ses yeux céruléens pétillaient de vie. Il y avait des jours où ses yeux devenaient des puits aussi profonds et sombres que les ténèbres abyssales.

Il y avait tout simplement des jours avec et des jours sans.

Il y avait des jours où ce masque lui permettait de s'afficher auprès des siens, reprenant cette attitude enfantine. Il y avait des jours où il le délaissait, l'abandonnant sur la table de nuit, et s'enfonçant dans sa solitude. Il y avait des jours où son sourire de façade lui donnait envie de vomir. Il y avait des jours où ses larmes qu'il n'arrivait à tarir lui donnait envie de vomir.

Il se répugnait au plus haut point.

Il n'était plus le même homme qu'avant. Il n'était plus cet homme agité et souriant qu'ils avaient connu. Il n'était plus farceur. Il n'était plus rieur. Il n'était plus souriant. Il n'était plus cela. Il ne l'était plus... depuis qu'il ne l'avait plus.

C'était alors ça ce qu'avait dû ressentir le fier lion en perdant son guide ? C'était alors ça ce qu'avait dû ressentir le noble miroir en perdant son reflet ? Que c'était douloureux. Que c'était triste. Il les comprenait enfin. Il comprenait la douleur que ces êtres avaient pu ressentir.

Il aurait pu compatir. S'il en avait eu la foi.

Il avait mal.

« On ne se rend compte que de ce que l'on avait qu'une fois qu'on ne l'a perdu » ? C'était bien ça que tu me répétais, non ?

Alors qu'il était bête. Par Athéna, qu'il avait été bête. Tenant à lui, il avait cru le chérir suffisamment. Il avait cru le combler. Mais non. Il avait suffit d'un rien pour qu'il le perde. Et il avait cru le chérir suffisamment. Erreur. Grossière erreur. Puisque désormais, il connaissait la vraie valeur de ce qu'il avait perdu. Il connaissait enfin la vraie valeur de cet être qu'il avait cru chérir suffisamment.

Mais il était trop tard.

Ah ! Comment le chaleureux soleil était censé pouvoir continuer d'éclairer et réchauffer autrui sans sa fidèle lune à ses côtés pour le seconder ? Comment pouvait-il se reposer sans sa présence ? Comment pouvait-il se reposer sans son calme ? Comment pouvait-il se reposer sans sa tranquillité ? Comment pouvait-il se reposer sans sa mesure ? Comment pouvait-il se reposer sans sa médiatrice ? Comment pouvait-il se reposer... sans elle ?

Il ne pouvait pas. C'était simple.

Il ne pouvait pas. Il ne pouvait plus. Sans sa lune, le soleil ne connaissait plus la nuit.

Il ne connaissait plus la nuit. Il ne connaissait plus le sommeil. Il ne connaissait plus le repos. Il ne connaissait plus Morphée. Il ne connaissait plus la sécurité de ces fins bras dans lesquels il avait pour habitude de se relâcher.

Il ne connaissait plus la nuit. Il ne connaissait plus les nuits. Insomnies sempiternelles quand tu nous tiens.

Doucereuses vengeresses.

Elles étaient là. Elles n'étaient ni bonnes ni mauvaises. Elles étaient terribles. Elles étaient impitoyables. Elles étaient les Érinyes[1] des temps modernes. Elles étaient des ombres. Elles étaient des voix. Elles étaient des sensations. Elles étaient des larmes. Elles étaient des illusions. Elles étaient des pensées. Elles étaient l'obscurité étouffante de la nuit. Elles étaient les recoins les plus sombres de son esprit. Elles étaient la brûlure de ses yeux larmoyant. Elles étaient le goût salin de ses perles cristallines. Elles étaient cet air âpre qui passait difficilement sa gorge nouée. Elles étaient ce voile ténébreux qui venait le couvrir lorsqu'il fermait la porte.

Elles étaient là. Elles étaient toujours là. Elles étaient là. Elles étaient là depuis que la lune n'était plus. Elles étaient là tout simplement. Elles étaient là et peu importe ce qu'il faisait pour essayer de s'en défaire. Il ne le pouvait.

Pourquoi ? Pourquoi méritait-il d'endurer ces maux ? Pourquoi devait-il voir s'enchaîner ces nuits sans sommeil ? Pourquoi subissait-il ces viles illusions, reflets de ces actes passés ? Pourquoi ? Pourquoi ne pouvait-il s'empêcher de souffrir dès qu'il fermait les paupières ? Pourquoi ?

Pourquoi l'avait-il abandonné ?

Soleil assassin qu'il était...

Pitié…

Destin sanglant qu'il annonçait...

Aide-moi…

Aube claire l'accompagnait...

S'il te plait…

Des fois des humeurs plus maussades...

Sauve-moi…

Des fois des larmes s'abattant sur le monde entier... Mais toujours chaleur et éclat. Il était un soleil. Il était son soleil.

Et cette métaphore... Un soleil, n'est-ce pas ? Cela le faisait rire.

Alors, les larmes ruisselant sur ses joues au teint halé, sa bouche s'ouvrait. Elle s'ouvrait et un rire s'en échappait. Un rire cynique. Un rire sombre. Un rire glacial. Un rire étranglé. Un rire triste. Un rire menteur. Un rire... et son visage se tordait sous son hilarité grotesque. Quel piètre comédien faisait-il, non ?

Il était le soleil et, lui, il était la lune. Deux astres opposés. Deux astres destinés à ne jamais se rencontrer. Deux astres se complétant. Deux astres qui faisaient des étincelles ensembles. Deux astres amoureux. Deux astres séparés. Deux astres amants. Deux astres trompeurs. Deux astres au masque qu'ils ne laissaient tomber que devant l'autre.

Un masque... Un comédien... Un rire... Des larmes...

Il était le soleil et, lui, il était la lune.

Rien ne les rapprochait et pourtant, tout les rapprochait.

- Tu me manques...

Quelques mots. Trois. Trois petits mots qui s'élevèrent. Trois petits mots qui résonnèrent dans la pièce. Trois petits mots qui s'étaient échappés dans une voix brisée. Trois petits mots. Trois. Si peu et si puissants.

Ces mots, au milieu des ténèbres nocturnes, n'étaient que l'état d'esprit du soleil qu'il était. Il lui manquait. Il lui manquait terriblement. Il se mourrait sans lui. Il se mourrait à petit feu. Il se mourrait et les ténèbres ne tarderaient à venir le consumer.

Il l'avait abandonné. Ils s'aimaient, mais il l'avait abandonné. Pourquoi ? Pourquoi l'avait-il abandonné pour lui ? Qu'avait donc cet autre de plus que lui ? Que devait-il jalouser chez cet autre qui n'avait pas le moindre éclat ? Qu'avait cet autre qui avait su détourner sa lune de son soleil ? Qu'avait-il donc ?

Il ne le savait. Il ne le savait et il ne le saurait jamais. Il ne le saurait jamais et ne voulait jamais le savoir. Il voulait partir. Il voulait partir et le rejoindre. Il voulait le rejoindre dans ces profondeurs où les rayons chaleureux du soleil ne pouvaient caresser sa peau pâle. Il voulait le rejoindre et sentir ce doux épiderme contre le sien plus rugueux et parcouru de cicatrices. Il voulait le rejoindre et enfouir son nez dans cette chevelure incandescente qui lui avait attiré le regard lors de leur première rencontre. Il voulait le rejoindre et sentir encore et toujours cette délicate odeur de neige fraîche qu'il portait malgré lui. Il voulait le rejoindre et rencontrer une fois de plus ses rubis flamboyants desquels il adorait décrypter les nuances. Il voulait le rejoindre.

Mais il ne pouvait.

Que ferait-on si le soleil partait rejoindre la lune ?

Mais que devait-on faire si la lune abandonnait le soleil ?

- Pourquoi... ?

Et quelle était la question qu'il devait poser ? Il ne savait plus. Il avait interrogé tant de fois ces ténèbres. Il les avait interrogés et elles ne lui avaient répondu. Elles l'avaient elles aussi abandonné dans ce silence pesant. Ce silence qui était bien pesant mais lourd de sens. C'était ce silence sa réponse. Ce silence lui répondait puisqu'il n'y avait personne qui pouvait lui répondre.

Quel mot mettre derrière les actes guidés par la démesure ?

Quel mot mettre derrière les actes guidés par la folie ?

Quel mot mettre derrière les actes guidés par la maladie ?

Quel mot mettre derrière les actes guidés par l'amour ?

Quel mot mettre derrière les actes guidés par le sacrifice ?

Quel mot mettre derrière les actes guidés par le destin ?

Aucun.

Et alors ses larmes coulaient de plus belle. Il était un astre brûlant. Il était un signe d'eau. C'en était presque cocasse.

Et ses larmes étaient intarissables alors que les ténèbres le berçaient moqueusement. Ses larmes étaient intarissables, réalimentées sans cesse par l'œnochoé de l'échanson des dieux[2]. Que d'ironie ! Que devait-il en déduire ? Etait-ce une vendetta cachée ? Probablement, mais il n'en pouvait plus. Il n'en pouvait plus. Son corps était en lambeaux. Son esprit était brisé.

Le soleil se languissait de l'amour perdu de sa lune.

Il se languissait de lui.

Des sanglots étouffés lui échappaient dans ses moments-là. Des spasmes agitaient son corps. Ses bras l'enlaçaient vainement pour le réchauffer. Des murmures étranglés lui échappaient. Des frissons incontrôlables le secouaient. Ses genoux venaient compresser malicieusement sa poitrine. Des pensées noires le dévoraient. Il avait besoin de lui. Il le voulait.

- N'abandonne pas ! Qu'est-ce qu'il dirait s'il te voyait dans cet état sérieusement ? Reprends-toi !

Cette voix était lointaine. Elle était chaude. Elle avait un accent méditerranéen. Elle appartenait à quelqu'un qui brillait presque autant que lui. Elle appartenait à un autre soleil. Elle appartenait à quelqu'un qui brillait bien plus que lui. Ce soleil resplendissait. Ce soleil aveuglait. Ce soleil sublimait. Il faisait pâle figure à côté. Il faisait triste figure à côté.

Mais qu'y pouvait-il ?

Dire qu'il n'était triste serait mentir.

Je suis un piètre menteur, non... ?

Il ne pouvait plus rien faire sans lui.

Il s'enfonçait doucement mais sûrement encore plus dans les malicieuses ténèbres qui s'évanouirent malheureusement dans des cris stridents face à cet autre astre. Des mains fermes vinrent saisir ses épaules et le secouer. Sa tête dodelinait, son regard vide, ses pleurs traçant des sillons humides, et sa voix se mourrait dans sa gorge. Et il se faisait réprimander par cet autre soleil. Et il se faisait secouer. Il se faisait secouer jusqu'à ce qu'il daigne rencontrer ces orbes émeraude auréolés d'une crinière dorée.

De l'inquiétude. De la peine. De l'embarras. De la tristesse. Du tourment.

Il pouvait alors y lire tout ça.

- Non...

Cette voix était sienne. Cette voix n'était pas sienne. Cette voix n'était que murmure. Cette voix était désincarnée. Cette voix n'était que souffle.

Il ne se reconnaissait plus.

Il ne pouvait plus se reconnaître.

Il ne voulait plus se reconnaître.

Il ne voulait plus continuer de vivre sans lui. Mais pour lui, pour lui qui l'avait abandonné, il continuerait de vivre.

Et alors, devant cet autre soleil, il acceptait de se reprendre. Délicate illusion, ombre sournoise, sa main allait se saisir de cette couverture. Ses doigts caressaient avec malice les bords à double tranchant de ce déguisement. Ses phalanges se seraient sur cet accessoire fantomatique. Il s'en saisissait et le portait à son visage. Et il le revêtit. Une fois encore.

Ce masque se collait à sa peau.

Et alors, devant cet autre soleil, il demandait à l'échanson des dieux de redresser pour un temps sa carafe. Mensongèrement, il essuyait ses larmes. Il autorisait les enfants de la lune à venir éclairer ses yeux brièvement. Il permettait à ses lèvres de se déchirer en un sourire chaleureux.

Ce masque... Il s'en imprégnait. Il le portait fièrement. Il était lui. Il était son mensonge. Il était un comédien.

Tu avais dit que je ne savais mentir. Regarde-moi maintenant. Regarde l'homme que je suis devenu pour toi. Regarde l'homme qu'a façonné cet amour obsessionnel que je te portais. Regarde-moi. Regarde l'homme qui se dresse devant nos frères d'armes. Regarde-moi. Regarde mes mensonges. Regarde mes peines. Regarde mes larmes. Regarde-moi. J'étais fou de toi. Regarde-moi. Je suis fou de toi. Regarde-moi. Je serais toujours fou de toi. Regarde-moi !

Et alors, devant cet autre soleil, il reprenait contenance et disait au revoir pour un temps à ses amies obscures. Il sortait. Il sortait faire son show. Il était temps pour lui de faire son spectacle. Il était devenu un menteur. Il était un homme brisé. Il était devenu un soleil sans éclat. Il était un homme amoureux. Il était devenu...

Camus... Regarde-moi et dis-moi si tu es heureux de cet homme que je suis devenu...


Il y avait des jours avec et des jours sans. Il y avait des jours où un grand sourire jusqu'à lui faire mal aux joues éclairait son visage. Il y avait des jours où ses traits tirés lui donnaient bien triste mine. Il y avait des jours où ses yeux céruléens pétillaient de vie. Il y avait des jours où ses yeux devenaient des puits aussi profonds et sombres que les ténèbres abyssales.

Il y avait tout simplement des jours avec et des jours sans.

Et cette mascarade dans laquelle il se mourrait prendrait-elle un jour fin ?

Oui.

Aujourd'hui.

Ce soir.

Cette nuit.

Il était temps d'abaisser une dernière et ultime fois le rideau.

- Pourquoi... ?

La voûte céleste avait revêtu son sombre manteau depuis de longues heures maintenant, piquée d'une myriade de points scintillants. Elle avait plongé le monde entier dans de doucereuses ténèbres et les yeux de nombres d'êtres s'étaient fermés. Temporairement… et définitivement. La nuit qui n'était qu'éphémère pour certains était devenue nuit éternelle pour d'autres. Était devenue nuit tortueuse pour d'autres.

La dague avait chuté dans un tintement sonore alors que les pétales rosés des Twin Sal dansaient langoureusement dans les airs. Le vent avait sournoisement agité les pans de la robe virginale. Les longs cheveux châtains, mêlés à une pluie sanglante, avaient entamés un funèbre ballet. Le corps mortel, réceptacle d'une importante divinité avait chu avant de s'évanouir dans les airs dans une pluie scintillante. La main d'un homme qui avait tenté vainement de le rattraper se figea.

Et le murmure mourut sur ses lèvres alors que les larmes s'apprêtaient une fois de plus à couler. L'échanson des dieux avait repris son service.

Et cet échanson était devant lui.

Ses yeux azur se noyèrent dans ces insipides océans de flammes qui ne voyaient plus. Ses souffles et murmures tout juste audibles abreuvaient ces oreilles qui n'écoutaient plus. Et il ne prêtait plus attention à rien. Il ne prêtait plus attention à ce qui les entourait. Peu lui importait que leur position pût porter à confusion dans un autre contexte. Peu lui importait que l'or de sa cuirasse se mariât mal avec les plaques noires du Surplis avec lesquelles elle était en contact. Peu lui importait que ses mèches blondes prenant des allures lunaires cette nuit-là jurassent désagréablement avec l'auréole incandescente s'étalant sur l'esplanade. Peu lui importait que ses doigts écrasassent cette trachée diaphane. Peu lui importait qu'il se meure sous sa strangulation.

Il n'en avait rien à faire.

Il avait mal.

Il ne tremblait pas.

Il avait les joues trempées de larmes.

Il n'affichait pas la moindre hésitation dans ses orbes céruléens.

Il avait le cœur en miette.

- Pourquoi... ?

Son masque se fissura. Son masque se brisa. Son masque tomba. Son masque se perdit. Son masque le perdit. Son masque le dévoila. Son masque le mit à nu. Son masque l'abandonna puisqu'il était là.

Et ses doigts se desserrèrent.

- Milo…


[1] Il s'agit de divinités anciennes persécutrices, que les hommes craignent et fuyaient selon la mythologie. Elles sont comme une malédiction, chargées de punir les crimes pendant la vie de leur auteur, et rien ne peut les empêcher d'accomplir leur tâche. Elles tourmentent jusqu'à la folie, étant justes et sans merci, n'acceptant aucune circonstances atténuantes.

[2] L'être connu comme l' « échanson des dieux » dans la mythologie est Ganymède, prenant le rôle de la déesse Hébé. Défini comme un descendant de Zeus selon de nombreuses sources, les mythes le présentent comme étant le plus beau des motels. Zeus le vit un jour et sous la forme d'un aigle l'enlève, faisant de lui l'échanson des dieux et son amant. Toutefois, Héra, jalouse du rôle donné à Ganymède – rôle qui était celui de sa fille – essaie de faire en sorte que son mari le rende à la Terre mais Zeus fait tout autre. Il élève Ganymède dans les cieux sous la forme de la constellation du Verseau.

De ce fait, dans les illustrations de cette constellation, c'est un homme qui l'incarne, tenant une jarre, rappelant le rôle de Ganymède.

En espérant que cet OS vous ait plu bien qu'il ne soit fort folichon et à bientôt.