Note de l'auteur: Salut ! Comme certains ont remarqué, je ne suis vraiment pas assez assidus pour faire des FanFictions complètes. Alors, à partir de maintenant, je vais me concentrer sur les histoires courtes (oneshot). Pour ceux qui attendent encore la suite de mes autres histoires, je suis désolé de ma longue pause. Je vais essayer de m'y remettre.
Bon, pour ce petit oneshot en 2-3 partie, je vous présente ma première histoire sur the 100 située dans la saison 1-2. Je ne possède pas les personnages ni la série. Bonne lecture.
POV Clarke
Comme presque toutes les nuits maintenant, je me réveille en sursaut après un cauchemar. Il était inutile d'essayer de finir la nuit, alors je me levai pour aller prendre l'air autour du camp. Je suivais le mur du camp, alors que j'avais les yeux levés vers le ciel nocturne. J'étais près de la porte quand j'entendis un bruit derrière moi. Je n'eus même pas le temps de me retourner que quelqu'un m'attrapa par-derrière en me retenant contre son corps fortement. Je me débattais alors qu'il me tirait vers la porte ouverte du camp.
«Lâche-moi, connard!», lançais-je fortement.
Il plaqua fermement sa main contre ma bouche pour m'empêcher de crier.
«Ne t'en fais pas princesse, je ne te veux aucun mal.» Chuchota-t-il dans mon oreille.
Je me débattit pour m'éloigner alors qu'il continuait de me tirer vers la forêt.
«Arrête de te débattre! Ça ne fera que compliquer les choses, ma belle!»
Alors que je continuais de me débattre en lui donnant des coups de pieds.
«Arrête!» Dit-il en collant une arme contre ma tempe.
Je le laissai me tirer jusqu'à la frontière de la forêt. Alors qu'il s'arrête, je tente ma chance et je lui assigne un coup dans les côtes lui faisant échapper son arme. Je me précipite de la frapper de mon pied pour l'éloigner de nous. J'étais sur le point de me défaire de son emprise quand il pressa une lame affûtée sur mon cou. Je sentais déjà mon sang couler le long de mon cou.
«Ah... ce n'est pas bien de faire ça, princesse. Je vais être obligé d'être méchant maintenant.» Chuchota-t-il contre ma joue.
Il me tira de nouveau vers la forêt avec force, maintenant le couteau contre ma gorge. Je regardais partout pour trouver quelque chose pour me sortir de là, mais je ne trouvai rien. Alors qu'il me tirait, il trébucha contre une racine et je pris cette opportunité pour lui donner le plus fort coup de pied possible dans les genoux. Il cria de douleur, alors que je me défaisais de son emprise. Je me mis alors à courir à pleines jambes vers la porte du camp sans me retourner. J'étais presque arrivé quand il me plaqua au sol. Je donnais des coups de pied dans tous les sens en protégeant mon visage, alors qu'il me frappait violemment. Après un moment, je ne pouvais plus respirer. Il serrait ses mains autour de mon cou bloquant ma respiration. Dans un dernier élan, je réussis à l'éloigner assez longtemps pour que je lui assigne un violent coup de pied sous la ceinture. Pendant qu'il roulait sur le côté, je rampai rapidement loin de lui. Toutefois, il se remit vite et m'attrapa par la jambe. Alors qu'il tentait de me tirer, je lui assignai un coup de pied au visage. Son nez se mit à saigner abondamment, mais il ne lâcha pas prise.
«Eh bien… Tu résistes plus que ce que j'avais prévu… Mais ça ne m'empêchera pas de te tuer… (Sourire) ça va juste être plus douloureux.» Lança-t-il d'une voix basse alors qu'il sortait de nouveau son couteau.
Il réussit à planter l'arme dans ma cuisse. Je ravalais un cri de douleur. Alors que je tentais de m'éloigner, il agrandit la plaie en glissant le couteau dans ma chair jusqu'au genou. À ce moment, je ne tentai même pas de cacher ma douleur alors que je poussais un cri de douleur. Il sourit joyeusement en continuant de me tirer. Je tentai à nouveau de le frapper au visage avec mon autre jambe, cette fois avec plus de force. Dans un même mouvement, je le désarmai de son couteau. Alors qu'il était encore sonné par mon coup au visage, je lui tranchai la gorge d'un mouvement fluide. Ses yeux s'agrandissent de choc, alors qu'il se tenait la gorge. Il s'effondra sur moi. Je ne perdis pas une seconde de plus et je me dégageai rapidement. Je reculai en me poussant de mes jambes jusqu'à ce que je me cogne contre les murs du camp. À ce moment, je me permis un petit moment alors que je résumais ce qu'il venait de se passer. Je regardai le corps gisant mort à deux mètres de moi, puis ensuite mes mains tremblantes qui tenaient toujours le couteau ensanglanté. Alors que mon regard balayait la forêt, je captai un éclat métallique près de moi. Le fusil. Je rampai jusqu'à l'arme et m'en empara rapidement. Je sais que je ne devrais pas penser comme ça, mais je me sentis tout de suite beaucoup plus en sécurité avec l'arme. Après avoir repris le contrôle de mes émotions, je me levai difficilement en me soutenant au mur du camp. Je bouettai jusqu'à la porte et je la fis coulisser pour la fermer. Je me dirigeai ensuite vers le Dropship sans me douter que quelqu'un m'avait remarqué.
POV Bellamy
Je soupirai alors que je me réveillais en panique. Les gens que j'avais tués venaient encore hanter mes rêves pour me dire à quel point j'étais un monstre, un meurtrier. Il faisait encore noir dehors, alors j'y ai déduit qu'on devait être en plein milieu de la nuit. J'enfilai tout de même ma veste pour aller prendre l'air. Alors que je marchais près du Dropship, j'entendis un gémissement suivi d'un murmure. Au début, je levai les yeux au ciel croyant que des jeunes du camp succombaient à leurs passions. Toutefois, après un moment, un nouveau gémissement se fit entendre. Cette fois, pas de doute, c'était un gémissement de douleur mélangé avec un cri étouffé. Je soulevai doucement la toile de l'entrée du Dropship pour confirmer mes soupçons et ce que je vis me fit manquer un battement. Là, dans le Dropship, assise sur la table d'examen bricolée, il y avait Clarke. Elle avait retiré sa veste et ses pantalons ensanglantés gisaient sur le sol près de la table. Ses cheveux dorés brunis par la terre me bloquaient la vue de son visage, mais je pouvais voir qu'elle tremblait par le mouvement de ses épaules. Elle était en train de recoudre par elle-même une énorme coupure qui s'étendait de sa mi-cuisse au bas de son genou. Comment s'était-elle fait ça?! Pourquoi ne pas venir chercher de l'aide?! À chaque soudure, elle mordait dans son chandail ravalant un cri et en se forçant à garder les yeux ouverts pour ne pas se blesser davantage. Brave princesse.
Laissez-moi savoir ce que vous en pensez! La suite devrait arriver bientôt ! À la revoyure!
