Ces personnages ne m'appartiennent pas! (malheureusement )
Citron !
Tony était assit dans son immense canapé en train de lire le journal du jour qui parlait de lui, bien évidemment. Pepper, elle, était assise à coté de lui, pianotant sur sa tablette, pour finir de planifier les rendez-vous de Tony.
«Tony, tu auras une conférence de presse mardi prochain à Manhattan et le lendemain tu auras un rendez-vous avec Phil Coulson pour qu'il te parle de son entreprise. »Elle lui informa et eu en réponse un« ouais »mou. «Il y a aussi le PDG de l'industrie pharmaceutique de Malibu qui veut te rencontrer car il a eu un problème de vol en grande quantité dans sa réserve et souhaite t'en parler. »Il ne broncha pas. Elle ignore son manque de coopération et continue à lui annoncer ses rendez-vous importants des prochaines semaines. Il ne dit pas un mot et persiste dans la lecture du journal. «Continue à m'ignorer Anthony et tu vas voir», pensa t-elle.
Au bout d'un moment, elle en eut marre et éteignit sa tablette. Elle la posa sur la table en verre, prit le journal de ses mains et le jeta au hasard dans la pièce.
Pepper se mit à califourchon sur ses jambes et lui parla à deux centimètres du visage, les sourcils froncés. «Anthony Stark, quand je vous annonce vos rendez-vous, j'aimerais une réponse claire. »
Tony l'ignora et mit ses mains sur ses fesses. «J'aime bien quand tu dis mon prénom complet, Pepper. Cela te rend encore plus sexy que tu ne l'es déjà. »
Elle garda les sourcils froncés et détacha sa cravate. La cravate rejoignit le journal et Pepper continua son assaut. Elle lui enleva sa veste de costume et retira gracieusement ses propres talons aiguilles noires. Elle se réinstalla sur lui et par dessus la chemise, elle traça le réacteur à ARK avec ses doigts fin, sous le regard salace de Tony.
Elle passe sa main sur ses abdos et passe le pouce sous la ceinture de son pantalon de costume. Il la regardait en respirant bruyamment, guettant ses mouvements. «Pepper… si tu continue je vais venir dans mon pantalon. »« Eh bien viens alors. »Elle lui répond simplement en continua ses caresses sa poitrine à travers la chemise qui commençait à devenir gênante.
Elle fit des mouvements de bassin pour se frotter contre son aine. Il poussa un gémissement presque inaudible. Elle le sentit se contracter et sourit méchamment. Elle l'embrassa en passant dans la langue sur ses lèvres et mit sa main dans son pantalon en le palpant à travers le tissu du boxer. «Oh… bordel…» Il ferma les yeux et Pepper approfondit le baiser.
Il était très dur et très excité. Il commença à passer ses mains sous son t-shirt quand elle l'arrêta.
Pepper se leva et lissa sa jupe patineuse, sous le regard d'incompréhension de Tony. «Mais… Pepper tu vas où? Tu ne vas pas me laisser avec ça? »Il fit un signe de tête vers son entrejambe. «J'ai bien peur que si mon cher Anthony. »Elle appuya bien sur ces mots, sourit professionnellement et tourna les talons.
Il comprit qu'elle étudie allumé pour le laisser planter là. «Virginia tu es une femme diabolique!» Il lui cria à travers le salon. Il eut son ricanement pour réponse.
Tony n'allait pas la laisser s'en tirer comme ça. Un sourire malicieux se glissa sur son visage et il se leva d'un bond. Les cheveux en bataille, les joues rouges et la bosse imminente dans son pantalon, il courut à travers la pièce. Elle se retourna trop tard et se retrouva au sol, plaqué par un Tony pas très content.
Il ne la souleva du sol, la prit dans ses bras et la jeta dans le canapé malgré ses protestations. Il rampa sur elle en picorant son corps mince de baisers papillons.
Tony épingla ses poignets au dessus de sa tête d'une main. Pepper fronça les sourcils et arrêta de se débattre, sachant qu'il ne la lâcherait pas. Il s'allongea sans mettre trop de poids sur elle et chuchota narquoisement à son oreille. «Tu es vraiment une sorcière Virginia Potts. Je devrais te licencier. »
«Tu ne tiendrais pas longtemps sans moi Tony, se moqua-t-elle de lui, dans tous les sens du terme. »
Pepper se moquait mais elle était vraiment contente qu'il ait changé. Depuis son retour d'Afghanistan, ce n'était plus le play-boy qui changeait de coup au lit chaque soir. Depuis qu'il lui avait avoué son amour, il paraissait plus détendu et épanoui. Pepper était aussi contente de ne plus avoir à débarrasser le matin ses partenaires d'un soir.
«Mmmh tu comme raison. Personne ne sait faire mieux les omelettes que toi et puis tu es la secrétaire avec les plus belles fesses que j'ai eu. »Il lui fit un clin d'œil en disant cela. Pepper était un peu possessif et les allusions aux conquêtes qu'il a eues l'agaçait. Elle colla un sourire professionnel dans son visage et lui dit angéliquement: «Merci du compliment M. Stark. Pourriez-vous me relâchez maintenant? »
«Certainement pas. Je n'en ai pas fini avec toi. »
Il l'embrassa durement tout en déboutonnant son chemisier couleur crème. Il lui lâcha les mains pour l'enlever et piqua son coup et le haut de sa poitrine de baisers, sous ses gémissements qui ne comprennent qu'accentuer la dureté dans son jean, qui devenait d'ailleurs un peu trop serré.
Il dégrafa son soutien gorge. Il lécha un sein et travaillait sur l'autre avec sa main. Poivre gigotait sous lui. Puis il descendit plus bas, sur son ventre et jusqu'à la ceinture de la jupe. Elle avait les mains dans ses cheveux. Tony défit la fermeture éclair de la jupe et l'envoya valser près des autres vêtements. Il lécha l'intérieur de ses cuisses puis remonta vers son centre déjà humide. «Bordel… Pepper» Il pourrait venir juste en la regardant. Allongée, les yeux fermés, ses dents qui mordaient ses lèvres, la main dans ses cheveux, et la culotte déjà humide de ses soins. Quelle déesse.
Il enleva la culotte et inséra un doigt en elle, ce qui la fit haleter. «Oh… non… oui… mon dieu…» Tony se moqua: «Qui a besoin de moi maintenant? »Elle ne permet pas et fit des mouvements de bassin, espérant avoir une pénétration plus profonde. Mais Tony ne l'entendait pas de cette oreille. Cette petite diablesse sexy allait patienter. Il ajoute un doigt et pompa rapidement sous ses petits cris mignons qui ne devraient que le rendre plus dur.
Le cirque dura quelques minutes jusqu'à ce que Pepper en ait assez et repousse Tony. «Si tu continues je vais venir sur tes doigts. »Elle se releva, les joues toutes rouges et poussa Tony sur le canapé. «Ta chemise. Enlève-la ou je l'arrache. »Tony lui fit un sourire ravageur par-dessus ses lunettes de playboy. «Hum non chérie c'est une Calvin Klein. »Un clin d'œil vint s'ajouter au regard de braise et Pepper leva les yeux au ciel. Respectant les souhaits de Tony, elle déboutonna bouton par bouton la chemise, en prenant bien soin de rapprocher sa poitrine de son visage.
«Merde je n'avais jamais remarqué à quel point ce soutien gorge te faisait des-» Elle le coupa court en mettant sa main dans son boxer. Elle caressait doucement son manche avant d'enlever son pantalon et de pomper fort. Tony avait la tête posée sur le dossier du canapé et fermait les yeux sous le bonheur qu'il ressentait.
Au bout d'un moment, il ne sentit plus le contact de sa main et ouvrit les yeux brusquement. Il la vit farfouiller dans son sac posé sur la table et ressortir la main victorieuse avec un petit sachet de plastique. «Heureusement que j'en ai toujours dans mon sac. »Elle revint vers lui et mit le préservatif sur son pénis. Elle s'installa à califourchon sur lui et s'abaissa sur son manche. Les deux poussèrent un râle de plaisir à l'agréable sensation.
Elle commença à rebondir sur lui pendant qu'il embrassait sa clavicule et son coup, les deux mains sur ses hanches. Il enfouit sa tête dans ses cheveux blonds-roux et continua à donner des petits coups de bassin. Pepper haletait et lui griffait les épaules en sautant sur lui. «Oh… c'est si bon… oh… bordel…»
Il sentit qu'il allait venir alors il glissa une de ses mains entre leurs deux corps et titilla doucement son clitoris pour qu'ils viennent en même temps.
Elle gémit fort à la puissance de son orgasme et sentit les parois de son vagin se contracter. Tony haleta et elle soupira fort avant de s'affaler doucement dans ses quelques minutes, on n'entendit que leurs respirations lourdes. Tony se retira d'elle, s'allongea sur le canapé et la prit dans ses bras. Pepper adorait ce moment après le sexe. Un moment de détente rempli d'amour.
«Que dirais-tu de prendre une douche pour enlever toute la sueur et pourquoi ne pas en profiter pour faire un round 2?» L'infatigable Tony rompit le silence, une lueur malicieuse dans les yeux.
Elle n'eu pas le temps de lui répondre car son téléphone sonna. Elle releva la tête du torse de Tony et décrocha. «Allo? Oui bonjour! Oui c'est bien Mme Potts. Comment cela? ... Nous avions un rendez-vous aujourd'hui? ... Eh bien on ne m'en avait pas informé. ... J'en suis désolée. J'arrive tout de suite. » Elle tourna la tête vers Tony. «Je crois que la douche et le round 2 vont attendre Mr Stark. J'ai un rendez-vous de dernière minute avec l'un des actionnaires les plus importants. »
Il soupira à l'annonce de la nouvelle. «Qui est ce type? Je peux peut-être l'appeler pour décaler son rendez-vous, »lui suggéra t-il.
"Impossible. J'ai déjà décalé ce rendez-vous deux fois. Ce n'est pas grave, ça ne sera pas long. Je serai ici dans deux heures maximum." Elle l'embrassa sur la joue et se leva pour se rhabiller. «Deux heures? Je ne pourrais pas attendre. »Il rechigna et elle lui donne distraitement en cherchant sa culotte de dentelle noire:« Il va falloir mon petit Tony. Cela fera travailler ta patience. »
Il se leva, un sourire narquois collé dans le visage et admira la vue de ses fesses alors qu'elle était penchée, cherchant à tâtons sa culotte sous le canapé. «C'est ça que tu cherches Potts?» Il secoua le bout de dentelle sous ses yeux. «Tony! Rends-moi ça. Le rendez-vous est bientôt et je ne veux pas le faire attendre. »Elle le menaça du regard et se releva. Elle devait absolument récupérer sa culotte et ne pouvait même pas prendre une autre voiture le reste de ses affaires était chez elle. Tony et elle n'habitaient pas encore ensemble.
Un sourire enfantin apparut sur ses lèvres: «Mmh… Tu n'as qu'à venir la chercher!» A ces mots, il partit, tout nu, en courant comme un enfant de 5 ans, en direction des grands escaliers.
Elle n'en revenait pas. Cet homme était capable de tout. «Anthony Stark! Je vais te tuer! »
Elle se lança à sa poursuite.
