[A LIRE AVANT DE COMMENCER L'HISTOIRE! MERCI!]

Avant de commencer l'histoire, je vous invite fortement à lire les informations ci-dessous pour comprendre le déroulé.

Je vais commencer par m'adresser aux nouveaux arrivants. Je vous souhaite le bienvenu sur cette fanfiction Eren x Livai. Ma fanfiction a été supprimée à deux reprises par Wattpad à cause du contenue de l'histoire. Je tente ma chance ici en espérant que tout se passe bien. Je vous invite à me suivre sur mon compte Wattpad: ShaJk-77 suivre le déroulement de l'histoire car je vais commencer le deuxième tome pour les plus anciens.

Pour les plus anciens lecteurs: Après plusieurs mois d'absence, j'ai le plaisir de vous annoncer la republication de mon histoire cette fois ci sur comme vous pouvez le constater. Je vais publier petit à petit mes chapitres car je dois les réécrire une troisième fois. Le deuxième tome est disponible sur mon wattpad (Quand je l'aurais commencé évidemment). Je vous remercie une deuxième fois pour le soutien apporté et j'espère que vous apprécierez la suite de l'histoire comme le premier tome.

/! \ AVERTISSEMENT -18 /! \:

Cette fanfiction est à caractère SEXUEL et donc présente des citrons qui suscitent aux lecteurs la maturité suffisante pour être lus. Les scènes sexuelles ne s'arrêtent pas à des petits bisous ou quelques préliminaires et pénétrations. Ce sont des scènes très longues, lentes et détaillées pour être savoureuses autant que possible.

Merci à vous et bonne lecture :)!

Introduction:

* Point de vue Eren *

Cela fait maintenant 1 an que je suis au lycée. Peu importe son nom, je ne m'en souviens même plus. Tout ce que je sais, c'est que je suis en première et que j'ai bientôt 17 ans. Je vis une vie bien trop ennuyante à mon goût. Tout est banal, rien d'excitant ne se passe autour de moi. Je m'ennuie.

Le fait de vivre seul n'arrange pas les choses. Après la mort de mes parents d'i et lors d'un voyage en Floride, j'ai dû me prendre en main très rapidement. Leur avion a eu un accident et a fini dans l'eau et évidemment je l'ai appris la veille de mes 11 ans en attendant impatiemment le retour de mes parents avec des étoiles dans les yeux comme un bébé qui regarde un bonbon. J'ai été élevé par ma tante Dinah, une jeune femme de 35 ans aujourd'hui, blonde et qui sourit tout le temps mais elle travaillait tout le temps, c'était pénible pour moi. Je pourrais lui reprocher tant de choisi mais elle est irréprochable sur une: contrairement à moi, elle est optimiste même dans les moments les plus douloureux. Par exemple, lors de la mort de son père i ans, pendant l ' enterrement ma tante avait les yeux rouges vif remplis de larme mais elle continuait à sourire car selon elle, sourire était signe de force comme si on pouvait tout surmonter, surmonter ce que cette vie infernale nous balance en pleine gueule. J'essaie tant bien que mal de suivre son exemple mais faire semblant de sourire quand on se sent au fond de nous-même anéantit ou même détruit, c'est bien trop dur pour moi. Je n'y arrive pas. Je n'arriverai jamais et cela parce que je suis faible. Alors, dans un sens, je l'admire. essaie tant bien que mal de suivre son exemple mais faire semblant de sourire quand on se sent au fond de nous-même anéantit ou même détruit, c'est bien trop dur pour moi. Je n'y arrive pas. Je n'arriverai jamais et cela parce que je suis faible. Alors, dans un sens, je l'admire. essaie tant bien que mal de suivre son exemple mais faire semblant de sourire quand on se sent au fond de nous-même anéantit ou même détruit, c'est bien trop dur pour moi. Je n'y arrive pas. Je n'arriverai jamais et cela parce que je suis faible. Alors, dans un sens, je l'admire.

De ce qui est de ma vie actuelle, rien de bien intéressant. Je vis seul dans la ville de Kyoto dans un appartement d'environ 60 mètres carrés avec vue sur un paysage magnifique. Cet appart est au 12ème étage d'un grand immeuble donc cela favorise le bien être que me procure la vue depuis mon balcon. Tout cela, je le dois à Dinah qui m'a vachement aidé. Grâce à son travail actuel, elle m'a bien avancé. Son métier me laisse très perplexe mais depuis la mort de son paternel, elle reste très instable psychologiquement ce qui lui a motiver à trouver un travail de ce genre. C'est d'ailleurs pour ça en grande partie que je suis parti de chez elle. Enfin tant qu'elle est heureuse, elle fait ce qu'elle veut de son corps. Je l'encourage même à continuer, ça rapporte bien. Son salaire est divisé pour qu ' une partie moi soit versée dans le mais de subvenir à mes besoins. Le quartier dans lequel je vis est très cher mais en vaux le coup.

Je regarde mon téléphone qui m'annonce que mon réveil va sonner dans moins de cinq minutes. Je vais devoir me préparer pour le lycée.

En parlant de cela, le lycée dans lequel j'étudie… en quelques sortes, est un lycée des plus banals avec des profs des plus banals. Je n'ai pas trop d'ami mais je suis bien comme ça. Pas besoin d'avoir cinquante milles amis pour vivre. Les miens sont fiables et je sais qu'en cas de problème, ils seront là pour moi. Une en particulier. Mikasa qui me colle, me surprotège, Armin accro à la philosophie et à la littérature, Jean qui provoque le monde et Sasha qui bouffe même les âmes des plats, je les aime bien. Ce sont mes amis quoi.

6h00 :

Ainsi, mon téléphone se met à sonner. Je le prends entre mes mains et vient l'éteindre. J'en profite pour lire les quelques messages reçus pour y répondre.

A force de me parler seul, le temps fini par passer bien trop vite.

Je fini par reposer mon appareil là où il était posé et j'utilise le peu de motivation et de force qu'il me reste pour moi lever de mon lit douillé.

-'Fait chier.

En effet, j'ai horreur d'aller en cours. Je dois me taper pas loin de 40 minutes de bus pour aller dans ce bahut qui ne donne même pas envie d'y mettre les pieds. J'avance tel un zombie dans ma chambre et m'arrête pour faire demi-tour, les yeux mi-clos et regarde le jour de la semaine pour m'habiller en circonstance, car vue ma tronche, il était clair que j'étais un peu paumé.

-Jeudi… jeudi… j'ai quoi déjà comme cours le jeudi moi…?

Je souffle un coup et traîne le pas vers ma cuisine pour moi préparer un délicieux chocolat chaud, car oui, on est en janvier et c'est l'hiver, ma saison préférée car je déteste la chaleur du soleil.

Après un bon biscuit à la myrtille, je file sous la douche pour réchauffer un peu ce corps engourdit en manque de chaleur de mon lit.

Arrivé dans la salle de bain, j'enlève mon tee shirt et mon caleçon pour ensuite me regarder dans la glace.

Je me regarde un moment et je fini par me redresser davantage et à sourire. Je ne suis pas parfait mais je m'aime beaucoup. Je tape des poses de mannequin et essaie de faire ressortir mes muscles… mais en regardant de plus près, je constate que j'essaie d'accentuer des muscles presque inexistants. Je me remets droit et j'arrête de faire le pitre. Je me mets à doucement rire.

-Aller, arrête de faire l'idiot. A la douche.

C'est sûrement très narcissique mais il reste important de s'aimer, et ça, personne n'a le droit d'ouvrir sa grande bouche trop ouverte à mon goût pour nous contredire. Je n'ai certes pas de musculature, je ne suis pas mince comme un mannequin et mon attribut masculin n'est sûrement pas aussi imposant que dans les films pornos mais je m'aime comme ça.

Je file la douche et j'expire lentement en moi croyant revivre.

-Mmh… rien de mieux.

Je prends mon gel douche à la noix de coco, mon préféré, et je me lave de partout. Pour les cheveux, je prends le shampoing à l'odeur d'amande qui assure une brillance éclatante et répare les cheveux un peu abimés. Ces deux odeurs correspondent bien ensemble et ça crée une sorte d'harmonie. J'adore ça. Je commence par les bras, je frotte d'avant en arrière grâce à ma petite brosse de bain toute douce qui retire les peaux mortes en toute délicatesse. Puis je descends sur mon torse en prenant le temps de laver mes pecs? Ça fait un bien fou! Puis en descendant de plus en plus bas, j'atterris sur mon estomac mais je constate quelque chose d'assez gênant.

-C'est relou ça…

Eh oui. Mon érection du matin était encore là. D'habitude, après mon petit déjeuner, elle disparaît mais là elle ne veut pas s'en aller. Il doit être environ 06h30 et je dois partir dans 40 minutes. Je passe un petit coup d'eau assez froide pour l'aider à rétrécir car je n'ai pas clairement le temps de l'occuper tout de suite… Mon taux de testostérone est bien trop élevé à mon, ça prouve bien ma virginité finie .

Je me secoue la tête et fini de passer la brosse sur tout le long de mon corps. Il m'arrive de me demander comme ce passera ma première fois avec une fille, j'ai très peur de ne pas assurer et d'être un gros naze.

Bon, trêve de tergiversations, je dois me grouiller. Après m'avoir bien nettoyé de la tête au pied et de sentir bon comme le rosé du matin, je sors de cette douche pour m'habiller. Petit caleçon, jean noir vite fait trouer et chemise blanche avec des chaussures des plus banales. Puis j'étais prêt. Je mets un petit coup de gel pour maîtriser au mieux mes mèches rebelles sans parfum pour ne pas gâcher l'odeur de mes shampoing et finis par un lavage de dent puis je suis parti.

Je marche doucement dehors en pensant à tout et à rien. J'observe le ciel découvert et me laisse emporté par la fraîcheur du matin plus qu'agréable. Puis je prends mon téléphone et vérifie l'heure.

-… 07h20?! Merde, mon bus arrive dans deux minutes!

Je me mets alors à courir le plus vite possible à mon arrêt pour ne pas arriver en retard. J'arrive heureusement à temps et grimpe dans le bus. J'expire doucement pour ne pas me faire remarquer malgré mes joues assez rouge rougis par le froid et l'effort. En m'enfonçant dans le bus de plus en plus (Pas d'idée malsaine merci), j'aperçois Mikasa accrochée à la barre d'une main et scotché sur son téléphone d'une autre. Me voyant arriver, elle se retourne doucement et me souris.

-Salut.

-Salut.

Elle m'observe de haut en bas. Je la regarde de travers.

-Arrête, j'ai l'impression de passer au scanner là.

-Je remarque juste que tu as encore faillit louper ton bus pour la troisième fois cette semaine.

-Ça arrive à tout le monde.

Mikasa hausse des épaules avant son désintérêt et se reconcentre sur son écran.

-Tu devrais songer à arrêter de trop penser à tout et à rien pour avoir davantage la notion du temps.

-… Détrompes toi, j'ai juste pris trop de temps sous la douche.

Comment elle l'a su…? Ça m'énerve.

En même temps, elle me connaît si bien. On se connaît depuis très longtemps et elle m'a énormément soutenue, dans n'importe qu'els obstacles, elle a été là pour moi et je l'apprécie beaucoup pour ça. Peut-être, avec tout ce qu'elle a traversé elle aussi, elle est comme moi, une jeune fille qui passe son temps à décrire tout ce qu'elle voit et tout ce qu'elle fait dans sa tête, comme si elle était sa seule confiante.

-Au fait, Armin est déjà au lycée. Il fallait rattraper quelques cours.

-Sérieux? Lui qui est toujours si avancé.

-Tu sais, Eren, il s'avère toujours. Il a au moins deux mois de cours d'avance que nous. Quand je dis « rattraper » c'est-à-dire rattraper les cours où il n'a pas pu s'avancer à cause de son rhume de la semaine dernière.

-Je ne le comprends pas.

-Peut-être, mais au moins tu comprends son 18 de moyenne.

-… Me regarde pas comme ça, je sais que je suis loin derrière mais ne te vend pas trop non plus, tu te tapes un vieux 10.

-Je travailles moi donc mes appréciations sont bonnes contrairement à toi qui à 6 sans travailler. Je gratte des points pour le bac.

-Oui mais Armin est en L, nous en S.

-Ça ne veut rien dire, chaque filière a sa difficulté. Donc assure-toi correctement patron. Je ne veux pas être seule à passer en terminal.

- .. C'est vrai que les deux autres guignols sont en ES. Il ne reste que nous deux. Mais le bac ne va pas me servir à grand-chose, mon avenir est assuré avec mon job.

-Ton boulot? ... Ah oui, c'est vrai que tu es s-

Avant que Mikasa n'en dise trop, je colle ma main sur sa bouche pour éviter qu'elle n'en dise trop.

-Mais… ça ne va pas? On est dans un bus là.

-Ah, zut.

Nous finissons de discuter tranquillement de tout et de rien pendant le reste du temps. Elle me racontait ses fanfictions gays qu'elle prenait un malin plaisir à regarder. Elle sentait mon jugement dans ma voix, ce qui lui déplût et je pris un plaisir à l'embêter avec.

Le bus devient de plus en plus bondé mais dieu merci nous arrivons à destination. Nous descendons tous du bus en direction de l'entrée où tout le monde attendait le cul assis que la porte s'ouvre. Les trois énergumènes nous attendaient un peu plus loin.

-Ah vous voilà, les tourtereaux.

-Commence pas, je vais te cogner Jean.

-Bah, tu es de mauvais poil Eren? TU VEUX MANGER MON PAIN?

-Houlà, non merci Sasha. Si ça avait été à la myrtille peut être mais là tu peux le garder, sorcière.

-Criez pas… j'ai passé deux heures à rattraper mes cours, j'ai besoin d'un peu de calme.

Nous discutions tous les trois. Cela me faisait du bien d'être avec eux, ça embellit ma journée.

Cependant, cette joie installée va vite basculer.

On entendit toutes les filles se ruer à un même endroit en criant telles des fangirls en chaleur. Nous tournons tous la tête vers le bruit affolant, assez saoulés de la situation. Impossible d'avoir du calme quand il se ramène.

-… Oh, voilà. Comment il s'appelle déjà? Lérie? laurant?

-Livai, Livai Ackerman.

Dans une énorme expiration d'exaspération très forte et lente, je dis d'une voix fatiguée quelques mots.

-Oh non, pas encore lui.