Note : Hey ! Je suis de retour, avec du Superbat pour changer un peu. J'aime beaucoup ce texte, ainsi que le premier de cette série que je vous conseille de lire avant de commencer celui-ci. Vu que ce texte commence au même endroit que la fin du premier, que vous pouvez retrouver le premier texte sous mon profile : Everything will end in flames.
J'espère que ça vous plaira, bonne lecture !
TW: TOXIC RELATIONSHIP, MENTION DE VIOLENCE DOMESTIQUE, CHARACTER DEATH, TRAHISON, THERE IS NO HAPINESS IN HERE
Wrong Side of Heaven
"I'm on the wrong side of Heaven
And the righteous side of Hell"
- Wrong Side of Heaven, Five Finger Death Punch
Gotham était en flamme.
Tout le travail qu'il avait effectué ces dernières années, en tant que duc de la ville, se faisait réduire en cendres.
Bruce observait la catastrophe depuis les hauteurs du mur d'enceinte de la ville. Son fils, Damian, à ses côtés. L'incendie avait surpris tout le monde, même lui, ange déchu du cercle proche de Lucifer en personne. Il n'avait donc pas eu d'autre choix que d'abandonner Gotham. Pour l'instant.
— Père, nous devons punir le coupable ! s'énerva Damian.
Le garçon avait abandonné tout semblant d'apparence humaine. De petites cornes enroulées perçaient sa chevelure noire, et le vert de ses yeux ressortait sur sa sclérotique sombre. Sa queue fouettait l'air derrière lui, montrant son agacement.
— Hmmm, fit Bruce.
Le déchu laissa son apparence humaine glisser le long de son corps, dévoilant ce qu'il était devenu depuis sa Chute. Ses yeux bleus détonnaient particulièrement sur sa sclérotique noire, conséquence de son séjour en Enfer. Ses ailes sombres étaient brisées, tordues dans des angles douloureux et des plumes manquaient à plusieurs endroits. Un plastron noir protégeait son torse musclé. Le métal avait été forgé de telle façon à ce qu'il ressemble à la peau épaisse qui recouvrait le corps des véritables démons.
— Père ! pressa Damian.
— Dick est responsable, nota Bruce. Il est le seul à apprécier ce genre de spectacle grandiloquent.
— Si être une insupportable Drama Queen était un péché, Grayson en serait l'incarnation parfaite, grogna Damian.
— J'espère juste qu'il avait de bonnes raisons pour brûler toute la ville.
Il y eut un instant de silence alors que les deux démons observaient les flammes illuminer la nuit. Dessinant des ombres étranges sur les nuages et emplissant l'air d'un rugissement sans fin. Malgré cela, le bruit de battements d'ailes se fit parfaitement bien entendre. Bruce sentit quelque chose de particulièrement désagréable lui remonter le long de la colonne vertébrale. Il savait parfaitement ce qu'annonçait ce son, et le grondement bestial de Damian le lui confirma.
Lentement, Bruce se retourna. Il ne put s'empêcher de grimacer lorsqu'il découvrit la personne qui les avait rejoints sur la muraille. Il aurait préféré voir n'importe qui d'autre au monde que lui.
Lui se trouvait être un ange. Comme beaucoup d'anges, il possédait une paire d'ailes aussi blanches que les nuages se détachant sur un ciel de printemps, aussi blanches que les premières neiges, que les plumes d'un cygne. Ses ailes étaient repliées dans son dos, contrairement à celles de Bruce, elles n'étaient pas brisées et il ne leur manquait aucune plume. L'ange était légèrement plus grand que Bruce, ses cheveux étaient d'un noir profond et ses yeux d'un bleu d'outre-monde. La beauté de son visage était soulignée par sa mâchoire carrée.
— Clark, salua Bruce, avec le plus de froideur qu'il put mettre dans sa voix.
— Bruce, lui répondit sévèrement l'ange.
Damian se contenta de siffler aux côtés de son père. Comme ce dernier, Clark était vêtu d'un plastron, bleu pour sa part, et il portait une épée aux côtés.
— Que me vaut l'honneur de ta visite ? demanda le déchu, laissant sa mauvaise humeur transparaître dans ses paroles.
— Beaucoup d'humains sont morts, remarqua Clark en observant l'incendie, un air triste sur le visage.
Cette expression sur le visage de l'ange ramenait bien trop de souvenirs à Bruce. Il pouvait presque le revoir alors qu'il vivait encore au Paradis. Alors que Clark le suppliait de lui dire qu'il était innocent, qu'il n'avait pas fait ce dont on l'accusait. Mais Bruce n'en avait rien fait. Pourquoi donc aurait-il menti ? Les anges ne mentaient pas, ce n'est pas quelque chose qu'il savait faire. Mentir était le propre des démons, et Bruce n'était pas un démon. Il était un ange.
— Qu'as-tu fait ?! demanda, exigea, Clark, la voix bien plus dure.
Son visage était fermé, évoquant toute la puissance du commandant des armées Divines qu'il était réellement.
— Ce n'est pas de mon fait, répondit Bruce, ce qui était la stricte vérité. Le feu m'a surprise autant que toi. J'avais des projets pour cette ville, Clark.
— Ne mens pas ! s'énerva l'ange.
— Père ne ment pas ! s'en mêla Damian. Nous n'avons rien à voir avec l'incendie !
— Ne t'immisce pas dans notre conversation, démon !
Damian grogna une nouvelle fois, montrant les dents, s'avançant vers l'ange. Celui-ci posa sa main sur la poignée de son épée.
— Tu ne veux pas nous combattre, Clark, pointa justement Bruce. Tu es venu ici pour chercher des informations, pas pour te battre.
— Oui, souffla l'ange en se détendant, avant de se crisper à nouveau lorsqu'il se rendit compte qu'il avait écouté les paroles d'un déchu.
— Tu n'as pas d'ordre à me donner, grogna-t-il alors.
— Et tu devrais savoir que je ne mens jamais, Clark.
Pendant un instant, une expression blessée passa sur le visage de l'ange avant qu'il n'arrive à maîtriser ses émotions. Bruce fronça les sourcils, déterminé à ne pas se laisser attendrir par l'air vulnérable de Clark. Car il savait que celui-ci ne l'était pas en réalité. Qu'il n'avait pas besoin qu'on le protège et qu'on s'occupe de lui. Non, Clark était fort, assez fort pour faire ses propres erreurs. Bruce n'aurait jamais dû se laisser attendrir en premier lieu, mais il avait été faible. Les yeux trop bleus et le sourire aveuglant de Clark avaient été ses propres faiblesses. Il fut un temps où Bruce aurait été prêt à tout pour l'autre ange. Il lui aurait donné le monde sur un plateau s'il en avait voulu, il aurait détrôné Dieu pour lui, ou Satan. Il aurait tué, trahi, menti pour lui. Et c'est ce que Bruce avait fini par faire, pour protéger Clark. Parce que rien ne devait jamais toucher son précieux Clark. Dommage que celui-ci n'ait jamais remarqué ce que l'autre ange avait fait pour lui. Dommage qu'il n'ait vu que les conséquences, et pas la réflexion, la logique, derrière les actions de Bruce.
Dommage qu'après tout ce temps, Clark n'ait toujours pas confiance en Bruce et en son jugement. Celui-ci avait ses ailes brisées pour en témoigner. Quel outrage que les mains qui avaient si souvent lustré ses plumes sombres en avaient arraché de pleines poignées dans leur rage. Que ses mains si douces, si caressantes, s'étaient faites si brutales et implacables lorsque les os de Bruce avaient été brisés. Le déchu s'en souviendrait toujours. Au fond de lui, cela l'avait brisé bien plus que tout le reste, parce qu'il avait raison. Raison de soupçonner que n'importe qui pourrait se retourner contre lui, à n'importe quel moment. Raison de penser que même la personne à qui il tenait le plus en ce monde pouvait le trahir si les circonstances s'y prêtaient.
Bruce en avait été réduit à une masse rampante au sol, ne sachant plus vers qui se tourner. Puis, il avait croisé le chemin de Lucifer. Et ce dernier eut assez pitié de lui pour lui tendre la main et l'emmener en Enfer.
En Enfer, on comprenait bien mieux qu'au Paradis le fait d'avoir des plans pour toutes les situations, même celles où vos alliés vous trahissaient. La logique de Bruce y était donc appréciée à sa juste valeur. Et personne ne critiquait sa paranoïa. Il s'y sentait presque bien. Et si parfois, il repensait au sourire de Clark, personne n'avait à le savoir.
— Peu importe, reprit Clark, sortant Bruce de ses souvenirs. Je suis venu chercher des informations sur cet incendie. Je suis sûr que vous savez qui est le coupable !
— Comme nous te l'avons déjà dit, fit le déchu. Nous n'y sommes pour rien. Ce désastre est peut-être un accident, l'œuvre d'un humain. Ils seraient bien capables de ce genre de chose.
Clark fronça les sourcils. Bruce savait qu'il n'appréciait pas qu'on médise sur les humains, qu'ils chérissaient. Le déchu n'avait jamais partagé son amour pour ses asticots se tortillant pitoyablement dans la boue, même à l'époque où il vivait encore au Paradis. Mais les protéger avait été un but louable pendant une grande partie de sa vie. Les corrompre ne lui posait cependant aucun problème. Un but était un but, et Bruce ferait tout ce qui était en son pouvoir pour l'atteindre.
— Bien, abandonna Clark, la mâchoire serrée. Est-ce que tu as une idée de qui ça pourrait être ?
— Tu t'abaisses à nous demander de l'aide à nous, chérubin, grinça Damian.
Le regard brûlant de colère de l'ange lui fait bien vite ravaler sa langue, du moins pour le moment.
— Bruce, s'il te plaît, murmura Clark, les yeux suppliants. Nous ne pouvons pas laisser ce massacre impuni.
Et Bruce, faible comme il était, aurait fait n'importe quoi pour ces yeux-là. Même après tout ce qu'il s'était passé entre eux deux, il voulait toujours leur offrir ce qu'ils désiraient. Seulement, il ne pouvait pas leur donner la vérité. Il ne pouvait trahir Dick, qui était presque comme un fils. Il ne pouvait jeter le démon en pâture aux armées du Paradis. Et c'est justement pour ça qu'il allait aider Clark à trouver un coupable, si ce n'est le véritable coupable.
— D'accord
— Père ! s'insurgea Damian.
Bruce put voir le soulagement passer dans les yeux de l'ange, avant qu'un voile s'y pose à l'intervention du petit démon. Clark n'aimait pas voir la preuve de ce qu'il avait perdu. Et Damian, le fils que le déchu avait eu avec une démone, en était le parfait exemple. D'une manière perverse, Bruce aimait l'effet que le jeune démon avait sur l'ange. Il aimait le voir blessé par sa simple présence. Ce n'était que justice rendue après tout ce qu'il lui avait fait traverser.
Cependant, Bruce jeta un regard noir à Damian, le faisant se taire efficacement. Il fallait absolument qu'ils aident Clark, du moins en apparence, pour protéger Dick. C'était l'unique raison qui avait poussé le déchu à accepter la demande de l'ange, bien évidemment. Le souvenir de ses sentiments pour Clark n'entrait pas en ligne de compte.
— Nous t'aiderons, répéta Bruce. Et nous verrons qui de l'Enfer ou du Paradis aura le droit de châtier le coupable.
Cela ne sembla pas particulièrement enchanter l'ange, si la crispation de sa mâchoire était d'aucune indication. Sans doute aurait-il préféré s'occuper personnellement du coupable.
— Bien, finit tout de même pas souffler Clark. Par où commençons-nous ?
— Trouver l'origine du feu pourrait nous aider à identifier le coupable, avança Bruce.
Et si le coupable était bien Dick, il allait tout simplement être impossible de déterminer l'origine du foyer. Il ne restait plus qu'à distraire quelque peu Clark pour ne pas qu'il remarque les signes d'une activité démoniaque dans ce cas particulier.
— Allons-y, s'impatienta l'ange en s'avançant au bord de la muraille, vers la ville.
— Après toi, fit Bruce avec un signe de tête.
Bien évidemment, marcher dans les flammes ne causait de dommage ni à l'ange, ni au déchu, ni au démon. Leurs corps étaient bien plus solides que celui d'un simple mortel.
— Damian, ordonna alors Bruce. Va voir s'il reste quelque chose à sauver au château.
— Bien Père, fit le jeune démon en jetant un coup d'œil suspicieux à l'ange en passant. Je vous retrouve plus tard.
— Allons aux écuries, proposa le déchu. Avec toute la paille réunie là-bas, ça pourrait faire un excellent départ de feu.
Bien évidemment, ils ne trouvèrent rien aux écuries, ou en tout cas, rien qui ne pouvait les mettre sur la piste du coupable. Après cela, ils se rendirent dans les quartiers marchands de la ville, là où se trouvaient les forges et les boulangeries.
— Il est possible que le départ du feu soit accidentel, proposa Bruce. Une forge mal maîtrisée et l'inaction des forgerons pourraient en être la cause. Dans ce cas, je ne pense pas qu'il reste grand monde à châtier.
Parce que les ouvriers négligents étaient morts, que ce soit brûlés vivants ou asphyxiés. Et les anges punissaient les vivants, pas les morts. Ces derniers étaient laissés en paix, dans leur paradis personnel. Mais si ces morts se devaient d'échouer en Enfer, alors leurs souffrances ne faisaient que commencer, les démons s'en assureraient.
— Il reste si peu de monde, fit Clark avec mélancolie, levant les yeux vers les étoiles, leurs lueurs si pâles face à la fureur du brasier. Tant d'humains sont morts.
Bruce dut se retenir de rouler les yeux, bien qu'il ne put s'empêcher d'admirer le tableau qu'était l'ange.
— Allons dans les quartiers plus modestes, proposa-t-il pour couper court à l'instant.
À peine eurent-ils passé la porte des quartiers pauvres, Bruce sentit que Dick était venu ici, qu'il avait été invoqué ici. C'était donc maintenant qu'il devait faire attention à ce que pouvait percevoir Clark, garder son attention sur autre chose que l'aura résiduelle du démon.
— Ça fait longtemps, Clark, souffla alors Bruce, utilisant le même ton de voix qu'il utilisait à l'époque où son monde était réduit aux yeux d'outre-monde de l'ange.
Celui-ci lui jeta un regard en coin, ne comprenant sans doute pas ce qui lui prenait.
— Oui, répondit-il tout de même.
Il y eut un instant de silence pendant lequel Bruce fouilla frénétiquement les moindres recoins de son esprit pour trouver comment continuer cette conversation. Finalement, il opta pour :
— Ça ne te rappelle pas le bon vieux temps ? Nous deux, décryptant un mystère.
— Un peu, avoua Clark après lui avoir jeté un nouveau coup d'œil.
Bruce laissa les coins de sa bouche se relever. Il s'approcha légèrement de l'ange, jusqu'à ce que son aile brisée effleure celle d'un blanc pur. À la lumière des flammes, il pouvait voir les plumes immaculées frissonner à ce contact. Soupirant doucement, le déchu releva la tête vers l'immensité du ciel nocturne, se laissant un instant rêver à ce qui aurait pu être. À ce qu'il avait perdu.
Les doigts de Clark se glissant entre les siens interrompirent les tourments de Bruce.
— Je…, commença l'ange, semblant être sur le point de dire un mensonge, ou du moins une demi-vérité.
— Ne dis pas ça, chuchota Bruce. Pas alors que tu n'y crois pas vraiment.
Clark baissa la tête, un souffle brisé s'échappant de sa bouche.
— J'aimerais tellement que nous poussions observer une nouvelle fois le Soleil se lever ensemble depuis les cieux, avoua l'ange, sa voix perdant de son assurance.
Bruce releva brièvement la tête vers les étoiles, serrant ses doigts sur ceux de Clark. Au fond de lui, il savait que lui aussi avait envie de revoir le Soleil apparaître au milieu des nuages, lové contre l'ange. Leurs ailes les protégeant de la fraîcheur du matin.
— On ne peut pas changer le passé Clark, pointa quelque peu durement Bruce. Seul le futur reste à écrire.
— Oui, souffla l'ange en faisant pivoter le déchu pour qu'ils soient face à face.
Sa main se glissa le long de sa mâchoire, son pouce effleurant le coin des lèvres de Bruce. Clark se pencha doucement en avant, laissant le temps au déchu de se reculer. Lorsque celui-ci ne bouge pas, il laissa sa bouche ravir la sienne.
Leur baiser avait comme un goût de fin du monde, de recommencement, de néant, de finalité et d'ultimatum.
Bruce pouvait sentir ses plumes frémir douloureusement et son cœur battre bien trop fort sous son armure. Ses doigts auraient voulu se saisir de Clark, de serrer et de ne plus jamais le lâcher. Mais c'était tout bonnement impossible, il le savait parfaitement. Cependant, il ne put s'empêcher de profiter le plus possible de ce que Clark voulait bien lui offrir.
Lorsqu'ils finirent par se séparer, Bruce dut user de toute sa force pour ne pas laisser un pitoyable gémissement s'échapper de ses lèvres. Il eut la faiblesse de se perdre un instant dans les yeux d'outre-monde de Clark. Peut-être un peu trop longtemps.
— Un démon est venu ici, fit soudain l'ange en redressant la tête et en portant une attention accrue sur leur environnement.
Bruce eut envie de se gifler. N'avait-il pas commencé ce rapprochement justement pour distraire Clark de son environnement ? Et il se retrouvait lui-même à être distrait, laissant l'ange capter l'aura démonique de Dick. Il fallait juste espérer qu'il n'en ait pas senti assez pour reconnaître le démon s'il le croisait.
— Retournons sur le mur d'enceinte, fit Bruce en s'éloignant de l'ange.
Ce dernier fronça les sourcils, mais le suivit sans un mot. Seulement, une fois arrivé en haut de la muraille, Clark se mit à marcher résolument dans une direction. La direction où l'aura de Dick était la plus forte, probablement là où il se trouvait. Bruce ne put faire autrement que le suivre. Il ne pouvait laisser l'ange anéantir le démon.
À peine quelques instants plus tard, ils arrivèrent en vue de Dick. Celui-ci était accompagné d'un humain qui regardait la ville brûler avec une fascination non dissimulée.
— Hey toi ! appela Clark.
Apercevant l'ange, Dick agrippa l'épaule de l'humain, le ramenant contre lui. Bruce eut envie de lever les yeux d'exaspération à cette démonstration de possessivité. Mais maintenant, il savait pourquoi Dick avait mis le feu à la ville, pour un humain. Pour un simple humain. Dick avait ruiné plusieurs années de préparation pour un bête humain. Si Bruce n'avait pas juré de protéger Dick, il l'aurait bien occis lui-même.
Cependant, avant que ni Bruce ni Clark n'ait pu faire quoi que ce soit une vibration résonna dans l'air nocturne, ainsi que le bruit dégouttant de la chair se faisant transpercer.
— Oh, souffla faiblement l'humain, sa main se tendant vainement vers le carreau d'arbalète traversant sa cage thoracique.
— Jason ! hurla Dick alors qu'un rire sinistre résonnait dans la nuit.
J'espère que ça vous a plu. Les commentaires sont les bienvenus !
A une prochaine !
