Bonjour :D

Pairing : Akashi X Kuroko

Fandom : Kuroko no Basuke

Disclaimer : Rien ne m'appartient


Je me présente nouvelle auteur, et bientôt votre maître :3 mdr

Vous avez L'immense Honneur de lire ma toute première Fanfiction ! ~(=^-^=)~ sur ce fandom


Note de l'auteur : Kuroko est ici dans cette fiction est une fille qui vit aux États-Unis mais elle est toujours japonnaise,alors j'espère que vous êtes pas trop choqué .



J'espère que vous l'aimerez a sa juste valeur ^^


Enjoy!!!!

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Tetsuya kuroko avait quitté Santa Fe après avoir obtenu une bourse d'études de l'Université de Philadelphie. Deux mille deux cents miles et six États séparaient sa ville natale de celle où elle vivait maintenant, distance qu'elle avait souhaité établir entre sa vie de jeune fille et sa vie de femme. Et pourtant, Kuroko s'était presque autant ennuyée à suivre des cours de droit en Pennsylvanie que durant son enfance au Nouveau-Mexique. Les trois choses qui l'avaient poussée à poursuivre ses études étaient la vie qui s'offrait à elle sur le campus, qu'elle s'y était fait un véritable ami, et qu'en dépit de son caractère pas toujours facile ses professeurs l'avaient estimée. Kuroko ne s'était jamais intégrée à ces groupes de jeunes filles qui minaudaient du matin au soir, se démaquillant à chaque intercourse, suivant pour toute actualité celles des personnalités en vogue, jugeant leurs frasques et leur deboires plus passionnants que le sort du monde. Elle n'avait pas plus fréquenté les garçons transpirant leur trop-plein de testostérone sur des terrains de sport, avec leur carrures exagérées, leurs têtes casquées et joues fardées aux couleurs de l'équipe universitaire de football américain. Kuroko avait été une étudiante invisible et studieuse, ce qui, considérant le fait que le droit l'ennuyait à mourir, démontrait sa détermination à faire quelque chose de sa vie. Quoi, elle n'en savait toujours rien, mais un destin l'attendait, un destin qui se révélait bien un jour.

À la fin de son deuxième cycle d'études, l'Université avait refusé de reconduire sa bourse mais lui avait proposé un marché que Mm Aida Riko avait qualifié d'échange de bons procédés, à savoir collaborer au service sportive en qualité de stagiaire assistante du coach (le club de basket-ball se composant uniquement de Mm Aida Riko) en contrepartie d'un defraiement de cinq dollars l'heure, d' une assurance maladie et d'un logement de fonction. Kuroko avait accepté sur-le-champ. Pas pour intérêt du poste, ni pour le salaire bien entendu, mais pour continuer à fréquenter le campus. Elle y avait désormais ses repères et ses habitudes.


Aujourd'hui encore, Kuroko aimait prendre son petit déjeuner GOM Café (nda petite clin-d'œil au génération miracle), traverser la grande pelouse à 8h 53, passer devant la bibliothèque Yosen à 8h 55 avant d'entrer dans le gymnase où sa journée commençait avec l'équipe de Seirin à 9h. À 10h 30, elle commandait depuis son téléphone un sandwich au pastrami pour Mm Aida Riko. À 11h 02, elle retraversait la pelouse jusqu'au café du Rakuzan Campus Center, récupérait le sandwich de Mm Aida Riko ainsi qu'une salade printanière pour elle, et revenait en empruntant l'allée périphérique, ce qui lui permettait de repasser devant la bibliothèque. Elle prenait son repas assise face à son employeur et regagnait son poste auprès des joueurs à 11h 44. À 11h 50 elle ramassait les ballon et bloc comportant les notes dictées par le coach avant de partir à 12 heures.


Dernière traversée du campus de la journée, cette fois en direction du parking où Kuroko reprenait possession de la seule chose qui attestait qu'elle n'était pas une employée si conventionnelle que cela : une Oldsmobile décapotable 1950, propriété de sa grand-mère qui lui avait offerte quelques années avant qu'elle ne quitte Santa Fe. Cette voiture, qu'elle entretenait avec la méticulosité d'un collectionneur, devait aujourd'hui coter une fortune. Le cabriolet, sorti des usines Oldsmobile trois décennies avant qu'elle-même ne sorte du ventre de sa mère, représentait en cas de coup dur une véritable assurance-vie. Une vie qui à l'aube de vingt et un ans lui convenait parfaitement.

À 12h 06 Kuroko s'installait au volant, tournait le bouton du poste radio et libérait sa chevelure bleu, avant de mettre le contact et d'écouter le grondement du V8 ajouter quelques basses à une figue de Bach, une symphonie de Mendelssohn ou autre partition de musique classique.


Testuya une japonaises qui a héritier des couleurs de yeux et cheveux bleue qui lui arrive sur les épaules en carré des ses ancêtres. Elle est née sur le sol américaine, depuis que ses grands-parents a quitte le Japon dans les années soixante pour recherche une vie meilleure en Amérique.




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À suivre....


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