Hello, deuxième OS Downton Abbey avec en vedette Mrs Hughes et Mr Carson.
Merci aux bêtas et à leur fabuleux travail : SerpySnape, Bilko et Suldreen194, merci les filles !
Merci à Oustala pour ta review adorable, j'aurai aimé te répondre en privé. Sache que je suis très touchée par tes mots.
Je ne possède ni l'univers de cette merveilleuse série, ni les personnages, je ne perçois donc absolument rien, sauf peut-être et je l'espère quelques reviews.
Bonne lecture !
Hello ! Here is the second OS. Mrs. Hughes and Mr. Carson definitely inspire me to do funny things ^^. I hope you'll like it. This Story is M-Rated, so, you know... *naughty Elsie*
According to the statistics, a lot of you are reading me from the US and I think it's great, and purely amazing ! Thank you. Please leave me a review to let me know what you think of my writing. I always answer, and even if my English is far from perfect, we can understand each other.
Thanks to Chelsietx and Guest for your reviews, and for taking the time to read and leave a little note. it's lovely. Please feel free to connect, I'll be happy to respond directly to you.
See you soon!
POUVOIR
1895
La première fois avait été initiée par elle. Comme toujours, c'est elle qui lui montrait la marche à suivre. Oh, ils avaient déjà flirté de façon plus ou moins osée. Charles se permettait de laisser ses mains s'égarer sur le corps d'Elsie quand ils s'embrassaient dans la cave à vin, dans l'abri à vélo ou dans leur bureau respectif mais sans jamais franchir la ligne de la décence.
Cependant, après cet énième désaccord où Elsie s'était sentie profondément humiliée par l'homme qui prétendait vouloir devenir son amant, elle osa enfin élever la voix devant le personnel qui assistait à cette joute verbale en tentant de se faire oublier le plus possible.
Mr Carson lui refusait le titre de chef du personnel féminin et le respect qui allait avec, en lui faisant la leçon devant tout le monde, sur sa façon de gérer telle ou telle chose et continuant de l'appeler Elsie. Alors qu'elle avait gagné fièrement le droit d'être appelé Misses Hughes lorsqu'elle avait été nommée gouvernante de Downton Abbey il y avait maintenant deux ans.
« Je vous conseille de reprendre les livres de comptes et de tenue de la rotation du linge de lit de Mrs Blunt, Elsie, de cette façon vous éviterez les erreurs stupides dont vous êtes coutumière »
Il avait osé ! Devant les femmes de ménage, la femme de chambre de Madame, les valets de pied et même les garçons de salle.
« Taisez-vous Mr Carson ! » Répondit-elle sèchement en levant la paume de sa main vers lui.
Charles fut choqué par la réaction de la gouvernante. Me demander de me taire devant le personnel, comment ose-t-elle ?
Il lui lança un regard d'avertissement avant de continuer sur sa lancée et de garder le pouvoir :
« Je vais mettre ce manque de retenue sur vos… hum… problèmes féminin Elsie. À l'avenir vous ne vous adresserez plus à moi avec un tel manque de respect » et sur ces paroles, il tourna les talons et partit dans son bureau.
Elsie fulminait, elle se tourna vers le personnel qui était resté sagement assis autour de la table, laissant leur thé de l'après-midi refroidir, refusant de faire un mouvement de peur que la colère de leurs chefs ne se retourne contre eux.
Elle se racla la gorge avant de parler en tentant de maîtriser la colère contenue dans sa voix.
« Mr Carson et moi avons besoin d'éclaircir certains points sur la gestion de la maison, je vous demande donc de ne pas nous déranger jusqu'à ce que nous sortions du bureau. » Et elle quitta la salle à manger des domestiques en direction de l'antre du majordome.
Elle entra dans la pièce sans frapper, claqua la porte derrière elle et verrouilla les deux entrées.
Charles s'était levé brusquement, prêt à en découdre et réclamer les excuses qu'elle lui devait pour son manque de respect.
« Elsie… » Commença-t-il prenant sa voix la plus professionnelle de majordome.
« C'est Mrs Hughes, et je vous ai demandé de vous taire Mr Carson » Le coupa-t-elle plus fort qu'elle n'avait voulu.
Il allait répliquer quand le regard glacial d'Elsie le frappa de plein fouet et le cloua sur place. Il s'abstint donc et soupira avant de se rasseoir. Autant essayer d'avoir une discussion civilisée pensa-t-il.
Mais Elsie avait une tout autre idée. Il fallait qu'il comprenne qu'ils étaient deux à gouverner cette demeure, qu'elle avait droit au respect et qu'il allait le lui donner.
« Levez-vous ! » Ordonna-t-elle.
- Pardon ? Elsie à qui pensez-vo…
-C'est Mrs Hughes ! Levez-vous. Où préférez-vous que je parle plus fort pour que tout le personnel entende notre conversation Mr Carson ? »
Il la connaissait suffisamment pour savoir qu'elle ne bluffait pas. Il l'avait déjà vu se transformer en une espèce de dragon écossais, son accent s'accentuant quand elle était en colère, mais ça n'avait jamais été dirigé contre lui. Jusqu'à ce jour. Il se leva donc de son fauteuil, se redressant le plus possible, bombant fièrement le torse et refusant de la regarder.
Elle s'approcha de lui à petits pas silencieux ne le quittant pas des yeux. Elle n'avait pas l'air spécialement hostile, aussi Charles se détendit légèrement et lui accorda un regard hésitant. Lorsqu'elle vit son hésitation, elle se permit de lui dire d'un ton taquin
« Vous n'avez pas peur Mr Carson ? »
Devant la provocation, il refusa d'avouer qu'il commençait à ressentir un peu d'appréhension. Il la laissa s'approcher de lui jusqu'à ce qu'il jugeât que la distance entre eux était suffisante. Il voulut l'arrêter d'un signe de la main mais elle continua, le forçant à reculer jusqu'à ce qu'il se retrouve le dos contre les portes du placard dans lequel étaient contenues les petites pièces d'argenterie. Acculé, il attendit qu'elle lui explique ce qu'elle voulait de lui. Il était dans le flou le plus total, ne comprenant absolument pas où elle voulait en venir et il détestait ça.
Sans jamais le quitter des yeux, elle s'approcha de lui, se mit sur la pointe des pieds et amena sa bouche contre son oreille pour lui murmurer :
« J'attends Mr Carson »
Charles était maintenant complètement et totalement perdu. Elle était passée de dragon en furie à une succube qui semblait prête à le dévorer en un clin d'œil. Ne sachant pas ce qu'elle attendait de lui et désireux de garder le contrôle sur la situation, il dit la première chose qui lui passa par la tête :
« Cette discussion est trop récente et nos rancœurs encore trop à vifs. Peut-être devrions-nous y repenser chacun de notre côté et en parler de nouveau ce soir après le diner, Elsie. »
Elle souffla d'exaspération et lui mordit le lobe de l'oreille en punition, pas trop fort, mais suffisamment pour qu'il ressente une légère douleur et qu'il grogne en lui attrapant les hanches.
Elle veut me séduire ? Parfait. Il n'avait rien contre, c'était un bon moyen de se réconcilier après tout.
Elsie soulagea son oreille avec sa langue tout en posant ses mains sur les siennes pour les éloigner d'elle. Il protesta légèrement, mais les lèvres d'Elsie continuèrent leur chemin dans son cou, sous sa mâchoire, au coin de sa bouche. Il tenta encore une fois de la prendre dans ses bras pour la sentir contre lui mais elle lui mit une petite tape sur les mains.
Elle posa enfin ses lèvres sur les siennes pour l'embrasser pleinement, prenant le pouvoir sur sa bouche. Il tenta d'inverser les rôles mais les mains d'Elsie se posant sur son torse et le caressant lentement en descendant l'en empêchèrent. Elle laissa descendre ses mains jusqu'à ce qu'elles atteignent les attaches de son pantalon qu'elle défit sans problème, avant de poser sa main droite sur l'élastique de son sous-vêtement. Sa main gauche, alla gentiment prendre appuie sur l'épaule de Charles.
Il haleta, son corps réagissant devant cette Elsie très entreprenante, et bien qu'il ne comprît pas le pourquoi de tels agissements il n'avait absolument aucune envie de s'en plaindre.
Elle continuait à l'embrasser, son visage enfoui dans son cou, sa main jouant avec l'élastique de son caleçon.
« Elsie… » Soupira Charles appréciant le traitement.
CLAC ! fit l'élastique du sous-vêtement qu'Elsie fit claquer sur la peau de son ventre. Charles ouvrit les yeux de surprise et voulut lui attraper la main pour l'éloigner de lui mais elle refusa, et lui caressa doucement la peau offensée en signe de paix.
« Vous ne comprenez toujours pas, Mr Carson ? »
Elle taquinait la peau de son cou avec ses lèvres et son souffle, sa main continuant toujours à caresser la peau de son ventre, juste sous le nombril.
La respiration de Charles s'accéléra alors qu'il refermait les yeux, tentant tant bien que mal de comprendre ce qu'elle voulait dire. Il grogna pour seule réponse, ses mains voulant toujours attraper la taille de la gouvernante pour la coller contre lui.
« Vous ne me toucherez pas Mr Carson. Gardez vos mains, ici. » Dit-elle en dirigeant les bras qu'il avait levé vers elle, sans s'en rendre compte, pour les amener le long de son grand corps de majordome, calé contre le placard.
Elle déposa de nouveau sa main sous l'élastique du caleçon et descendit plus bas, caressant les poils épais qui s'y trouvaient, continuant sa descente pour toucher son sexe déjà érigé. Elle l'attrapa d'une main sûre et douce et le caressa.
« Oh mon dieu… » soupira Charles. C'était la première fois qu'elle le touchait de façon aussi intime et la première fois depuis très longtemps que quelqu'un d'autre que lui le touchait ici - tout court.
Les caresses d'Elsie étaient trop légères. Charles gardait ses yeux fermés, les serrant fort. Il était envahi par un tas d'images de lui et d'Elsie dans des positions plus que compromettantes. Il tenta de réguler sa respiration et les battements de son cœur, en vain.
Il voulait attraper Elsie, la retourner, la pencher sur son bureau, qu'elle se retrouve avec son ventre et ses seins écrasés contre le bois froid et ses fesses relevées vers lui. Il voulait lui arracher sa robe, ses jupons, son corset, il voulait la ravager, la prendre par derrière comme un animal, lui faire perdre toute notion du temps et son envie de le dominer.
Mais elle le tenait et l'embrassait, elle le caressait de manière plus appuyée maintenant, faisant aller et venir sa main sur son sexe et il n'était plus capable de rien sauf de la laisser faire, espérant, priant qu'elle le fasse jouir comme ça. Ses hanches bougeaient, voulant accélérer le rythme assez lent qu'Elsie lui imposait, mais elle lui refusa cela. Elle fit descendre son autre main pour la poser sur la cuisse de Charles et la coller contre le placard.
« Ne bougez pas, Mr Carson », intima-t-elle.
Mais il avait envie de tellement plus, cherchant, quémandant sa libération. Il voulut la déstabiliser, lui donner autant qu'il recevait, essayer de reprendre enfin le contrôle. Alors qu'elle continuait ses lentes caresses qui le mettaient à l'agonie, il prit le visage d'Elsie dans ses mains et l'embrassa à son tour passionnément, faisant passer dans ce baiser tout le désir qu'il ressentait pour elle. Il fit glisser ses mains, caressant son visage, son cou, ses épaules, puis plus bas dans son dos, pour finir par se poser sur ses fesses pour les caresser, les pétrir, les palper…
Elsie se laissa faire un moment, appréciant la bouche, la langue et les mains de Charles sur elle et, alors qu'elle se sentait de plus en plus ivre et prête à lui céder le pouvoir il souffla contre ses lèvres : « Oh Elsie » qui lui fit recouvrer ses esprits et son self-control.
Elle lui prit la bouche et commença de nouveau à l'embrasser tout en accélérant ses caresses et l'écoutant gémir. Quand elle sentit les mains de Charles serrer ses fesses avec force alors que sa tête partait en arrière contre le placard, elle stoppa les mouvements de sa main et lui mordit la lèvre inférieure. Il gémit de protestation, de douleur et de frustration. Il avait été si prêt de… il ne lui suffisait que de quelques mouvements supplémentaires pour basculer, mais elle lui refusait cela et il ne comprenait toujours pas pourquoi, et elle lui faisait mal avec ses dents qui s'enfonçaient dans sa lèvre.
« Mr Carson, pourquoi vous entêtez-vous ? Vous ai-je déjà manqué de respect, Mr Carson ? Me suis-je déjà opposée à vous, à votre besoin de tout contrôler devant notre personnel, Mr Carson ? »
Elle soulageait sa lèvre bleuie par ses dents en déposant de légers baisers et de petits coups de langue, sa main toujours enfouie dans son caleçon refusant de le toucher.
« Maintenant Mr Carson, vous allez enlever vos mains de mes fesses sans protester. Il me semble vous avoir demandé de ne pas me toucher »
Charles hésita, il commençait à comprendre, enfin, où elle voulait en venir. Mais éloigner ses mains de son corps s'avérait compliqué, tant il aimait la toucher.
Voyant son hésitation, elle recommença à le caresser faisant passer son pouce très lentement sur le bout de son sexe et sur le frein bien humidifiés de son excitation et il ne put s'empêcher de gémir. Elle arrêta rapidement son toucher, il la regarda, désespéré.
« Allez-vous céder, Mr Carson ? Vous comprenez que partager le pouvoir, laisser le contrôle à quelqu'un d'autre peut avoir des côtés très… réjouissants ? Vous ne m'appellerez plus jamais Elsie devant le personnel, vous m'appellerez Mrs Hughes. Plus jamais vous ne me reprendrez devant eux, vous attendrez que nous soyons seuls si vous avez des critiques à émettre sur mon travail, Mr Carson »
Elle attendit une réaction, sa main toujours autour de son sexe. Immobile.
Charles luttait pour ne pas se jeter sur elle, il en avait tellement envie. Mais elle ne fléchirait pas, il comprenait maintenant qu'elle était venue chercher le respect qu'il lui avait refusé et sa place de chef du personnel à ses côtés, bien trop heureux de tout gérer tout seul. Alors il lui céda, il s'abandonna à elle, la laissa mener la danse.
Il enleva ses mains des fesses d'Elsie et les posa contre ses cuisses, agrippant son pantalon et lui dit, dans un murmure essoufflé et suppliant, en la regardant droit dans les yeux :
« Très bien Mrs Hughes, nous sommes d'accord. Vous méritez tout ce que vous me demandez, je vous dois des excuses, veuillez les accepter, Mrs Hughes »
Elle n'attendit pas qu'il finisse, elle recommença à caresser son sexe rapidement cette fois, de haut en bas. Elle embrassait chaque parcelle de peau que sa bouche pouvait atteindre alors qu'elle sentait Charles perdre tout contrôle, tentant de s'accrocher comme il pouvait à son pantalon de toutes ses forces.
« Laisse-toi aller Charles, laisse-moi te faire jouir, donne-moi ton plaisir. »
Il marmonna des mots inintelligibles, et gémit suffisamment fort pour que ce soit entendu de l'autre côté des portes du bureau. Elle l'embrassa alors pour le faire taire, et d'une dernière caresse il se répandit sur sa main, dans son caleçon et sur son ventre en tentant d'étouffer le cri de sa libération dans la bouche d'Elsie.
Ils étaient tous deux essoufflés, lui de son orgasme, elle de son excitation. Ils restèrent encore quelques minutes pour reprendre leur souffle, jusqu'à ce qu'Elsie décida de demander un mouchoir à Charles pour nettoyer sa main qui était toujours dans son caleçon. Il fouilla dans la poche de son pantalon qui ne tenait plus que par les bretelles, et lui tendit le tissu.
Elle retira sa main, l'essuya du mieux qu'elle put, avant de poser le mouchoir sur le ventre de Charles pour le nettoyer un minimum afin qu'il puisse se rhabiller pour parcourir les couloirs en gardant sa dignité jusqu'à sa chambre où il pourrait changer de sous-vêtement et se laver correctement. Il voulut le lui prendre des mains, se sentant honteux de s'être laissé aller et de l'avoir salie, mais elle ne semblait pas dégoutée et le sécha consciencieusement, en parsemant ses lèvres de baisers.
Il se rhabilla rapidement, prit Elsie dans ses bras pour l'embrasser encore une fois. Il n'était pas prêt à la libérer, il voulait lui aussi la faire jouir, la voir se défaire sous ses caresses, goûter sa jouissance et la recueillir du bout des lèvres. Il fit courir ses mains sur ses seins beaucoup trop emprisonnés dans ce maudit corset, et les descendit sur ses fesses, tentant de relever sa robe afin de la toucher, là- dessous.
« Mr Carson, nous devons sortir de cette pièce et montrer au personnel que nous sommes capables de diriger ensemble. Nous pourrons continuer cette… conversation ce soir après le repas. »
Elsie ne sut pas comment elle fut capable de parler et surtout de faire une phrase aussi longue tant les mains et les baisers de Charles la troublaient et accentuaient son excitation. Elle aussi avait besoin de changer de sous-vêtements. Elle s'éloigna de lui, prit le temps de remettre sa robe en place et de vérifier sa coiffure. Elle jeta un dernier coup d'œil à Charles qui lui fit juste un signe de tête et sortit. Elle alla se changer, se laver les mains correctement et reprit son travail, attendant, curieuse et un peu impatiente l'heure du repas.
À l'heure dite, elle était déjà assise à la droite de la chaise de Charles, tous les domestiques étaient là, attendant le majordome pour commencer le repas. Il entra, prit place leur faisant signe de se rasseoir.
Charles et Elsie sentaient les regards des domestiques sur eux, s'attendant certainement à une autre de leurs scènes dont ils avaient pris l'habitude. Dans un soupir, Charles se racla la gorge, se tourna légèrement vers Elsie et entama la conversation :
« Mrs Hughes, nous avons réglé certains problèmes d'organisation, mais nous n'avons cependant pas eu le temps de tout aborder, j'espère donc que nous aurons le temps de terminer notre conversation afin que cette maison fonctionne grâce à nos efforts combinés. Si vous êtes d'accord je viendrai dans votre bureau une fois que Monsieur le Comte, Madame la Comtesse et Ses Mesdemoiselles seront montés. Cela vous convient-il Mrs Hughes ?
-Cela me convient parfaitement, Mr Carson. » Lui répondit Elsie en souriant.
Charles lui fit un signe de tête amical tandis qu'il sentait la tension autour de la table s'apaiser.
Ils étaient tous soulagés que ces querelles cessent enfin.
Lorsque la soirée du haut fut terminée et que les domestiques furent montés se coucher, Charles entra dans le bureau d'Elsie et fut plus que ravie de mener la danse à son tour.
FIN
See you next week…
