Bonjour à tous je reviens avec une autre fanfiction que j'ai écrite il y a bon moment et que j'ai décidé de publier ici.
Cette fois, il s'agit d'un Drarry et il fait cinq chapitres que je publierai chaque semaine.
Le Rating M n'est pas là pour rien. Cette histoire met en relation deux hommes et il y aura des lemon donc âme sensible et homophobe passez votre chemin.
Sur ce, bonne lecture !
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En ce jour de fin Juillet, Harry Potter est allongé sur son lit au 12, Square Grimmaurd. La guerre est fini, presque tout les mangemorts sont, soit mort, soit à Azkaban. Oui, presque. Les Malfoy et Serverus Snape ont été innocenter, du fait qu'ils étaient des espions travaillant avec l'Odre du Phénix. Et il s'est avéré que, finalement, aucun Serpentard n'a reçu la marque. Tous les élèves pouvaient donc retourner à Poudlard à la rentrée prochaine.
La famille Weasley, Hermione et quelques membre de l'Ordre étaient également là afin de régler la paperasse. Et puisque tout le monde était là, Mme Weasley a organisé une fête pour les 18 ans du sauveur. Harry, sur son lit était en train de dormir profondément, mais lorsque minuit sonna, il fut pris de convulsions.
Son corps était parcouru de douleur, de ses muscles jusqu'à ses os, en passant par ses articulations. La douleur était tellement insupportable qu'il ne put s'empêcher de hurler. Et enfin, plus rien.
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Tous Square Grimmaurd dormait paisiblement. Quand soudain, des cris retentirent. Tout le monde fut réveillé en sursaut, certains ont même attrapé leur baguette par réflex et quand ils comprirent que c'était Harry qui criait, tous se précipitèrent jusqu'à sa chambre.
Sur le chemin les hurlements ont cessé et lorsque Hermione et Ron arrivèrent et ouvrirent la porte car leur chambre était plus près, Harry n'y était pas. À la place, dans les draps défaits, il y avait un chat.
Les autres arrivèrent à la chambre et dans l'ordre ça donnait: Ginny, Remus, Sirius, Mme et Mr Weasley, Fred et George et enfin Tonk. Tout le monde est resté figer devant la scène, jusqu'à ce qu'ils entendent.
- Meow~
C'est à ce moment-là que leur attention ce porta sur l'animal qui se trouvait sur le lit. Le chat avait une fourrure aussi noir que l'ébène et des yeux vert émeraude.
- C'est quoi ça ? Demanda Ron, qui interrompit le silence.
- C'est un européen noir. Répondit Hermione.
- Un euro-quoi ? Répéta Tonk.
- Un européen noir, c'est une race de chat très peu apprécié par les moldu. Il paraîtrait qu'ils portent malheur. Enfin c'est une superstition. Clarifia la brunette.
- Pour moi, ce n'est pas sa race qui pose problème, c'est pourquoi il y a un chat sur le lit à la place de mon filleul. Interrogea Sirius.
- Mais où est donc passé Harry ? La voix de Remus était parsemé d'anxiété et d'incompréhension.
-* Je suis la *.
Tous s'arretèrent net au son de la voix. C'était eux ou ils venaient d'entendre quelqu'un parler dans leur tête.
- Harry ? Où est tu ? Questionna Ginny, qui regardait partout autour d'elle pour apercevoir le brun dans la pénombre.
- * Ici. Devant vous*. Répondit-il.
Et là, le groupe ramena leur attention sur la boule de poile, qui faisait un signe de la patte.
- Oh mon dieu. Harry chéri.
Mme Weasley se précipita sur l'animal, mais au moment où elle s'apprêtait à le prendre, il y eu un "pouf " sonore avec de la fumée. Lorsque celle-ci se dicipa, Harry était sous sa forme humaine, enfin presque.
Il avait encore ses oreilles et sa queue de chat, mais ce n'était pas la seule différence. En effet, ses cheveux étaient lisse, fin et lui arrivaient jusqu'aux épaules, ses yeux étaient toujours ceux d'un félin et ses cils plus long, son nez était droit et un peu pointu, sa bouche était plus rose et pleine. Son corps aussi était un peu différent, ses traits étaient plus fin, ses courbes plus élancé, ses muscles étaient là, mais moins visible sous une peau lisse, douce, fine et dépossédé de toutes imperfections. On aurait dit un androgyne. En claire, il était incroyablement sexy, mais surtout, il était nu.
Les réactions ne se firent pas attendre. Les filles étaient rouge pivoines et ont détourné les yeux, les hommes, quand à eux, sont figés face au spectacle. Seul les jumeaux sifflaient, devant la vue "imprenable".
Harry, qui n'avait pas conscience de sa nudité, est assis les jambes écartés et de chaque côté de son corps, les mains sur ses genoux fléchit. Un peu comme à la japonaise, vous voyez. Quand il s'en rendit compte, il devint aussi rouge que les filles, resserra les jambes et tanta, en vain, de cacher son corps avec ses bras. Mais ça le rendait encore plus mignon. C'est Mme Weasley qui eu le réflexe de couvrir le brun avec un drap sous les " oooh non" des jumeaux.
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Au manoir Malfoy, au même moment, Draco dormait, mais son sommeil était, tout, sauf reposant. Depuis la fin de la guerre, il ne dormait presque plus et les seul moment où il réussissait, il faisait des cauchemars. Se rappelant de l'emprise qu'avait vous-savez-qui sur lui, sa famille et ses amis. Le revoyant asséner des " doloris" et autres tortures à ses parents et à ceux de ses amis, dès que l'envie lui en prenait. Certes, il n'avait pas reçu la marque mais ça ne l'empêchait pas d'être témoin des horreurs commi par les mangemorts.
Cette nuit là était, justement, l'une de ces nuit et le jeune garçon gémissait et tremblait, essayant de se réveiller, sans y parvenir. Puis soudain, une douce chaleur se deversa dans tous son corps, son cauchemars disparu pour laisser la place à une voix aussi chaleureuse et réconfortante que celle d'une mère qui murmura: "Ne t'inquiète pas mon doux enfant, ne t'inquiète plus. Tu n'est plus seul. Il vient pour toi". Puis la voix disparu et Draco continua à dormir sans qu' aucun cauchemars ne viennent le tourmenter.
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Aujourd'hui, c'était la rentrée et Harry était un peu nerveux de retourner à l'école, au vu de sa condition.
En effet, durant le dernier mois de vacances, des recherches ont été effectuée pour comprendre le phénomène qui était survenu le jour de son anniversaire. Au début, tout le monde pensait qu'il avait développé une nouvelle forme d'animagus ou quelque chose dans le genre, mais les recherches plus poussées de Dumbledore, ont permis de découvrir que l'élu était l'unique descendant d'une espèce disparu, il y a des milliers d'années: les Catulus.
Les Catulus était des sorcières d'une pureté sans égal, encore plus pure que les licornes. Elles étaient également surnommées: Les gardiennes de la magie. Car elles maintenaient l'équilibre des forces magiques entre les espèces et la nature. C'était également les toutes premières sorcières.
- Elles ? Avait demandé Ron.
- Oui. Elles. Les Catulus étaient des femmes, bien qu'il en existait aussi des mâle, ceux-ci étaient très rare. Avait répondu Dumbledore .
D'ailleurs, elles infligeaient une punition terrible à tous ceux qui perturbaient l'équilibre de la magie et c'est en fait, pour cela que les moldu croient que les chat noir portent malheur, puisqu'elles avaient la capacité de prendre la forme d'un chat noir.
Harry avait, donc, découvert ce qu'il était mais avait du mal à contrôler ses transformations en chat, en semi-chat et en humain, où la seule différence était qu'il n'avait plus ses oreilles, sa queue et ses yeux de chats. Il avait également la capacité de communiquer par la pensée.
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Dans la grande salle, Draco discutait avec Pansy et Blaise. Ils parlaient de l'année scolaire qu'ils allaient devoir repasser.
- Tien! C'est bizarre, Potter n'est pas encore là. Constata Zabini.
- Depuis quand tu t'intéresse à ce porte-poubelle, Blaise ? Demanda la jeune sorcière.
- Je ne m'intéresse pas à lui. Je dit juste que c'est étrange qu'il ne soit pas là alors que Ginny, elle, est déjà là et qu'elle ne le lâche jamais.
- C'est vrai ça. Peut-être qu'elle a, enfin, ouvert les yeux et vu que le balafré n'est pas une référence au niveau visuel. Non, mais, vous avez vu comment il se fringue ? On dirait une serpillière qui marche. Ajouta Malfoy.
C'est à ce moment précis, que la grande porte s'ouvrit et que tout les élèves se turent.
- Quelqu'un peut me dire qui est le mec qui est avec la belette et la sang-de-bourbe ? Demanda Pansy à voix basse.
- Je ne sais pas mais ils est diablement sexy. C'est une tentation au viol, là. Répondit Théodore Nott, qui depuis le début était concentrée sur son magazine.
Sur ce point, Draco était, bien, d'accord. Son jean bleu foncé moulait superbement ses fesses et ses cuisses, son pull noir à col roulé et fin épousait parfaitement les formes de son torse et de ses bras, et ses cheveux lâchés faisaient ressortir le vert de ses yeux.
* Si il n'y avait pas autant de témoins je l'aurai déjà plaqué contre l'une des tables et je lui aurai écartés les cuisses. Merde! je bande. Ok, il faut que je me calme et que je pense à...*
- Harry, tu vient ?
La voix d'Hermione retentit dans toute la salle, puisqu'elle était déjà à la table avec Ron alors que le brun n'a pas bougé de l'entrée. C'est alors que tous les élèves furent pris par surprise. Certains se sont pétrifié, les autres ont commencé à discuter sur "comment Harry Potter est devenu aussi bandant". Et enfin il y eu la réaction de Malfoy qui s'est, purement et simplement, évanoui.
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Pov Harry
Nous sommes arrivé à Poudlard en retard parce que mon parrain refusait que je parte avec ma valise rempli de ces " morceaux de tissu ", comme il disait, que je qualifie de vêtements. Il s'en est suivi un débat que j'ai perdu, puisque le contenu de la valise fut brûlé et remplacé par ce que mon parrain et Hermione avaient acheté en cachette. Je me demande encore comment ils ont su mes mensurations.
Enfin, bref. Mes deux meilleurs amis sont en train de discuter, ou plutôt de marchander le nombre de séance de torture, qu'elle appelle "révision", quand Ron ouvre la porte de la grande salle.
A ce moment-là, je m'arrête. Une douce odeur de soleil et de menthe poivrée envahit mon nez. Je ne sais pas d'où provient cette délicieuse odeur, qui fait battre mon coeur plus vite. Mes sens sont décuplés depuis ma transformation et cette odeur, enchanteresse, ne veut pas me quitter. Je dois trouver à qui elle appartient, coûte que coûte.
Soudain les pensées de quelqu'un me parviennent:
*Si il n'y avait pas autant de témoins je l'aurai déjà plaqué contre l'une des tables et je lui aurai écarté les cuisses. Merde! je bande. Ok, il faut que je me calme et que je pense à...*
Je rougis à l'entente de cette voix qui me paraît familière, mais je n'arrive pas à mettre un nom dessus.
- Harry, tu viens ?
La voix de ma meilleure amie me sort de mes pensées et je m'apprête à la rejoindre quand un bruit sourt retentit, quelqu'un vient de s'évanouir, et pas n'importe qui, Draco Malfoy, mon pire ennemi, cette sale fouine, ce...
Le professeurs Snape passe à côté de moi, avec ma némésis dans ses bras, pour l'emmener à l'infirmerie et j'ai un deuxième bug, pire encore, c'est à mon tour de m'évanouir.
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Pov Draco
Quand j'ouvre les yeux, un chat noir se trouve sur moi. Je me redresse et il commence à s'approcher encore plus. Ses magnifiques yeux vert me fixent et je ne peux m'empêcher de le caresser. Il ronronne.
- Et bien, tu aimes être caressé. Je me demande d'où tu viens ? Tu n'a pas de collier.
- Meow~
- Comme si tu allais me répo... Eh! Ne me lèche pas.
- * Mais tu sens trop bon *
- Ce n'est pas... Quoi?
Je rêve ou ce chat vient de parler. Je regarde autour de moi, mais il y a personne à part moi et cette boule de poils. Il continue de me lécher la joue.
- Tu as dis quoi ? Je demande pour voir si se n'est pas moi qui devient fou.
- * Ton odeur, tu sens trop bon. C'est du parfum? *
Je ne suis pas fou, ce chat sait parler. C'est étrange, sa voix m'est familière et elle résonne dans ma tête.
- Je ne met pas de parfum, ça agresse ma peau. Ça suffit, ne mordille pas mon oreille.
- Meooow~
Je l'attrape par la peau du cou et le relève, seul ses pattes arrières sont posées sur mes cuisses, ses pattes avant tentant d'atteindre mon visage, c'est un très grand chat.
- * Nooon, s'il te plaît *
Sa voix m'est vraiment familière, on dirait celle de...
- POTTER!
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POV Externe
Dans le dortoir de griffondor, Hermione lisait un livre et Ron faisait une partie d'échecs version sorcier avec Seamus. Ginny entra dans le dortoir, l'heure du couvre-feu venait de sonner, et demanda où était Harry. La brunette lui répondit qu'après être rentrée de l'infirmerie, elle l'a forcé à aller se coucher et, donc, qu'il était encore dans son lit. Neville, qui descendait, justement, de la chambre des garçons, lui affirma qu'il n'y était pas.
- QUOI! Comment ça il n'y est pas ? S'exclama Hermy.
- C'est pas possible, on l'aurai vu si il était sorti. Ajouta Ron.
- Pourtant ça fait une heure que j'y suis avec Dean et on l'a pas vu. Déclara Neville.
- Comment il aurait fait ? Sa cape d'invisibilité est dans la chambre des filles et il n'aurait pas pu y entré sans devenir la poupée de celles qui y sont, surtout avec sa nouvelle apparence. Explica Ginny.
- Mais Oui! Je suis bête, cet imbécile a pris sa forme de chat et a du se faufiler sans qu'on le remarque. Répondit Hermione.
- Comment on va faire pour le retrouver maintenant? Demanda Ron.
- La carte du Maraudeur est avec la cape, non ?
- Neville, tu es un génie. Je vais la chercher. Affirma Hermione.
Lorsque Hermione revint avec la carte, Ron s'est précipité vers elle pour voir où se trouvait leur amis. Quand ils trouvèrent le nom d'Harry, ils eurent un choque. Il était à l'infirmerie avec Malfoy. C'est alors qu'ils décidèrent de partir à sa rencontre, sans rien dire aux autres, et avec la cape, bien évidemment.
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Pov Harry
J'ai pas sommeil, je m'ennuie, j'ai chaud, et puis merde, je me suis transformer en chat. Je ne sais pas comment revenir à mon état normal. Bon, quitte à être en chat autant que ça serve à quelque chose, je vais faire un tour. J'en peux plus de rester enfermer. Ça fait bien une bonne heure que je suis allongé dans mon lit à essayer de trouver le sommeil mais rien.
Je pars donc me promener dans les couloirs. Je me sens mieux, il fait plus frais et puis je vois très bien grâce à mes yeux de félin. J'ai même plus besoin de lunettes, je ne savais pas que les couleurs pouvaient être, si belle et si profonde, que je pourrai être hypnotisé. Tiens, encore cette odeur de soleil et de menthe poivrée.
Sans m'en rendre compte, j'atterris devant l'infirmerie, la porte est entre ouverte. Dire que cette délicieuse odeur appartient à mon pire ennemi. Je l'ai su dès qu'il est passé près de moi, en sortant de la grande salle dans les bras de Snape. Son odeur était tout d'un coup plus forte, mon coeur s'est mis à battre plus fort, j'ai eu une bouffée de chaleur et mon sang n'a fait qu'un tour. Tous ça en quelques secondes, mon corps ne l'a pas supporté et je me suis évanoui.
Je me suis réveillé cinq minutes plus tard, et Mme Pomfresh m'a mis dehors avant que je n'ai pu dire "Quidditch". Je me suis donc dirigé vers la tour, pour rassurer mes amis et vous connaissez la suite.
Je me demande pourquoi la porte n'est pas bien fermer et je décide d'entrer à l'intérieur. Il n'y a personne, à part, ma némésis qui ne s'est, apparemment, pas encore réveillé. Je ferme la porte pour éviter que l'air froid ne s'engouffre dedans et me dirige vers le lit de mon ennemi. Il a pas l'air de faire un beau rêve, je le sais au son de sa respiration, mais pour être sûre, je monte sur le lit. C'est bien se je pensais, son visage est crispé, le rêve ne doit pas être jolie. Ah! C'est fini, son visage se détend et sa respiration redevient calme. Je me demande à quoi sa rêve un Malfoy, mais pas le temp d'y penser, il se réveille.
Il ouvre les yeux et me regarde, Il a l'air surpris de me voir. Il a vraiment de très beaux yeux, on dirait deux lac d'argent liquide. Il se redresse et je m'approche pour mieux les contempler mais il me caresse et je ne peux me retenir de ronronner. Ses mains sont douces, je me demande quel goût à sa peau. Il m'a posé une question, alors je miaule, en guise de réponse mais je ne peux résister à l'envi de goûter cette peau et donc, je commence à lécher sa joue.
Oh mon dieu! Le goût de sa chair intensifie son odeur, je me sens perdre pied. Il proteste à mon léchage.
- * Mais tu sens trop bon * . Lui dis-je.
Il ne bouge plus et j'en profite pour continuer, me laissant envahir par son parfum. Il me demande de me répéter.
- * Ton odeur, tu sens trop bon. C'est du parfum ? * Je lui demande.
Je commence à avoir chaud et je me dirige vers son oreille pour la mordiller. Lorsqu'il répond à ma question par le négatif, ça m'excite davantage et je mordille son oreilles. Cependant, il m'attrape par la peau du cou et je proteste par un miaulement. Il m'éloigne, son visage est à quelques centimètres du mien, mes pattes arrières sur ses jambes, je tente de me rapprocher, en vain, alors je le supplie.
- * Nooon, s'il te plaît *
- POTTER!
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POV Externe
Sur le coup de la surprise, Harry prit sa forme de semi-chat et se retrouva nu, à califourchon sur Draco. Celui-ci, en voyant le corps de son ennemi, ne put s'empêcher d'avoir la réaction la plus normal du monde, pour un garçon de son âge. Avoir une érection, qu'il essaya de cacher tant bien que mal.
- Non, mais ça ne va pas la tête, on n'a pas idée de crier dans les oreilles d'un félin.
Le jeune Catulus, dont les tympans ont été mis à rude épreuve, était dans l'idée de faire un cours sur la sensibilité auditive des animaux. Mais en croisant les yeux du Serpentard, il se rendit compte de sa tenue d'Adam et tendit ses bras, dans un geste, pour s'éloigner du blond, mais il sentit une pression au niveau de ses fesses.
Lorsqu'il comprit de quoi il s'agissait, son visage devint aussi rouge que le blason des Griffondor, il se mit alors à paniquer, ne sachant quoi faire. Le jeune Malfoy, qui subissait une torture, sous les mouvements du brun, fit la première chose qui lui passa par la tête. Il le pris dans ses bras et cria.
- CALME-TOI, HARRY!
Sous le choque, celui-ci s'arrêta net. Et serra le corps de sa némésis, toujours tremblant.
- Shhh, calme-toi, je ne te ferai rien.
Murmura le blond au creux de l'oreille de son ennemi, tout en lui caressant les cheveux, et cela eu l'effet escompté. Harry se détendit, enfouit sa tête dans son cou et inspira profondément.
- Potter, tu fais quoi ?
- Je respire ton odeur.
- Mon odeur ? Pourquoi ?
- Tu sens bon et ça m'apaise.
- Ah! Tu as dit ça aussi, quand tu étais un chat. Je peux savoir ce que je sens pour que ça te fasse autant d'effet ?
- Tu sens comme le soleil et ça me calme, mais tu as aussi une odeur de menthe poivrée et ça me rend tout chose.
- Pfff! C'est très contradictoire ce que tu dis, tu sais ? Se moqua Malfoy.
- La ferme! Moi, au moins, je ne bande pas sous les fesses de mon ennemi.
- C'est une réaction physique, tout à fait normal, fasse à un stimuli visuel.
- Quoi ?...
Il s'était éloigné des bras du blond et il allait répliquer, quand la porte de l'infirmerie s'ouvra brusquement et qu'il vit ses deux meilleurs amis entrer.
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Ron faisait tout pour ne pas s'endormir sur sa table comme la plupart des élèves de la classe. Le professeur d'histoire de la magie était un somnifère ambulant et même Hermione avait du mal à combattre le sommeil, Harry, lui, est allé voir Mme Pomfresh.
Ça faisait une semaine depuis l'épisode de l'infirmerie et il avait raconté à ses amis comment il avait fini sur la fouine, en omettant la partie léchouillage et câlin, bien sur. Mais la raison pour laquelle notre sauveur rendait visite à l'infirmière était que depuis deux jours il était très tactile, sont corps était plus sensible et, d'après Ron et ses camarades de chambres, il miaulait la nuit.
Mme Pomfresh l'a donc ausculté et au vue des résultats, elle décida qu'il fallait en parler à Dumbledore, qui eu la même conclusion qu'elle.
- EN CHALEUR! Vous dîtes que je suis en chaleur, mais c'est du délire, comment...
- Eh bien, d'après les symptômes que vous m'avez décrit et vos testes, qui montrent que votre taux d'hormones est en augmentation, il n'y a pas d'autres conclusions. Affirma l'infirmière.
- Mais... Mais... Mais...
- Et ce n'est que le début. Dans les prochain jours, votre libido va monter en flèche, au point de pouvoir sauter sur vos camarades pour satisfaire vos besoins. Ajouta-t-elle.
- Quoi! Et ça va duré combien de temps ? Qu'est ce que je vais faire ? Harry commençait à désespérer.
- Allons, allons, calme-toi mon garçon. Tu seras dispensé de cours et nous mettrons des appartements à ta disposition, pour les sept jours qui restent. Tu y mangeras également, afin d'éviter que tu violes quelqu'un dans la grande salle. Annonça le directeur.
- Sept jours! Et ça va empirer, j'y crois pas.
- Oui, Sept jours et à partir de maintenant. Je vais prévenir les professeurs et tes camarades, bien sûr, je ne leur dirai pas que tu es en chaleur, simplement que tu fais un entraînement intensif, ça devrait suffire. Déclara Dumby.
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Pov Draco
Non, mais j'y crois pas. Ça fait cinq jours depuis que Potter effectue son entraînement intensif. Et il a fallu une semaines à mon parrain pour me révéler la condition de mon ennemi, pour ensuite me dire qu'il va rester dans des appartements privés.
Même si je comprends mieux comment il a fait pour devenir aussi diaboliquement... sexy. Mais je ne tolère pas qu'on me lèche, même si il était sous sa forme de chat, et qu'on me renifle pour ensuite m'éviter pendant une semaine, et après se cacher. J'ai mis cinq jours pour découvrir où sont les appartements de ce griffon et là, je m'y rends. J'arrive devant une tapisserie qui représente une sorcière qui vole sur son balais avec un chat noir et je prononce le mot de passe.
J'entre dans un magnifique salon. Les murs sont bleu turquoise et le sol est entièrement recouvert d'un épais tapis de velours blanc. Il y a un canapé d'angle marron avec deux coussin bleu et une table basse en bois massif moderne au milieu de la pièce. Près du mur de gauche se trouve une une bibliothèque remplit de livre et celui de droite est magique et montre une vue sur la mer. Le mur en face possède une porte qui doit sûrement donner sur la chambre. Bizarrement, il n'y a pas de cheminé et il fait un peu froid. Puis soudain, la porte s'ouvre...
- Malfoy! Mais qu'est-ce que tu fais là ?
Oh...Mon...Dieu. Ma némésis est devant moi et porte un débardeur moulant noir avec un short en jean, tout aussi moulant, qui lui arrive au dessus des genoux. Ses cheveux attachés en un chignon lâche avec des mèches qui lui retombe sur le visage lui donne un air décontracté trop mignon, j'ai envie de lui sauter dessus.
- Par merlin, dis-moi comment tu as fait pour rentrer ?
- Eh bien, Potter, comme tout le monde par la... porte ?
Je me retourne et il n'y a plus de porte. À la place, se trouve une peinture abstraite. Alors je pivote de nouveau vers le golden boy et lui demande.
- On fait comment pour sortir d'ici ?
- Justement, on ne sort pas. Tu n'aurais même pas dû pouvoir entrer. Merde...
Je me demande pourquoi ça l'embête que je ne puisse pas sortir. Demain matin les autres se rendront compte que je ne suis pas là et ils me chercheront, c'est juste une question de temps.
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Ça fait maintenant deux heures que je suis enfermé avec Potter dans ses appartements et que j'essaye de lire un livre, oui j'essaye. J'aimerais bien vous y voir, rester concentrer sur votre lecture avec un mec super sexy, qui je crois n'en a même pas conscience, à deux mètre de vous. Il est assis dans l'angle du canapé avec une jambe allongée et l'autre pliée, un bras reposant dessus, il lit aussi un livre.
Bon ça suffit, je vois très bien qu'il est bloqué sur la même page depuis dix minutes, il a l'air perturbé par quelque chose. Je décide de briser le silence.
- Potter, en quoi consiste ton entraînement intensif ?
- Hein! Mon entraînement ? Euuuh...
Il est surpris par ma question et son visage est rouge, sa respiration est saccadée et ses pupilles sont dilatées. Ça le rend vraiment excitant, je me rapproche de lui.
- Hey, sa va ? Tu as l'air...
- Ah! Ça va, c'est rien, je vais me passer de l'eau sur le visage.
Il se dirige vers la porte, je sens qu'il me cache quelque chose alors je le suis dans la chambre. Les murs de celle-ci sont baige avec le même tapis de velours blanc qui recouvre le sol, cependant il n'y a pas de lit, juste un tas de coussins blanc. A gauche il y a une commode avec des tiroirs, pour ses vêtements je suppose, et à droite se trouve la porte qui mène à la salle de bain, elle est ouverte et je m'avance vers elle.
A l'intérieur, il y a une douce odeur de violette, le sol est en parquet et se creuse en une grande baignoire ronde au milieu de la pièce. Potter est penché au dessus du lavabo à gauche, il ne m'a pas remarqué mais il a l'air de s'être un peu calmé.
- Je ne crois pas que tu sois là pour un entraînement intensif et je connais ta nature donc si tu me disais pourquoi tu es enfermé ici depuis plusieurs jours.
Harry se tourne vers moi, il semble hésiter à me répondre, il soupire puis prend une grande inspiration.
- Je suis en chaleur. Du moins mon coté Catulus l'est et pour éviter que je saute sur tout ce qui bouge Dumbledore a décidé que je resterai ici durant toute la période.
J'en reviens pas, alors le sauveur a des périodes de chaleur. Ça explique son comportement, mais j'y pense, je suis ici alors qu'il est...
- Ne t'inquiète pas, je suis en fin de période donc je me contrôle, enfin si tu restes quand même à une distance raisonnable.
- Ah, je vois. Je peux savoir pourquoi il n'y a pas de cheminé dans le salon et pas de lit dans ta chambre ?
Je détourne la conversation pour l'aider à penser à autre chose et parce que je suis curieux.
- Pour la cheminé, c'est parce que j'ai trop chaud. Et pour le lit, je dors sous ma forme de chat, donc les coussins sont suffisants.
Il va dans la chambre et il frissonne quand il passe près de moi, il s'arrête avant d'ouvrir la porte menant au salon, et maintenant il me fixe. Donc, si je comprends bien Potter est en chaleur, ce qui veux dire que là, il a envie de coucher avec quelqu'un et mon odeur attise son désire. Si il continue à me regarder avec ses yeux la, je vais... Non non non, il ne le fait pas exprès alors calme toi, mais si il couche avec quelqu'un alors ça calmera ses ardeurs, et puis ça se voit qu'il en a affreusement envie, ses yeux sont assombrit par le désire charnel. ET MERDE!
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Pov externe
Harry s'est arrêté et tourné vers Draco, qui n'a pas bougé, puis soudain il sortit de sa réflexion et se précipita vers le brun, qui commença à paniquer
- Malfoy, ne t'approche pas de moi, ton odeur, elle...
Mais il n'eut pas le temps de finir sa phrase car il se faisait plaquer contre le mur et deux lèvres prenaient possession de sa bouche dans un baiser passionné. Au début, il essaya de repousser le blond mais celui-ci a bloqué ses poignets de chaque côté de sa tête. Sous la douce torture de ses lèvres experts, le brun ne put que répondre au baiser.
Le Serpentard, mordillait et suçotait la lèvre inférieure du Griffondor, puis quémanda l'accès de l'antre chaude et humide, qui lui est rapidement cédé. C'est alors que le rouge et or ne put retenir un gémissement au contact de la langue s'enroulant autour de la sienne et le caressant. Quand l'air se fit manquant, ils se séparèrent de quelques centimètres et les jambes d'Harry ne purent supporter plus longtemps son corps qui glissa doucement le long du mur pour atterrir à califourchon sur Draco, qui l'a suivit, et il se transforma en semi-chat.
- Si un baiser te met dans cet état, j'imagine pas pour la suite.
- Mal...foy, on...devrait...pas...
- Shhh, tu en as clairement envie, alors profite. Murmura Draco dans l'oreille de chat de Harry, puis la lécha.
- Haaa...non...mya~
- Ho! Tu miaule en plus, c'est plutôt excitant et je vais me faire un plaisir de t'entendre recommencer.
Le blond s'attaqua à son cou en léchant, mordillant, suçotant la peau jusqu'aux clavicules. Sa main passa sous le débardeur, caressant la peau douce et chaude du ventre en passant sur ses côtes, l'autre massait les fesses ferme et rebondit, puis caressa sa queue de chat.
- MYAAA~! Non...pas là...s'il te plait...Malfoy.
- Tu as pourtant l'air d'apprécier, tes attributs de Catulus sont vraiment sensible.
Ses mains et sa bouche envoyaient des décharges de plaisir à tout son corps qui était plus sensible que d'habitude et il ne put s'empêcher de presser son aine contre celui du blond, qui grogna sous la pression. Il décida alors que les vêtements étaient de trop et les fit disparaître d'un informulé.
Il allongea le corps fébrile de son future amant, se positionna au dessus de lui et l'observa. Le contraste entre la blancheur du tapis et le corps du Griffondor, dont les yeux étaient obscurcis par le désir, excita un peu plus le jeune Serpentard. Les mains d'Harry se posèrent sur le torse de Draco en une douce caresse qui redessina le contour de ses muscles, descendant sur le ventre et remontant jusqu'au visage.
Le corps au dessus de lui fermait les yeux et frissonnait lorsque les doigts frôlaient des zones plus ou moins sensible. Le blond embrassa à nouveau les lèvres sucrées et rougies par la précédente torture et descendit le long de son cou, passant sur sa poitrine, léchant et mordant un téton, qui arracha un gémissements plus fort au brun, il laissa sa langue dériver sur son ventre, s'arrêter à son nombril pour s'y glisser dans un geste mimant l'acte à venir, puis continua sa descente. Il se stopa en face du membre tendu, puis le lécha sur toute sa longueur pour enfin le prendre entièrement en bouche, ce qui fit crier le Griffondor, qui se perdit un peu plus dans les limbes du plaisir.
- Myaaa...haan...Draco...plus.
Entendre son amant gémir son prénom attisait son désir et il ressera sa prise tout en insérant un doigt lubrifié dans son intimité. Harry ne sentit pas le premier doigt entrer en lui, quand le deuxième vint se joindre au premier, seul une sensation de gêne se faisait ressentir, même lorsqu'un troisième s'insinua en lui, rien, à part du plaisir. Comme si le fait d'être en chaleur inhibait toute douleur, pas que ça le dérangeait, au contraire, il en voulait plus, il voulait sentir le blond en lui, comme un besoin viscéral dont il ignorait l'origine.
- Draco...vient...maintenant.
- Tu es vraiment mignon, Harry.
Il susurra ces mots à son oreille avant de pénétrer, doucement, le corps tramblant du Griffondor pour ne pas le blesser, mais aucune plainte ne fut émise. Il amorça les premiers coups de rein lentement puis plus rapidement, il changea de position et mis Harry à califourchon sur lui et celui-ci s'accrocha aux épaules du blond, cette position provoca un changement d'angle de pénétration et Draco frappa directement le point G de Harry, qui rejeta sa tête en arrière et gémit sans retenue.
- Haaa~! Dray~.
Après plusieurs coup de butoirs sur cette zone particulièrement sensible, Harry se libera entre leur deux corps ce qui eu pour conséquence de contracter ses muscles autour du sexe du blond, suite à cela se fut au tour de Draco de se lâcher à l'intérieur de son amant en mordant l'épaule de celui-ci pour étouffer ses gémissements.
Harry s'écroula sur le Serpentard, qui atterrit sur les coussins. Ils tentaient de reprendre une respiration normal.
- Alors ? Sa va mieux ?
- Beaucoup, grâce à toi. ...Dit, tu crois que tu pourrais m'aider la prochaine fois que j'aurai à nouveau envie ? Demanda timidement le Griffondor.
- Bien sûr, mais à une condition.
- Laquelle ?
- Sort avec moi.
- Quoi! Mais...
- Je crois que je suis tombé amoureux de toi et si tu sors avec moi je pourrai te satisfaire, même si tu n'est pas en chaleur. Qu'en dit-Hummm~.
Harry embrassait Draco, fougueusement.
- Oui! Mille fois oui. Moi aussi je t'aime et je serai ravie de faire de toi mon compagnon.
HPHPHPHPHP
Voilà le premier chapitre est fini. J'espère que ça vous a plu.
Le prochain chapitre arrivera soit au cours de la semaine, soit la semaine prochaine.
