Life note Chapitre 0 : Début
Chapitre 0 : Début
Par bawchaw00
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Après que Light Yagami fut tué par son propre cahier de la mort, Ryuk retourna auprès des siens pour rendre son rapport à son supérieur. Arrivé, le shinigami gigotait dans tous les sens, racontant à son chef suprême le génie et la créativité de Light.
Ryuk essoufflé avec un rire traîné et forcé : j'ai écrit son nom dans le Death note, c'était un type vraiment très amusant... Avec lui, je m'ennuyais jamais !
Le Shinigami suprême ouvrit lentement ses yeux rouges, puis répliqua : donnes-moi, ton Death Note.
Riyuk effrayé, gardant le sourire aux lèvres , sortit son cahier qui d'un coup se dirigea dans les airs directement à proximité de la main rayonnantes du maître suprême .
Immobile, avec une voix grave résonnante, le Maître dit en fermant lentement ses énormes yeux jaunâtres :
-Tiens , prends ce Life Note ! Tu as échoué en tant que shinigami , je te retire les droits dédiés aux dieux de la mort ! Aujourd'hui, tu appartiens aux Izanagi les Dieux de la vie.
Riyuk affolé ne voulait pas s'approcher de son nouveau cahier blanc, il essaya de fuir le plus loin possible, survolant le néant, mais le Life note le rattrapa rapidement dans les airs et percuta Ryuk à l'arrière de son crâne. L'impact créa un immense éclat de lumière dans l'espace sombre et vide.
Le Life note le transforma en Elfe avec des oreilles pointues. Son visage, sa coiffure et ses yeux rouges globuleux n'avaient guère changé, mais il était devenu tout petit et ses ailes noires devinrent, blanches.
Le néant s'était mis à trembler, un bruit profond et sourd se fit entendre, ce bruit fut généré par le maître des Dieux , qui était en train de reprendre sa position initiale. Les yeux clos et les bras croisés, assis sur un trône fait de millier de livres éparpillés et une multitude de feuilles de papier.
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Life note Chapitre 0 : Début
Le temps passa , Ryuk devint la risée du néant (réservé aux dieux de la mort) , il ne faisait plus parti des shinigamis et ne voulait pas rejoindre le monde des dieux de la vie. On le surnomma plus tard : Ryuk la coccinelle.
Un jour, il se remémora ses moments passés avec Light, tout en planant dans les airs, les jambes croisées, la tête vers le sol et les pieds vers le haut sombre du néant, il lâcha un soupir et se disait: Ah ! Le bon vieux temps, sacré Light. Ouais, je peux le faire, je vais ressusciter Light, je vais sûrement bien m'amuser ! ?Suite à ses dernières paroles, il balança son nouveau cahier vers la planète terre.
Sur Terre :
Il faisait nuit noire, au pied d'un immeuble se trouvait une jeune fille assise sur les bords d'un escalier. Elle pleurait, ses yeux fixaient vaguement le ciel sombre. Une violente dispute avait éclaté entre ses deux parents. Des pensées troubles rongeaient son âme et son cœur était lourd, assombri par la tristesse.
Quand soudain, elle vit une chose légère tombée du haut de l'immeuble, puis cette dernière heurta faiblement le gravier. La fille se leva hésitante vers l'objet blanc inerte sur le sol :
« C'est un cahier blanc... avec de belles bordures dorées » se disait-elle .
Elle l'ouvrit et commença à lire :
LIFE NOTE :
Dès lors que le LIFE NOTE tombe dans le monde des humains .Celui qui s'en saisit devient alors capable de voir et d'entendre le dieu de la vie qui en est l'ancien propriétaire.
Celui qui fait usage de ce cahier ne va ni en enfer ni au paradis.
Il faut avoir en tête le visage de la personne dont on écrit le nom, sinon cela ne fonctionnera pas le nom écrit sera ressusciter, cela se réalise.
Sa lecture fut interrompue par une voix à peine audible... « Salut, toi !» lança Ryuk.
La jeune fille était paralysée par la peur, mais du coin de l'œil, elle aperçut un insecte dépassant pas la taille d'un pouce, la chose avait des petites ailes en argents, des mains et des jambes.
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Life note Chapitre 0 : Début
Elle cria de toutes ses forces en exécutant des petits bonds répétés : « Une coccinelle mutante !! »
« Je suis un Dieu de la mort... Ah non, plutôt, un Dieu de la vie. Je m'appelle Ryuk. »
La jeune fille resta bouche bée après avoir vu cet être inconnu qui planait dans les airs et parlait sa langue.
Apeurée, elle courut à vive allure, le cahier à la main, trébuchant maintes fois sur les marches d'escaliers. À ce moment-là, son père vomissait au premier étage devant l'ascenseur de l'immeuble, son comportement était perturbé par l'abus d'alcool. Il avait sur lui un costume bleu crasseux ,des chaussures noires pointues , une belle cravate et un smartphone dans la main .
Il leva la tête, les yeux lourds, vit sa fille à bout de souffle et apeurée, criant les larmes aux yeux : «Papa, il y avait un truc là-bas, dehors, qui ma...»
Il l'interrompit en essuyant la salive qui dégoulinait de ses lèvres, il darda sur elle un regard noir :«Dégage, salope ! » lui avait-il dit en dirigeant vers l'ascenseur.
La fille se précipita vers la porte de son appartement qui était déjà ouverte. Une fois entrée, elle lâcha le Life Note de sa main, puis elle marcha sur une flaque de sang. En effet, une femme saignait abondamment au sol, son corps était couvert de plaies profondes...
Confuse, Angèle resta immobile devant le corps inerte de sa génitrice. « Maman...» murmura la détentrice du Life note. Elle suivit ce murmure par un cri effroyable plein de douleur. Elle fondit en pleure, puis s'écroula lourdement sur le sol.
Une fois à l'extérieur de l'immeuble, le père d'Angèle appela la police. Après quelques échanges politesse, il déclara avec une voix apeurée : « En rentrant dans mon appartement, j'ai découvert le corps sans vie de ma femme. Ma fille... Ma fille Angèle a assassiné... Sa propre mère ! Aidez-nous ! » La policière au bout du fil l'interrogea sur diverses choses pour s'assurer de la véracité de ses propos. « Merci beaucoup.» dit-il en terminant l'appel, le sourire aux lèvres.
Il était déjà plus de minuit.
Deux policiers entrèrent dans l'enceinte de l'immeuble où vivaient Angèle et ses parents. Ils montèrent rapidement aux troisièmes étages.
«C'est ici, c'est ouvert.» chuchota l'un des deux flics. Ce dernier, donna un violent coup pied à la porte mi-ouverte de l'appartement. Ils n'entendirent aucun bruit émanent de l'intérieur, ils redoublèrent de prudence. En inspectant le lieu, ils découvrirent une jeune fille inconsciente près d'un cadavre. Angèle fut transportée dans une ambulance sous la surveillance de la police.
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Life note Chapitre 0 : Début
Le lendemain matin, des enquêteurs, des inspecteurs et des hommes de la police scientifique débarquèrent sur la scène du crime. «On n'a pas trouvé d'empreinte, on n'a quasiment rien trouvé... L'autopsie n'a rien donné. On n'a pas de piste ! Ce crime est presque parfait.»soufla Myne, inspecteur de police. «En effet, on n'a toujours pas de piste.» déclara Syllas, un jeune détective. « Deux suspects. Une gamine de dix-sept ans et un ivrogne de quarante-cinq ans. L'enquête s'avère être difficile... Bref, je pense qu'on cherche au mauvais endroit, on pourrait bien trouver quelques indices dans l'ascenseur de l'immeuble, les escaliers ou...» ajouta-t-il l'air perplexe, en grattant machinalement l'arrière de son crâne.
-Le journal intime de la jeune fille. C'est un cahier blanc. Il s'appelle Life note. Original comme nom pour un journal
! « Tu as lu le contenu du cahier ? » demanda Syllas.
«Non, les hommes de la police scientifique ont prit le cahier pour l'examiner.» répondit Myne. «Les hommes en combinaison isolante avec un masque et des gants, on dirait des termites. Ils ravagent tout sur leur passage !» réprima le jeune détective «Demain, on aura les résultats. Je pense... Le cahier... Il y a peu chance...» déclara l'inspecteur en plissant les yeux et les lèvres.
Syllas avait plus confiance dans le jugement de Myne que dans les siens.
Au poste de police :
Angèle passa quelques jours à l'hôpital. Une fois rétablie, on l'emmena au poste de police et on l'a plaça en garde à vue. Elle fut enfermée toute seule dans un bureau, elle remarqua que la pièce était vide, il y avait uniquement deux chaises près d'un mur.
Soudain, la porte s'ouvrit laissant apparaître une dame portant une chemise à lavallière blanche, un pantalon cigarette noir et des baskets. Elle entra, se présenta, puis invita Angèle à prendre une des deux chaises et s'asseoir devant elle.
« Madame, je suis où ?» demanda Angèle, les larmes aux yeux
-Toutes mes condoléances. Votre mère est décédée, il y a deux jours. Je vais être franche et directe avec toi. Malgré ton jeune âge... La vie n'est pas tout le temps rose, Angèle. Sois forte !
-D'accord, Madame !
-Juste, Vimi. Appelle-moi, Vimi ! C'est mieux.
-D'accord, Madame Vimi.
-Mon dieu... Passons ! Où étais-tu, ce jour-là ? Le jour du meurtre.
-J'étais chez-moi avec mes parents.
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Life note Chapitre 0 : Début
« Votre mère avait des fréquentations avec des gens "louches, bizarres" ?»demanda-t-elle en traçant rapidement avec ses doigts des guillemets.
-Non... Je ne sais pas.
-Pourrais-tu me dire précisément, où étais-tu avant le meurtre ?
-En bas de l'immeuble.
-Pourquoi ? Que faisais-tu ?
-Je pleurais. J'étais triste.
Vimi se pencha un peu plus vers Angèle comme si elle allait lui avouer un secret.
« Quand j'avais ton âge, il m'arrivait souvent de me disputer avec ma daronne.» dit-l'enquêtrice avec un sourire espiègle.
-Mes parents se disputaient... À cause...
-Courage ! Continue.
« À cause de moi.» avoua Angèle en croisant pour la première fois, le regard de Vimi.
Les yeux de l'enquêtrice scrutèrent le visage de la jeune fille à la recherche de réponse. Elle reprit l'interrogatoire : « En bas de l'immeuble, étais-tu en compagnie d'une personne, un ami ou une amie ?» dit-elle en nouant ses deux mains.
Angèle resta muette. Elle hocha de la tête en signe de refus.
L'enquêtrice changea d'attitude. Elle saisit un sachet transparent en plastique avec deux doigts. Dedans, il y a un cahier blanc tacheté de sang. Le regard de l'enquêtrice était devenu sévère.
-On a trouvé ceci, sur le lieu du crime. Un Life note. Il t'appartient ?
D'une manière précipitée et désordonnée, Angèle expliqua à Vimi que le cahier appartenait à une coccinelle.
D'accord... lança l'enquêtrice avec un air de moquerie.
«Il s'appelle Rika.» Je vous jure Madame. Je dis la vérité ajouta-la jeune fille. Soudain, derrière son dos, Angèle entendit une voix.
«Rika, c'est qui au juste ? Tu parles de moi, là ? »répliqua le Dieu la vie. Ce dernier était allongé au-dessus d'une tête plate d'une caméra de surveillance. Brusquement, Angèle se dressa et se
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Life note Chapitre 0 : Début
retourna vers la voix de Riyuk.
«Le voilà, il est là ! » tenta-t-elle de justifier ses dires. Elle pointa du doigt l'appareil de surveillance.
Les inspecteurs qui suivaient l'interrogatoire sur les images filmées par la caméra de surveillance furent surpris, ils se regardèrent bizarrement comme si le suspect était parmi eux, puis ils se retournèrent derrière eux, comme s'il y avait un fantôme dans leur bureau de surveillance.
« La gamine n'avait jamais regardé "de face" la caméra de surveillance ! Jusque-là, elle ignorait son existence. » dit-l'un d'entre eux. Un brouhaha éclata dans la salle, les inspecteurs étaient réellement surpris par la tournure de l'interrogatoire.
Sur les écrans de surveillance, on voyait Vimi quitter la salle d'interrogatoire.
Quelques minutes, plus tard, un inspecteur remplaça Vimi, il avait un visage de trentenaire, viril barbe et des cheveux courts.
« Bonjour petite, je m'appelle Myne. Et voici... Roulement de tambour. La star, mon meilleur acolyte ! » dit-il en pliant légèrement ses deux jambes et en pointant du doigt la porte fermée de la pièce. Myne garda cette posture, le visage crispé, constant que la porte d'entrée ait toujours close, il jetait continuellement un regard gêné sur la gamine, attendant que syllas apparaisse. Angèle se mit à rire.
«On s'était mis d'accord pour faire cette mise en scène !»gronda Myne. Sale traître ! Bon sang, Syllas entre !
La porte s'ouvrit.
«Tu as fini ton cirque ?»répliqua Syllas.
À l'intérieur de la salle d'interrogatoire, Syllas fixait longuement Angèle.
« Elle a le regard... D'une meurtrière. Elle a besoin de tuer pour exister.» se dit-il.
Flash-back : La scène de crime.
Pour la première fois de sa vie, Angèle sentit l'odeur âpre du sang. Au fond de sa bouche, elle eut un goût amer et dans sa gorge une nausée humidifiée par une émotion plus forte que la tristesse.
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Life note Chapitre 0 : Début
Les yeux grands ouvert, sans vie, sans âme, de sa génitrice, la marquèrent au plus profond de son âme. Ce meurtre qu'elle n'avait point commis, éveilla brusquement en elle des émotions ardentes et méconnues.
Sur le sol, Angèle s'était pliée sur elle-même; ses yeux étaient écarquillés. Elle fixait sans cillé une énorme flaque de sang émanent du corps inanimé de sa mère. Elle se demanda ce qu'il était en train de lui arriver.
Quelques heures plus tard, Angèle se dressa d'un seul coup, elle avait un regard totalement différent : son regard était terne et vide. Son corps libérait une aura dangereuse et meurtrière. Elle fixa longuement le "Life note" qui s'était imbibé de sang. Elle le saisit, puis le huma avec euphorie.
«Du sang... Il est magnifique !» se réjouit elle.
«Dieu de la mort est-tu là ?» lança soudainement Angèle. Elle dardait un regard affamé sur le corps sanglant de sa génitrice.
«Non, pourquoi ?» répliqua Ryuk avec humour.
«J'ai envie de sang !» s'exclama-t-elle en dessinant des petits cercles avec son auriculaire sur du sang coagulé présent sur le sol.
«J'ai envie de tuer...reprit-elle, je veux de la gelée rouge.»
«Je crois que mon cahier te saura utile...» dit- Ryuk avec un large sourire
Elle ouvrit le "Life note" tacheté de sang sec sur ses pages et sa couverture :
LIFE NOTE :
1* Dès lors que le LIFE NOTE tombe dans le monde des humains .Celui qui s'en saisit devient alors capable de voir et d'entendre le dieu de la vie qui en est l'ancien propriétaire.
2*Celui qui fait usage de ce cahier ne va ni en enfer ni au paradis.
3*Il faut avoir en tête le visage de la personne dont on écrit le nom, sinon cela ne fonctionnera pas le nom écrit sera ressusciter, cela se réalise.
4* Ressusciter une personne venant de mourir dans un délai ne dépassant pas 5 min après sa mort, l'esprit regagne le corps qu'il détenait dans son état original, cinq minutes avant sa mort.
5* Ressusciter une personne morte pendant plus de 5 min, l'âme du défunt hantera le
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Life note Chapitre 0 : Début
possesseur du cahier jusqu'à que ce dernier, prend possession d'un corps récemment mort, dans un délai ne dépassant pas 5 min. L'entité doit être présente avec le possesseur du cahier lors de la mort de l'hôte dans le délai mentionné pour que la résurrection soit.
6* Même si une personne est arrivée à la fin de son espérance normale de vie, tant que son nom et est écrit dans le Life Note, il vivra dans un délai limiter donné par le possesseur du life note.
À la suite du nom écrit à l'envers, si l'on écrit la cause de la mort dans un délai de 40 secondes du monde des humains, cela se réalise.
7*Si l'on n'écrit pas la cause de la mort, c'est systématiquement due à une crise cardiaque.
Si l'on écrit la cause de la mort, on obtient alors un délai supplémentaire de 6 minutes et 40 secondes pour décrire précisément le déroulement de la mort.
Elle cherchait un mot précis, et elle l'avait enfin trouvé : la mort !
Soudain, Angèle reçut un violent coup de pied dans son dos, elle s'écroula sur le corps inanimé de sa mère présent au milieu de la pièce. C'était son père qui venait de l'éjecter tels une balle de tennis. Ryuk se mit à rire tandis que la fille se releva avec le sourire et un regard pleins de désirs, fixant son père avec un air bizarre. Elle se mit à chantonner tout en marchant à quatre pattes vers son agresseur. Ce dernier, se jeta sur elle et lui donna de violent coups de poings au ventre.
«Je savais que t'étais folle, mais pas à ce point-?à.» avoua le père d'Angèle. (Fin du flash back.)
Retour dans le présent : Au poste de police.
Syllas fixait longuement Angèle.
« Elle a le regard... D'une meurtrière. Elle a besoin de tuer pour exister.» se dit-il.
Angèle, tu es libre. Tu peux t'en aller. déclara calmement Sylla.
Myne fut surpris par les propos de son collègue : Mais... Souffla-t-il en ouvrant grand les yeux.
- Pas un mot de plus, Myne.
- Attends,mais...
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Life note Chapitre 0 : Début
- J'ai dit... Pas un mot !
- Ah, une dernière chose Angèle, n'oublies pas ton cahier blanc. ajouta Syllas.
Angèle fut libérée.
Quelques jours plus tard, le père d'Angèle regagna son appartement complètement ivre. La clé entre le pouce et l'index et le dos courbé, il n'arrivait pas à la mettre dans la serrure de la porte. Cette dernière, se déverrouilla toute seule, puis s'ouvrit lentement devant le regard ébahi de l'ivrogne.
Une fois à l'intérieur, l'appartement était plongé dans l'obscurité totale. Les rideaux et les fenêtres étaient tous fermés; il dit dit avec une voix lourdes et à peine compréhensible : Quel...qu'un... Ici !
-Entre ! répond une voix cachée dans l'appartement.
- Elga, c'est toi ? Ma femme chérie, tu es revenu d'entre les morts pour te venger ? Il ferma la porte d'entrée et sortit un couteau de chasse de sa poche. Angèle tua son père.
Dans un café*
Myne dardait un regard noir sur Syllas en aspirant périodiquement des bouffées de nicotine.
-Rassures-toi, l'enquête n'est pas encore finie. J'ai un plan, mon cher Myne.
- Syllas ! On est pote, tu devais prendre mon avis avant de prendre des initiatives, hâtives et sans justifications. Je te signale que tu as relâché Angéle, comme ça... Nos supérieur sont mécontents de la tournure que prend cette affaire.
- Ce soir, on ira rendre visite à cette fameuse Angèle. On aura sûrement des preuves ou des indices, qui nous aiderons à trouver le coupable de ce meurtre.
Arrivée devant un grand immeuble, les deux inspecteurs, Myne et Syllas, entrèrent et prirent l'ascenseur pour se rendre à l'étage où habitait Angèle et son père.
- On a sonné plusieurs fois...chuchote Myne.
Soudain, la porte s'ouvrit, le père d'Angèle tremblait au sol, il avait une mine affreuse : Aidez- moi, ma fille est une sorcière, elle me tue et me ramène à la vie.
Les mures de l'appartement étaient recouverts de sang. En effet, Angèle s'était amusée à tuer son père et le ressuscité grâce au life note.
Voici, les résultats de ta liberté ! s'ex clama Syllas.
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Life note Chapitre 0 : Début
Plusieurs enquêtes ont été menées, mais le résultat demeura le même : le père d' Angèle était toujours en vie et n'avait aucune cicatrice ni blessure sur son corps. Pourtant le sang présent sur les murs furent les siennes, l'arme du crime était un couteau de chasse. Hélas, les inspecteurs faisaient face à un grand dilemme : les alibis étaient contradictoires, mais toutes les preuves condamnées Angèle comme l'auteure de ce crime, sans vraiment en être un.
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