Disclaimer : Game of Thrones est l'oeuvre de George R.R Martin, de DB Weiss et de David Benioff, cet écrit est un écrit de fan, je ne gagne rien, sinon des reviews et les reviews ne permettent pas d'acheter des spaghettis.
Résumé : Pour Amerei, université rimait avec liberté.
Note de l'auteur : Cet écrit a été rédigé pendant la session d'écriture du 02/04/2021 sur le Discord « Fics GOT » de House of the lion. Cette session est placée sous le thème des UA modernes.
UA n°4 : UA Ecole (lycée, fac etc)
Université et liberté
Amerei avait surpris tout le monde en allant à la fac. Elle n'était pas stupide, loin de là. Elle était même très intelligente. C'était juste qu'elle ne semblait pas avoir de réel amour pour le système scolaire. Pourtant, lors de ses années lycées, elle avait mis les bouchées doubles pour obtenir les meilleures notes, des recommandations, des bourses d'études. L'université rimait avec majorité.
Et à ces deux mots, la jeune femme associait celui de liberté.
Partir à la fac, avoir dix-huit ans, cela voulait dire pouvoir quitter ses parents toxiques et couper les ponts.
Elle s'était assurée de pouvoir garder contact avec ses sœurs mais sa décision était irrévocable : une fois la porte du domicile familial claquée, elle ne la rouvrirait plus jamais. Elle avait assez supporté les brimades, les insultes, les coups parfois. Elle ne voulait rien leur devoir et surtout pas sa vie, sa réussite.
Son existence d'étudiante n'était pas facile entre les cours, les petits boulots pour économiser pour sa vie en dehors des bancs du campus, la fatigue, couper petit à petit les ponts avec les indésirables et avoir des bonnes notes. Mais le jeu en valait la chandelle : ainsi, elle montrait à ses cadettes qu'elles aussi pouvaient s'échapper de l'enfer parental. Et surtout, il y avait Lancel.
Lancel, ce joli garçon un peu timide qui avait bien changé depuis les années lycée.
Lui aussi avait bien souffert, avait dû analyser sa vie, faire des choix difficiles, redémarrer de zéro. Sauf que, contrairement à elle, il semblait avoir du mal à se faire des amis. Alors elle lui tendit la main, comme d'autres la lui avaient tendue à son arrivée.
L'université ouvrait bien des portes. Désormais, c'était dans ses bras nus qu'il se réveillait le matin après avoir rêvé d'une vie plus belle à ses côtés, une vie qu'ils construiraient ensemble, un petit nid où se ressourcer après un moment un peu trop dur dans le monde.
FIN
