Disclaimer : Tout l'univers et les personnages de Twilight appartiennent à Stephenie Meyer !
Hey, j'ai décidé de rattacher les bonus aux histoires concernées. Donc, si vous avez envie que j'écrive une scène qui a été seulement évoqué dans l'histoire sans plus, dites-le moi.
*Ce passage est une extension de la scène de la douche lorsque Bella accepte Paul après qu'il lui ait demandé pardon pour lui avoir caché son imprégnation !
Point de vue de Paul !
« Bella, qu'est-ce que tu fais ? » demandai-je en la regardant se déshabiller.
Ouais bah je ne pouvais pas faire autrement. Il était hors de question que je détourne les yeux devant une telle beauté et une telle perfection.
« Je t'ai vu tout nu, alors maintenant, c'est ton tour ! » me dit-elle d'une voix suave.
Oh punaise ! Mais elle veut ma mort ! Elle me prend la main et me fait entrer dans la douche avec elle…
L'eau qui se déverse sur nous était chaude, bien que je ne prenne que des douches froides depuis que ma vie était entrée en collision avec celle de la sublime femme qui se collait à mon corps. Elle était plus petite que moi, et plus menue aussi. J'ai peur de la casser ou de lui faire mal sans le vouloir, vu ma force décuplée depuis que j'étais un loup-garou, mais cette peur s'évanouit quand MA Bella se hissa sur la pointe des pieds pour m'enlacer et m'embrasser. Je posais mes mains sur ses hanches, sans pour autant la serrer davantage, même si ce n'était pas l'envie qui m'en manque, et elle le ressentit.
« Hey, de quoi t'as peur ? » me demanda-t-elle.
« De te casser. » répondis-je aussitôt.
« Tu ne vas pas me casser. » m'assura-t-elle en souriant. Qu'est-ce qu'elle est belle quand elle sourit. « Je t'ai pardonné, tu te rappelles ? T'as le droit de m'embrasser, de me toucher où tu veux, et quand tu veux. »
« Où je veux ? » répétai-je en sentant un sourire étirer ma bouche. Ma Bella acquiesce. « Tu ne sais pas ce que tu dis en m'autorisant ça. »
« Ne m'oblige pas à te supplier. » dit-elle en caressant mon visage. « A quoi bon attendre ? On est fait l'un pour l'autre, alors n'aies pas peur de me toucher. »
Elle a raison, mais je suis tellement en manque de sexe que j'ai peur de trop me laisser aller. Tant pis, il faudra que je trouve la force de m'arrêter si je vais trop loin, mais pour l'heure, j'ai envie de caresser et d'embrasser chaque partie de son corps. Elle m'en a donné la permission. Je l'embrassais, quand je m'écartais pour demander :
« Ton père ne risque pas de nous surprendre ? »
« Il ne rentrera que demain. » m'assura-t-elle.
« Ok, génial ! » dis-je en prenant son visage entre mes mains pour l'embrasser pleinement. « Bella, je ne vais pas te faire l'amour sous la douche. Je ne veux pas que ta première fois se passe comme ça. »
« Je n'en attends pas moins de toi. » me dit-elle. « Suis juste ton instinct. »
Mon instinct ? Mon instinct – ou surtout mes envies, me dictent de me mettre à genoux et de l'embrasser là où j'en ai envie.
« A quoi tu penses ? » me demanda-t-elle.
« A tout ce que j'ai envie de te faire. » répondis-je en glissant les doigts de ma main droite juste au-dessus de son sein. « J'ai le droit ? »
Elle se mordit la lèvre – ce qui me rend fou, et hoche la tête pour me donner sa permission. Je fais glisser mon index sur la courbe de son sein. Son souffle se fait plus erratique. Personne ne la jamais touché de cette façon, alors je vais y aller doucement. Je l'embrasse pleinement tout en la serrant contre moi. Je fis balader mes mains avec patience dans son dos, le long de ses reins avant de basculer ma bouche sur son cou. Je ne pouvais pas me retenir plus longtemps alors je descendis ma bouche entre ses seins tout en la caressant sans être brusque. Je l'entends gémir, ce qui est bon signe pour moi et je continuais jusqu'à son ventre. Oui, je suis agenouillé, comme je l'avais imaginé depuis qu'on était entré dans cette douche.
« Paul je… »
« Tu veux que j'arrête ? » l'interrompis-je.
Je pouvais sentir ses jambes trembler sous mes mains lorsque je les posais dessus, et quand je la vis se mordre la lèvre, je dû me retenir de lui sauter dessus.
« Bella… » dis-je en embrassant l'intérieur de sa cuisse. « Tu veux que j'arrête ? »
« N… Non ! » répondit-elle dans un souffle.
Elle a dit non. Elle ne veut pas que j'arrête. Merci Seigneur ! Même sous la douche, son odeur m'enivre. Son goût sur ma langue se mélange à l'eau. D'une main, j'encerclais sa taille et de l'autre, je lui écartais légèrement les cuisses, juste ce qu'il fallait pour que j'atteigne mon but. Je croisais son regard rempli d'appréhension, alors je me redressais sur mes jambes et l'embrassais tendrement à pleine bouche pour la rassurer.
« Si c'est trop pour toi, dis-le-moi et j'arrêterais. » susurrai-je contre ses lèvres.
Elle hocha la tête. Doucement, je me remis à genoux tout en parcourant son corps de baisers et de caresses. Je savais qu'elle n'avait jamais été touchée de cette façon, et j'étais très heureux d'être son premier… même si elle ne sera pas ma première. Je n'y pensais pas et me concentra sur ma tâche. Mon plaisir, qui sera le sien dans quelques minutes. A nouveau, je posais ma bouche à l'intérieur de ses cuisses, que j'embrassais une à une avant de remonter jusqu'à la naissance de son ventre. Je faisais exprès d'éviter la partie de son corps que je convoitais, mais à force d'embrasser ci et là, je n'en pouvais plus alors, avec lenteur et patience, tout en maintenant ses hanches de mes mains, je l'embrassais là. Je la sentais agripper mes cheveux, ce qui m'excitait encore plus. Cette fille est une overdose à elle toute seule. A mesure que mes lèvres et ma langue glissaient sur elle, je sentais mon corps tout entier frémir. Ce que c'était bon. Elle avait un goût fabuleux. Je pourrais continuer encore et encore, mais elle y mit fin toute seule quand elle laissa échapper un gémissement dû à son orgasme. Je me redressais pour l'empêcher de tomber quand je sentis ses jambes trembler.
« Eh, tout va bien ! » la rassurai-je en la prenant dans mes bras. « Est-ce que ça va ? »
« Hun hun ! » dit-elle en s'écartant.
Elle prit mon visage entre les mains et m'embrassa tendrement.
« Mes doigts sont fripés ! » me dit-elle.
« Sortons de là alors ! » dis-je en coupant l'eau de la douche.
Je me drapais d'une serviette autour de la taille – ayant éclaté mon short en venant la retrouver, puis, je l'enroulais elle dans une serviette, la plus grande que je pus trouver, et la gardais contre moi un moment.
« Tu t'es retenu ! » me dit-elle.
« Oui ! » répondis-je avec honnêteté. « Mais j'attendrais le temps qu'il faudra. »
« Tu n'auras pas à attendre bien longtemps. » souffla-t-elle.
Elle me sourit, et je l'embrassais donc pleinement avant de la laisser se rhabiller et se sécher les cheveux pour ne pas qu'elle attrape froid, sans la quitter des yeux une seule seconde.
