Deuxième défis, de Neliia !
La contrainte était « Post-apocalyptique avec mention de guerre obligatoire ». J'ai fait 400 mots et ai donc du retailler à la hâte. Je me suis permise de re-modifier quelques détail en republiant ici
Stiles mit tendrement sa tête sur l'épaule de Derek.
- Je ne pensais pas revenir à BH un jour
- Un jour ?
- Façon de parler.
Derek renifla, c'est ce qui se rapprochait le plus d'un rire chez lui dorénavant. Pas qu'il ai été un grand rieur à l'origine, juste que depuis les événements du 4 avril il n'avait pas montré de signe extérieur d'amusement plus intense.
Stiles riait parfois. De façon dérangeante dans une odeur de chair brûlée sur concerto de hurlement. Mais au moins il riait.
- Tu crois que c'était le lycée avant ?
- Tout a changé, on ne reconnaît rien depuis qu'il n'y a plus de soleil.
Ils balayèrent le paysage du faisceau jaunâtre de leurs lampes fatiguée. Les ruines qui n'étaient pas brûlée portant encore la marque des bombes. Stiles regarda les restes d'un obus.
- Je suis heureux que papa et Scott soient mort au début. Ils auraient détesté la façon dont ce bordel à tourné.
Derek acquiesça. Oui, Scoot et le Shérif étaient trop cheval sur les principes pour supporter une vie comme la leur. Tant mieux, ils ne pouvaient pas se permettre d'avoir de bouches inutiles.
- Une bonne chose que Scott ai eu le temps de te mordre au début de la guerre.
Ils ne dirent plus un mot jusqu'au bunker. Ils frappèrent deux coups, un coup puis trois coup. La femme qui ouvrit devait avoir 30 ans , méfiante elle demanda :
- Où est Sam ? Qui êtes vous ?
- C'est le lapin de pâque, connasse.
Elle était morte avant d'entendre la fin de la blague de Stiles, mais l'intention y était.
La suite ne fut que l'habituelle débâcle de violence, les même pleurnicheries, les même supplications, les même pathétiques tentatives de rébellions qu'a chaque pillage
