Notes d'Auteur : Ces récits forment un tout ; ils doivent attester d'une volonté de transmettre une histoire, c'est ce pourquoi la page précédente se dessinait comme une légende que l'on conte aux enfants, et c'est ce pourquoi celle-ci représente les maximes que l'on peut avoir en pensant à ce jeu, sous forme courtes, et sous plusieurs angles, un peu comme un drabble, l'assurance en moins !
D'un débutant :
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J'aime ce jeu, ça m'amuse d'être si libre !
J'avais des tas de classes que je pouvais expérimenter, et je pouvais tout faire !
Et puis même sans force, j'étais aimé de la communauté.
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D'un complétionniste :
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Dans ce jeu... Il y a beaucoup de choses.
Le matin, je gagnais de l'or ; le midi, je chassais le succès ; le soir, je discutais en paix
Et à la nuit, devant ma brillante archive, j'ai souri.
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D'un rêveur :
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Avec ses multiples facettes et paysages, le jeu nourrissait mon imagination.
La terre fertile et ses honorables laboureurs ; la ville et ses glorieux héros !
Aven, capitale de l'île, tes flèches blanches et mes semblables roleplayer...
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D'un gladiateur :
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Arène des monstres, tu ne peux m'effrayer
Car j'ai confiance en moi, et en mes trois, dix, ou encore mes centaines de coéquipiers !
Même en guerre, et contre tous, nous formerons toujours une solide amitié !
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D'un leader :
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Amis, famille, amour ; on trouve toujours le prétexte pour s'unir
Et là, c'était pareil ; même à distance, on s'envoyait gaiement des lettres vertes.
Et l'on s'alliait dans les meilleurs moments, pour éviter les pires. C'est ça, une guilde.
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D'un marchand :
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Il y a plus d'un moyen de gagner de l'argent.
Reste encore à trouver le moyen de le rentabiliser.
Car, saviez-vous qu'une fois tout empoché, une limite vous empêche de tout apprécier ?
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D'un altruiste :
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Cristal rose, bleu, or ; ces belles gemmes aux multiples couleurs
Précieuses et convoitées, elles doivent apporter le bonheur.
Est-ce cependant le même que celui sur ton visage quand je te donne leur trésor ?
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D'un amoureux :
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Certains aiment s'unir pour rire, ou pour être partenaires uniquement.
Pourtant, qu'elle est la beauté véritable de l'amour ?
Si ce n'est de voir tant de conviés, tant de chers proches, le jour où l'on s'est marié ?
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D'un promeneur :
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Si la diversité d'un environnement est si grande c'est qu'il faut l'explorer !
Même si être couronné d'honneurs vaut si peu
Ça fait un souvenir de plus accroché à nos villas.
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D'un solitaire :
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Le savoir est une arme dont le maniement a deux tranchants
D'un côté, l'on connaît tout, et l'on peut tout atteindre.
De l'autre, l'on plie sous le poids de la demande.
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D'un défenseur :
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Celui qui sert de rempart à ses alliés s'arme de foi.
Celle-ci n'est pas toujours la solution ; alors le guerrier doit lutter sans aucune peur.
Qu'elle naisse de sa foi ou de sa force, sa puissance est faite pour confronter le mal.
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D'un tacticien :
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La flèche est l'arme de celui qui ne cherche que la victoire
Le fusil, de celui qui ne la redoute pas.
S'il faut porter l'arme fatale, c'est que l'on se soulève contre son bien et son mal.
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D'un vétéran :
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S'il y a une bonne attaque, c'est celle qui touche ; l'adversaire doit en être dépourvu.
C'est ce pourquoi il y a de bons combattants, et de mauvais protecteur.
Maintenant, la meilleure lame est-elle inégalable, ou simplement la seule ?
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D'un soigneur :
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Quand on conte une histoire, on apaise bien des maux.
La véritable foi touche même ceux qui ne la reçoive pas.
La dévotion pour ses équipiers, c'est d'être le plus sage d'entre eux.
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D'un enchanteur :
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La magie bouscule les éléments ; un désert se recouvre de stalactites glacées
Et ce monde a autrefois souffert des démons qu'elle invoquait.
Un mage élevé sait la vérité ; il n'y a de démoniaque que l'incantateur.
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D'un démon :
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Ceux qui aspirent à la destruction de la matière sont ceux qui l'ont vécue.
Et ceux qui veulent le pouvoir n'en sont que trop dépourvus.
Car l'on ne laisse pas suffisamment agir ceux qui n'ont plus que la genèse pour salut.
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D'un prodige :
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S'il faut manier dans ses mains tous les pouvoirs
S'il faut rejeter la raison, la nommer désillusion
Alors il faut bien que le mal soit double plus qu'un.
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Des races :
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La légende de cinq êtres n'est pas vraie.
Pour sûr, ils étaient là.
Seulement, c'est l'union de tous les autres qui a formé ce seul conte.
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Du pape :
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Pouvoir et influence,les traits qui conservent la voûte céleste
Tour de Babel, orgueil humain, je ranime tes ruines
Mais cette fois, c'est pour que chacun trouve sa place
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D'une âme :
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J'écris quelques mots, qui sombrent dans l'oubli.
Merci, merci pour tout.
Pourvu que cette bouteille soit portée assez loin.
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À une amie :
Car il y a des mots pour toi, mon amie
Mille ans après, je ne les ai jamais dits
Alors peut-être les recevras-tu sous ce ciel améthyste.