Chapitre 1 / Un sentiment de liberté
Liste des défis :
Prompt 11 : "Je peux t'entendre..." (lien) - Prompt infinis ( Félicia)
Titre du 23/04/2021 : Un sentiment de liberté (lien) - Titre du jour ( félicia)
Prompt du 03/10/2020 : - Regarde ses cheveux ! - Ce sont des cheveux quoi. - Mais ils sont hyper soyeux ! - Tu n'es pas un peu fétichiste sur les bords toi ? (lien) - Prompt du jour ( Félicia)
Dans sa chambre Phoebe, repensa à son amoureux, Cole Turner qui fut périlleux dans ses propres mains, il eut quelques mois. Mais, elle ignora qu'il fut encore en vie. « Je peux t'entendre. » pensa-t-elle entre les lignes, en regardant la photo de lui et d'elle entre les pages.
Une larme coula sur sa joue.
Puis, elle se cacha sur son oreiller.
Déboussolée.
Attristée.
Triste.
« Tu me manques Cole, terriblement. Je ne voulais pas en arrivée là, je ne voulais pas te tuer. Pourquoi, je t'entends ? Pourquoi je ne te vois pas dans le mausolée familial ? Notre cachette d'amour, notre lieu de sécurité, notre lieu de rencontre…Bref, j'ai l'impression que ma vie tourne au cauchemar depuis que tu es partie. Tu me manques…. » pensa la sorcière en s'affolant sur son lit, malheureuse comme jamais.
Puis, sa cousine entra dans sa chambre pour la réconfortée, gentiment. Une fois entrée dans sa chambre, elle referma la porte derrière elle, lentement. Piper fut au travail, Léo veilla sur ses protéger, Prue au travail également. Pearl fut la seule personne disponible pour aider sa cousine préférée. Elle s'assit près du lit, les mains posées sur ses genoux, le regard posé sur la sorcière qui déprima. L'humaine se demanda ce qui n'allait pas chez elle-même si elle se douta un peu de sa réponse. Cole.
« Pho…be, regarde-moi…
-Je n'ai pas la force, je suis affaiblie par cette épreuve.
-Si, je te disais que Cole est toujours là quelque part dans ton cœur ?
-Prue me l'a déjà dit, ce matin, s'efforça de répondre la cadette, j'ai mal..
-Vient dans mes bras, je sais que cela est dure. Surtout que j'ai une dette envers lui. Il m'a sauvé la vie, plusieurs fois. Puis, j'ai compris que je devrais rester auprès de Jack, l'homme de ma vie.
-Qu'est-ce que tu veux dire et tes pouvoirs ?
-C'est compliqué, je vais bosser dans la police avec Andy, Maurice.. La chasse aux démons, ce n'est pas mon truc, je chasse les criminels et j'aime Jack, mais il n'en fait plus partie…
La concernée se redressa doucement et essuya ses larmes. Tout en reprenant son souffle, la jeune sorcière scruta du regard sa cousine dans les yeux noisette de cette dernière.
-Qu'est-ce que tu veux dire ? Tu abandonnes ?
-Pas vraiment, mais depuis que mon ex-Ben m'a kidnappée car il a été mis au courant pour vous trois à cause de Barbas, commença Pearl, je m'expose en danger permanant, mais je veux juste protéger ma famille.
-On est ta famille, bien sûr, mais qu'est-ce que tu me caches, on dirait un adieu…
-Pas vraiment, un adieu…Seulement, juste que j'ai une mauvaise intuition….
-Quel genre ? Quelles sont les signes ? Se demanda, la sorcière attristée par les mots.
-Juste qu'on m'a attaqué, il a quelques jours et Andy m'a sauvée.
-Quoi, pourquoi tu nous en pas parler ? Je suis inquiète !
Pearl, l'agent de terrain se mordit la lèvre avec une touche hésitante sur les lèvres.
-Parce que vous avez déjà vos problèmes avec les démons, cousine. Entama, l'humaine en reprenant son souffle, en plus, je suis hyper vigilante dehors. Je ne fais pas confiance n'a personne et particulièrement aux démons. Puis, je vis chez Jack, durant la semaine et le weekend je suis ici. »
Phoebe haussa un léger sourcil gauche et serra sa cousine, très fort dans les bras. À ce moment-là, il eut une complicité forte entre elles. Un regard, un sourire, un moment fort entre les deux. Pearl avait réussi a remonté le moral de sa cousine. Puisque celle-ci se leva de son lit et s'étira les bras vers le haut du plafonnier. Puis, elle alluma la tv de sa chambre pour écouter les informations du jour.
« Regarde ses cheveux !
-Ce sont des cheveux, quoi…Commenta la sorcière en souriant de nouveau.
-Mais, ils sont hyper soyeux ! s'enflamma, la jeune femme entre les lignes.
-Tu n'es pas un peu fétichiste sur les bords toi ? Cousine. »
Elles rigolèrent pendant quelques secondes. Puis, le téléphone sonna dans la cuisine et les filles descendirent des escaliers avec un moment lent. On entendit même les craquements de bois.