Hey, me revoilà rapidement avec ce second chapitre (rien a redire sur le faite que j'arrive mieux à écrire cette fanfiction que celle d'avant mais promis le chapitre 5 est en cours de réécriture et je pense poster le chapitre et les autres après finir cette fanfiction histoire de me mettre moins la pression ^^)
FMA ne m'appartient pas mais cette Fanfiction si.
Chapitre 2: Dites-lui.
Roy sortait à peine de la cuisine pour se diriger vers la pièce qui semblait être le salon quand il entendit un gros bruit venant de l'étage au dessus de lui, ce gros bruit était un bruit qu'un objet lourd ou même une personne faisait quand celui-ci tombait au sol, Roy sortit ses gants de la poche du pantalon de son uniforme et les enfila en partant au pas de cours en direction des escaliers, il les monta assez rapidement et sentit son cœur s'arrêter en arrivant aux dernières marchent qui donnait la vision dans la pièce où Riza était entré peu de temps avant lui. La première chose qu'il vu dans la pièce était sa subalterne allonger au sol, dos à lui tandis que la fenêtre face à elle était grand ouverte, sans se soucier du reste il courra en sa direction.
- Lieutenant!
Arriver dans la pièce, Roy se mit à genoux et retourna Riza, il constata qu'elle n'avais aucune blessure mais semblait cependant inconsciente, il soupira de soulagement et se releva pour aller en direction de la fenêtre ouverte et regarder si une personne était présent, mais rien du tout, il ne vit personne, cependant un bout de tissus qui semblait être arracher au reste de son tissus original était présent sur le rebord d'une fenêtre, il était rouge, Roy le prit et sentie que la texture était surement du satin, il le rangea dans sa poche puis il décida de retourner près de Riza, il remarqua cette fois-ci qu'elle avait la respiration saccadée, cela n'augurais rien de bon, Roy décida de toucher le visage de la blonde et au plus grand malheur le visage de la jeune femme était bouillant, il ne fut pas longtemps pour que Roy comprenne ce qu'il ce passe. Oui son lieutenant était fiévreuse, le jeune brun comprit également que c'était la même fièvre que celle qui avait ôté la vie à plusieurs jeunes femmes, il en était sur vue que que Riza était en bonne santé encore le matin même et qu'il était impossible pour elle de cacher a Roy quand elle était malade car monsieur savait très bien reconnaître quand son lieutenant n'aillais pas au meilleure de sa forme.
Havoc allumais une nouvelle cigarette toujours en scrutant l'horizon, il soupira d'ennuis, rien ne se passait ni même personnes ne pointer le bout de son nez, il aurait voulut les aider à l'intérieur histoire que ça aille plus vite ou même rester avec Breda et Fuery les aider également histoire de faire quelque chose et non se tourner les pouces derrière le volant de la voiture de son supérieur, il soupira une nouvelle fois et prit une bouchée de fumée de sa cigarette avant de la cracher lentement comme si cette action ferais passer le temps plus vite. Il vit cependant Roy ressortir de la maison Riza dans les bras, il n'avait pas besoin de mots pour comprendre ce qui se passait et il sortit rapidement de la voiture et ouvrir la porte arrière de celle-ci pour permettre à Roy de déposer Riza sur la banquette arrière, il remarqua rapidement que la jeune femme avait une respiration saccadée et que c'était sûrement cette mystérieuse fièvre qu'elle venait d'attraper il ce contenta de se remettre au volant et de démarrer la voiture tandis que Roy s'installa également a l'arrière de la voiture pour permettre a Riza d'avoir sa tête sur ses jambes pour un meilleur confort durant le trajet. Havoc jeta un rapide coup d'œil dans le rétro pour croiser le regard de son supérieur.
- Je nous conduit a l'hôpital le plus proche.
- Oublie ça je te rappelle que les hôpitaux ne veulent plus prendre de victime de cette foutue fièvre, emmène nous c'est Knox et le plus rapidement possible.
- Bien entendu.
Jean mit la première vitesse et partie en direction de chez Knox, durant le chemin il regarda plusieurs fois dans le rétro pour regarder son supérieur, même si à travers celui-ci Roy paraissait calme au vue de la situation il savait très bien qu'il était mort d'inquiétude pour son Lieutenant, la dernière fois que c'était arrivé c'était le Jours promis et dieux sait à quel point cette épreuve avait était dur pour le brun. Le chemin semblait interminable jusqu'à la maison de Knox, Roy avait une mains poser sur le front de Riza, il sentait que la jeune femme était bouillante mais il avait espoir que la température baisserais, qu'elle irai mieux en un claquement de doigts mais rien de tout cela n'arrivais et ceux jusqu'à destination.
Arrivé devant la maison de Knox, Roy sortit en premier de la voiture en faisant bien attention de déposer correctement la tête de Riza en douceur sur la banquette arrière, il fit signe a Havoc de rester pour le moment dans la voiture histoire de garder un œil à Riza. Roy marcha rapidement pour ce retrouver le plus vite possible devant la porte de Knox, sans perdre un instant il sonna chez lui, vue que personne ne répondit il résonna une nouvelle fois et au bout de quelques secondes il entendit derrière la porte la voix de Knox.
- Oui oui j'arrive, pas besoin de s'exciter sur la sonnette.
Soulager d'entendre la voix de Knox, Roy attendait qu'il ouvra la porte, quand celui-ci le fit il fut à moitié étonné de voir Roy devant sa porte, il l'interrogea du regard et remarqua rapidement le côté inquiet de Roy dans ses yeux, il soupira.
- Que se passe t'il cette fois-ci ?
- Mon lieutenant est victime de cette satanée fièvre et comme tu dois surement être au courant les hôpitaux ne veulent plus prendre les femmes ayant cette mystérieuse fièvre et comme je ne connais personne étant médecin autre que toi j'aimerais avoir votre aide pour vous occuper de Hawkeye.
Knox soupira une nouvelle fois, à chaque fois que Roy venait chez lui c'était pour lui demander de l'aide et non pour des simples visites de courtoisie.
- Je suis médecin légiste, je te le rappelle Roy, combien de fois devrais-je te le dire ?
- J'en suis bien conscient mais tu est le seul à pouvoir m'aider, à pouvoir l'aider, je sais que tu vas me dire que tu ne pourra pas faire grand chose, qu'il n'y a aucun remède pour le moment, mais je sais que tu pourra garder un œil sur elle le temps que je trouve une solution pour la sauver et sauver d'autres victimes futur.
Knox se gratta l'arrière de la tête, regarda Roy puis la voiture et fit signe à Roy de rentrer avec les deux personnes présent dans la voiture, Roy remercia Knox de la tête et alla en direction de la voiture récupérer Riza et prévenant Havoc qu'ils avaient l'autorisation de rentrer chez Knox, le blond coupa le moteur et sortit de la voiture, il salua de loin Knox qui le salua en retour, les deux militaire s'empressa de rentrer à l'intérieur de la demeure, Roy suivit Knox jusqu'à la chambre de celui-ci où il déposa par la suite Riza sur le lit.
- Tu peut rejoindre ton collègue je m'occupe d'elle, vous pouvez rester un peu prendre une tasse de café.
Roy acquiesça et sortie de la chambre laissant ainsi Knox et Riza, il rejoignit son subalterne qui était assis sur le canapé présent, il regarda son supérieur aller vers le canapé et s'assoir a coter de lui, il le vit mettre sa tête entre ses mains, il décida de poser une mains sur l'épaule la plus proche de lui pour le soutenir, Roy montrait enfin son inquiétude qu'il avait essayé de cacher le plus longtemps qu'il pouvait et Havoc pouvais être là comme il pouvait pour soutenir son supérieur, ce geste fit apparaître un petit sourire triste sur le visage de Roy qui ne passa pas inaperçu aux yeux d'Havoc.
- Elle est forte, c'est pas la première fois qu'elle passe à côté de la mort, elle tiendra le coup jusqu'à que nous élucidions cette affaire et que nous trouvions le remède de cette fièvre.
- Je l'espère, avec toutes ses femmes mortes, j'ai bien peur que nous arrivions pas à trouver ce que même les médecins n'ont pas réussi à trouver, je me sent tellement impuissant face à ça, j'aurais pas dû la laisser monter seule, si elle meurt je ne sais pas comment je pourrais endosser le reste de ma vie professionnelle.
- Ne baisser pas les bras aussi rapidement Général, ce n'est pas de votre faute si cela est arrivé et puis notre équipe a fait fasse a tellement d'obstacles et celui-ci nous y arriverons aussi.
Roy releva la tête et regarda Jean, il avait raison il ne devait pas baisser les bras, il ne comprenait pas pourquoi il réagissait comme ça, il perdait tout repaire quand Riza était dans une mauvaise posture, déjà pour le Jour promis il était près a faire ce que demandait leurs ennemis pour pouvoir la sauver, de baisser les bras et abandonner l'idée de ne jamais faire de transmutation humaine pour pouvoir la sauver, il était prêt à sacrifier sa vie ce jour là pour sauver la sienne mais cette fois-ci impossible pour lui de faire sa, il se sentait encore plus impuissant que un jour de pluie, il serra les point et les posa sur ses cuisses.
- Mon Général ?
La voix de Havoc fit sursauter Roy qui sortait enfin de ses pensées négatives, il regarda Jean qui avait la tête levée en direction du plafond et cracha de la fumée de sa bouche, il desserra les poings et se frotta les yeux avant de répondre à Havoc.
-Ne t'en fait pas,Havoc, je vais bien je…..
-Vous devriez lui dire.
Roy resta bouche ouverte a la phrase que venait de dire Havoc. Que devait-il dire ? Et à qui surtout? Ne comprenant pas il regard Havoc intrigué tandis que le blond baissa sa tête pour pouvoir le regarder, un soupire sortie de sa bouche, le blond ce demanda si il faisait l'idiot ou si il comprenant vraiment pas où il voulait en venir.
- Dites-lui une fois pour toute ce que vous ressentez pour elle.
- Pardon? Je ne suis pas sûr de te comprendre Havoc
- Arrêtez donc Général, vous ne pouvez pas continuer à vous mentir ainsi sur ce que vous ressentez pour le Lieutenant, j'ai bien compris que vous tenez énormément à elle et cela ce voit encore plus quand vous êtes sur le point de la perdre, avec le reste de l'équipe nous avons également remarqué que depuis le Jours promis vous êtes plus attentive envers elle et que lors des missions vous restez assez aux aguets qu'apparent…
- C'est normal que je le sois, je ne veux en aucun perdre un de mes membres de mon équipe, je ne sais pas ce que tu sous entend mais tu te trompe lourdement.
- A d'autre Général, vous êtes fous amoureux d'elle, cela se voit comme le nez sur votre visage, vos attention envers elle, le faite que depuis que vous avez retrouvé la vue vous ne faite que de la regarder avec cette flamme d'envie qu'elle soit votre et ce sourie idiot que vous prenez quand elle vous remonte les bretelles pour que vous fassiez votre boulot sans oublier que maintenant qu'elle est a nouveau dans une situation qui pourrais lui prendre la vie vous êtes là mort d'inquiétude a perdre vos repaire et je pari même qu'en ce moment votre cœur est en train de vous faire mal a l'idée de la perdre.
Roy regarda toujours Havoc, il était surpris de voir comment son collègue arrivait à lire en lui comme un livre ouvert, était il vraiment trop émotive quand il s'agissait de Riza ? Se sentant déçu de sa propre personne, il regarda le sol comme si cela lui permettrait de disparaître à la vue de Havoc, chose qu'il savait impossible surtout en sentant la main de son collègue se poser une nouvelle fois sur son épaule.
- Un conseil mon Général, dites lui avant qu'il ne soit trop tard, vous le regretterez sinon.
Pour seule réponse Roy acquiesça de la tête, tandis que Knox arriva avec un plateau sur lequel se trouvaient trois tasse fumante de café, il posa le plateau sur la table basse qui ce trouvais en face du canapé, il en pris une et resta debout, les deux autres hommes prit leurs tasses et buvaient son contenue.
- Tu as de la chance Roy que je sois en vacances, cela me permettra de rester auprès d'elle le temps que tu arrive a trouver ce que tu pense pouvoir trouver et la sortir de là, sache juste que pour le moment son état est stable mais je ne sais pas combien de temps cela durera mais je ferais en sorte que le plus tard soit le mieux, je te tiendrais au courant par téléphone tous les jours.
- Je préférerais venir sur place si possible.
Knox haussa des épaules lui faisant comprendre que cela l'importait peu tant qu'il ne le dérangeait pas et ne lui mettait pas la pression pour un quelconque miracle de sa part.