*Point de vue Eren*
Après les cours de ce matin, je me suis bien reposé. Mon travail me prend beaucoup de temps et d'énergie, par conséquent, je ne dors pas beaucoup. Il me fatigue beaucoup mais heureusement qu'il m'épuise que sur le plan physique. J'adore mon boulot, je m'y sens comme un poisson dans l'eau et il m'aide beaucoup à financer mon appartement et tout ce qui va avec, grâce à Dinah aussi bien entendue. J'ai de quoi vivre correctement.
Après ce qu'il s'est passé ce matin, j'avais bien besoin de repos. Ce type, aussi écœurant soit-il, m'a enragé. Avec son air condescendant, il se croit supérieur à n'importe qui et se permet de faire ce qu'il veut. Il a osé parler de mes parents de cette façon…je ne le supporte pas. J'ai hâte que ce cafard quitte le lycée et se casse loin d'ici. Je connais très bien sa réputation de baiseur et surtout je vois comment il traite les élèves avec qui il baise et surtout les filles qui sont amoureuses de lui, ça m'exaspère !
-Qu'il fasse se qu'il veut de sa bite et de son cul mais…le voir se comporter comme ça…
Je sers les poings posés sur mes cuisses.
-Je ne le supporte pas !
Je me ressaisis et décide de me calmer. Je me laisse tomber sur mon lit et contemple mon plafond.
Je haie ce type depuis mon arrivé dans ce lycée. Les premières semaines de rentrée se passaient plutôt bien malgré mon désintérêt pour les cours, puis j'ai rencontré une jeune fille de classe supérieur, Mina Carolina. Une jeune fille très petite mais avec de beau cheveux bruns noués en nattes lâches. On s'entendait très bien puis elle a fini par se tourner vers l'autre con pour avoir des rapports. Et depuis ce jour-là, elle est devenue froide, distante avec moi. Je voyais comment il la traitait et elle s'en contentait. Les voir aller dans les chiottes du lycée ensemble, me dégoutait. Une fois leurs affaires fait, elle avait tendance à pleurer seule dans les toilettes. Puis j'ai compris, qu'elle a fini par en tomber irrémédiablement amoureuse. Sachant ça, cet abrutit en profitait pour en tirer des avantages…jusqu'à qu'elle finisse par quitter le lycée à seulement deux mois de la reprise, sans crier garde…A croire qu'elle n'était qu'un déchet, un objet bon a baiser et rien d'autre…comme si elle n'avait aucune valeur. On a tous des sentiments et personne n'a le droit d'en jouer. Je n'imagine pas la douleur qu'elle a dû ressentir Après s'être confessée, il lui a simplement jeté un « Ferme ta gueule ». A de nombreuse reprise j'ai tenté de la défendre, mais toutes fois, elle m'attrapait le bras et me suppliait de ne rien faire, de peur qu'après ça, il la rejette définitivement. Le pire dans tout ça, c'est ce lycée qui voit tout mais ne fait rien. Selon une règle précieuse de ce bahut, les plus jeunes ne doivent en aucun cas manquer de respect aux ainés, mais l'inverse est complètement possible, soi-disant pour s'habituer au monde impitoyable du travail. Ce sont des conneries, voilà pourquoi je ne supporte pas ce lycée. Tout le monde a droit au respect.
Je vins poser mon avant-bras sur mes yeux et respire tranquillement pour faire partir toute la frustration arrivée juste en pensant à ce qu'il s'est passé.
Je vais arrêter d'y penser. Je l'entends coucher avec ses « proies » au deuxième étage à chaque fois que j'y passe mais tant que ce n'est pas moi et encore moins les personnes qui me sont chers, ça ne me dérange pas. Hors de question que je laisse un de mes proches se faire traiter de la sorte, consentant ou non.
Je me lève de mon lit pour la seconde fois de la journée pour aller me dégourdir un peu les jambes. Je dois m'étirer et échauffer mon corps avant d'aller travailler. Je veux éviter un froissement musculaire.
Je me déshabille pour aller chercher un survêtement confortable pour pouvoir marcher et m'étirer convenablement. J'ouvre mon placard et je prends celui avec un tigre dessus sur le côté, ça donne un coté sauvage et félin, j'aime bien. Pour le Tee Shirt, j'en prends un des plus banals puis un sweet à capuche pour ne pas crever de froid.
Il est 18h30, il fait nuit et l'air est frais. Je descends donc en fermant bien ma porte.
-Aller, c'est parti.
Il me reste deux heures avant d'aller travailler, donc j'ai encore du temps devant moi. Je commence alors à marcher en direction d'un parc que je connais très bien. C'était ce parc, le parc où mes parents m'emmenaient quand ils avaient du temps à m'accorder, c'est-à-dire, tous les jours. Je riais, je courais dans l'herbe, j'allais embêter les canards, j'allais me rouler dans la terre comme un cochon qui se roulerai dans la boue. C'est dingue de se rappeler de ça alors que j'étais si jeune mais quand des proches meurent, on a tendance à se rappeler de chaque moment précieux passés à leur côté.
Je commence à m'étirer le bassin de gauche à droite, suivit des bras et des jambes. La nuque évidemment, les doigts et les mains. Après 5 minutes, je me mets à courir un peu, pas beaucoup car je ne veux pas être fatigué et épuiser mes forces avant ce soir, 1 ou 2 kilomètres suffiront pour chauffer les muscles.
Je cours pendant environ 10 minutes. Mon visage commence à rougir à cause de l'air froid du soir qui me glace et agresse la peau mais j'aime cette sensation. Je ne mets pas d'écouteurs comme la plupart des gens. Ça ne tiens pas aux oreilles et j'aime écouter l'écoulement d'eau du lac, les oiseaux chanter doucement et la ville se coucher.
J'étais tellement occupé à penser, comme toujours, que je ne me rendis pas compte de l'enfant qui courrait en arrivant par ma droite pour finir son chemin à ma gauche dans le but de récupérer son ballon bleu qui roulait et je finis par le bousculer. Il tomba par terre et était sur le point de pleurer. Il devait peut-être avoir 5 ans, 6 tout au plus. Il se mit à pleurer…j'ai horreur de ce genre de situation. Ça me fait passer pour le méchant.
-Aïee…Ma-Mamaaaan… !
Il chiale de plus en plus fort, et ça résonne dans le parc comme il n'y a pas le moindre bruit si ce n'est que les voitures qui passent. Je soupire un coup et m'accroupit pour me mettre à son niveau et l'aide à se relever.
-Eh toi, pourquoi tu pleures comme ça ?
-J'ai mal… !
-Ah c'est dommage ça, mais tu sais que ta tête a cogné ma jambe quand on s'est bousculé et j'ai très mal aussi, je souffre vraiment énormément mais est-ce que je pleure ?
Il me regardait, moi ainsi que ma jambe, les yeux remplit de larme.
-Il ne faut pas pleurer mais toujours se relever. C'est comme ça que tu deviendras quelqu'un de fort.
-Fort ?
-Oui, comme ces super héros sur ton manteau. Tu veux devenir comme eux ?
Il hocha la tête, assez hésitant.
-Alors, il ne faut pas pleurer. Eux, ils ne pleurent jamais quand ils tombent.
Il me regarde d'un air un peu abrutit comme s'il ne captait pas trop mes propos.
-Mmh…tu es faible alors ?
-..Non !
-Alors pourquoi tu pleures encore ? Essuie-moi ces larmes et souris si tu veux me prouver ta force.
Il s'exécute.
-Voilà, quand tu es blessé, souris pour montrer que tu n'as pas peur, que tu n'as pas mal et que tu es courageux.
Je me relève, tandis que le petit me regarde avec admiration.
…Heureusement qu'il y avait des super héros sur son blouson sinon je n' aurais pas su quoi lui dire pour qu'il arrête de chialer.
Un peu plus loin, je vis une femme courir un peu paniquée vers son fils, je présume. Elle n'a pas l'air paniquée à cause de la chute de son fils mais plutôt à cause du bonhomme qui se tient debout devant lui, faisant presque trois fois sa taille.
Je recule pour aller chercher le ballon qui s'était arrêté de rouler un peu plus loin. Une fois cela fait, je me redirige vers le gamin avec sa mère qui lui tenait fermement le bras, me regardant avec mépris. Le fait qu'elle puisse penser une seconde que j'allais kidnapper son mioche, m'énerve.
-Vous devriez faire attention à votre fils, surtout en pleine nuit quand il court tout seul. Il s'est légèrement blessé en me percutant.
-Ah bon ? Tu vas bien Ryo ?
Il se contente d'hocher la tête.
Je lui rends son ballon et il me remercia.
-Merci en tout cas de l'avoir aidé. Je vous avoue que j'ai eu peur en le voyant avec un inconnu. Dieu merci, vous n'avait pas l'air d'être quelqu'un de mauvais.
-Faites juste attention à votre enfant.
-Oui, je répondais à un appel important et je ne l'ai pas vue partir. Je ferai plus attention.
Sur ces mots, je repartis courir un peu.
…
Je consulte ma montre, 19h00. J'ai fini de faire quelques exercices, je devrai aller me réchauffer un peu en buvant quelque chose de chaud. Je consulte alors mon téléphone pour voir les petits bars dans les coins de rue.
« Sex on the beach », non merci. « Story's Home », pourquoi pas. Il est à environ 20 minutes de marche.
Je commence donc ma route en direction de ce petit café. Un bon chocolat chaud me fera beaucoup de bien.
…
19h18 :
J'arrive dans ce café en question. Il n'y a pas beaucoup de client et c'est très chaleureux. Il fait assez chaud et ça sent super bon le gâteau. J'ai bien fait de venir ici. Je n'imagine même pas le genre de bar qu'est « Sex on the beach », bon en vrai je ne veux même pas savoir. Je rentre donc et aperçois une vieille femme m'accueillir avec un sourire radieux. Elle s'incline pour me souhaiter la bienvenue, je fais de même.
-Bonsoir jeune homme, soyez le bienvenu ici.
-Bonsoir, merci beaucoup.
Elle m'indique le comptoir pour que je puisse m'assoir et je ne m'y prive pas. C'est assez grand donc je ne me sens pas à l'étroit. Je m'y sens bien même. Un homme âgé d'une trentaine d'année à peine vient passer ma commande.
-Que désirez-vous ?
-Je prendrai un cappuccino au caramel s'il vous plaît.
-Avec ceci ?
-Ce sera tout, merci.
Je vais éviter de manger avant d'aller travailler. Si je mange un gâteau, mon ventre va devenir gonflé comme une pastèque et ce n'est pas vraiment le moment. Mais…l'odeur me tente tellement.
-GRAND MERE !
Je bondis presque de ma chaise en entendant cette personne hurler…mais je reconnais cette voix pleine d'énergie.
Je me retourne et aperçois Sasha vêtu d'un blouson de fausse fourrure.
-Eh ? Eren ? Salut mon grand !
- « Grand-mère » ?
-Oui ! Ce café appartient à ma famille !
Elle vient s'installer à coté de moi pour passer commande elle aussi.
-Salut Karuto : Un triple chocolat avec un feuilleté et un éclair au chocolat praliné et n'oublie pas la chantilly ! Avec ça je prendrai un double chocolat liégeois bien chaud et une boule de glace !
-Tout de suite.
Je la regarde presque ahuri. Comment peut-elle ingurgiter tout ça ? Sa grand-mère arrive pour accueillir sa petite fille.
-Sasha, ne mange pas trop voyons.
-Aha ! Désolée mais je n'ai pas mangé depuis trois heures ! Je crois que je vais mourir !
-Tu es folle.
-Non Eren, je ne suis pas folle. Je suis follement gourmande !
-Ah, excuse-moi !
On rigolait tous ensemble. En attendant que son immense commande n'arrive, elle partit saluer les clients table par table. Ça à l'air d'être des clients habituels vue qu'ils ont l'air de se connaître. C'est vraiment chaleureux ici.
-Sasha, ta commande est prête !
-J'arrive !
Puis elle revient s'installer au comptoir pour déguster ses gâteaux et sa boisson. Elle a l'air tellement ravie de manger que c'est vraiment agréable de la regarder. Quant à moi, je dois tirer une tête quand je bois mon capuccino car Sasha m'en fait la remarque.
-Tu as vraiment l'air d'apprécier ton cappuccino au caramel !
-Comme toi, tu as l'air d'apprécier tes pâtisseries.
-Tu sais, c'est moi qui les ai choisis pour les mettre dans le menue. Et ton cappuccino au caramel fait maison, c'est moi qui l'ai créé l'an dernier.
-Quoi ? Vraiment ?
Le dénommé Karuto arrive pour confirmer ses propos.
-Oui en effet. L'an dernier, quand nous avons ouvert le restaurant, Sasha nous avait montré une liste de tous les gâteaux qu'elle avait imaginé. La connaissant, ça aurait été des gâteaux très bizarres venu d'ailleurs mais étrangement et surprenant soit-il, ça avait été fait avec soin et ses propositions étaient très pertinentes. Elle nous a beaucoup aidé pour l'ouverture. Ses pâtisseries plaisent aux clients comme les boissons telles que ton capuccino au caramel. Je l'ai souvent surprise ici en cuisine à s'entrainer à créer des douceurs et des boissons avec une intensité dans le regard. Maintenant, ils font partis du menu et sa grand-mère et moi la laissons manger gratuitement pour récompenser tout son travail fait ici.
-C'est pour ça que tu étais si souvent absente l'an dernier en cours ?
-Oui. Même si je loupais beaucoup de cours, je tenais vraiment à les aider ici !
-Je suis impressionné, tu remontes dans mon estime.
-Hein ? Comment ça je « remonte » dans ton estime ?
Elle me donne quelque tape sur le torse, on était tous mort de rire. C'était vraiment plaisant.
Après une heure à papoter tous ensemble, mon travail m'appelait. Il me restait qu'une demi-heure et le temps de rentrer chez moi, de me changer et d'arriver à l'endroit, je n'avais pas intérêt à trainer.
*Point de vue Livai*
Il est 20h et je suis juste crevé de cette journée. Je vais prendre une douche pour réchauffer ce corps athlétique qui était le mien pour récupérer un peu de force. Sachant ce que j'allais faire ce soir, j'en avait besoin. D'habitude, je me masturbe sous l'eau chaude mais ce soir si je veux tenir 1h ou 2h au lit avec quelqu'un, je devrais économiser mes forces alors je me contente d'une simple douche.
Petite chemise noire mais fine qui laisse voir ma musculature parfaite et déboutonnée de deux boutons, jean noir et slim qui me moule le corps, chaussure noir simple, une chaîne grise autour de mon cou, parfum irrésistible, cheveux bien coiffés, dent impeccable. Je suis putain de prêt à baiser n'importe qui.
J'entends mon téléphone sonner.
-Quoi ?
-T'es prêt ? On vient te chercher dans 10 minutes.
-Ouais.
Je raccroche après ça, j'avais 10 minutes devant moi alors je me pose sur mon canapé devant une série le temps que les trois autres bouseux arrivent. Une série de merde d'ailleurs. Voici une putain de famille qui habite dans un énorme manoir hanté et se plain de vivre des choses surnaturelles. « Ce manoir est lugubre et fait flipper, c'est l'affaire du siècle » Ainsi est leur logique. Donc évidemment pendant la nuit, il y a des genres de fantômes chelous qui venaient mater les enfants qui dormaient. Quand une gamine se réveilla, elle observa une femme hideuse au coup tordu la fixer et là, elle poussa un cri puis courra hors de la chambre. Elle était seule dans cet immense couloir et ne vit plus ce fantôme de mes couilles.
-Derrière toi, binoclarde.
Evidemment, elle se retourne et c'est là qu'il apparaît. Elle se fait tuer bien salement. Ça apprendra aux parents d'être aussi cons.
-Tch. Ridicule.
Je me lève de ce canapé exaspéré par cette série à la noix et part me préparer du thé noir au gingembre. Ça, c'était bon et réchauffant. La plupart des gens aiment les chocolats chauds et tout ce qui porte le mot « Chocolat » dans le titre. J'en ai horreur.
Après 5 bonnes minutes à déguster mon thé, j'entendis un klaxon retentir me faisait signe de magner mon cul dehors. Je pris alors une veste et je fins par éteindre toutes mes lumières et ferme ma porte à double tour. Je grimpe dans la voiture d'Erwin.
-C'est quoi le programme de ce soir ?
- « A Beautiful Night-Club » ça te dis quelque chose ?
-Non.
-Rooooh Lili ! C'est un club plutôt connu ici.
-Je ne veux pas de votre club de merde, je veux aller dans un bar.
-Ne t'inquiète pas, tu pourras t'amuser bien plus là-bas que dans n'importe quel bar.
-..Il se trouve où votre bordel ?
-Pas très loin de la sortie de la ville.
Ça a intérêt d'être intéressant. Je n'ai pas attendu la fin de la journée pour finir dans un putain de club avec des gars de 40 piges et des cougars dans tous les coins.
Après environ 15 minutes de route, on arrive dans ce club. La face est illuminée avec le nom en gros affiché sur le haut de cette dernière. Vue le bruit qu'il y a, ça à l'air d'être animé.
-Alooors ? Ça ne te tente toujours pas ?
-Ferme là. On se grouille.
Ça me les brise de ne pas être dans un endroit habituel tel qu'un bar pour faire ma soirée. En entrant, la musique battait son plein. L'ambiance était super chaude et les lumières étaient tamisées. Je pouvais voir des serveurs qui venaient prendre la commande des clients et tout le monde dansait. Il y en a qui se frottait les uns contre les autres. Un peu plus loin, je vis une grande scène en hauteur avec des dizaines de personnes autours qui bavaient avec leurs boissons alcoolisées à la main. En effet, il y avait une meuf qui se dandinait contre une barre en métal. Elle se frottait à elle de façon très sensuelle comme si cette meuf voulait baiser cette barre devant tout le monde.
-Tu aimes ce que tu vois ?
-Ouais.
Mike me fit la remarque mais c'est lui qui bande en ce moment, pas moi. On se rapprochait alors de la scène pour pouvoir déguster un peu plus de spectacle. Cette chaudasse passait une jambe d'un coté et l'autre jambe de l'autre coté et se frottait à ce morceau de métal de haut en bas en exagérant ses frottements de bassin. Elle était transpirante ce qui donnait ce coté davantage plus sexy. Les gars en bas criait son nom. Emery ? Cette Emery nous regardait avec un regard embrasé. C'était sûr, elle voulait qu'après sa prestation se faire soulever. Je ne suis pas trop dans ce délire-là. Elle vint ensuite coller son cul sur cette barre et se remua contre, en jouant avec ses seins. Elle faisait des genres de vagues avec son corps pour se remuer un peu plus et se mordait la lèvre inférieure. Elle enlève alors son soutient gorge pour nous laisser voir sa poitrine dénudée mais ne retira pas la culotte. Je pense qu'il y a une limite dans ce club à ne pas dépasser. Elle invita Mike à monter sur scène, lui qui était collé à celle la en la regardant. Puis elle commence à se dandiner sur lui de façon provoquante. Tout le monde l'encourageait.
Ce cinéma dura plus de 10 minutes. C'était chaud mais ça n'avait rien d'excitant. Il m'en faut plus pour me faire bander. C'en est limite d'un ennuie. Mike avait rejoint cette fille dans sa loge et moi je décide de quitter la salle. Mais des acclamations encore plus fort m'interpelle.
-Putain, ils ont quoi à brailler comme ça ?
Et c'est là que cette fois, c'est un jeune garçon qui entra sur scène. J'imagine que c'est à son tour de faire la chienne. Les spectateurs étaient encore plus excités qu'avec cette Emery.
Le corps de ce mec est plutôt agréable à regarder. Il était vêtu d'un jean et vue son aisance, il a l'air d'avoir l'habitude de faire ça. Mais vraiment, je n'en ai rien à foutre de leur prestation de merde. Ça n'a rien d'intéressant.
Mais en relevant la tête, je remarque quelque chose.
Ce gamin, je l'ai déjà vue quelque part.
…
« Quoi ? J'ai blessé ton égo ? Ta gueule ne plait pas à tout le monde, senpai »
-… ?
Tiens, c'est le gamin de ce matin ?
Ce corps mate, peu musclé mais bien entretenue. Ces yeux verts chelou et son visage de puceau. Si c'est bien lui.
-EREEEEEEEEEN !
-EREEEEEEEEEN !
-EREEEEEEEEEN !
-EREEEEEEEEEN !
Eren ? C'est comme ça que ce merdeux mal poli s'appelle ? Puis, qu'est ce qu'il fou à bosser ici ? Vue sa gueule, ça m'étonne qu'il ait été embauché. Il soit surement vivre comme un clochard pour être rendu à faire ça. C'est quoi son but à exciter les autres en faisant la grosse chienne devant une centaine de personne ...Peut importe, je n'en ai rien à foutre de sa vie, ce n'est pas mon problème.
Mais après réflexion, je vais sûrement rester encore un peu.
