PDV de Jungkook

Satisfait, il se lève et prend la direction de sa malle au trésor, comme il l'aime l'appeler, pour le récupérer et revient vers moi avec l'objet fièrement en main. Il se replace à califourchon sur moi avec son faux regard d'innocent, celui qui avait le don de m'embraser encore plus. Lui comme moi savons qui s'y cache réellement derrière, l'être le plus obscène de cette terre.

- Pourquoi je suis énervé bébé ? Demandes-je froidement.

- J'ai désobéi à mon Kookie d'amour. Répond-il avec sa petite voix enfantine, qui en réalité est celle d'un démon tapi dans l'ombre, qui vous appâtes pour mieux vous dévorer.

- En faisant quoi ?

- En chauffant Kookie.

Comme un gosse, il enlace ma nuque et vient nicher sa tête dans mon cou, frottant ses mèches contre ma joue. Son parfum s'ensorcelle et sa chaleur m'envoûte, je l'aime putain, je l'aime, mais je dois le punir avant de le bouffer.

- Et maintenant ?

- J'ai été un vilain garçon, Kookie va me punir.

Je sens sa prise sur ma nuque se resserrer et son corps se colle encore plus au mien. Allez respire, tu vas tenir, juste encore un peu.

- Tu aimes ça quand Kookie te punis ?

- Oui.

- Alors Kookie va bien te punir, jusqu'à t'en faire pleurer.

Je me dégage de son étreinte et vois son magnifique visage rougi, ses dents qui se plantent dans ses muscles rosés, ses pupilles brillantes, il est tellement mignon. Lentement, je descends le cockring et le place sur sa queue toujours tendue, alors que son visage se baisse.

- Regardes-moi. Dis-je en relevant son visage avec mes doigts. Tu sais ce qu'on donne au vilain garçon ?

- N-non. Répond-il timidement en secouant la tête, jouant son rôle d'innocent à la perfection.

- Tu es sûr ?

- L-la fessée.

- Oui la fessée, mais comme tu as été extrêmement vilain, tu n'auras pas droit à n'importe quelle fessée ce soir.

- Non Kookie, pas ça, je suis désolé.

Même s'il me supplie, ses yeux disent tout le contraire, il n'attendait que ça, et je pense que c'était son plan depuis le début, une bonne et grosse fessée. Il la désire, alors je la lui donnerais. Rien qu'en imaginant la suite, un sourire sadique prend place sur mon visage, alors que je lui indique de se relever. Je nous dispose au bord du lui, le retourne dos à moi et lui dis de ne pas bouger. Silencieusement, sans rien lui dire de plus, je vais récupérer quelque chose dans la boîte et reviens vers lui en lui disposant le haut du corps contre le matelas. Ses deux pêches me sont de nouveaux exposées, me faisant baver à la vue de son petit orifice, qui cela dit en passant n'était plus aussi petit que ça, bien étiré pour m'accueillir bien au chaud.

- Je t'interdis d'ouvrir les yeux. Dis-je

Pour seule réponse, il hoche la tête et je vois son corps frissonner alors que ses doigts se resserrent sur le drap, savant pertinemment que je n'allais pas être doux.

- Compte pour moi.

Sans le prévenir, je lui donne un coup de cravache, lui procurant un gémissement de surprise.

- Huumm... Une.

Doucement, je lui caresse le dos jusqu'aux fesses avec l'objet de torture. Puis une deuxième.

- D-deux.

Sa bouche produit encore un gémissement, beaucoup plus fort, avec plus de plaisir, il aime ça et j'aime la teinte que prend sa boule de chair. Encore une.

- Trois, ouii.

Son corps se cambre un peu plus et sa voix se casse. Je reprends mes caresses avec la cravache, ne lui donnant aucun indice sur le moment où j'allais frapper et j'entends sa respiration accélérer. Je sais que ne pas me voir, mais imaginer mon regard de prédateur l'excite encore plus et la surprise du geste est d'autant plus jouissif pour lui. Je suis frappe la fesse deux fois d'affilé et il crie à s'en briser la voix. Je le vois agripper encore plus les draps, son corps est pris de spasmes alors qu'il ferme encore plus fort ses yeux, desquels s'échappe une petite larme.

- Ahh...Quatre...AHH CINQ !

J'avoue y être allé un peu plus fort que d'habitude, ses fesses sont extrêmement rouges et on y voit encore la marque de la cravache. Mais son gémissement et sa réaction me prouve qu'il en veut encore. Il attend la suivante alors que je balade la cravache sur son corps tremblant et en sueur, il sait que quand je le punis je lui en donne 10, mais pas ce soir, oh non, il ne peut pas tout avoir, je dois avoir un minimum de contrôle quand même, fierté oblige, il a déjà gagné mais je veux tout de même ma petite victoire. Il attend, il remonte son postérieur, l'agite devant moi, je le vois perdre patience.

- Encore Kookie. Supplie-t-il.

Qu'est-ce que je vous disais, plus c'est violent, plus c'est bon pour cet enfant sado-maso, c'est une salope, mais en toute franchise, ce n'est pas pour me déplaire. Alors je suis donne une petite fessée, qui ressemble limite à une caresse, je sais que ça va l'énerver.

- Tu te fous de moi Jungkook. Dit-il en se retournant. Plus fort.

- Comment tu me parles bébé, retournes-toi. Dis-je autoritairement.

Il me regarde et sourit satisfait de mon visage énervé, relevant le cul. Quelle salope. Mais s'il croit s'en tirer comme ça, il rêve. C'est en silence que je dépose la cravache et prends l'œuf vibrant pour l'insérer violemment, lui arrachant un cri de surprise. Ses pupilles viennent chercher les miennes et il essaye d'anticiper la suite. Je ne lui laisse même pas le temps et allume la vitesse une avec la petite télécommande. Son corps fait un sursaut et ses doigts se frottent au drap.

- On va manger bébé, j'ai faim. Dis-je.

Dans l'incompréhension la plus totale, il m'observe, je suis sûr qu'il se demande si je suis sérieux ou pas, alors j'augmente la vitesse et pars en direction de la porte.

- Je t'attends dans la cuisine.

Immobile dans le lit, je mets une vitesse de plus et vois sa respiration qui commence à changer. Comme un brave petit toutou qui attend sa récompense, il se lève et me suis, les orbes brillantes.

Une fois dans la cuisine, je commence à réchauffer les restes de ce midi alors que lui s'approche de moi comme un petit bébé, puis se colle à mon dos. Je sens sa bite contre mes fesses et son souffle irrégulier dans mon cou. Mais je ne réagis pas, je l'avais prévenu, c'est à mon tour de jouer. J'augmente encore la vitesse et je l'entends soupirer. Mini Kook n'est pas content, il veut retrouver sa maison qui n'est autre que le trou chaud de mon bébé, mais Mini Kook va encore attendre. Sa tête se pose contre mon dos et il y frotte sa joue, comme un petit chat qui vient se blottir. À cet instant, je voulais me retourner, le prendre sur la table, mais ma volonté était de retour et me permettais de garder mon calme.

J'entends le micro-ondes, sauvé, je nous sers deux plats et les pose sur la table, sans lui porter la moindre attention.

- Assis toi, manges mon cœur. Dis-je doucement, comme si la situation était normale et qu'il n'avait rien dans ses entrailles.

Il m'écoute et vient s'asseoir en face de moi. Son corps vibre, sa respiration est rapide, ses joues sont rouges, son front brille avec la transpiration. Il resserre les jambes, essayant de trouver la meilleure position sur la chaise pour éviter le contact avec sa prostate, alors que moi je le regarde avec un sourire bienveillant, un sourire amoureux. Je l'aime, que voulez-vous, et quand j'ai un spectacle comme celui-là devant les yeux, je fonds et perds toute crédibilité.

Après ma contemplation et une fois qu'il a mangé la moitié de son plat, je décide de passer au chose sérieux en augmentant encore la vitesse. Instantanément, ses doigts se resserrent sur sa fourchette et son autre main se referme. Il se mord la lèvre, retenant de justesse un gémissement je pense. Ses pupilles viennent rencontrer les miennes et j'y lis tout le désir qu'il a pour moi, mais également tout le plaisir qu'il retire de cette torture. Alors j'augmente encore. Il me reste encore des vitesses, je ne vais pas me priver. Son visage se déforme par le plaisir et il commence à remuer sur sa chaise. De nouveau, j'appuie sur la télécommande et cette fois il lâche un gémissement. Incapable de contrôler ses tremblements, il repose sa fourchette et serre fort les rebords de la nappe. Ses gémissements se font de plus en plus fort alors que des petites larmes se forment au coin de ses yeux. Mon dieu, quand je le vois comme ça, aussi désirable, aussi bandant, je me demande si je mérite un être aussi parfait. Je suis qu'un type banal, comment je peux avoir un petit ami comme lui, je l'aime tellement, je ne pourrais jamais me passer de lui et quoi qu'il arrive, il restera à moi, rien qu'à moi. Je mets une vitesse de plus et là, il craque. Il se met à remuer dans tous les sens, me supplie du regard et se remet debout, ne supportant plus la position sur son siège. Il gémit, il se tient à la table alors que son corps est courbé et prit de spasmes.

- Tu aimes ça ma petite salope ? Demandes-je.

Je sais très bien que lui parler ainsi le rendra encore plus fou qu'il ne l'est déjà. Et j'avais raison, il lâche un hurlement et une petite goutte dévale sur sa joue. Pour seule réponse, il hoche la tête et moi je le regarde tel un chien affamé. Putain Taehyung, tu mèneras à ma perte.

- Des mots. Repris-je.

- Oui j'aime ça, merci Kookie.

- Tant mieux.

Et je mets ainsi l'avant dernière vitesse, me délectant du spectacle, alors que sa queue pris en otage par le petit anneau remue dans tous les sens, cherchant à se libérer, laissant tout de même un peu de liquide y sortir. Il est tellement appétissant comme ça.

- J'en peu plus Kookie. Implore-t-il en pleurnichant.

- Je t'avais prévenu mon ange.

C'était à mon tour de jouer les innocents, les rôles s'étaient inversés et je comptais bien en profiter, même si mon entre-jambe allait tôt ou tard reprendre le dessus sur moi. Alors, j'appuie sur la télécommande pour activer la dernière vitesse et le vois se précipiter vers moi. Il m'enjambe et se colle contre moi en me frottant. Heureusement que j'avais un caleçon, sinon je l'aurais baisé à même la chaise.

- Je t'en supplie Kookie... ahh...j'en peu plus...humm.

- Je croyais que ma petite salope aimait ça.

Il se frotte encore plus, je peux sentir ma bite entre ses fesses à cause de ses coups de bassin, alors qu'il attaque mes croissants de chairs. Je le laisse faire mais ne participe pas au baiser et place mes mains derrière mon dos, évitant le plus possible de contact, faute de quoi je ne pourrais pas aller au bout de mes plans.

- Ah ouii Kookie...regarde comme j'aime ça...ta petite salope te veut Kookie...mets là moi.

C'est avec un sourire fier que je le regarde, essayant de rester le plus insensible, même si je n'en peux plus. Mon corps entier est en ébullition, ma tête est en folie, ma transpiration perle sur mon front, tout ça à cause de cette bête en chaleur sur moi. Mini Kook veux le défoncer, se libérer de ce tissu à la con. Pourquoi je m'inflige ça déjà et comment je résiste encore. Je pense que les moqueries de Jimin sont à l'origine de cette volonté que je n'ai jusqu'à l'heure, jamais eux face à lui. Mais elle est fragile et accepte son sort, consciente qu'elle ne tiendrait pas la nuit, elle avait revu ses objectifs à la baisse, n'en gardant qu'un seul, le frustrer un maximum avant de battre en retraite.

- S'il te plaît Kookie, touches-moi.

Je le retire de mes cuisses et me lève pour prendre la direction du salon.

- Tu viens, on va regarder une série. Dis-je dos à lui.

Je m'installe dans le canapé et diminue la vitesse de l'objet dans son antre de moitié. Je sais que malgré la cockring, il allait jouir si je continue et il en était hors de question. C'était à moi de le faire jouir et non pas se petit gadget. Rapidement, je le vois arriver à ma hauteur, le regard encore plus luxurieux qu'il y a de ça quelques minutes. Comment voulez-vous que je ne fasse pas de mal à mon petit démon, quand je sais qu'il aime autant cela. Je ne fais que satisfaire son appétit sexuel insatiable, à croire qu'il n'est jamais fatigué.

Je tapote mes cuisses et il comprend ou je veux en venir car il vient s'allonger sur le fauteuil et dépose sa tête sur mes cuisses. Je lance un épisode d'une série choisie au hasard car je sais très bien que lui comme moi n'allons pas y porter attention. Tendrement, je caresse ses cheveux alors que lui blottit sa tête sur mes cuisses, frottant Mini Kook avec sa joue. Il le fait exprès, j'en suis sûr, il ne veut pas souffrir tout seul. J'avais beau essayer de paraître insensible, ma bite me trahissait et il pouvait la sentir contre sa joue. La tension dans la pièce était palpable et le voir gigoter son postérieur était des plus jouissif.

En toute confidence, de vous à moi, je ne suis pas certain te tenir mes plans jusqu'au bout...