Note de l'auteur.e : L'intégralité de ce chapitre est du porno gay explicite.
Note de la traductrice : Eh bien, je ne peux que confirmer…
Aussi, le subspace est un état souvent décrit comme une transe hypnotique. Cela peut aller d'un léger bourdonnement à une expérience beaucoup plus intense, presque hors du corps. On la compare souvent à un « high » agréable que vous pourriez ressentir en prenant des drogues récréatives, à un orgasme intense, ou même à une « euphorie du coureur ».
C'est donc un terme que je n'ai pas traduit parce que d'après ce que j'ai cherché, il est utilisé tel quel dans la communauté française tout comme subdrop et souvent aftercare. J'ai tellement plus l'habitude de lire en français…
.
Chapitre 3 : He's a God, He's a Man
.
.
« Peter, » souffle Stiles en s'arquant vers le haut contre le roulement doux et régulier des hanches de l'homme. Il attrape une poignée de cheveux de ce bâtard sexy et le tire vers le bas pour un autre baiser.
Il gémit tandis que Peter lui lèche tranquillement la bouche, comme s'il avait tout le temps du monde pour le dominer avec sa langue.
Mon dieu, Stiles espère que c'est vrai.
Il se détache de leur baiser et regarde, lui-même hébété, l'expression béate de Peter. « S'il te plaît, dis-moi que tu me laisseras te sucer la bite, » halète Stiles en léchant ses lèvres gonflées. « S'il te plaît, je serai si bon. Je vais le rendre si putain de bon pour toi. »
Il peut sentir le corps entier de Peter frissonner contre le sien et il regarde ses yeux se dilater plus encore.
« C'est ce que tu veux, bébé ? » grogne doucement Peter, frottant lentement contre l'érection de Stiles. « Tu veux sucer ma bite ? » Il mord la gorge de Stiles. « Putain, c'est chaud. »
Peter se relève de Stiles et se remet sur pied. Il referme habilement son couteau et le planque dans sa veste de costume. Il sourit largement à Stiles et marche au-dessus de lui, les pieds enfourchant les deux côtés de sa taille.
Stiles prend une brusque inspiration alors que Peter se tient au-dessus de lui, le regarde directement dans les yeux et se serre à travers son pantalon. Il se caresse langoureusement d'une main et utilise l'autre pour courber un doigt exigeant vers Stiles. « Si tu le veux, tu devras venir le chercher. »
Stiles ne s'est jamais senti aussi redevable envers sa propre convoitise de toute sa vie. Il n'a jamais ressenti un désir aussi aigu -et il ne s'est certainement jamais senti désespéré.
Mais il la sent maintenant, cette douleur. C'est dans le brouillard entourant sa tête, le frémissement dans ses genoux et le tremblement dans ses mains. C'est dans les palpitations de sa bite et la salive qui s'accumule au fond de sa gorge.
Mais surtout, c'est dans le fort claquement de ses genoux contre le sol carrelé quand il se précipite pour s'asseoir.
Il ne peut pas retenir le faible gémissement qui émane de lui alors qu'il lève les yeux vers Peter depuis sa position à genoux.
L'homme, calme, fredonne à l'obéissance de Stiles ; il déboutonne sa veste et la retire soigneusement de ses larges épaules. Il prend le temps de la suspendre doucement sur le haut de la cabine, sans jamais détourner le regard loin de l'endroit où Stiles attend désespérément à ses pieds.
C'est quand la bouche de Peter s'entrouvre un peu de surprise que Stiles comprend ce qu'il fait.
Il le teste, il veut voir quels boutons il peut pousser et à quel point il peut les pousser.
A quel point Stiles veut qu'il les pousse.
Le pauvre bébé ne sait vraiment pas à quel jeu ils jouent.
Stiles devra juste lui montrer.
Il regarde Peter déboutonner et retrousser ses manches. Stiles ne peut s'empêcher d'adoucir son regard et de se lécher les lèvres, ou d'abaisser ses mains tremblantes pour les poser sur le dessus de ses cuisses.
La bête tapie au fond de son esprit devient silencieuse et il ne reste plus que Stiles.
Il veut montrer à Peter ce qu'être bon signifie. Il veut lui montrer qu'il peut attendre patiemment. Il veut lui montrer qu'il attendra -et au besoin, suppliera- la permission de Peter de lui sucer la bite, que la seule chose qu'il veut, c'est ce que Daddy veut.
Stiles entre dans ce subspace qu'il cherche toujours -celui qui est parfois trop difficile à atteindre- et c'est absolument divin.
Il n'a jamais sombré aussi vite avant.
Ça n'a jamais été aussi viscéral, aussi à vif. Il n'a jamais ressenti ce besoin de sa vie auparavant et ça ressemble à un putain de high.
C'est addictif.
Quelques regards torrides, une petite tentative de meurtre et Stiles ne peut imaginer un instant où il ne serait pas là, à genoux aux pieds de cet homme glorieux.
Il déglutit alors que Peter finit de retrousser ses manches. C'est bouleversant, le rappel qu'il connaît cet homme depuis dix minutes et qu'il est déjà devenu accro à la luxure qui se développe entre eux.
Pour un homme comme lui, c'est dangereux.
Pour un homme comme lui, c'est tout à fait délicieux.
Après tout, Stiles ne serait pas, eh bien, Stiles s'il ne prospérait pas sur le danger.
Alors quand Peter lève son menton avec un doigt et dit, « Montre-moi ce que tu as, » Stiles n'hésite pas.
Il glisse lentement ses mains le long des jambes de Peter, ses longs doigts retraçant les cuisses musclées. Il ouvre le pantalon de Peter avec un pouce, le son de sa fermeture éclair se déployant bruyamment dans le calme des toilettes.
Stiles enroule ses mains dans la ceinture du pantalon et tire jusqu'à ce qu'il repose sous la courbe du cul de Peter. Il gémit doucement à la vue de la longueur dure qui tend le devant d'un caleçon noir serré.
Il se rapproche, les yeux rivés dans ceux de Peter pendant qu'il se penche et suce le bout de sa bite à travers les sous-vêtements. Il fait traîner ses mains avides vers le haut et sous la chemise de Peter, grattant légèrement ses ongles contre les abdos tandis qu'il lape en cercles lents. L'estomac de Peter fléchit sous ses mains, son souffle se coupant brièvement alors que Stiles le libère de sa bouche chaude.
Il glisse ses mains vers la taille de Peter, tirant son caleçon juste assez bas pour que la bite épaisse de l'homme s'échappe.
« Oh, putain, » gémit Stiles, enroulant une main autour de la longueur. Il savait d'après le renflement qu'il était grand, mais bordel.
Il branle lentement la bite dans sa main, en étalant le pré-sperme qui coule du bout avec son pouce.
Il le lâche et remet ses paumes sur ses cuisses comme un bon garçon. Puis il prend la bite de Peter dans sa bouche et lui montre exactement ce qu'il a.
Le son de son gémissement guttural est ridiculement gratifiant. Stiles travaille doucement sa bouche encore plus loin en creusant les joues. Il lève les yeux vers Peter alors qu'il incline tranquillement sa tête en arrière jusqu'à ce que juste le bout de sa queue repose contre ses lèvres.
Peter gémit, une main venant saisir la base de sa bite tandis que Stiles lui donne un bisou mouillé sur la pointe. « Putain, » grogne Peter, les yeux rivés sur sa bouche agile.
Stiles lui fait un clin d'œil avant de reprendre la longueur en bouche, avalant et avalant jusqu'à ce qu'il en ait la moitié à l'intérieur. Il gargouille doucement, traînant légèrement sa langue le long de la hampe.
Il agrippe fermement les genoux de Peter alors qu'il commence à bouger la tête un peu plus vite, son rythme suivant le battement régulier de sa propre bite douloureuse.
Il se permet de fermer les yeux quand Peter commence progressivement à pousser contre son visage, savourant le doux son des respirations saccadées de Peter et les bruits mouillés de sa queue baisant paresseusement son visage.
Stiles entrouvre les yeux et sent ses couilles se resserrer à la vue de Peter, la tête rejetée en arrière de plaisir et les mains reposant avec désinvolture derrière ses hanches. Il semble totalement à l'aise, comme si baiser lentement sa bouche dans les toilettes de l'aéroport était quelque chose qui lui venait naturellement.
Que c'était quelque chose qui lui était dû.
Et putain de merde, Stiles doit bien être d'accord.
Il accélère son rythme, abaissant sa tête de plus en plus loin sur la longueur.
« Juste comme ça, bébé- juste comme ça, » halète-t-il quand Stiles le prend dans sa gorge pour la première fois. Les mains de Peter -rapides comme l'éclair- attrapent Stiles par les cheveux lorsque son nez se presse contre l'aine de Peter.
Il lève des yeux larmoyants, la bite enfouie profondément dans sa gorge et voit un Peter très heureux.
Peter le tient là, le contemple fixement avec attention et curiosité, comme s'il ne s'attendait pas à ce que Stiles le prenne aussi loin.
Ou qu'il voudrait pousser Stiles aussi loin.
Et il est clair, effectivement, qu'il le veut, considérant que Stiles respire soigneusement par le nez pendant que sa gorge spasme autour de sa bite épaisse.
Il tousse un peu, de la salive goutte sur son menton et s'entasse sur le sol alors qu'il s'étouffe sur l'énorme bite de Peter.
« Putain, c'est serré, » grogne Peter, qui commence lentement à aller et venir dans sa gorge. Il saisit l'arrière de la tête de Stiles entre ses mains et le regarde avec émerveillement. « Tu me prends tout le long dans ta petite gorge serrée, n'est-ce pas ? Regarde ça. » Il essuie d'un doigt son menton mouillé et pose une main ferme sur sa mâchoire. « Est-ce que quelqu'un t'a déjà dit que tu es beau avec une bite dans la bouche ? Je parie qu'ils l'ont fait. Mon Dieu, je me fiche même du nombre. On devrait te dire ça chaque putain de jours, bébé. » Peter pousse plus vite, Stiles cligne des yeux vers lui. « Putain de magnifique. »
Peter ralentit, ses hanches frottant à peine le visage de Stiles. Stiles poursuit sa bite, bouche grande ouverte et douce, quand il en sort complètement. Peter se penche et met son pouce sur sa langue impatiente avant qu'il ne puisse se plaindre que son nouveau jouet préféré lui a été enlevé. « Je veux te baiser sur le lavabo. Est-ce que ça te va, chéri ? »
Oh.
Oh.
Oui, s'il te plaît.
Il acquiesce rapidement, suçant consciencieusement le doigt qui lui caresse la langue.
Peter se penche encore plus bas, l'embrasse durement et le soulève par les aisselles comme une poupée de chiffon. Stiles enroule ses bras et ses jambes autour de Peter alors qu'il porte son corps souple jusqu'au lavabo.
Le plaçant sur le bord, Peter commence à arracher les chaussures de Stiles. Il n'arrête pas de l'embrasser alors qu'il déboutonne le jean de Stiles et le fait descendre le long de ses jambes.
C'est quand il doit prendre du recul pour le lui enlever que Stiles peut se délecter de sa réaction.
C'est tout ce qui compte.
Peter le regarde comme un homme affamé qui se fait servir son repas préféré.
Comme un homme affamé qui ne savait même pas ce qu'il y avait à manger au buffet.
Ses yeux parcourent les longues jambes nues de Stiles, depuis sa petite culotte blanche et soyeuse jusqu'à ses socquettes en dentelle et à lacets assorties.
Il passe une main indécise sur le renflement de Stiles et le long de sa jambe droite. Il la remonte jusqu'à ce que sa cheville repose sur son épaule, son pied recouvert de dentelle effleurant sa joue.
Stiles se penche en arrière sur ses coudes, son torse se soulevant sous son t-shirt serré quand il demande : « Tu les aimes, Daddy ? »
Peter vacille, un gémissement surpris lui échappant à ses paroles. Il ferme les yeux bien fort et se serre dans son poing pour repousser son orgasme.
Stiles attend et retient son souffle jusqu'à ce que Peter rouvre les yeux.
Il n'est pas déçu de ce qu'il voit quand il le regarde.
Peter a l'air complètement foutu.
« Tu as dit ça plus tôt, » halète Peter, sa profonde voix chancelante. « Pourquoi tu m'as appelé comme ça ? »
Stiles glousse et se penche vers l'arrière jusqu'à ce qu'il soit allongé sur le lavabo. Il soulève son autre jambe jusqu'à ce qu'elle soit perchée sur l'autre épaule de Peter, puis croise les chevilles derrière son cou. « Pourquoi ? » répète Stiles, tortillant son cul vêtu de soie jusqu'à ce qu'il frotte contre la bite dégoulinante de Peter. « Parce que tu es mon Daddy, bien sûr. »
Peter gémit bruyamment, tournant son visage vers la cheville de Stiles et blottissant son nez contre elle, les joues un peu roses. « Tu es une putain de menace, bébé. »
Stiles rayonne, une main glissant sur son corps de manière séduisante et l'autre massant sa queue. « Merci, Daddy. »
Peter étouffe un autre gémissement dans la socquette en dentelle de Stiles avant de glisser une main déterminée sur sa jambe, s'arrêtant seulement quand il atteint son cul serré.
Il tire la douce culotte de Stiles sur le côté, l'exposant -et également le plug noir qu'il a lui-même inséré avant de partir pour l'aéroport.
Peter prend une profonde inspiration et grogne. Stiles jure qu'il voit les yeux de Peter briller d'un peu plus bleu. Il l'oublie vite, car un coup sévère atterrit juste au-dessus du plug enfoui dans son cul.
« Qu'est-ce que c'est que ça ? » demande Peter.
« Oh, putain, Daddy ! C'est- » halète-t-il comme une autre claque sur son cul. « C'est mon plug préféré. » Stiles ne peut pas comprendre pourquoi Daddy a l'air si en colère. Il sera plus facile pour Daddy de le baiser s'il est étiré.
« Et pourquoi as-tu ça en toi, bébé ? Es-tu le genre de vilain garçon qui a besoin d'être ouvert pour n'importe quelle bite qui veut être à l'intérieur ? »
Oh.
Oh.
« Non, Daddy, non ! » geint Stiles. « Je m'en sers après les missions. Ça m'aide à me détendre sur les vols de retour. Ça me permet de rester concentré et de travailler sur les séquelles de l'adrénaline. » Il a besoin que Daddy le sache, qu'il le croit. Il n'est pas un mauvais garçon, il est si bon. Il n'est une salope que quand il choisit de l'être. « Tu n'es pas juste un caprice, Daddy. Je ne fais pas ça avec n'importe qui. »
La lueur violente dans les yeux de Peter s'estompe. « C'est bon, bébé, » l'apaise-t-il en essuyant les larmes qui se sont accumulées dans les yeux de Stiles. Il hoche un peu la tête, apparemment déconcerté. « Je suis désolé, je suis désolé, c'est bon. Je ne sais pas ce qui m'a pris. » Il prend doucement la joue de Stiles. « Je- Je sais que tu as déjà fait ça et je le pensais quand j'ai dit que je m'en fichais. Tu es si beau et tu es ici avec moi. » Il embrasse la voûte plantaire de Stiles et murmure, « Et ça me suffit. C'est parfait, en fait. »
Puis Peter sort lentement le plug de Stiles et le met dans sa poche. « Tu me pardonnes, bébé ? » murmure-t-il, ses mains parcourant calmement le long des jambes de Stiles.
Stiles hoche la tête lentement, mordant sa lèvre inférieure. « Bien sûr, Daddy. S'il te plaît... » s'étouffe-t-il sur les mots. « S'il te plaît, baise-moi. »
Peter n'hésite pas. Il pousse à l'intérieur, chaque glorieux centimètre heurtant Stiles immédiatement.
Les jambes de Stiles commencent à trembler pendant que Peter s'insère à l'intérieur jusqu'à ce que ses couilles soient au ras du cul de Stiles. « C'est tellement bon, bébé, » se complait-il. « Maintenant, sois un bon garçon et tiens-toi ouvert pour moi. »
Il faut quelques secondes au cerveau brumeux de Stiles pour traiter la commande avant que ses mains suivent le programme et atteignent son cul. Il saisit une fesse dans chaque main et les écarte en s'assurant d'étirer ses sous-vêtements sur le côté afin que Daddy ait un accès plus facile.
Peter pousse une fois, deux fois, avant de ronronner de satisfaction un « Merci, chéri. » Il sort complètement, regardant avec stupéfaction la douce ouverture des fesses de Stiles avant d'y entrer à nouveau. Il y a une légère pause, comme si Peter essayait de se retenir de quelque chose, avant qu'il ne murmure doucement : « Maintenant, tiens bon pendant que Daddy baise ton joli petit trou. »
Il crie presque alors que Peter le pénètre rudement, ses bruits suffisamment forts pour que l'homme lui place une main sur la bouche. Peter allume rapidement tous les robinets autour d'eux pour noyer leurs bruits, puis avec un dernier baiser sur la joue tachée de larmes de Stiles, il commence à le baiser.
Stiles ne peut pas s'en empêcher, il jouit. Il est dur depuis qu'il a repéré Peter assis en face de lui et ces premières poussées bâclées sont juste assez rudes pour que sa bite gicle et que son cul se serre autour de la queue pulsante de Peter.
« Oh putain, bon garçon, » grogne Peter, le frappant fort sur le cul alors qu'il regarde le sperme jaillir de sa bite intouchée. « Venant sur la bite de Daddy comme ça. » Il pilonne Stiles, le doux claquement de leurs peaux douloureusement érotique.
« Oui, oui... » halète Stiles. Ses yeux se ferment alors que Peter oriente ses hanches vers la prostate de Stiles. « Pour toi, Daddy. Seulement pour toi. 'Aime ta bite. Tellement bon. »
Peter le baise, changeant son rythme tout les quelques douzaines de coups d'une manière qui garde Stiles en haleine et sa bite déjà épuisée est dure comme le roc.
C'est le meilleur sexe que Stiles ait jamais eu.
Et avec Peter qui frotte contre sa prostate, presque complètement habillé et les yeux rivés sur le visage rougit de Stiles, Stiles tombe putain d'amoureux.
C'est stupide, c'est fou et ça n'a aucun sens, mais Stiles est amoureux de cet étranger qui le baise si fort dans les toilettes d'un aéroport. Quiconque peut se battre et baiser comme cet homme peut le faire mérite l'amour de Stiles.
Alors Stiles le lui fait savoir.
Il mordille affectueusement les doigts qui recouvrent presque sa bouche jusqu'à ce que Peter l'enlève, seulement pour glisser cette main droite mortelle vers le bas pour saisir la gorge de Stiles. « Oh, oui, Daddy ! » s'exclame-t-il. « Merci, Daddy. J'aime la façon dont tu me remplis. Je n'ai jamais eu ça, jamais. » Stiles se branle, un second orgasme se construisant dans son ventre. « J'aime tellement ta bite, Daddy. Je la veux tous les jours, juste comme ça. Je veux que tu me remettes à ma place et que tu fasses ce que tu veux de moi- »
Le rythme des hanches de Peter bégaye. La main autour de la gorge de Stiles se contracte et se relâche.
« Tu aimes ça ? » murmure Stiles, en se masturbant brutalement. « Tu aimes l'idée que je sois ton petit jouet à baiser ? Parce que je le suis. J'adore ça, Daddy. Je veux que tu me plies n'importe quand, n'importe où. Je veux ta bite dans ma gorge et ton sperme dans mon cul. J'en ai tellement besoin, Daddy. J'ai besoin que tu me remplisses jusqu'à- »
Et Peter le fait, le baisant durement pendant qu'il crie son extase.
Il continue de le baiser à travers elle, assez dur et rapide pour que les poumons de Stiles se bloquent, que ses orteils se recourbent et que tout son corps tremble contre l'évier. Il crie en venant à nouveau, son corps se relâchant pendant que Peter utilise son cul serré pour essorer chaque dernière goutte de son propre plaisir.
Stiles dérive durant un certain temps, revenant à lui avec Peter écrasant sa poitrine et mordillant le long de son cou.
La bite de l'homme est toujours en lui et Stiles peut sentir le sperme chaud commencer à suinter hors de lui. Il gémit, se serrant fermement autour de Peter.
« Ça... » commence Peter d'une voix rauque. « C'était incroyable, mon beau garçon. »
Stiles lui sourit, large de bonheur et de corruption. « Je ne sens plus mes jambes. »
Peter souffle un rire et continue de grignoter son cou. « Je suis heureux de ne pas être le seul ». Il bouge doucement à l'intérieur de Stiles et lève juste assez la tête pour rencontrer le regard enivré de Stiles. « Tu veux partager mon bon d'hôtel gratuit ? » Il regarde vers le bas où ils sont joints puis jette un coup d'œil à la pièce. « Je vais être honnête et dire que j'ai des projets pour ce cul, et je pense qu'un changement de lieu pourrait être nécessaire pour quelques-unes des idées les plus… complexes. »
En gloussant, Stiles incline la tête pour regarder le plafond. « Tu ferais un sacré vendeur dans une autre vie, Daddy. Demander à un garçon de partager ton lit après l'avoir complètement ruiné pour quelqu'un d'autre ? C'est du marketing de haut niveau. »
Peter lui sourit méchamment et Stiles jure que ses dents semblent plus aiguisées aux extrémités. Il cligne des yeux et c'est parti.
Huh.
« Je prends ça pour un oui. »
Stiles hoche la tête d'un air somnolent, satisfait de rester allongé ici avec son Daddy.
C'est silencieux pendant un moment avant que Peter ne s'éclaircisse la gorge.
Stiles entrouvre un œil. « Ouais ? »
Peter le regarde d'un air neutre. Stiles lève un sourcil.
« C'est juste- » Peter frotte son cou d'une main et pouffe un peu de rire. « Eh bien, d'accord-quel est ton nom ? »
Stiles cligne des yeux.
Et il éclate de rire.
