Trois jours des plus embarassants venaient de s'écouler, ils ne s'adressa pas la parole ni même n'osa se regarder dans les yeux évitant même de se toucher.

Ils n'avaient toujours pas parler de cette nuit et chacun à sa manière essayait de l'oublier.

Levy coucha successivement ces trois derniers jours avec Jet mais il ne réussissait pas à combler le désir que son frère avait fait naître en elle.

Quant à Gajeel, il fit un défilé de femme, comme à son habitude mais plus fréquent cette fois-ci.

Ça n'aurait jamais dû se passer comme ça, elle était venue vivre avec son frère uniquement parce que la faculté de ses rêves était dans cette ville.

Et en trois mois de colocation, elle n'avait jamais éprouvé aucune sorte de désir pour lui. C'était son grand frère rien de plus, rien de moins, celui qui l'appelait crevette à cause de sa petite taille malgré ses dix sept ans.

Levy poussa la porte de l'appartement et vit une fille sortir de la chambre de son frère.

Elle eut un pincement au cœur et une sorte de jalousie grimpa dans son cœur. Est-ce qu'il l'avait toucher comme il avait fait avec elle ? Est-ce qu'il avait baisé cette fille aussi fort qu'elle ? Avait-il aimé ? Son cœur se comprima à toutes ses questions et dès que cette fille sortit de la maison, elle laissa tomber son sac et jeta un regard froid à son frère.

— C'est qui cette fille ? Pourquoi elle était là ?

— On baisait.

Elle en avait assez de renter chaque soir des cours et de trouver une fille dans son lit alors qu'elle n'avait pas le droit de le toucher.

— Très bien.

Levy sortit son téléphone et composa un numéro.

— T'appelles qui ? demanda Gajeel.

— Jet.

— Pourquoi ? demanda t'il brusquement.

— Pour qu'il me fasse une nouvelle fois l'amour.

Gajeel fronça les sourcils et arracha le portable de sa sœur.

— Comment ça une nouvelle fois ? demanda t'il, lui arrêtant le bras.

— On a déjà couché ensemble.

Il se sentit furieux d'un coup, jaloux. Personne n'avait le droit de goûter à sa sœur.

Gajeel poussa Levy et elle tomba assise sur la sofa.

— Pourquoi t'as fais ça ? T'as aimé ?

— Oui.

Elle l'énerva express, elle voulait qu'il cède, qu'il soit jaloux et ça avait l'air de marcher vu qu'il s'abaissa à son niveau et remonta sa jupe.

— Est-ce qu'il te caresse aussi bien que moi ? dit-il, glissant ses mains entre ses cuisses.

— Non, soupira t'elle.

Il enfouit ses doigts dans sa culotte et constata qu'elle mouillait déjà.

— Est-ce qu'il t'excite aussi vite que moi ?

— N-non...

Il écarta ses jambes et il fit descendre sa culotte.

Gajeel pencha le regard vers son intimité et déposa ses lèvres dessus qu'elle en gémit.

— Est-ce qu'il te fais crier ?

— N-non... répondit-elle tremblante alors qu'il suçait son clitoris.

Elle posa sa main sur sa tête pour qu'il continue de lui sucer, il lécha ses lèvres vaginales en enfouissant sa langue en elle.

Levy repoussa la tête en arrière haletante et gémit fort son nom.

Ses joues étaient en feu à cause de la délicieuse langue de son frère.

Quand il termina son tourment, il remonta ses lèvres sur le corps de sa petite sœur.

— Est-ce qu'il te suce comme moi ?

— N-Non... Il... Il ne le fait pas.

— Je suis le meilleur ?

— O-Oui.

Gajeel abaissa son pantalon pour libérer son sexe et Levy mouilla abondamment en voyant son membre fièrement dressé.

Gajeel écarta ses cuisses et à genou devant elle, il la pénétra directement la faisant crier.

— Oh oui... gémit-elle.

Il maintenait ses jambes écartées et elle s'adossa sur le sofa en gémissant et hurlant fort. Il était si violent.

— Est-ce qu'il te prend aussi bien que moi ?

— Non, Gajeel... Non...

Il la brutalisa, sortant et revenant brusquement en elle la faisant crier.

— Oh mon dieu... T'es si bon.

— Je suis le meilleur ! Dit le.

— Tu... Tu es le meilleur...

— Encore... Dit encore, exigea t'il, sortant en elle.

— Tu es le meilleur Gajeel le meilleur... S'il te plaît reviens en moi.

Il enfouit une nouvelle fois son sexe en elle et Levy entoura finalement ses jambes autour de lui pour se serrer.

Il grogna lorsqu'elle posa ses lèvres sur les siennes et qu'elle se mit à l'embrasser.

Son frère se retira en elle et l'allongea dans le canapé.

— Je suis quoi pour toi ? demanda t'il.

— Mon frère.

— Encore.

— Mon frère, je t'en prie Gajeel...

Elle écarta les jambes pour qu'il la pénètre encore.

Il s'exécuta et se mit à sucer ses seins.

— Oh Gajeel... Ne t'arrête pas...

Il faisait des va et vient sans s'arrêter, et sa sœur l'embrassa une nouvelle fois. Il lui mordit la lèvre.

— Dit que je suis plus meilleur que lui...

— Tu es meilleur plus que jet...

— Levy... Je...

Son sexe gonfla avec tant de plaisir.

— Va s'y.

Il s'écoula en elle et elle ferma les yeux de bonheur.

Gajeel sortit en elle et se leva.

Levy respira bruyamment, son frère était une brute mais elle adorait ça.

Sa peau était rouge et brûlante, sa jupe relevée et sa culotte rabaissé, son tricot surlevé et son soutien sur son ventre.

Il la laissa jambe en l'air, vêtements tout en désordre et il sortit de l' appartement.

Levy toucha son sexe et à son entrée coulait le sperme de son frère.

Quand sa respiration se calma enfin, elle se sentit dégouter. Elle venait de coucher avec son frère une nouvelle fois.

La bleutée alla se doucher mais pas en pleurant cette fois-ci, juste dégoûtée mais aussi satisfaite.

Son frère savait la combler.

Deux jours après, Gajeel se detesta d'avoir cédé alors qu'il s'était promis de ne plus la toucher mais il n'avait pas supporter en comprenant qu'elle avait couché avec cet idiot.

C'était sa sœur, il y'avait que lui pour lui toucher. Il était son premier et personne ne pourra jamais lui donner autant de plaisir que lui.

Ces deux dernières nuits, il suivait sa sœur se caresser le sexe en murmurant son nom et le lendemain tout deux était honteux de la tournure des choses.

Dans sa chambre, Levy n'arriva pas à se calmer, elle désirait son frère honteusement mais elle ne pouvait plus s'en empêcher, il l'avait rendu addict de sexe et seul lui pouvait le combler car jet ne lui faisait rien ressentir.

Décidée de combler ce feu qui l'empêchait de dormir, elle se rendit dans sa chambre.

Elle ouvrit doucement sa porte pour ne pas le réveiller et laissa celle-ci ouverte.

A la pointe des pieds, elle monta au dessus de lui et effectivement il était sans vêtement, juste en boxer.

Quand il ouvrit les yeux, il surpris sa sœur au dessus de lui toute nu.

— Non on...

Levy l'embrassa pour le faire taire mais il la repoussa.

— Non, Levy non. On ne doit plus faire ça.

— S'il te plaît, j'ai envie de toi, avoua t'elle.

— Tu es ma sœur, c'est mal.

La bleutée s'énerva.

— Quand c'est moi qui le désire c'est mal mais la dernière fois tu ne le pensais pas quand tu me prenais violemment.

— Non je...

— Quand tu me caressais, me suçais, tu me laissais t'embrasser ce n'était pas mal. T'as jouis en moi deux fois, tu as prise ma virginité. Tu m'as baisé et c'était bon. Maintenant tu me dis que c'est mal ? Il est déjà trop tard.

— Je suis ton grand frère putain, on a pas le droit.

— Si, personne ne le sait, dit-elle, ondulant sur lui.

— A-arrete...

Il grogna satisfait quand elle déposa ses lèvres sur lui et Levy abaissa son boxer.

— Putain !

Il agrippa fermement ses fesses et elle se releva pour introduire son sexe dans son intimité plus que palpitant.

Levy monta et descendit sur son sexe et ses seins qui bougèrent au rythme de ses mouvements l'excita.

Il maintenait ses fesses la faisant monter et descendre en soupirant heureux.

Leur peau claquait contre leur sexe dans un bruit très obscène et excitant.

— Gajeel... Je fais bien ?

— Continue...

Elle avança pour l'embrasser continuant à taper son sexe sur le sien en gémissant.

Il exerça des pressions sur ses fesses la poussant en avant pour faire entrer profondément son sexe en elle.

— Ça... Ça fait mal, dit-elle.

— Supporte...

Il la poussa durement en avant et elle descendit et il recommençait.

Levy frotta sa poitrine contre son torse et heureuse, elle lui sourit quand elle avait enfin le bon rythme.

Ils continuèrent tout les deux ainsi jusqu'à ce qu'il jouit en elle et ils s'embrassèrent.

Épuisés, il restèrent allongés l'un contre l'autre et Gajeel caressa son dos.

— Gajeel on doit en parler.

— Il y'a rien à dire, c'est la dernière fois.

Levy leva la tête pour le regarder.

— Tu veux qu'on continue comme ça ? Sans plus qu'on s'adresse la parole ? Qu'on se regarde avec honte et que chaque nuit on pense à l'autre en se masturbant ?

— Faut qu'on arrête de coucher ensemble.

— Mais on peut coucher ensemble si on le désire, personne ne saura jamais rien.

— Levy écoute, tu es ma sœur, je suis ton grand frère. Ça n'aurait jamais dû arriver la première fois, j'aurais dû t'arrêter, j'aurais dû résister. Même si personne ne le sait on ne le fait pas avec bonne conscience. C'est moi qui t'ai déviergé tu t'en rends comptes ? C'est dégoûtant.

Levy savait qu'il avait raison. Ils étaient frère et entretenir une relation incestueuse ne serait pas bon pour l'un comme l'autre.

— Tu as raison, c'est mon désir qui parlait à ma place. Tout ça n'est pas correct. Ça n'aurait jamais dû arriver mais j'ai toujours envie de toi.

— Tout est déjà joué. On a qu'à le faire toute les deux semaines puis une fois par mois et le faire moins souvent jusqu'au moment où on n'en aura plus envie.

— Oui j'accepte.

Levy vint l'embrasser.

— Est-ce qu'on peux encore le faire aujourd'hui ? Vu deux semaines c'est un peu loin.

Gajeel sourit et allongea sa jeune sœur dans le lit. Leur regard ne trahissait plus la honte vu qu'il était tout les deux pleinement conscient de leur acte.

— Juste le sexe Levy.

— Juste le sexe, accepta t'elle.

Il l'embrassa et elle passa ses mains à son cou en entourant ses jambes autour de lui.

D'un coup il la pénétra et il fit des mouvements de va et vient en elle.

Elle se rendit compte atrocement que deux semaines étaient beaucoup trop loin pour le sentir à nouveau.