Bienvenue dans la famille.
Loki présente Tony à Frigga. Autant dire que ce dernier est tout sauf serein. Ironfrost.
ND'A : Hey ! Ce texte a été écrit dans le cadre du défi festif de Pâques pour Soraa, j'espère que tu aimeras ce texte !
Je compte me casser définitivement sur AO3, donc à part les fics déjà existantes, je ne pense pas poster de nouveaux trucs sur ce site, donc si jamais mes fics vous intéressent (lol), suivez-moi là-bas si le cœur vous en dit ! (Pseudo : AngelicaR2)
-copc d'écrire sur Loki qui présente Tony à Frigga ?
Tony était nerveux, ce qui, il faut bien l'avouer, était suffisamment rare pour être souligné, et d'un autre côté, Loki ne pouvait clairement pas lui en vouloir, il était probablement aussi nerveux que lui, ou peut-être même plus encore.
C'était après tout, la première fois qu'il présentait quelqu'un à sa mère, quelqu'un qui n'était pas un ami mais son compagnon, et là où Tony n'avait pas eu peur une seule seconde face à Odin en le rencontrant pour la première fois lorsque les Avengers s'étaient rendus à Asgard pour la première fois (Loki n'arrivait toujours pas à déterminer si c'était de la simple arrogance ou si son petit-ami était carrément suicidaire), il le sentait clairement tendu à l'idée de rencontrer Frigga.
Peut-être parce que, alors que le dieu du mensonge se moquait bien de l'avis d'Odin au sujet du milliardaire, l'avis de sa mère comptait pour lui, véritablement, et le super-héros devait sentir cela.
« Tout va bien se passer.
- Loki… Je risque très probablement de devoir avoir la conversation avec ta mère, qui est je te le rappelle, une déesse immortelle millénaire surpuissante qui peut très certainement me désintégrer en un regard si jamais elle ne m'apprécie pas, et tout mon argent, toute ma technologie et toutes mes armures ne suffiraient pas pour me sauver. Non, ça ne va pas bien se passer.
Le dieu fronça les sourcils.
- Tu entends quoi par « la conversation » ?
- Oh, celle que fait le grand frère, la grande sœur ou l'un des deux parents, voire les deux parents pour signifier au prétendant potentiel de leur enfant ou frère chéri, toi en l'occurrence, que si jamais il, c'est-à-dire moi, s'avise de briser le cœur du dit petit-ami, eux-mêmes s'assureront de lui briser les jambes, ou les vertèbres et dans les pires des cas le cou. Ce qui est je dois te l'avouer une perspective qui me serait très désagréable.
- Ça n'arrivera pas, le rassura le dieu, je te le promets. Sinon je serais là pour te protéger. »
Au final, Frigga l'avait considéré comme « acceptable et peut-être digne de courtiser son fils » et Tony avait été partagé entre être vexé et se sentir soulagé que les choses se soient effectivement bien passées.
