Bien le bonjour chéres lectrices et lecteurs
J'espère que vous allez bien. Et voici pour vous un nouveau chapitre.
Merci d'être de plus en plus nombreux à suivre les aventures de la famille Le Prince
Réponse aux reviews
LilSlytherdor : Tu va bien voir ce qui va arriver merci pour ta review
lesaccrosdelamerceri : Effectivement y'aura de la tempête au sens propre comme au figuré
Pims10 : Malheureusement pour Sirius on voit l'influence du vieux Dumby
Petite-Licorne-Arc-en-Ciel : Merci d'être toujours là et cette vengeance elle impliquera de nombreuses personnes
BrodieBray : Merci des tes retours, et effectivement cette histoire sera longue et dans ce chapitre il y'a aura une description de l'empire, et un petit de géopolitique dans les chapitres à venir
Zeugma412 : Merci de ta fidélité, et comme tu vois les choses simples sont les meilleurs
Miss MPREG : Content de voir que tu es toujours intéréssé par cette histoire et par la tournure qu'elle prend et oui effectivement j'ai fait une saucisse à propos de l'age de Fleur, merci de ta remarque
Et maintenant voici rien que pour vous
Chapitre 4 Le rassemblement des corbeaux
Ou on voit on qu'il suffit de s'absenter pour que les enfants fassent des bêtises
5 septembre 1992
Manoir Lestrange Oxfordshire
Le soir tombait sur le manoir de la noble et ancienne famille Lestrange. Rodolphus Lestrange, le maître des lieux, regardait le paysage par la fenêtre de son bureau, un verre de whisky à la main. La journée au Magenmagot avait été dure. Encore une fois, il avait dû affronter de nouvelles accusations. Maintenant, Bellatrix et lui étaient accusé d'avoir agressé le couple Londubat. Ces accusations étaient ridicules, et malgré les preuves qu'il avait présentées, les partisans de Dumbledore voulaient voir sa tête au bout d'une pique.
« Toujours tracassé par ces calomnies ? » demanda son épouse Bellatrix.
Celle-ci posa sa tête sur son épaule.
« J'ai l'impression qu'ils n'arrêteront jamais. »
Rodolphus se retourna et enlaça sa femme, en posant une main sur son ventre. Celle-ci était enceinte de sept mois. Ils ne voulaient pas savoir si ce serai un garçon ou une fille. Même si pour Rodolphus, l'idéal, ce serait d'avoir un héritier, il aimerait cet enfant, quel que soit son sexe.
Mais le couple Lestrange, avait été pas mal secoué ces derniers mois. En effet, la disparition de leur maître les avait affectés. Mais aussi celle de Severus et de Lily. Au début, ils avaient craint le pire, en particulier à cause du fait que la petite Hermione était leur filleule, alors que Lucius et Narcissa étaient le parrain et la marraine de Harry. Mais heureusement, le couple Malfoy leur donna des nouvelles rassurantes, ils projetaient de se voir pour les fêtes de Yule.
Et justement, le même Lucius Malfoy débarqua sans prévenir dans le grand salon du manoir.
« Tiens Lucius, que nous vaut cet honneur ? » lança le maître des lieux
« J'ai quelque chose d'important à te dire » lança le blond, et vu son air grave, cela avait l'air important
Alors que Bellatrix se dirigeait vers la porte « Non Bella, ça te concerne aussi. »
Avant qu'elle ne puisse s'asseoir, Lucius exposa la raison de sa venue
« Il va y'avoir une descente dans ton manoir »
« Quand ça ? »
« Demain matin, à l'aube »
« Mais pourquoi ? » demanda Bella
« C'est à propos de l'affaire Londubat »
« Mais, je n'ai rien à voir dans tout ça » lança Rodolphus « Franck est mon ami, on était en affaires tous les deux »
« Ecoute Rod, je sais que le vieux fou a le bras long, surtout au bureau des aurors. Il a réussi à convaincre Maugrey de lancer une descente demain. Mais ce n'est pas tout »
« Comment cela ? »
« Apparemment, pendant cette descente, Bellatrix tentera d'attaquer l'un des aurors, et celui-ci « ripostera » si tu vois ce que je veux dire. »
Rodolphus resta pétrifié par cette nouvelle, son meilleur ami venait de lui annoncer, qu'il existait un complot visant à le tuer lui et son épouse.
« Comment tu sais tout ceci ? »
« Nous avons encore des partisans de la cause, au sein des aurors. Il m'a affirmé avoir entendu James Potter parler de « purger la famille Black »
« JE VAIS LE TUER CETTE EN…. » hurla Bellatrix, qui dut prendre plusieurs minutes pour ce calmer.
« Calme-toi ma chérie » dit Rodolphus en tenant sa femme dans ses bras « Ils ne vous arrivera rien »
Ecoute Rod « dit Lucius « Je pense qu'il vaut mieux que vous quittiez le pays »
« Mais le manoir, et la seigneurie ? »
« C'est une perte, mais il vaut mieux que tu serves le maître vivant que mort » Lucius sortit alors de sa poche, un vieux carnet en cuir. Cet objet avait d'être plein de respirait la magie noire.
« C'est quoi ça ? » demanda Bellatrix.
« Ça, c'est la clé pour faire revenir le maître, garde le précieusement. Et remettez-le à Severus. »
« Tu crois que Sev va réussir à ramener le maître avec ça ? »
« J'ai ma petite idée. » dit-il avec un clin d'œil « En attendant, vous devez partir immédiatement. »
« Mais, et toi ? » demanda Rodolphus inquiet pour son ami.
« Disons que j'ai quelques dossiers sur Fudge, il est mon obligé. Mais je n'ai rien pu faire pour toi. »
« Ce n'est pas grave, merci de nous avoir prévenus. » Les deux hommes s'enlacèrent en guise d'au revoir.
« Bonne chance » dit Lucius avant de saluer sa belle-sœur.
« Tu diras à Cissy et à Draco… »
« Ne t'en fait pas Bella, j'expliquerais ça à ta mère. Elle comprendra pourquoi tu n'as pas pu lui dire au revoir toi-même. »
Une fois Lucius partit, Rodolphus prit les choses en main.
« Beyzil ? »
Aussitôt, un elfe de maison apparut devant lui
« Maitre Rodolphus a appelé Beyzil ? »
« Ecoute moi attentivement, je veux qu'à partir de cette nuit, le manoir soit scellé. Personne ne doit y'entrer. Tu as compris ? »
« Oui maître. »
« Je veux que toi et les autres elfes, vous transfériez tout le mobilier et le moindre objet qui se trouve ici, dans le coffre familial à Gringotts. Et fait préparer nos bagages. »
Une fois les bagages prêts, les elfes vidèrent le manoir. Le couple était prêt à partir.
« Beyzil, maintenant, je veux que toi et les autres, vous alliez vous mettre à l'abri. Allez chez les Malfoy, vous y'resterez jusqu'à ce que je fasse de nouveau appelle à vous. »
« Merci Beyzil remercie le maître et la maîtresse Lestrange, et Beyzil espère qu'il ne leur arrivera rien. »
Soudain, Rodolphus sentit les protections de manoir trembler.
« Que Salazar nous protège » murmura-t-il à son épouse, en la prenant dans ses bras.
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2 Jours Plus tard
Chambre des Pairs de l'empire magique de France Palais de Chaillot Paris
Comme à chaque début du mois de septembre, le corps législatif de l'empire magique de France reprenait ses travaux.
Celui-ci était composé de deux assemblées
D'un côté, la chambres des représentants, composée de 450 députés élus par les citoyens de l'empire.
De l'autre, la chambre des Pairs qui regroupaient les seigneurs et dames, des nobles et anciennes maisons de l'empire.
Le corps législatif était chargé de l'élaboration et du vote des lois.
Mais avant d'aller plus loin dans le récit, voici maintenant un descriptif de l'empire magique de France.
Durant plusieurs siècles, les sorciers et autres êtres magiques vivant dans le royaume de France, n'avaient aucune structure de gouvernement,.ils étaient tous dispersés en communautés éparses, vivant à l'abri des non magiques. Mais, il arrivait que des incidents se produisent, ainsi dans les années 1760, un groupe de Loup-Garou mena des attaques sur des non magiques, dans la province du Gévaudan.
Mais au moment de la révolution, les choses ont mal tourné. En effet, de nombreuses communautés magiques vivaient sous la protection de l'église. Ainsi, des centaines de sorciers et de créatures magiques furent massacrés durant la terreur. Les exactions ne prirent fin qu'en 1799 après le coup d'état du 18 Brumaire qui vit l'arrivée au pouvoir du Général Napoléon Bonaparte.
Seulement, ce que tout le monde ignorait, du coup chez les non magiques, c'est que Napoléon Bonaparte était issu d'une famille de sorciers corses qui n'avait échappé que de justesse à l'extermination. Pour lui, la seule solution pour mettre un terme aux massacres, c'était qu'un sorcier dirige « les deux côtés » de la France.
Le règne de Napoléon 1 er sur la partie non magique de la France est connu pour ses guerres et pour les grandes réformes mises en place et celui-ci dura jusqu'à la défaite de Waterloo en 1815.
En revanche, côté magique, celui qui fut reconnue empereur par la magie, eut plus de travail, car il partait pratiquement de zéro. Rapidement, il créa une administration unifiée, reçut le soutien et l'allégeance des toutes les familles nobles, renforça le statut du secret, et préserva les sanctuaires magiques. En 1815, après Waterloo, et se rendant compte que la partie non magique de la France était perdue. Napoléon négocia la paix avec les autres royaumes magiques européens, après des mois de négociations, les frontières de l'empire furent fixées.
Ainsi, l'empire magique de France est limité uniquement par ses frontières naturelles : Atlantique, Rhin, Alpes, Méditerranée, Pyrénées. (En gros la Belgique, l'ouest de la Suisse, le Luxembourg, et la rive gauche du Rhin, sont française)
Après ça, l'empereur régna dans la paix avec à ses côtés son épouse Joséphine. Ils eurent quatre enfants, et l'ainé, François Charles, succéda à son père sous le nom de Napoléon II. Ce dernier régna dans la paix, mais frappé par la maladie, il laissa le trône à son fils en 1880, avant de décéder quelques mois après.
Napoléon III régna jusqu'en 1925, puis son fils Napoléon IV dut faire face aux troubles menés par Grindelwald. La France et l'ensemble du continent furent la cible des exactions des partisans du sorcier fou. Pendant deux décennies, l'empire fit face à la menace, l'empereur affronta à trois reprises Grindelwald. Et, contrairement à la croyance populaire qui désignait Albus Dumbledore comme le vainqueur de Grindelwald, c'est oublié un peu vite que Napoléon IV avait contribué à cette chute, grâce à un sortilège particulièrement vicieux qui s'attaque aux sens.
C'est à partir de ce moment que les relations entre la Grande Bretagne et les autres pays européens se sont dégradés. Plusieurs pays, comme la France et l'empire d'Autriche, les deux pays qui avaient le plus souffert, reprochèrent à Dumbledore de ne pas être intervenu plus tôt. Et cela ne s'arrangea pas lorsque le gouvernement britannique, toujours sous l'influence de Dumbledore, avait réduit les droits des créatures magiques, ou abolit certaines célébrations magiques.
Mais aujourd'hui, Severus et Lily Le Prince se trouvaient dans les couloirs du parlement, marchant en direction de la chambre des pairs. Ils étaient habillés de robes aux couleurs de la maison Le Prince : Bleu foncé et blanc.
A leurs côtés, se trouvait le couple Delacour qui leur servait de guide. Une fois arrivé dans l'hémicycle, le couple fut accueilli par de nombreux seigneurs et dames qui leur souhaitèrent la bienvenue. Severus et Lily prirent place à leur siège, tandis que le président monta à la tribune. « En tant que président de l'honorable chambre des pairs. Je déclare ouverte la 188ème sécession de la chambre des pairs de l'empire magique de France. Puisse notre mère la magie la bénir.
Tous les membres de la chambre se levèrent et tendirent leurs baguettes vers le plafond, qui prit une lueur argentée.
« Avant de commencer l'ordre du jour » poursuivit le président « Notre assemblée est heureuse de compter sur le retour d'une noble et ancienne famille. En l'occurrence la famille Le Prince, représentait par le Seigneur Severus et la dame Liliane. »
Le couple se leva, et Severus prit la parole.
« Monsieur le Président, Messieurs les Ministres, dames et seigneurs, c'est un véritable honneur pour nous, d'être présent devant vous. Depuis bientôt un an, ma famille et moi avons trouvé refuge dans ce pays, qui est devenu le nôtre. Ce pays nous a beaucoup donnés, et nous voulons le lui rendre. »
Lily poursuivit « Nous jurons sur notre magie d'être fidèle à la France, et nous, en tant que membre de la chambre des pairs, nous jurons d'occuper ce siège avec respect pour la loi, et notre mère la magie. Et jurons allégeance et fidélité à notre souverain. »
Une lueur dorée s'échappa de leurs baguettes, tandis que les autres membres de l'assemblée applaudirent les nouveaux venus.
Plusieurs heures après, Lily et Severus se trouvèrent dans une loge, avec le couple Delacour, qui leur expliquaient le fonctionnement des commissions de loi. Lorsqu'un homme s'approcha d'eux. Il devait avoir une cinquante d'années, le teint cireux et des yeux gris dissimulé sous des lunettes en écailles.
« Seigneur Le Prince, je vous félicite pour votre discours. Bienvenue à la chambre des Pairs. »
Alain Delacour se chargea des présentations
« Severus, Lily. Permettez-moi de vous présenter, son excellence monsieur Henri de Mottereaux Ministre de la Police et de la sécurité intérieur »
« Monsieur le Ministre, c'est un honneur » répondit Severus
Après avoir baisé la main de Lily, le ministre entama une discussion polie avec les deux couples, avant d'en venir au fait.
« J'ai un message pour vous mon seigneur » dit-il à Severus « Il m'a été transmis par mon collègue, Monsieur de Bilemont »
« Oui, c'est vrai, que je m'étonne de ne pas le voir » dit Apolline.
« Il a dû accompagner sa majesté à un voyage en extrême orient » répondit le ministre en sortant quelques documents de son porte-document.
« Ceci est une note de notre ambassadeur à Londres. Il nous dit qu'hier, une source anonyme l'aurait informé que le manoir de la famille Lestrange aurait été victime d'une attaque la nuit précédente. »
Le couple Le Prince garda son masque de froideur. Mais à l'intérieur, ils bouillonnaient.
« Savez-vous qui a osé s'en prendre à une famille noble et ancienne ? » dit Lily.
« Nous ne savons pas, malheureusement, nous n'avons aucune nouvelle des habitants du manoir. »
Lily serra fermement sa baguette, tandis qu'un sentiment de rage l'envahissait.
« C'est sûrement un coup des partisans de Dumbledore » déclara Alain Delacour.
« Je l'ignore, encore que d'après mes sources, cette famille a fait l'objet d'accusations graves. »
« C'étaient des mensonges » s'écria Lily qui ne pouvaient pas croire ce qu'elle entendait. Rodolphus et Bellatrix étaient ses amis. Ils étaient le parrain et la marraine de sa fille. Bellatrix lui avait tous appris sur les traditions sang purs, et sur la magie de sang. Elle ne pouvait pas croire, qu'elles ne les retrouveraient jamais.
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Pendant ce temps a Saint Floure sur Aude
Un peu au nord du village entre la voie ferrée et le fleuve, se trouvaient, quelques pieds de vignes. Il avait cela de particulier qu'ils appartenaient à Eileen Barrales. il s'agissait d'une variante particulière de raisin, utilisé uniquement pour brasser des potions. Ce jour-là, Eileen terminait sa récolte. Elle pouvait compter sur quatre petites mains pour l'aider. En la personne de ses petits jumeaux
Le temps était magnifique sur Saint Floure, mais comme souvent en cette fin d'été, ça finissait toujours par tourner à l'orage. De lourds nuages noirs arrivaient des Corbières au sud. D'après Eileen, il faudrait au moins compter vingt minutes, avant que ça explose.
« Allez les enfants, on va rentrer » dit-elle en rangeant ses outils dans sa poche sans fond. »
« Nana, regarde les oiseaux » dit le petit Harry en désignant un vol de corbeaux
« Oui Harry, ils vont se mettre à l'abri de l'orage. Et nous aussi d'ailleurs. »
Eileen lança un sortilège de lévitation sur les cagettes de grappes. Ce qui était plus pratique pour tenir ses petits-enfants par la main. Bien sûr, elle n'oublia pas de lancer un sort de désillusion sur les caisses. Parce que des cagettes qui flottent dans les airs, ça peut paraître étrange pour des non magiques.
Suivant le chemin qui serpentait dans la campagne, la sorcière et ses deux petits pressèrent le pas. Mais la pluie commença à tomber alors qu'il franchissait le pont en pierre au-dessus du chemin de fer. Mais heureusement, ils n'eurent qu'à franchir la route nationale, sous la protection d'un feu tricolore, puis remonter quelques mètres du boulevard, pour atteindre la maison.
Eileen sécha ses petits-enfants, avant de leur préparer un chocolat chaud. La pluie continuait de tomber, mais à travers la fenêtre de la cuisine, elle remarqua que des corbeaux s'étaient posés sur le figuier du jardin.
La brune était assez intriguée par cela, d'habitude, les corbeaux étaient rares dans la région. Cela ne disait rien qui vaille. A la fin de la journée, Eileen avait prévu d'aller rejoindre Michel au relais. Mais les corbeaux étaient toujours présents, Eileen sentait quelque chose d'étrange. Elle décida d'agir à la façon Serpentard.
« Les enfants, venez on va jouer » dit elle aux enfants. Le jeu consistait à se cacher dans l'armoire de la chambre parentale, et de ne surtout pas en sortir. Une fois cela fait, elle descendit à la cave. Elle y'trouva ce qu'elle cherchait, plus transplana.
Un instant après elle se retrouva dans une autre cave, en l'occurrence celle du relais. Elle monta, et trouva Michel qui terminait la mise en place.
« Chérie, tu es déjà là. Où sont les petits ? »
« Ils sont à la maison, mais j'ai besoin de toi. Viens vite. »
Michel remarqua que son épouse, avait l'air inquiète. Il décida de la suivre vers leur maison. Mais protégé par un sortilège de désillusion. Arrivé devant la maison, Eileen sortit quelque chose de sa poche, il s'agissait de son fusil, qu'elle avait miniaturisé.
« Tu veux que je tire sur des corbeaux ? » demanda Michel incrédule
« Je te dis que je sens quelque chose de bizarre. » répondit son épouse.
Les deux époux se séparèrent, passant par chaque côté de la maison. Et effectivement, Michel vit que le figuier était envahi par les volatiles. Après avoir attendu quelques secondes, il tira un coup de fusil en l'air, effrayant tous les corbeaux. Il en remarqua deux qui semblait bien plus gros.
Soudain, Eileen surgit de derrière le rosier, et cria :
« Stupéfix »
Plusieurs tombèrent immobilisés. Eileen s'approcha des deux plus imposants et lança un sortilège de « révélio ».
« Et ben, voilà autre chose » dit Michel devant le résultat de tout ça.
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Le lendemain, Lily et Severus prirent congé de leurs nouveaux collègues, et utilisèrent la cheminée publique pour rentrer chez eux, via la grande poste de Perpignan. En arrivant dans le salon, ils virent Michel et Eileen en train de prendre le petit déjeuner.
« Salut les jeunes » dit Michel en levant les yeux de « l'Equipe » vous savez je n'ai rien contre le fait que vous invitiez des amis. Mais vous auriez pu nous prévenir. »
« Mais de quoi tu parles ? » demanda Severus qui n'eut pas le temps de finir sa phrase,
« Y'a du thé ici ? » dit un homme qui descendit les escaliers, et qui au vu de sa tête, donnait l'impression d'avoir été passé à l'essoreuse.
Le couple resta figé
« Et ben quoi Lilette, on dirait que tu as vu un fantôme ? »
« Rodolphus ?! Mais qu'est que-ce tu fais là ? » dirent Severus et Lily en cœur.
« Disons qu'ont a dû improviser » dit Rodolphus qui raconta à ses amis, comment ils avaient pu échapper à l'ordre du phénix en se transformant en corbeaux. Leur forme d'animagus. Et comment ils avaient mis trois jours à arriver jusqu'ici.
Lily monta ensuite à l'étage et fut ravie de revoir Bellatrix.
« On avait cru le pire » dit la rousse après avoir embrassé son amie
« On s'en est tiré de justesse, et dans mon état, c'était un vrai miracle. » dit la brune en désignant son ventre rond. « On est désolé d'avoir débarqué comme ça, et en plus ce n'est même pas chez vous. »
« Ce n'est pas grave Bella, toi et Rod vous ne pouviez pas savoir que l'autre citronné allait mettre un contrat sur vos têtes. »
Bellatrix se leva, tandis que Lily alla voir ses enfants. L'ancienne Serpentard s'habilla, mais eut du mal à se voir dans le miroir.
« Lily » appela-t-elle « Ton miroir est opaque, et il est bombé, c'est bizarre. »
« Ce n'est pas un miroir » dit la rousse en riant « C'est une télévision. »
« Et ça sert à quoi ? »
Lily appuya sur la télécommande, et pour la première fois de sa vie, Bellatrix découvrit la météo
Dans la cuisine, Rodolphus continua de discuter avec Severus.
« Mais comment Lucius était au courant ? » demanda Severus
« Il aurait reçu un courrier anonyme »
« Qu'allez-vous faire maintenant ? »
« Je ne sais pas. L'important, c'est que Bella se repose, elle a été très éprouvée. » dit Rodolphus, en sortant un carnet de sa poche. « Lucius m'a dit de te transmettre ça. Il m'a dit que ça peut aider au retour du maître. »
Severus regarda le carnet et se demandait ce qu'il pouvait t'il en faire. Rodolphus, lui, regarda la cuisine, mais avec des yeux curieux.
« C'est qui Papin ? » dit-il en désignant l'Equipe qui faisait la une sur l'attaquant de l'équipe de France.
Et oui qu'est ce que vous croyez je n'allais pas me résoudre à tuer Bella et Rodolphus comme ça
J'espère que ce chapitre vous à bien plu n'hésité pas à me dire ce que vous en avez pensé
Merci d'être toujours présent et je vous donne rendez vous pour le chapitre suivant "Une grande famille"
Tchao a plus