Auteur: Litany Riddle

Titre: Les Cubes Blancs

Rating: T

Catégorie: Humour, aventure

Disclaimer: Seule l'histoire est à moi, les personnages sont à JKR.

Base : Les 6 premiers tomes de Harry Potter, très vaguement.

Bêtalectrice: Ishtar205

Notes de l'auteur : J'ai voulu remettre en ligne, même non finie, cette fic de 2005 qui avait plu à énormément de lecteurs (que je salut et remercie). Il y aura un nouveau chapitre ainsi que des passages écrits pour la suite.
J'ai retravaillé légèrement mais le moins possible les chapitres écrit en 2005, 2006 et début 2007, les 8 premiers, donc…

Note datant de l'époque d'écriture de ce chapitre que j'ai trouvé de bon ton de conserver :

L'auteur : Je suis revenue avec cette fic !

Tom (à genoux, les mains jointes) : Notre père qui est aux cieux...

L'auteur : Merci à tous pour vos idées d'épreuves ! Je voulais m'excuser pour ce retard et vous préciser quelques petites choses concernant la "schizophrènie" de Voldemort.

Tom : ...que ton nom soit sanctifié...

L'auteur : Donc dans le tome 6, il est dit que la 7ème partie est dans son corps actuel. Le journal a été détruit, la bague de Serpentard aussi, et R.A.B. laisse supposer qu'il a détruit le médaillon. Comme dans le 1er chapitre de cette fic je dis que Harry et Dumbledore ont réussi à trouver le serpent et la coupe de Poufsoufle, faites le calcul : il ne lui reste que 2 horcruxes, plus la partie d'âme qui est dans son corps. Et c'est déjà assez difficile à gérer comme ça, vous verrez en lisant ce chapitre !

Tom : ...mais délivre-nous du mal.

L'auteur : C'est vexant, Tom. Tu sais bien que tu es mon personnage préféré.

Tom : justement ! Les merdes, c'est toujours sur moi que ça tombe !


Les Cubes Blancs : Chapitre 6

Puis elle et Blue disparurent, et Harry se retrouva transposé dans un nouveau décors...

Cette fois, l'atterrissage se passa plus simplement. Un instant, il était dans l'endroit blanc, un léger vertige, et il se retrouva debout dans un paysage plus qu'étrange. On se serait cru sur Mars. Tout était rouge et désertique. ce monde caractérisait assez bien sa créatrice. Mais alors que Rouge était toujours mouvante et énergique, pas un souffle de vent n'agitait l'air poussiéreux. tout semblait statique et abandonné. Sans la moindre once de vie. Une pellicule de poussière rougeâtre recouvrait les pierres et ressemblait étrangement à du sang séché. Le ciel lui-même avait pris une teinte qui variait de l'oranger au carmin. Le soleil couchant à moitié disparut à l'horizon jetait ses dernières lueurs sanglantes sur les rochers et les lointaines falaises.

-Chouette endroit pour passer une année sabbatique ! s'exclama ironiquement Lord Voldemort, qui contemplait lui aussi le paysage d'un œil critique.

-Oh c'est sûr ! répliqua-t-il. On va bien se reposer avec toutes les épreuves que l'autre perverse à dû nous concocter ! (L'auteur : il parle de Rouge ou de moi, là ?)

Harry se pris la tête entre les mains. Quand les différentes parties de Voldemort se disputaient ainsi, il avait mal à en crier, et la proximité du mage noir n'arrangeait rien. Celui-ci continuait son monologue :

-Non, ça ne va pas être des vacances...

-En tout cas, son nom correspond bien à ce qu'elle est ! Je n'ai jamais vu un lieu aussi rouge...

-Et désolé...

-Même le Couloir-du-Vent-des-Mort dans le désert de Gobie en Mongolie inférieure était plus riant...

-Eh, dites-moi, se demanda-t-il après un long silence. N'aurait-on pas mieux fait de s'appeler Voldevie ?

L'air qui s'afficha sur le visage du mage noir aurait fait éclater Harry de rire si il n'avait pas eu si mal à la tête.

-Ben voui... fit celui-ci d'une toute petite voix, ça correspondrait à ce qu'on fait...

-Tu te fous de nous ? Et pour l'anagramme, on fait comment ? On rajoute des lettres ?

-De toute façons, le mot "vol" a deux sens en français.

-On s'en fiche, la mort ne vole pas dans les airs !

-Vous avez raison, c'est mieux comme ça. Lord Voldemort ça fait plus classe.

-Pour clore cette discussion stérile, je vous informe que la langue anglaise est parlée par tellement de gens dans le monde entier, que le ministère de l'Education Nationale va bientôt rendre facultative l'enseignement d'une langue vivante (c'est déjà fait, mais cette histoire se passe en 1997). Comme ça, ça règle le problème, plus personne n'aura de dictionnaire de français chez soit !

-C'est dommage, le français est une jolie langue et...

Un cube blanc apparut soudain au beau milieu du désert, à une centaine de mètres d'eux. Il semblait irréel et synthétique dans ce milieu désordonné. Autant qu'Harry puisse en juger, il devait faire deux mètres.

-On doit entrer là-dedans ? se demanda Voldemort à lui même.

-A mon avis, il faut...

-COURRIR ! s'interrompit-il en se mettant à accomplir ladite action.

Harry, lui, resta paralysé par le choc. Une myriade de créatures en provenance directe de l'enfer se déversaient hors des crevasses, sortaient de derrière les rochers. Un bruit terrifiant formé de cliquetis de pinces, de crissements de dents, de claquements de becs, d'entrechoquements de griffes, de frottements de carapaces et de sucions de ventouses lui vrillait les tympans. Et toutes ces sympathiques bêbêtes se ruèrent sur eux, que toute la force que leurs papattes poilues, ailes d'oiseaux de proies, tentacules glissants et ventres rampants leurs procuraient.

Et tandis que les monstres se rapprochaient, le jeune sorcier aux yeux verts ne bougeait toujours pas. Ou plutôt, il n'arrivait pas à bouger. Ses pieds restaient désespérément collés au sol par la peur et ses jambes semblaient transformée en plomb. Une idée fixe lui emplissait la tête et il ne pouvait penser à rien d'autre que : "Je vais mourir".

Trois secondes et dix mètres plus loin, Voldemort pila.

-On a pas oublié quelque chose ?

-Le gamin ! s'exclama-t-il en se frappant le front du plat de la main.

Demi-tour.

Harry sentit un main lui agripper le poignet et il hurla. La douleur le fit réagir et il se mit instantanément à courir. Il avait beau se débattre, tordre le bras dans tous les sens, la poigne de fer ne le lâchait pas. Voldemort le traînait, le soulevait à moitié quand il trébuchait sur les cailloux. Il n'avait pas d'autre choix que de courir à s'en faire éclater la poitrine. Ils n'allaient pourtant pas assez vite : le cube blanc fut obstrué à leur vue par le troupeau de monstres sanguinaire qui se refermait sur eux. "Là, c'est vraiment la fin", se dit Harry. Mais tout en continuant à foncer droit sur les monstres, Voldemort tira sa baguette et invoqua un vent violent. Harry fut tellement impressionné par ce qui se passa qu'il en oublia un instant sa douleur. C'était comme si la marrée de monstres s'était fendue en deux. De chaque côté d'eux un flot de créatures s'élevait comme un mur. Ils avançaient dans un tunnel qui s'ouvrait juste devant Voldemort et se refermait sur les talons de Harry. Tels Moïse traversant la Mer Rouge, ils arrivèrent au cube blanc.

Voldemort ouvrit la porte et balança Harry à l'intérieur, juste avant de pousser un cri de surprise et de s'étaler par terre. Un énorme tentacule gluant s'était enroulé autour de ses jambes et le tirait vers l'extérieur. Le mage noir se raccrocha au chambranle tandis que Harry cherchait frénétiquement sa baguette magique. Dés qu'il l'eut trouvée il cria un "Incendio". Le tentacule pris feu et se rétracta aussitôt dans un hurlement de douleur strident. Voldemort roula sur lui même en évitant de se faire décapiter par une pince acérée comme une lame et claqua la porte qui disparut instantanément dans le mur.

Les jambes encore flageolantes, Harry se jeta dans un canapé noir et essaya de reprendre sa respiration. Le sang lui cognait les tempes et il avait l'impression d'avoir un troupeau d'éléphants qui faisaient du trampoline sur son cerveau. C'était une sensation très désagréable et il aurait voulu la faire cesser tout de suite. Malheureusement, avec un certain Seigneur des Ténèbres dans les parages... D'ailleurs, ledit mage noir entrepris de visiter les lieux. Si vu du dehors le cube parraîssait très petit, l'intèrieur était spacieux. Harry se trouvait dans un grand salon moderne qui semblait très confortable. En revanche, toute la pièce était noire. Le sol, les murs, le plafond. Tous les meubles et les objets, même les abats-jours des lampes étaient d'un noir profond. Uniquement du noir.

Cela n'avait pas l'air de déplaire au mage de couleur identique, qui faisait le tour du propriétaire en lançant des commentaires à voix haute :

-C'est sympa, ici !

-Oh oui... C'est d'une gaîté folle...

-On est le Seigneur des Ténèbres ou on ne l'est pas...

-C'est toujours mieux que dehors ! Il y a un truc dégueulasse qui m'a bavé dessus !

-Il ne fait pas bon se promener à la nuit tombée, dans cette contré...

-Zut ! Il y n'y qu'une salle de bain !

-Zut ! Il y a deux chambres...

-Attends ! Tu viens de dire quoi !

-Moi ? Heu... Mais rien du tout ! Je disais que les monstres ont un phototropisme négatif... Comme toi !

-Si tu parles de cette histoire de lunettes de soleil, ce n'est pas la peine de te moquer de moi ! A ma place, tu aurais fais...

-Pareil ! Je sais. N'empêches, une invention moldue... Il partit dans un grand rire moqueur.

-Vous arrêtez de vous disputer tous les deux ?

-C'est lui ! Il me cherche parce qu'il aurait bien voulu avoir un nouveau corps aussi et pouvoir en profiter !

-Oui... C'est étonnant que tu n'es pas tourné de l'oeil au moment de faire le sacrifice humain... Il se remit à rire.

-Mais arrêtes de te moquer de lui ! Nous aurions fait...

-Pareil ! N'empêches que c'est pas lui qui a dû passé quarante ans enfermé dans la tasse à thé de Salazard Serpentard !

-Quoi ? Je te signales que grâce au sortilège qu'on a lancé, ça ne t'as paru que deux mois !

-Trois !

-Moi, j'ai bien passé treize ans dans une forêt humide ! Et puis d'ailleurs, c'était pas une tasse à thé ! Le thé n'avait pas encore été importé en Europe au Xème siècle ! Il n'a été introduit en Angleterre qu'en 1653.

-Fait pas ton intello ! Et puis d'abord... Serais-tu venu échanger ta place avec l'un de tes horcruxes au bout de cinq-cent ans, comme promis ?

-Heu... tu ne penses tout de même pas que j'aurais rompu une promesse faite à une partie de moi-même, si ?

-Avec toi, on ne sait jamais. Je ne sais pas ce que j'aurais fais, moi...

-Vous êtes ridicules, tous les deux ! On ferait mieux de trouver une solution pour ce gosse ! On ne va pas le garder comme ça.

-C'est vrai qu'il a pas l'air bien, constata Voldemort en s'asseyant en face de Harry.

En effet, le jeune homme souffrait le martyr, surtout quand Voldemort se disputait avec lui-même. Il en venait même à se demander si il n'aurait pas mieux fait de laisser le monstre verdâtre à tentacules le dévorer, tant pis pour la sauvegarde du monde !

-Alors, on fait quoi ?

-Et bien on pourrait lui faire boire notre sang...

-Heureusement que tu as changé de corps ! Parce qu'avec toutes les expériences qu'on a fait sur l'ancien, j'en arrivais à ne plus savoir la composition de mon propre sang... On aurait pu l'empoisonner.

-Oui... maintenant, on risque juste de lui refiler... Des MST ! et il se mit a rire comme un bossu.

Un Harry désespéré sur un canapé, et un Voldemort explosé de rire sur l'autre canapé (L'auteur : c'est vrai que depuis quelques temps, Voldemort s'en donnait à coeur-joie, côté sexe : hommes, femmes, enfants, animaux, plantes vertes...heu...non. Il n'est ni pédophile, ni zoophile, ni chlorophylle ! Tom : et une parenthèses de conneries, une !)

-Arrêtes de rire ! Tu es jaloux !

-Avoue que depuis un mois, tu sautes tout ce qui bouge !

-Même pas vrai ! Je ne saute que ce qui est baisable !

-Et lui ? demanda Voldemort en montrant Harry du doigts. Tu ne trouves pas qu'il est foutrement baisable ?

-NON MAIS TU VAS PAS BIEN !

Harry fit un bond de quatre mètres de haut. Il recula à l'autre bout de la pièce, sortit sa baguette magique et hurla :

-JE PREFERE LES FILLES !

Il avait parlé sans réfléchir. Même si c'était vrai, Voldemort n'allait sûrement pas tenir compte de son avis. Il était complètement sous le choc. Que le mage noir puisse le trouver attirant... C'est qu'il était vraiment dérangé. Mais cette information n'était pas nouvelle. L'homosexualité n'était pas quelque chose de naturel. Il espérait quand même que celui-ce ne lise pas dans sa tête que son expérience avec Ginny avait été un lamentable fiasco... Il ne devait pas y penser trop fort... surtout pas !

-Mais oui... ricana le mage noir. Bien sûr ! C'est pour cette raison que ça c'est si bien passé avec la rouquine...

-On s'en fiche ! Je ne veux pas que tu touches à ce gamin !

-Il est quand même bien foutu, pour un "gamin". Tu ne le trouves pas mignon ?

-NON !

-Mais vous êtes cinglés, tous les deux ! Vous allez finir par lui faire peur !

Maintenant que les trois parties de Voldemort étaient en colère, la douleur vrillait le cerveau du jeune sorcier. Il allait être coincé pendant un an avec un Lord Voldemort schizophrène, dont une partie paraissait complètement dingue. "Mais qu'est-ce que j'ai fais pour mériter ça ?" se demanda Harry.

-Bon, ça suffit, maintenant ! On va lui faire boire un peu de sang et on va bien voir si ça fonctionne...

En disant cela, il fit apparaître un verre à pied qu'il posa sur la table basse, retroussa l'une de ses manches et fit apparaître une sorte de petit poignard très aiguisé.

-La vue du sang me rend malade...

-Moi pareil...

-Tu n'as qu'à ne pas regarder.

-Et louper la veine ?

Il eut un haut-le-coeur, mais n'ajouta rien et incisa proprement son bras avec une grimace de dégoût. Puis il agita sa baguette magique au dessus du verre avec un incantation. Il tendis le verre à Harry. Le jeune sorcier le prit sans rechigner. Ce n'était pas qu'avaler un grand verre de sang de Voldemort le tentait, mais il avait tellement mal qu'il porta automatiquement le verre à ses lèvres.

Il fut surpris par la texture douce. Du vrai velours. C'était chaud et bon. Ferrugineux avec un petit goût fruité. Au fur et à mesure qu'il buvait cet étrange nectar, la douleur le quittait. Il s'en délecta jusqu'à la dernière goutte et fut déçu de finir si vite.

-Alors ? demanda Lord Voldemort.

Mais Harry ne lui répondit pas. Il regardait son cou blanc à la peau si fine... Une veine bleue y palpitait tendrement... Il se lécha les lèvres.

Quelques instant et un bon Doloris plus tard, Harry se relevait avec difficulté sans plus aucune envie de boire du sang. Voldemort se frottait le cou.

-La saleté ! Il m'a mordu !

-On a réussi à le transformer en vampire ! Il se mit une nouvelle fois à rigoler.

-Arrête de rire, ça devient lourd !

-C'est vous deux qui êtes lourds ! Le sang possédait trop de magie, c'est tout !

-Oui... Comme le sang de licorne ! un grand rire sortit de sa gorge.

-Vas-y, compares-nous à un troll, tant que tu y es !

Maintenant qu'il n'avait plus mal, Harry se sentait encore plus désespéré. "Je vais devoir tenir un an avec lui... Allons, un an, ce n'est rien..."

-Tu pouvais pas rester dans ta fichue tasse au lieu de venir m'emmerder !

Un an, c'est une éternité !

A ce moment là, une sphère bleue lumineuse arriva en flottant dans les airs. Elle portait des inscriptions :

"Que souhaitez-vous manger pour le dîner ?"

Puis en dessous :

"365 jours, 3 heures, 45 minutes, 22 secondes"

-Quand elles ont parlé d'une "loupiote" bleue, murmura Voldemort.

Arrivé dans la salle à manger, qui était aussi noire que le salon, couverts et assiettes comprises (Voldemort faisait un peu "tâche" avec son teint blafard), Harry se rendit compte qu'il y avait une table ronde avec des chandelles. Il était hors de question qu'il dîne en tête à tête avec le fou furieux qui avait assassiné ses parents !

-Il est hors de question que je dîne avec ce gosse !

Harry éclata de rire face à l'attitude de Voldemort. Décidant d'être moins puérile que lui, il s'installa et déclara :

-A votre guise.

-Je vais le tuer ! s'écria le mage noir.

-A non ! Tu ne le tueras pas. Je n'ai aucune envie de mourir, moi !

-Laissez-moi au moins lui jeter un Doloris !

-Tu ne crois pas qu'il en a assez eu tout à l'heure ?

-On pourra le trucider comme bon nous semblera dans...(il regarda la loupiote) 365 jours, 3 heures, 42 minutes et 53 secondes !

-...

-Remets-toi, le temps passera plus vite que tu ne le penses.

-Bon, je veux bien manger, mais je te préviens : t'as pas intérêt à lui faire du pied ou quoi que ce soit d'autre !

-Tu ne fais pas confiance à toi même ?

Harry sentit qu'il allait passer la plus horrible année de toute son existence...

A suivre…


Note datant de l'époque d'écriture de ce chapitre que j'ai trouvé de bon ton de conserver :

L'auteur : Je vous demande encore une fois pardon pour le retard, mais je suis en dépression nerveuse, et...

Tom : pourquoi tu ne leur dis pas plutôt que t'as passé deux mois a réfléchir à la couleur de mes sous-vêtements ? Vous entendez, les lecteurs ? C'est parce que c'est une maniaque des sous-vêtements que vous n'avez pas eut votre chapitre plus tôt !

Les lecteurs : C'est vrai ce qu'il dit, Litany ?

L'auteur : Ben... je sais pas comment il dort ! J'y ai réfléchi longtemps, et finalement, j'ai reporté le problème au prochain chapitre.

Tom : Je traduis : vous n'aurez pas de chapitre avant qu'elle ne se décide a savoir comment je dors. En tout cas, si tu penses au pyjama lapin, au slip léopard ou au caleçon avec des petits coeurs, je te fais avaler un rayon entier de soutiens-gorges par un endroit que je ne citerais pas ici !

L'auteur : Heu... pour résoudre le problème, j'avais pensé que tu dormais nu, mais j'ai peur que ça choque Harry...

Tom : Mais je m'en fiche, moi, de le traumatiser !

L'auteur : Oui, mais ça fait pas auteur sérieux !

Tom : T'es sérieuse, toi ? C'est nouveau ! Dis plutôt que tu essaye de demander l'autorisation aux lecteurs de me faire dormir à poils !

L'auteur : C'est ça... Et puis aussi, mes lecteurs adorés, est-ce que vous voulez d'autre apparitions de Rouge et Bathille, ou vous les avez assez vu ? Et n'hésitez pas si vous avez encore des idées d'épreuves !

Tom : Tu veux pas qu'ils écrivent la fic à ta place, non plus ?

L'auteur : Non... Et je tiens à vous signaler que je sais très bien ce qui va se passer dans cette fic, j'ai déjà la résolution finale, je ne fais pas ça à l'aveuglette !

Tom : Mais sans cerveau, si...

L'auteur : Tom, tu veux un baiser ?

Tom : Loin de moi, détraqueur !

RAR de l'époque (comme au bon vieux temps) :

666Naku: Tom : Merci, tu es la seule personne qui m'a souhaité mon anniv ! Exception faite de ma folle d'auteur...

L'auteur : Et t'as raison : il a grillé un fusible, le mage noir !

Lulune : Tom : Comment 'as fais pour deviner que je suis claustrophobe ?

L'auteur : Et merci pour ton idée !

Rosiel : L'auteur : je ne me vois pas faire 365 épreuves... je suis pas si imaginative ! Merci pour tes idées !

lexae : L'auteur : non, j'ai pas vu le film "les cubes". Mais faudrait...