Plusieurs jours s'sont écoulés depuis le retour de Jenny à Sunnydale et la fin de son séjour dans sa famille près de San Francisco, le 4 juillet, c'est la fête nationale, jour de l'indépendance des Etats-Unis d'Amérique. Ce qui signifiait que c'est un jour de fête, un jour spécial et férié, ce qui signifiait qu'aucun magasin n'est ouvert ni lieux publics comme par exemple des musées, mais i des exceptions, comme des bars, restaurants, crêperies, le parc du centre-ville, la surveillance de la plage, et des marchands de glaces et différents camions vendeurs de glaces qui sillonnent les rues de la ville... le mois de Juillet s'annonçait chaud, et les météorologues ont prévu qu'il y aurait sans doute plusieurs phases, périodes de canicule, à travers l'été ; mais pas aujourd'hui, quoi qu'il en soit, il y a un magnifique ciel bleu, sans l'ombre d'un nuage, mais durant la journée il y en aura néanmoins quelqu'un, blanc, qui se faufileront et se déplaceront dans le ciel à mesure que le vent soufflera et les transportera ; la température sera de manière modérée, ni trop chaud, ni trop froid pour ne pas gâcher cette belle journée d'été ; les gens pourraient profiter des parcs, du lac et de la plage ainsi que du fleuve, pour réaliser des tours en bateaux, et peut-être certains, des tours de pédalo ; ainsi que dans le centre-ville, sur les dalles, et dans certains parcs avec des dalles se trouvaient des jeux d'eau, où les enfants pouvaient se rafraichir en courant et s'arrosant...
Eh bien sûr, il y aurait le feu d'artifice annuel, qui a lieu tous les ans, pour la fête nationale, et le 15 août ; durant expressément et spécialement l'été, et uniquement qui a lieu durant cette période. Ce qui plaisait à Jenny, l'été et les journées fériées, c'est qu'il existait la tradition, des pique-niques, et de se retrouver entre amis, et voisins pour célébrer les jours fériés ; et les vacances, et certaines fêtes pour enfants, ainsi que la salle des forains et des carnavals... Jenny avait prévu, en ce jour spécial, de passer la journée avec Susan, et préparait un pique-nique, repas et diner au restaurant entre elles ; et elles ont prévues de rejoindre, au parc, Barbara et ses enfants ainsi qu'Éric et Blanche et leur petite fille. Jenny sortit donc, le matin même, de son armoire, qui était placé sur un cintre, sa robe, qu'elle comptait porter pour la journée ; sa robe qu'elle a acheté et porté tout spécialement pour le mariage de Nolwenn en tant que demoiselle d'honneur, sa robe violet clair, couleur lilas, avec de la tendelle blanche. Jenny soupira doucement et silencieusement, en passant sa main discrètement contre le tissu lilas, et la longue de la jupe, et sur la dentelle, avec un soupçon de nostalgie et tristesse.
En revenant de son séjour, après être arrivée chez elle, plusieurs heures après son départ, en tout début de matinée ; après avoir déposé et donné des baisers à chacun de ses neveux et nièces, en essayant de les rassurer d'une voix douce et de simples murmures leur fait des adieux et des « à très bientôt » ; Jenny arriva en milieu d'après-midi, en arrêtant sa voiture et éteignant le moteur, Jenny sortit tout en ouvrant sa portière.
Susan qui a été alertée par le bruit de voiture et la motorisation et le bruit de mouvement de la demeure d'à côté de chez elle lui faisant ainsi savoir, l'informateur que Jenny est revenue et a réalisé et accompli son voyage de retour en toute sécurité. La portière claquant pour se refermer et les mouvements et agitations aux alentours, la prévient donc que Jenny était arrivée et allait probablement se manifester, et Susan était heureuse de pouvoir revoir sa jeune voisine entant, le bruit venant de l'extérieur ; Susan sortit de chez elle, pour accueillir avec chaleur et bonheur et grande ferveur, effusion mais tout aussi avec enchantement, un immense et chaleureux éblouissant sourire ornant son visage, étirant ses traits apportant une lumière dans son regard et sa peau, en sortant de sa maison et franchissant son seuil Susan écarta ses bras, les ouvrant et se dirigea vers la jeune femme pour l'accueillir.
Jenny n'a pas aperçu Susan, ni ne l'a entendu sortir de chez elle, jusqu'à ce qu'elle entendit des bruits de pas, des serres claquants contre le sol, l'herbe, sur l'asphalte qui se situait entre les deux domiciles ; pendentif que Jenny sortait ses bagages, ses affaires et sa valise à roulettes, et ferma son coffre arrière de voiture, elle se retourna et c'est à ce moment-ci, que Jenny remarqua la présence et l'approche de son amie, Jenny s'arrêta, se stoppant dans ses mouvements quand elle vit Susan, les yeux écarquillait, la regardant, puis souriant doucement, sortant petit à petit de sa stupeur car ne s'étant pas attendu à ce que la plus vieille femme vien l'accueillir ou l'est entendue arrivée. Jenny déposa, ses affaires sur le sol, et marcha lentement vers sa voisine, qui l'enveloppa dans ses soutiens-gorge, et une dure étreinte, et cette dernière lui murmura combien Jenny lui a manqué, et commentait allait-elle, et si elle a fait un bon voyage :
« Je vais bien, Susan, j'ai passé de bonne vacance et j'ai fait un bon voyage, tout s'est très bien passé. Mais je suis du moins heureux d'être de retour. Ensuite, Jenny déclara, qu'elle va parfaitement bien, et ayant passé un bon moment près de San Francisco, et que l'air frais de la campagne l'a revigoré et lui redonnait une ressource de jouvence, et Jenny a rajouté que le soir-même de son arrivée dans sa famille, l'air campagnard casse si et était si pur, que l'on dort merveilleusement bien. Jenny avoua aussi qu'elle a passé beaucoup de temps avec ses neveux et nièces, et surtout Sally et Savannah ainsi que leurs jeunes sœurs, qui a été ses nièces préférées, a également profité de son séjour pour se rapprocher à nouveau et rattraper le temps perdu avec sa grand-mère. Mais par contre, à la fin de son séjour, pour répondre à la dernière question de Susan, Jenny déclara à son amie, que contrairement au trajet de l'allée, et comme dans les deux sens de l'autoroute, les voitures et les nombreux vacanciers étaient sur la route et beaucoup de personnes partaient en vacances pour le mois à venir.
"... Mais néanmoins je n'ai jamais été aussi heureux de revenir par moment, je me sentais nerveuse et anxieuse autour de ma famille ; cela peut parfois être lourd et s'acserrois devant certains membres et personnes. "
Déclara Jenny tout en poursuivant les détails de son séjour familial et ce qu'elle a fait avec sa famille, ce qu'elle a réalisé, et lui avouant ses conditions de voyage, et aussi son malaise familial, lui avouant et le révélant à Susan, et souhaitant évoquer son bonheur de revoir Maria ainsi que Sally et ses nièces, voulant tout lui dire et essayant et souhaitant et se libérait d'un grand poids qui l'avait assaillit et brouiller en lui tordant dans son estomac et son ventre et la blessant et l'écrasant sur ses épaules, et voulant se soulager et ressentir le réconfort et le soutien de la femme plus âgée. Tandis qu'elles discutaient, Susan aida Jenny à porter ses affaires, tout en enroulant un bras autour des épaules de la jeune femme et la conduisit jusqu'à sa porte ; Jenny sortit ses clés de serrure pour déverrouiller sa porte.
Quand Susan enroula son bras autour des épaules de Jenny, la jeune femme la remercia d'être lieu l'accueillir, et lui confia qu'elle ne s'y attendait pas le moins du monde, et la gratifia d'un sourire et la remercia de se soucier d'elle et de l'avoir en quelques sortes attendu et jeter sa lieu, et sa voiture, et être lieu à elle.
« Je suis vraiment désolée d'apprendre, qu'il y ait eu des tensions dans ta famille ma pauvre chérie. Mais c'est agréable de voir que tu ne reviennes pas totalement fatiguée à bout de nerfs, et que tu ais passé d'agréables moments. Répondit Susan, tandis que Jenny sortit sa clé, pour ouvrir sa porte, tandis qu'elle faisait cela, Susan lui expliqua tout ce qui s'est passé en son absence, « ... J'ai pris quotidiennement soin de ton courrier que je suis allée chercher dans ta boite aux lettres et qui est tombée sur ton palier dans la salle, et je suis aussi permise de faire un peu de ménage chez toi, comme cela tu n'auras pas à le faire. Alors que le déclic de la serrure et du tournement de clé se faisait entendre, et que Jenny ouvrit sa porte, Bouboule, son chat, qui arriva, en passant derrière des bosquets, feuillages, et la clôture, entre les planches de bois, de barrière, et marcha en direction, tout droit vers Jenny voulant rentrer le plus vite possible dans son foyer, aussi heureuse de revoir sa maîtresse ; Bouboule a été alertée, et ses sens finement développés, par la voix de Jenny, ses pas et le bruit de ses serres, ainsi que le bruit familier de la clé provoquant et un déclic et le bruit de clés qui claquait l'une contre l'autre sur le trousseau ; et enfin la porte se déverrouillant et son grincement.
« Et je suis aussi occupée de Bouboule, tous les jours, elle venait tout le temps dans mon jardin, alors comme ceci je pouvais la surveiller et elle venait me voir, par contre, je la laissais rentrer chez toi, car par moment, elle s'ennuyait. Et quotidiennement, deux fois par jour je passais pour voir commentaire elle se portait et s'il ne lui manquait rien... »
Alors que Susan disait cela, Bouboule miaula doucement et grognât un peu en signe de jalousie et pour attirer cependant l'attention sur elle, et était aussi très mécontente, déçue, et fâchée, et voulait peut-être éviter sa compagnie pendentif un petit moment l'espace peut-être d'une soirée avant de revenir vers sa maîtresse, que Jenny soit partie et ses caresses ses câlins et ses siestes sur ses genoux lui manquaient terriblement. Bouboule se faufila, et se blottit, ronronnant et caressant sa tête et sa fourrure contre les jambes de sa maîtresse, se faufilant, entre ses pieds pour pénétrer à l'intérieur ; c'est à ce moment-là, et au contact de son chat, et en la voyant, que Jenny remarqua, que Bouboule a un peu grossit durant la semaine écoulée ; en effet, Susan a énormément câliné, gâté et nourrit la petite chatte en l'absence de sa voisine, et l'a sans doute et peut-être pourrie-gâtée et rendu rendu son caractère, et à gâter le jeune félin.
Jenny regarda Susan de sous ses cils avec un regard qu'elle essayait de paraitre très mécontente, et suspicieuse, mais malheureusement échoua lamentablement, tout en réalisant cela elle fit, faisant en posant une question à son amie et voisine, lui demand ce qu'elle avait bien pu lui donner pour que son chat engraisse si vite, en si peu de temps, bien qu'elle ne soit pas grosse , mais Jenny pouvait voir, remarquer et constater des rondeurs aux niveaux du ventre et de l'estomac de Bouboule.
Durant l'absence de Jenny, Bouboule a remarqué et constaté l'absence évidente et encore plus grande et forte de sa maîtresse dans la maison, et pouvait ressentir de façon ardente et forte son absence et sa solitude ; Susan venait la voir tous les jours, et même plusieurs fois durant une seule journée, Susan caressait la petite chatte et lui donnait d'immenses câlins et de regards et chuchotement ax, se doutant que ce petit chat est sans doute nerveux et tristesse et sans doute angoissait du départ de sa maîtresse, elle lui chuchotait que tout allait bien que tout irait bien et que Jenny bientôt allait revenir et ne serait plus seule bien longtemps; Bouboule dormait dans la cabane, le cabanon du jardin, parfois dans son panier, où dormait à l'intérieur de la maison, où elle pouvait rentrer grâce à la chatière qui se trouvait à la porte menant à la cuisine et qui était relié au jardin ; Susan venait tout spécialement à la maison pour la nourrir, lui préparant de la nourriture spéciale faite maison, avec divers aliments équilibrés, légumes et viandes, ou alors lui donnait des croquettes spécialement pour chat, ou encore du pâté de poissons ou viandes pour chats ; et tout ceci donnait à chaque plat une quantité généreuse.
Durant tous ces allées et lieux et ce temps passé avec la vieille dame et sa compagnie charmante et amicale, Bouboule's'est vite habituée à elle et sa gentillesse excessive et généreuse, et bien sûr, la jeune chatte ne passait pas tout son temps à dormir ou, étant à l'intérieur de la maison de Jenny, elle passait aussi beaucoup de temps dans le jardin à l'arrière de la maison de Susan , en se faufilant discrètement à travers la clôture et les arbriers, feuillages et bosquets, en arrivant dans le jardin, et jouer avec certains articles et outils, comme l'arrosoir et les tuyaux et certains jouets pour enfants, trains et sont posés et jetés un peu partout dans le jardin, dans l'herbe, Bouboule, se poser régulièrement sur le toit de la cabane en bois servant de terrains pour des enfants ou comme endroits ou stokes des articles de jardinage ; en se présentant dans le jardin de la vieille femme, Bouboule s'asseyait ou s'allonger, et entre la tête dans la fenêtre ouverte de la cuisine de Susan en miaulant pour faire connaitre sa présence en ce lieu, et Susan n'hésitait pas à faire rentrer la petite chatte qui n'a nullement peur d'être dans une maison inconnue, et lui donner de l'eau ou des friandises pour chat , et la jeune Bouboule jouait parfois avec les autres chats de Susan ou faisait la sieste avec eux ; et elle a également rencontré Touinette, la chienne de Susan, au début, Bouboule a été méfiante et aussi sur la défensive ; et la regardait avec des grands yeux et un regard très méfiant, prête à mordre ou bondir à la moindre menace, mais au fils du temps, au fils des regards échangés entre les deux bêtes, Aperçut vite et peu à peu qu'il n'y avait rien à craindre de ce chien, mais il se trouvait que Touinette aimait beaucoup les chats et s'entendait très bien avec eux , et Bouboule n'en fut pas l'exception, et devinrent très vite de bonnes amies, à jouer ensemble ou à faire la sieste en plein soleil...
C'est d'ailleurs exactement ce qu'elles étaient en train de faire, au même instant où Bouboule entendit Jenny revenir à la maison. Et quitta alors sa place au soleil, et aux côtés de Touinette pour revoir sa maîtresse et hâte de la retrouver...
Jenny pris dans ses bras fils chat en pénétrant à l'intérieur de sa maison, tandis que Susan installa toutes ses affaires dans la salle d'entrée, et lui dit qu'elle avait placé son courrier sur le meuble du hall ; mais qu'il n'y a pas grand-chose, si non beaucoup de publicité et peut être une ou deux lettres. Jenny acquiesça et remercia, Susan pour tout ce qu'elle a fait, tout en s'asseyant sur son canapé, avec Bouboule, toujours blottit dans ses soutiens-gorge.
Susan lui expliqua que si elle a besoin de quoi que ce soit, elle n'a qu'à lui téléphoner, ou encore, venir directement chez elle, pour le moindre petit détail ou le moindre besoin ou désir ; car étant dimanche après-midi qu'aucune épicerie ou magasin était ouvert l'après-midi en ce jour de fin de semaine, aujourd'hui, et Jenny n'a rien dans son frigo, elle pourrait toujours compter sur Susan pour lui donner quelques ingrédients ou nourriture, et l'aider à préparer un repas simple.
Jenny la remercia une fois encore, et rassura son amie, en lui expliquant qu'elle n'aurait sans doute besoin de rien, et la remercia pour sa gentillesse et sa proposition. Et donc, à la fin de leur courte conversation, Susan partit et laissa Jenny se reposer de son voyage, en la laissant seule.
Quand Susan fut partie, Jenny pu déballer toutes ses affaires et ranger tout ce qui devait être rangé, et mettre à leur place certains articles de toilette, de parfums et de savons ; et rangea aussi sa valise, et de livres qu'elle a emportés avec elle, Jenny sortit ensuite, un sac rempli de vêtements sales qu'elle n'a pas eu l'occasion et n'a pas pu laver quand elle est encore chez Damien et Maria, et les mit dans son panier à linge sale, pour pouvoir faire une lessive le lendemain.
Jenny profitât de cette occasion pour réaliser un peu de ménages dans ses tiroirs, ranger les vêtements pliés dans sa valise, et les remettre à leur place initiale, ranger et faire le tri dans certains de ses vêtements, désoserments certains emplacements et tiroirs et étagères ; et remettre des vêtements qui ne sont pas exactement à la bonne place.
Le soir, après avoir tout ranger, fait le tri, et passer un brin d'époussetage sur ses meubles de sa chambre, Jenny alla fouiller dans ses meubles de cuisine pour vérifier ce qu'elle a à manger, en espérant mais savait au fond d'elle-même et se doutant presque qu'il ne lui restait plus grand choix, qu'il y aurait des boites de conserve ou des paquets de pates et de riz , et effectivement, il y en ont quelques-uns ; donc Jenny décida de se préparer, grâce à une casserole et de l'eau bouillante et quelques minutes d'attente, toute une assiette de pâtes, de nouilles, qu'elle put manger tout à son aise sur son canapé.
Plus tard dans la soirée, après avoir fait la vaisselle et ranger tout son matériel de cuisine. Jenny souhaita se reposer devant toute cette terminée et longue journée, qui lui a semblé interminable, en repensant à son voyage et trajet en voiture et son retour à la maison et ainsi qu'au rangement, tout ce qu'elle a dû faire face durant la journée a été fatiguant ; Jenny décida, alors après tout ceci de s'allonger sur son canapé, un cousin qu'elle plaça avec soin et précaution contre sa nuque et le haut de son dos, sa tête contre le bras du canapé, ses jambes allongées sur tout son étendue ainsi que ses pieds qu'elles croisa entre eux, pendentif ce temps, que Bouboule'allongea sur son ventre, en boule , et ressentit toute la chaleur de sa maîtresse et de son corps à travers ses vêtements, et quant à Jenny qui ressentit toute la chaleur et la tendresse de son compagnon animal, ressentant sa respiration sa chaleur corporelle, et son pelage et la chaleur qu'elle dégageait de son petit corps, et sa fourrure chaude chaude ainsi que ses poils son poils son doux pelage ; Bouboule, au début de l'arrivée et retour de Jenny, ignorait résolument et volontairement sa maîtresse, lui en voulant et était très triste et fâchée qu'elle l'ai laissée sans elle durant toute une semaine, et a donc essayé d'éviter la compagnie de Jenny durant le reste de l'après-midi.
Mais Bouboule ne pouvait pas rester fâchée et en colère indéfiniment et pour toujours et bien longtemps contre sa maîtresse, qui voyait bien que Jenny faisait tout ce qu'elle pouvait et essayait de faire pour consoler et apaiser la tension de son chat, et Bouboule pouvait sentir la tristesse de Jenny.
Elle a donc voulut rattraper le temps perdu en profitant du repos de Jenny, et de la sécurité du canapé, et profitant de son immobilité et de sa tranquillité pour venir se blottir contre ses jambes et surtout son ventre, et Jenny posa ses mains contre la tête et la fourrure douce de son compagnon, qui se mit à ronronnait, doucement , puis de plus en plus bruyamment, se met à l'aise et profitant des caresses, de la douceur, et des étreintes ainsi que de la proximité qui d'après la petite chatte cela fait bien longtemps qu'il n'y en a pas eu une. Jenny, quant à elle se sentait en sécurité et en paix, une sorte de paix intérieure l'envahissait alors qu'elle profitait de sa proximité avec Bouboule, au bout de quelques instants, Bouboule's'est installé contre sa poitrine toujours en boule, la tête cachée contre l'une de ses pattes, profondément apaisée et heureuse, si calme et paisible qu'elle s'endormit profondément - ce qui est plutôt rare pour un chat- et pouvait entendre sa respiration et son bruit fort de ronflement et inspiration.
Jenny sentit sa poitrine bouger au fil de sa respiration, se sentant remuée et tremblée, tout en respirant, inspirant et expirant doucement, contre sa poitrine et essayant de relaxer, ne voulant pas forcer contre son sternum ; tout en se relaxant, ses yeux fixaient le plafond, et Jenny essaya de se plonger dans ses pensées, ses réflexions et sa mélancolie, depuis qu'elle a parlé avec son oncle et Bunica, et qu'elle était rentrée chez elle, Jenny se sentait plus seule que jamais, qu'on lui ait ordonnée, exhorté et interdit au silence, et la faire se sentir isolée; et elle aimerait tellement se confier à quelqu'un de qui elle est réellement, vraiment, quelles étaient ses origines, son but et sa mission et ce pourquoi elle était réellement à Sunnydale. Bien sûr, Jenny, réfléchit et ce dit que si elle racontait tout en détail sur sa vie, sur l'univers, le monde spirituel et surnaturel, sa mission de surveillance d'un vampire, personne ne la croirait et sur l'insulterait, traiterait de paria, de honte et de menteuse, mythomane, et bien plus et bien pire encore... Peut-être même elle se ferait internée dans un institut psychiatrique, où elle n'en ressortir jamais, sa famille y veillerait, pour avoir trahis sa parole, leur secret, leur tradition et le clan.
Jenny se demanda à qui elle pourrait se confier, elle se sentit si seule, si désespérée, si isolée, sa gorge lui faisait mal comme avoir un poids dans la trachée, comme si elle est étouffée, comme le chagrin l'envahissait doucement, peu à peu et subitement et lui coupait la gorge en la paralysant et la loi, lui font ainsi monter les larmes aux yeux. Son estomac lui faisait aussi mal alors que ses entrailles se tordait dans un nœud si serré qui lui donnait envie de déverser tout ce que son ventre pouvait contenir. Jenny voudrait pleurer, pour ne pas avoir à se cacher, à renier qui elle est, qui elle est vraiment, réellement, et ses origines gitanes ; elle est prête à y faire face, elle ne devrait pas avoir honte, et simplement dire une partie de la vérité, seulement pour décrire une infime partie de ses origines, comme des bohémiens normaux, et qui sont à l'opposé des préjugés et des calomnies racistes et autres idéesconçues.
Jenny savait alors ce qu'elle devait faire, elle ne pourrait pas laisser cela restait indéfiniment pour toujours telle que c'était à présent et devait agir, se confier au moins à une seule et unique personne, surtout pas à Rupert comme son cœur aurait voulu qu'il le fasse et en cela c'était un de ses plus gros regrets, mais tout de même c'était mieux que rien. Jenny se redressa doucement, lentement et le plus silencieusement possible, pour ne point déranger Bouboule, ni la réveiller dans ses mouvements et son agitation ; en redressant, pliant et bougeant ses jambes, elle posa ses pieds sur le sol, et déplaça ses mains et ses bras, contre son chat, pour le bercer avec précautions, en essayant de la placer avec soin sur un coussin. Tout en lui murmurant qu'elle allait revenir, et ne pas s'inquiéter.
Jenny prit des scandales dans son meuble à chaussures, les portant à ses pieds, et sortit avec résolution, détermination et essayant de porter tout son courage avec elle, jusqu'à chez Susan, pour pouvoir tout avouer, enfin du moins ce qu'elle pouvait, sans pour autant, même si Jenny s'apprêtait à trahir une partie de sa parole, une partie de son peuple, elle n'allait rien avouer de ce qui serait compromettant, car cela rendrait d'autant plus la trahison encore plus complète. Devant la porte de la maison de Susan, Jenny prit une profonde inspiration tout en expirant avec la même intensité, pour pouvoir enfin frapper et sonner à la porte de son amie.
Au bout de quelques instants, la porte s'ouvrit, Susan fut surprise de voir Jenny sur le pas de sa porte à une heure aussi tardive de la soirée, et la vieille femme lui fit un sourire, tout en déclarant, et pensant, que peut-être Jenny avait besoin de quelque chose pour son soupé, une boite de conserve, un ustensile de cuisine, ou une aide quelconque ; se doutant tout en même temps qu'elle avait soupçonné et avait pressentie que Jenny pourrait avoir besoin de son aide, étant rentrée de vacances, et n'ayant pas eu l'occasion de faire des courses, Jenny ne devait sans doute pas avoir grand chose à manger.
A l'expression de malaise, et de gêne, et tandis que Jenny murmurait que ce n'était pas de cela qu'il s'agissait et dont elle voulait évoquer et discuter avec elle ; Susan la fit rentrer pendant ce temps chez elle en enroulant un bras autour de ses épaules, et pouvant voir à présent que quelque chose tracassait et troublait sa jeune amie, le visage de Susan changeant à perplexité en inquiétude et dans des traits larmoyants ; Susan invita Jenny a entrer et à la faire pénétrer son seuil, et le tapis, qui servait de paillasson, et qui était vert et rouge avec les mots inscrit Welcome Home, avec des chats autour des mots, en noir et blanc.
Susan prit la main de Jenny dans la sienne et la conduisit vers un fauteuil du salon, et lui demanda si elle allait bien, ce qui la tracasser et ce qui l'avait autant bouleversée, ou mise dans un tel état d'effroi et dans un état second. Jenny, murmura que Susan allait sans doute la détester et lui en vouloir d'avoir caché tout ceci pendant si longtemps, et de ne pas lui avoir dit qui elle était réellement, ni ses origines véritables.
Susan lui sourit alors avec confiance et conviction et encouragement sur un ton rassurant et de bonne humeur qui cachait toute sa perplexité "Voyons, Jenny je ne pourrais jamais être fâchée contre toi, il m'en faudrait beaucoup ; d'où cela provient-il et qui t'a mis cette idée en tête ? Je ne pourrais jamais te détester." Dit Susan avec un petit rire, en s'asseyant à côté d'elle, du moins aussi près que possible, mais ses traits redevinrent sérieux, quand elle vit une larme couler et qui perlait dans les cils de Jenny et murmura "Que ce passe-t-il ? Pourquoi me dis-tu que tu m'as caché tes origines ? Que veux-tu dire ?"
Jenny prit une profonde inspiration, en lui disant qu'elle était née aux Etats-Unis, et dans ce cas sur le sol Américain, mais dans une communauté Gitane, car sa famille, et pour être précise, était d'origine Roumaine, sa grand-mère était née en Roumaine et avait dû fuir avec sa famille, l'Europe à la montée du Nazisme dans les années 30. Jenny clarifia les choses, en continuant et en rajoutant certains détails, qu'elle avait été dans des écoles Américaines, qu'elle connaissait parfaitement tout de la culture du pays ; mais que sa famille étant très traditionaliste, l'avait éduquée dans une culture bohémienne, et avait grandi très pauvrement, et avait passé plusieurs années à migrer à travers plusieurs Etats, et dans toute l'Amérique ; mais, qu'en aucun cas, Jenny ou sa famille n'avait escroqué des personnes, ou des populations villageoises, et n'avait pas non plus volé, ni mendié ; et que tout ce qui concernait les cultures et les préjugés, rumeurs, sur des voleurs, escrocs, sortilèges, sorcelleries étaient tout ce qui avait de plus faux, et de plus mesquin à leurs sujets.
Susan écouta silencieusement tandis que Jenny racontait toute son histoire et son origine gitane, Jenny était très inquiète, tremblante, nerveuse et impatiente, et nerveuse et également attentive et préoccupée dans l'attente à ce que Susan allait lui dire face et devant toutes ces révélations et guettant sa réaction, qui, Jenny l'espérait, ne serait pas violente, ou remplie de dégout face et ayant devant elle une gitane, qui pouvait si elle en croit le racisme et la discrimination, que ces femmes étaient des personnes faciles et de vraies catins, qui se prostituaient et ouvert les cuisses à n'importe quel homme, ou bien pire encore, des personnes qui profitaient de la générosité, la charité et de l'argent en commandant n'importe qui, et profiter de la pauvreté et des services sociaux et de nombreuses aides...
Finalement, Susan prit une inspiration, en souriant à Jenny et lui pris ses mains avec précaution en murmurant avec soulagement et sans fureur dans le regard, et souriant, "lors ce n'était que cela que tu voulais me dire ?" Murmura Susan tout simplement et la plus grande honte de Jenny et aussi à son étonnement ; la jeune femme baissa la tête en déglutissant silencieusement et difficilement, et hocha la tête.
Susan sourit alors, et plaça son doigt, son index sous le menton de Jenny, en essayant et lui faisant relever la tête avec précaution ; "Tu n'as pas à avoir honte Jenny, pourquoi voulais-tu cacher ce que tu es et tes origines ?" Jenny lui répondit que c'était extrêmement compliqué et c'était également à cause et également en raison et pour cause la discrimination, et il y avait des secrets de familles qu'elle devait aussi cacher, en murmurant beaucoup plus bas pour ne pas que Susan l'entende, mais elle l'entendit quand même, et même si elle le fit, elle fit semblant de n'avoir rien entendu, du moins pour l'instant. Et Susan, fit signe et lui et fit comprendre à Jenny qu'elle comprenait et pouvait voir son point de vue, à travers ce que Jenny pouvait lui dire.
Susan lui expliqua elle était soulagée par ce qu'elle avait entendu, et en voyant l'expression confuse et le froncement de sourcils de Jenny devant ses paroles ; Susan s'empressa de clarifier et d'élaborer ce qu'elle disait, en lui expliquant qu'elle pensait que ce serait pire et qu'elle croyait que Jenny allait lui annoncer une tragédie ou une affreuse nouvelle. Susan lui murmura et chuchotât qu'elle ne savait rien de ce qu'était que d'être émigrée ou de devoir s'exiler car ayant vécu, et sa famille et ayant habité depuis toujours aux Etats-Unis, et Susan ayant grandit, vécu et était en train de vieillir à Sunnydale, jamais elle n'a su ce qu'était que d'appartenir à un tout autre pays, et qu'elle était Américaine dans tous les sens du terme, et n'avait aucune autre origine, et ne savait rien sur les autres cultures du monde, sauf qu'ici en Amérique ce qui faisait la grandeur, le symbole et la gloire et la plus haute estime de ce pays, c'était qu'il accueillait des immigrés, et que simplement et aussi important des immigrés politiques, et que grâce à cela, il y avait des personnes, des gens de toutes sortes, des afro-américains, des Asiatiques, des Européens, des indiens, Amérindiens... Et cela tout le monde était différent. Et Susan rajoutât qu'elle ne croyait en aucun cas à ses absurdités, à ses calomnies à ce racisme et discriminations, et ses préjugés face aux Roumains, et bien d'autre encre, et également que Jenny ne devrait pas avoir honte de qui elle était...
A cela, Jenny lui fit un petit sourire reconnaissance, en la remerciant baissant son regard sur ses genoux, bien que triste dans le fond, car Susan ne connaissait pas l'entière vérité, et ne voudrait certainement pas la croire.
Susan poursuivit en disant, que cela a dû être très dur pour sa famille, l'époque, la période de la guerre, l'antisémitisme, et la fuite, ainsi que de devoir se cacher ; et admirait le courage qu'ils ont eu d'avoir eu la possibilité de se rendre en Amérique durant cette terrible période. Et cette période où tant de tziganes ont été assassinés et considérés comme des sous-hommes tout ceci était une terrible injustice et aussi calomnier et porter contre eux des propos désagréables, haineux et des rumeurs totalement fausses et selon Susan infondés sur le surnaturel et paranormal auquel les gitans seraient soi-disant liés, et elle lui avouât également, qu'elle a toujours admiré les gitans pour leur sens de la vie en pleine nature, et vivre de cette façon en caravane et dans des tentes, et être ainsi nomade. Et Susan déclara également et fit remarquer et lui montra sur le fait accompli que c'était pour cette raison, également que Jenny avait autant voyagé durant son enfance... A l'époque, quand la jeune femme lui avait avoué cela, ce fait lui avait paru étrange.
Ce qui fit rougir Jenny et finalement, Jenny déclara "Pardon d'avoir douté de toi, Susan, je croyais que tu réagirais mal si je te le disais" Soudain Jenny redevient sérieuse, un air grave sur son visage alors qu'il y a quelque instant à peine se propager la joie et le soulagement sur ses doux traits "Mais il faut le dire à personne d'autre, promis, personne ne doit savoir ma famille ne comprendrait pas pourquoi j'en ai parlé, et cela doit rester un secret."
Susan fronçât les sourcils à ces paroles, mais accepta tout du moins, se demand pourquoi autant de mystères, pourquoi autant de secrets, qu'est-ce que Jenny pouvait avoir autant peur, car en effet Susan remarquait l'expression tendue, perplexe et apeurée sur les traits de son amie, de la jeune femme sur laquelle elle n'a jamais rien vu de telle de sa part , et pourtant Susan l'a toujours vu si confiante, si déterminée, si pleine de vie, heureuse et détendue. Jamais aussi effrayée et craintive. Alors Susan pris Jenny dans ses soutiens-gorge, en l'étreignant et essayant de la calm et de la faire se sentir en sécurité, et voulut la rassurer, en lui murmurant tout en lui frottant le dos de bas en haut, que tout irait bien. Et qu'elle ne devait pas avoir peur.
Après une longue conversation avec Susan, Susan lui offrit une tasse de chocolat chaud, Jenny décida qu'il est temps de rentrer chez elle et de mettre fin à tout ce qui a été dit, alors que Susan la raccompagnait vers la porte, la veille femme lui dit :
« Ne t'inquiète pas Jenny, tu verras ça va aller, et rappelle-toi de ce que je t'ai dit. Ais confiance tout va'arrangeur. Je serais toujours de ton côté.
Jenny sourit et étreignit une dernière fous Susan pour le confort don't elle a eu besoin et grandement donné, et qu'elle a su lui apporter, et de son amitié, malgré le fait qu'elle savait parfaitement bien que tout cela est loin d'être fini, fini, que cela faisait en fait tout juste de commencer, et ce ne serait jamais simple pour elle , mais Jenny savait, pouvait avoir confiance et a la foi...
Susan regrettait d'avoir plongé dans la question et dans les affaires et la vie privée de Jenny, à la minute où elle le demanda, mais en même temps, elle ne le regretait pas vraiment, ou presque, car Susan se disait que cela ne se faisait pas, et surtout elle savait qu'il se passait quelque a choisi ou qu'il y avait des sentiments inconnus dans l'atmosphère et a touché un nerf fragile et particulièrement sensible dès l'instant , la seconde où Susan demanda à Jenny, si elle avait rencontré quelqu'un durant son court séjour dans sa famille ; ou s'il y a déjà un homme secret, ou qui ne le savait pas encore ce qu'elle pourrait être susceptible de penser et ressentir, qu'elle aimait secrètement et faisait battre son cœur en secret.
Jenny a baissé son regard sur sa tasse de capuccino fumante qui était sur la table en face d'elle dans le salon de Susan, alors que la vieille femme l'a invitée chez elle pour un après-midi de détente, de gouter et heure de thé, café ou capuccino ; elle rougit profondément et était honteuse d'aborder ce sujet avec Susan, elle a cette étrange sensation, cette étrange impression qu'elle devait s'exprimer et avouer tout à Susan et cette sensation qu'elle lui devait quelque chose a choisi, en déglutissant, légèrement, et en silence ; Jenny redressa son visage vers celle de son amie, pour plonger son regard dans celui de Susan qui la regardait, et ne l'a pas quitté pendentif tout ce temps des yeux :
« Ma chérie, je suis désolée » s'exprima finalement Susan, en murmurant doucement, avec un regard triste et coupable, « Je n'aurais pas dû te pousser dans cette direction, s'il te plait pardonne moi. » Susan tendit sa main vers celle de Jenny qui était posée sur la table et la texture de la nappe efflorant ses doigts, et prit la main de sa jeune amie dans la sienne, " et je suis immiscée dans des affaires qui ne me concernent absolument pas, et le fait est que ce sont les tiennes, et que je n'ai pas le droit d'en parler sans que tu le fasses en premier pardon. Si tu ne veux pas parler, ne le fait pas. » finit, finalement Susan qui sourit doucement et de façon réconfortante à Jenny, en pressant sa main dans la sienne.
Jenny se sentit rassurée, et profondément soulagée de ne pas être obligée de s'exprimer, mais elle sentit le sourire de Susan, sa gentillesse et sa douceur l'envahir, et voulut, tout de même lui rendre ce qu'elle lui avait donné, et voulait rendre le bénéfice à Susan, et fini par murmurer qu'elle avait envie de lui dire qui est cette personne, car en effet il y avait quelqu'un dans sa vie du moins elle l'espérait , et Susan l'a parfaitement bien compris et su interpréter les signes.
Jenny finit par confesseur qu'elle, connaissait cet homme depuis l'année précédente, il y a un un presque à présent, juste en début d'année scolaire, le jour même d'avant la pré-rentrée ; et son nom était Rupert Giles ; au début, comme le racontait Jenny à Susan, ils ne s'entendraient jamais, à sa plus grande honte, ils sont en désaccord sur tout, et les disputes, querelles et, autres bras de fer, et violences verbales, accrochages, et violents disputes, des cris, et des désaccords sans palmes, don't chacun ne voulait pas mettre fin ni avoir le dernier mot, et ne voulait pas y mettre de terme; alors que Jenny au tout début de leur rencontre, dès le premier regard, a voulu être l'amie de Rupert... Mais, un jour, leur animosité, leur amertume et leur menace et leur déclaration d'ennemi déclarée se dissipa et ils devinrent partenaires de travail, pour, comme le dit Jenny à Susan, et pour ne pas lui révéler la véritable cause du fait qu'ils se sont alliés, et ils devinrent aussi, peu à peu amis... Des taquineries, des plaisanteries, des discussions, de l'affection ; des secrets, confidences et déclarations, confessions, et informations et diffèrent dire sur leur passé et ont été dit par l'un et par l'autre, et avoué, certains faits, mais aussi durent faire face aux rumeurs et s'allier contre et avec des personnes pour se protéger ensemble ; Jenny et Rupert ont également échangé des baisers, des baisers insignifiants, en apparence et peut-être aussi pour lui, qui ne voulait rien dire, des baisers d'amitiés, des regards intenses, des caresses et des touchés font battre avec force et intensité et à une grande vitesse le cœur de Jenny, et des taquineries et, une haute tension entre eux, faisant vibrer touter son corps , fils être même, et son âme ; une tension romantique, sentimentale, et presque sexuelle se développéait entre eux, Jenny, ne l'a pas dit, mais, Susan pouvait le sentir et le ressentir de l'air, ayant déjà vécu quelque chose a choisi comme cela.
"... C'est un ami, très aimant et très important pour moi. Je l'aime beaucoup, Il est important et indispensable dans ma vie de tous les jours et professionnelles. Murmura Jenny à la fin de son histoire.
Susan hocha la tête en signe de compréhension et d'écoute, et d'accord, d'acquiescement, d'approbation et consentement, car, Susan pouvait sentir que Jenny voulait et a besoin d'un avis, et Susan pense que cette histoire, n'a rien de négatif, et qu'i avait du bon, du beau et du meilleur, et Susan pouvait sentir que Jenny était amoureuse de cet homme, et qu'il y a quelque quelque choisir entre eux , qui seaitaitt et qui en découlerait. Et pensa aussi et cependant, que Jenny devra tout faire pour la garde près de elle, et faire en sorte que cette relation fonctionne et continuer dans un droit chemin, et vers l'avenir qu'elle souhaite.
En se levant de table, Susan soupira, et pris les tasses, et boites de gâteaux, et déclara « Je crois que tu as eu raison de m'en parler, et il m'a l'air tout à fait d'un homme convenable ». Susan quitta le salon, et mit les tasses dans son évier dans la cuisine, tout en reflète consciencieusement et profondément à ce qu'elle comptait dire par la suite et à ses paroles, et puis revient au salon, en regardant Jenny, et reprit « Il ne faut pas que tu ais peur de ce que tu ressens, je suis sûre qu'il t'aime bien et beaucoup. » Susan prit les mains de Jenny dans les siennes quand elle la vit vaciller, baisser la tête et trembler un peu, et poussa une légère pression sur ses poignets et ses mains « Ne t'inquiète pas, même si c'est compliqué, je suis sûre que M. Giles a beaucoup apprécié tes gestes d'affections, et que tes baisers signifiaient quelque chose choisi pour lui, même si pour l'instant ce n'est juste qu'un ami. » Susan lui donna un dernier regard, avant que Jenny acquiesce et s'en aille.
Jenny espérait qu'elle ait raison, et qu'elle pourra le démonter au cours des mois et des semaines à venir, et que tout irait pour le mieux. Jenny le souhaitait plus que tout, alors qu'elle rentrait chez elle, en régénérence aux dernières paroles de Susan et à leur conversation qui venait d'avoir lieu.
Le lendemain matin, très tôt dans la matinée, Susan compta venir frapper chez Jenny, voiture, la femme plus âgée avait eu une idée durant sa soirée et s'est intensifiée et a de plus plus plus germé dans son esprit, et voulait demander l'avis de Jenny, son accord et lui donner une proposition ainsi que l'invitée à venir avec elle ait passé son après-midi au parc en l'occasion de la fête nationale. Après avoir pris fils petit déjeuner habituel, et s'être habillée et préparée rapidement pour sa journée, Susan, quitta donc, son domicile fils, et alla sonner chez son amie, Jenny.
Après quelques minutes avec impatience, que la jeune femme lui ouvre ; Susan posait ses paumes de mains contre ses haches, en attente, et tapotait son pied contre le sol... Jenny finit par lui ouvrir, cette dernière avait entendue dès la première sonnette, et qu'on frappait à sa porte comme cela de si bon matin, Jenny se demandait ce qu'il se passait, elle était encore dans son pyjama, à peine levée, et elle s'est coiffée avant de descendre, et pour finir de finir son petit déjeuner ; et juste avant qu'elle n'ouvre, Jenny a voulu met un peu d'ordre sur sa table et son pyjama et ainsi se couvrir d'une robe de chambre, tout en fermant sa ceinture, Jenny a déverrouillé la porte, pour finalement rencontrer Susan, qui attendait ; elle écarquilla ses yeux à la vue de son amie, et demanda, l'agence et les yeux ronds :
« Susan? Mais qu'est-ce que tu fais ici, si tôt ? Je ne ne t'attendais pas... » Jenny ne put terminer sa phrase alors que son amie se laissa rentrer chez elle, sans même y avoir été invité à rentrer, Jenny dut'écarter pour la laisser passer. Susan voulait vite aller droit au but de sa conversation avec la jeune femme, ne voulant pas la déranger plus longtemps, s'attendant, elle se rendit compte, qu'elle pensait que Jenny serait levée depuis longtemps, elle n'a jamais imaginé ni supposé que la jeune femme serait encore en train de manger, serait à peine réveillée. "... Que se passe-t-il? Marmonna Jenny en finissant sa phrase et fermant la porte derrière Susan.
« Bonjour à toi, chérie, J'étais venue te voir, excuse-moi de te déranger si tôt, je ne pensais pas que je serais aussi matinale... Enfin bref. Déclara Susan, en secouant la tête, tout en pénétrant dans le salon et se retournant vers la jeune femme pour faire face à Jenny, « Je me demandais si tu comptais venir assister à la fête du 4 Juillet et au feu d'artifice ? » Jenny acquiesça, et répondant que bien sûr, elle aimerait beaucoup pouvoir assister à la fête et profiter de la journée, et ensuite, Jenny invita Susan à continuer ce qu'elle voulait dire, car elle eut le sentiment, qu'elle n'a pas fini de parler et qu'elle voulait discuter de bien plus de choses.
« Très bien... Excellent. Déclara en souriant Susan, visiblement ravie et heureux « Je voulais aussi ajouter, que si tu y vas, sur pourrait aller pique-niquer toutes les deux, ensemble au parc du centre-ville. Vois-tu, c'est une sorte de tradition durant cette fête que ce pique-nique où chaque famille se réunit... Sur irait et sur passerait l'après-midi ensemble ; bien sûr, sur ne serait pas que tous les deux, il y aura aussi Blanche, Éric et Anaïs qui sera présent et Barbara et ses enfants... Alors qu'en dis-tu ?
Jenny serait ravie de participer à ce pique-nique et de plus, en compagnie avec et en présence de ses amies et Susan. Elle accepta avec une immense joie et plaisir ; au grand bonheur de son amie, qui avait secrètement espérai et c'était douter de la décision et savait que Jenny serait d'accord.
Jenny a toujours aimé participer et célébrer la fête nationale, depuis qu'elle est une enfant, et depuis plus loin que remontent ses souvenirs, Jenny a toujours été fière et heureuse et fière d'appartenir à cette patrie et à l'été conscient dès l'âge de raison, de la fierté et d'importance d'être patrie et d'aimer et d'honorer les citoyens et la mémoire de la révolution , et de la plus haute importance que de faire honneur et d'être silencieux et avoir du plus grand respect pour le drapeau. Jenny aimait par-dessus tout s'amuser au carnaval et aux foires organisateur pour les célébrations des jours fériés et ce tout, particulièrement le 4 Juillet, elle faisait des tours de manège, sur le Carrousel et la grande roue ; aussi fait des jeux de pêche à la ligne et aimait gagner des cadeaux... Et elle adorait aller aux stands de nourriture, sur des forains vendaient des guimauves, des pommes d'amours, des sucreries, de la nourriture, et des barba papas. Et au final aimait les feux d'artifices, tirer tard dans la soirée, entre 11 h 00 du soir et minuit où après ; quand ils furent tirés, les bruits, la lumière, les couleurs, et les formes dans le ciel noir... Tout ceci est parfait.
Susan fut heureuse quand Jenny donna sa réponse, et fut d'accord ; et elles discutèrent, donc par la suite de préparer chacune un repas, séparément et se partager chacune la nourriture qu'elles apporteront pour gouter les spécialités, la cuisine et les aliments de l'autre ; au tout début, au commencement, Jenny pensait, que ce serait l'une ou l'autre qui apporterait la collation ; mais au bout d'un moment à force de discussion, d'argumentations et de persuasions et de paroles et contrôles, Jenny accepta, et rejoignit, en étant tout à fait pour et en accord et approbation avec total l'avis et l'opinion de Susan, pour les préparatifs du pique-nique... Elles allaient toutes deux préparer à manger, chacune de leurs côtés, et mettre le tout dans un panier en osier, et si cela n'est pas assez, elles en prendraient un en second.
Susan prépara dans les deux jours qui restaient pour la fête de l'indépendance, des sandwichs, des tranches de poulet cuites, et qui pourraient être mangées au froid, et des frites cuites au four, croustillantes et mangées tout aussi pareillement au froid, et avec en composition et en accord une salade de pomme de terre yaourt sauce; ceci est préparé avec des oignions, des pommes de terre et des herbes fraiches. Pour la sauce : dans un bol, mélanger le yaourt, le jus de citron, le sel et le poivre, dans un saladier, mettre les pommes de terre, les herbes, et les oignons nouveaux. Assaisonner le tout d'huile d'olive et de sel et mélanger délicatement. Servir la salade en assiettes assiettes assiettes et l'accompagner de sauce au yaourt.
Et une salade de fruits verser le dessert ; du mulon, des fraises des bois, des pêches et nectarines, des raisins secs, des cerises, et des tranches d'oranges...
Jenny l'aida à tout préparer, en s'asseyant dans sa cuisine, Susan devant son évier avec son plan de travail et sa planche à découper en bois, elle lave les ingrédients, et les coupa finement et de façon régulière... Elles prépareraient leurs repas ensemble, tout en discutant, en bavardant de tout et de rien.
Jenny, quant à elle, prépara une salade de légumes, avec une laitue, légumes verts, des concombres, des écrevisses ; comme des moules, crevettes et une ou deux huitres... Et aussi accompagnée d'œufs durs, préparés et cuits avec soin dans l'eau bouillante, et assaisonnés de vinaigre. Et prépara en menu principal des petits feuillets au poulet. Et en dessert ; des tranches de pain de mie grillées au grille-pain : avec des tranches coupées, rondes au fromage de chèvre. Et pour finir, Jenny prépara une recette de petits gâteaux : des biscuits aux noix de pécan...
Comme ce fut le cas avec Jenny, Susan aida la jeune femme à préparer son déjeuner ; Susan s'est assise, sur une des chaises qui se trouvaient au tour de la table du salon, alors que Jenny préparait son repas, au bout d'un moment tandis que Jenny, vit que Susan l'a déjà plus qu'aidé et a fait plus que sa part de ce qu'elle aurait dû faire, elle lui dit, donc, que c'est bon, qu'elle pouvait la laisser faire le reste. Jenny préparait des œufs durs, et après cuisson, elle réussit à retirer la coquille qui s'émietta facilement.
Susan discutait avec Jenny, par moment, celle-ci, sortait de la cuisine, ou passer uniquement sa tête dans l'embrassure de la porte, à un moment, leur conversation dévia vers un autre sujet, un sujet qui est tout aussi et qui a une vague ressemblance et était presque en rapport et un lien avec le jour de leur pique-nique et de la fête nationale; Susan demanda avec précaution, si Jenny n'a pas l'intention, ou eu l'idée et lui disait qu'elle pouvait, il n'y aurait pas d'objection, à ce qu'elle invite un ami avec elle pour venir avec eux au parc...
Jenny fronça les sourcils au ton mystérieux et prudent de Susan, et s'était arrêtée quelques instants, puis resta immobile, regardant sn travail fixement sur sa table à découper ; Susan, la regardait avec insistance, précaution et curiosité, n'osant pas détourner le regard ou cligner des yeux.
Jenny finit par lever son regard vers son amie, et en s'essuyant les mains sur son tablier, elle sortit de la cuisine, et demanda, de quel ami, elle était en train de parler, et ce qu'elle était en train d'insinuer. Susan la regardait juste en fronçant les sourcils et haussant simplement les épaules, alors que Jenny retourna à sa cuisine, et après cela, Susan évoqua et expliqua, en déclarant qu'elle parlait tout simplement de Rupert Giles.
A ces paroles, Jenny se figea et Susan resta silencieuse, attendant sa réaction et la regardait silencieusement et plus discrètement possible, captant tout signe de fuite, de rejet, et également d'attente qu'elle dise quelque chose et évoque et révèle ses sentiments et émotions. Mais Jenny, souffla et gloussa d'un petit rire nerveux, en passant sa tête contre l'embrassure de la porte, en déclarant :
"Je ne crois pas que je le verrais, nous ne sommes qu'amis, et il est anglais, cela ne l'intéressera pas, je suppose…" Jenny essaya tant bien que mal de sourire et d'essayer de paraitre neutre devant son ami, qui murmura un simple, bien que oui, tu le fais, "... Et d'ailleurs je ne l'ai pas invité, j'ai peur qu'il me rejette, et de toute façon, s'il y va, il ne voudrait pas passer du temps avec moi, mais avec d'autres personnes, nous nous verrons à la rentrée et à mon anniversaire."
Susan s'était levée, examinant certains objets, et déplaçait dans la pièce au fils et au cours de la conversation, s'attendant très bien à ce que Jenny dise cela et rejette l'offre d'inviter Giles à la rejoindre, et elle avait aperçu juste à côté du téléphone, un petit carnet à adresses et numéros de téléphone, tandis que Jenny était occupée et ne la regardait pas, elle le prit et le feuilleta méticuleusement et en vitesse ; et se déplaça aux pages de la lettre G, et sourit quand elle vit ce qu'elle cherchait, le numéro de Rupert Giles : 202 441 111 1199.
Susan l'écrit et recopia rapidement sur un morceau de papier qu'elle avait totalement par hasard sur elle, et remis ensuite le calepin tel qu'il était avant qu'elle ne le touche et tel qu'il était, tout en continuant de parler à Jenny, en lui répondant que c'était comme elle le désirait de ne pas avoir Giles à ses côtés, et qu'elle s'en doutait quelque peu.
Jenny n'avait absolument rien vu de ce que Susan avait fait, ni cherché à son insu, d'ailleurs Susan était tombée totalement pars hasard sur son carnet de téléphone, donc, en théorie, elle n'aurait rien à se reprocher… Et la jeune femme poussa un profond et silencieux soupire que son amie et abandonner cette idée d'inviter un ami, ou une connaissance. Et secoua physiquement la tête, pour tenter de se débarrasser des pensées qui l'assaillent en voyant en reflétant dans son esprit, Rupert, tentant de l'oublier pendant un temps ne serait-ce qu'un instant, ou une journée.
Susan quitta Jenny, après leur conversation et l'après-midi à discuter, après lui avoir donné un rapide baiser sur la joue et lui souhaitant une bonne fin d'après-midi une bonne soirée et une bonne nuit, en rentrant chez elle, en soupirant et refermant la porte derrière elle et la verrouillant pour la soirée. Susan sortit de sa poche tandis qu'elle marchait et se conduisait vers son salon et se dirigeant vers son canapé près de son téléphone, sortant de sa poche le morceau de papier sur lequel était écrit le numéro de Giles. En respirant profondément, et se donnant ainsi du courage, pris le combiné du téléphone, le décrochât et composa chaque chiffre, les uns après les autres, sur lesquels elle les avait écrits rapidement mais soigneusement sur le papier. La tonalité se déclencha et se fit entendre, la composition et la recherche se fit, jusqu'à ce que le téléphone commençât à sonner. Puis à la seconde sonnerie du côté de Giles, il décrocha ; Susan entendit donc, pour la toute première fois de l'homme, de l'ami de Jenny, de l'homme dont lequel elle était amoureuse, sans aucun doute :
quand son téléphone, la sonnerie se déclencha, Giles fut totalement étonné et confus que quelqu'un l'appelle en ce début de soirée, et tout au plus, quand il vérifia le numéro, et remarqua qu'il ne le connaissait point et nullement ; intrigué, curieux et légèrement méfiant, il décrocha se doutant et soupçonnant qu'il s'agissait probablement d'un faux numéro, d'une erreur de personne, ou une entreprise, un magasinier ou autre service commercial qui essayerait sans aucun doute de lui vendre des articles. Giles se décida à décrocher à la deuxième sonnerie, et une idée de qui cela pouvait-il être car peut-être que c'était Buffy, ou un membre du Scooby-Gang, et qui n'utilisait pas un numéro ordinaire, qu'ils empruntaient le téléphone d'une autre personne, qu'il était susceptible de connaitre, ou alors c'était un de ses collègues, il se posait mille et une questions alors qu'il commença à parler...
Giles avait commencé à parler en déclarant à la personne "Résidence-Giles, bonsoir" et avait demandé à Susan, qu'est-ce qu'elle désirait, ou que voulait-elle ? La femme prit une profonde inspiration et expira, avant de s'excuser auprès de Giles de le déranger comme cela en fin d'après-midi, et tandis qu'ils ne se connaissaient même pas encore, elle finit par déclarer :
"Excusez-moi de vous déranger ainsi M. Giles..." Susan fut malheureusement interrompue, alors qu'il la coupait, visiblement méfiant à son égard, et Susan se mordit les lèvres pour avoir été aussi directe tandis qu'elle se donnait une gifle et des coups de pieds mentaux pour être aussi stupide, tandis que l'homme derrière le combiné lui demandait qui elle était ? Que voulait-elle ? Et surtout comment il la connaissait ? Et tout ceci sur la défensive et de plus en plus méfiant, alors qu'il ne lui donnait aucune chance de s'expliquer et de parler, car lui coupant la parole à chaque fois. "... Oui, M. Giles je sais qui vous êtes, excusez-moi de ne pas m'être présentée je suis Susan, une voisine et une amie très proche de Jenny Calendar, et je sais que vous vous connaissez car elle m'a beaucoup parlé de vous et..." Mais vu de nouveau interrompu, quand elle eut évoqué Jenny, elle pouvait détecter, le sentiment d'inquiétude, de légère panique qui l'essaya tant bien que mal et par malchance échouât en essayant d'observer ce qui était en train de se passer et se dire, et d'interrogation qui vient de la part de Rupert Giles, croyant sans aucun doute que son amie était en danger, ou blessée et malade et qu'il avait sans doute besoin d'être à ses côtés à ce moment précis.
Susan sourit malgré elle, à l'inquiétude, la curiosité et la tendresse qu'elle pouvait sentir de la part de l'homme qui était au téléphone, il ne faisait à présent aucun doute et il n'y avait pratiquement plus de question ou remise en évidence et pour Susan il était tout à fait clair, que Rupert Giles éprouvait de l'affection, de la tendresse et des sentiments assez forts pour Jenny, et resta un instant seulement, silencieuse en écoutant la nervosité de Giles, et finit par lui expliquer qu'il n'y avait rien à craindre, ni rien de mal ne lui était arrivé, c'était juste quand tant qu'amie, Susan avait voulu lui proposer, s'il était intéressé cela allait de soi, au pique-nique du parc du centre-ville pour la fête nationale et si cela l'intéressait était aux Etats-Unis ; Susan lui expliqua que Jenny lui avait beaucoup parlé de lui.
En entendant ces mots, Giles eut un étrange sentiment, un sentiment d'espoir et d'amour envers Jenny, et une certaine fierté et un étrange besoin de gagner d'avantage en confiance en soi, qui lui parlait en lui, et eut une lueur dans les yeux et également un petit sourire timide qui ornait ses lèvres, et se demanda, il eut une inquiétude et une réelle peur que Jenny ne l'aime pas comme lui il l'aimait, qu'elle ne ressentait pas les mêmes sentiments que les siens, qu'elle se nourrissait des mêmes attentions et de la même affection qu'il portait à son égard, et que peut-être Jenny parlait en mal et pas en bien de lui, et que peut-être elle ne le considérait pas véritablement comme un ami cher, un ami proche, il craignait son ego, sa confiance en soi diminuait à mesure qu'un millier d'images de Jenny, doutant de lui, d'avoir perdu son amitié et sa personne ; finalement il avait déclaré à mesure que ses pensées avaient fleurit dans son esprit, à Susan, qu'il avait eu de toute façon voulut assister à la fête nationale, qu'il avait toujours rêver de pouvoir assister à la célébration de l'anniversaire de la déclaration d'indépendance de l'Amérique, même si cela lui donna le mal du pays.
Giles avait demandé timidement à Susan, si Jenny avait parlé en bien de lui-même, et de quelle manière elle l'avait évoqué et dans quelles circonstances ; et alors, Giles fut des plus surpris quand Susan fit l'éloge, et la narration de ce que Jenny pensait de lui et tentât en masquant dans ses paroles ses craintes infondées et secrètes. Et lui dit, combien Jenny appréciait d'être avec lui, combien elle aimait lui parler, discuter avec lui, être en sa compagnie, et plus encore, à venir à mesure qu'elle continuait de lui expliquer ce que la jeune femme disait de lui...
Au bout d'un moment, Susan lui posa alors la question, s'il était donc d'accord pour venir au parc cette journée-là ? Giles accepta tout en hochant la tête de bas en haut, Mais par contre, il ne devait pas lui dire qu'elle lui avait téléphoné, car craignant de se disputer avec la jeune femme, ou qu'elle soit contente de s'être mêlée de ses affaires et d'avoir contacté un de ses amis sans son accord ; mais en échange, Susan lui promis qu'elle en parlerait plus tard avec Jenny, de ce qu'elle avait fait. Giles accepta de ne rien révéler à Jenny. Curieux, que la femme plus âgée prenne autant d'initiatives à leur égard, et pourquoi, comment cela se faisait-il qu'elle se soucis tellement de leur relation ? Peut-être avait-elle deviné, capté quelque chose qui était en train de se créer entre eux.
Giles gloussa légèrement quand Susan évoqua momentanément et rapidement le caractère et la forte personnalité de Jenny ; et que ; quand elle était en colère, furieuse, et frustrée et qu'on se mêlait de la protéger et de la garder en vie ou pénétrer dans son espace personnelle et sa vie privée, Jenny piquait et se hérissait très facilement.
Quand ils eurent raccroché, Susan était en totale satisfaction, ravie et en état de bonheur absolu et en apesanteur, souriant à elle-même et au fond de soi, tout s'était mieux passé qu'elle ne l'aurait jamais imaginé, son plan fonctionnait, et en plus de tout cela, Susan trouvait Rupert Giles tout à fait charmant, sympathique et de toute évidence très protecteur envers son amie, Jenny. Et elle voulait tout faire, également, pour que ces deux jeunes gens, ces deux personnes, ces deux êtres se rencontrent et que leur relation prenne un autre tournant. Et son plan commençait à fonctionner, et priant juste Dieu, Jésus et la vierge Marie que Jenny ne lui en veuille pas, ou ne déverse pas sa colère pour avoir trouvé le numéro de Rupert...
Jenny fronçait les sourcils, profondément et avec concentration, ardemment, intérieurement tout son corps tendu forcé et ses muscles et nerfs relâchés, tout était sérieux, tendu et serré ; un pli se formait et se dessinait sur le centre de son front, gâchant ainsi sa peau lisse et faisant ainsi apparaitre une ride profonde et lisible et quelques autres. Elle revient au présent après s'être remémorée et souvenue des quelques jours passés avec Susan et la préparation du 4 Juillet et l'organisation de la journée et du pique-nique ; Jenny se trouvait nue, devant son armoire, réfléchissant et en pleine réflexion de ses pensées et son voyage de son plus profond intérieur, et tout en réfléchissant à ce qu'elle porterait comme robe en ce jour. Jenny passa sa main contre le bois de son armoire, passant le bout de ses doigts contre le miroir intérieur d'une des portes, le passage du bout des doigts, de ses empreintes digitales, ses empreintes, sa marque laissée et témoignage du passage que l'on a passé sa peau sur le verre. Le bois de l'armoire était marron extrêmement foncé, l'odeur du bois, des fibres, des particules de la poudre et des copeaux étaient enivrants, ancien -vieux- un odorat, une odeur bonne, de forêts, d'arbres et de maison familiale, emplissant les narines et l'être même de Jenny, ainsi que son esprit et tout son corps. Le bois est lisse, mais en plaçant sa paume contre certaines parois et gravures, sculptures, s'étaient arrondie, il y avait des formes qui pouvaient être formées et décrites par le toucher et leur langage manuel et doigté. La jeune femme avait choisi sa tenue pour ce jour férié, ce jour spécial, sachant où se trouvait sa robe, suspendue à un cintre, donc le fait est que Jenny n'avait pas eu à fouiller dans tous les nombreux tissus, qui n'étaient pas pliés en boule, ou tout un fouillis ; toujours soigneusement plié, ou rangé, d'une propreté nette et avec peu de faux plis ou quelques-uns, selon les tissus et hauts.
Jenny passa sa main sur le tissu de couleur lilas, qui avait une texture tendre et soyeuse, douce ; le tissu était en fibre qui avait une apparence et réellement printanière et d'été, léger, soigneux et léger. Jenny passa ses doigts contre le col et le tissu du torse et la poitrine de la robe, où se trouvait de la dentelle blanche, des trous de broderie et des minuscules lignes blanches et tissus, fils de dentelle de laine. La couleur lilas lui sied bien au teint et sa peau couleur matte et sombre, la couleur de sa peau comme de la porcelaine, ivoire brun, couleur de peau comme du miel et bronze, comme le soleil d'été. Le violet lilas était une des couleurs qui lui convenaient, ainsi que la coupe de sa robe et sa longueur qui était longue et serrée au buste et à la taille, mais la jupe était droite tout en aillant de la souplesse et légère, discrètement, faiblement souple.
En revenant à l'instant et ses pensées cessèrent de tourbillonner, de planner, d'aller et venir dans les souvenirs récents de préparation à la fête nationale, l'odeur du souvenir des recettes de cuisine, l'huile d'olive, la salade -la laitue-, les pommes de terre qui cuisinent doucement, l'arôme s'en dégageant, l'odeur du pain et des sandwichs et le parfum, la saveur qui sortait des tranches de levure, et de pain, étaient un effluve pour l'odorat et les vaisseaux de la muqueuses nasale, emplissaient ses sens aux souvenirs et les fantômes de ce que cela apportait ; les salades de fruits, les desserts du pique-nique, mettant l'odeur imaginaire, rêveur et inventive en ébullition à bouillir dans le sang... Jenny fermant ses paupières un instant, un fragment de secondes pour empêcher et flue d'images de traverser ses yeux, son regard et ainsi sa vision et son voile de prunelle ; Jenny rouvrit ses yeux, en poussant un soupire, ses épaules s'affaissèrent de pression de ses muscles et ses nerfs, de soulagement d'once de brin de bonheur -nostalgie- devant les souvenirs qui ont afflué son cerveau et esprit, et regret de devoir les quitter, mais résignée de partir du pays du rêve et l'imagerie, mais déterminée à aller de l'avant se préparer pour ce jour ;
Jenny leva son bras, le pliant légèrement pour sortir de son armoire et du cintre sa robe, elle l'a pris dans ses mains, le tissu doux empli ses mains et sa texture, le textile, le coton et son parfum de lessive et d'adoucissent parfumés et naturels de douceur d'enfant, cette robe n'avait pas été mis depuis plusieurs années, depuis trois ans, lors d'un grand-pique-nique de jardin durant un été ensoleillé et particulièrement doux, chaud et agréable... Jenny passa la robe sur son corps mince, levant ses bras ses mains se courbèrent en mettant ses doigts en courbe comme une danse et les levant pour laisser sa robe coulée sur sa tête jusqu'aux chevilles, et particulièrement osseux, maigres, délicats et beaux, courbés et un corps de sportive et de danseuse. Le tissu passa sur son corps frêle, sa clavicule était particulièrement visible sa peau et le textile ne faisaient qu'un, tandis qu'ils étaient faits pour être réunis et fait l'un pour l'autre ; Jenny ajusta, contre ses courbes, ses hanches, sa poitrine, son buste et son torse, les coutures se plaçant méthodiquement parfaitement bien en s'accrochant et se positionnant à chaque endroit du corps des pliures des articulations des coutures -jointures- en tirant légèrement, pour ajuster la touche finale de sa robe, tenue, en passant les mains sur le tissu pour arranger et retirer les faux plis. Et que tout soit net, précis ainsi que le vêtement soit aussi confortable que possible.
Et en s'observant d'un œil critique dans le miroir de sa penderie, elle jugea qu'elle avait l'air et ressemblait à une bien belle jeune femme, et une jeune gitane habillée dans un style vestimentaire dans les tons et nuance bohème, avec ses cheveux bruns encadrant son visage et parfaitement, joliment soigneusement peignés et ondulés, soigneux. Jenny pouvait décider que tout était pour le mieux, mais tout en se disant... En songeant qu'elle aurait pu….
Après avoir fini de se préparer du mieux qu'elle put et à la perfection dirait-on pour ce jour de célébration ; mais au moment où Jenny souhaitait pouvoir remonter dans sa chambre, quand Jenny était descendue pour préparer et prendre son panier d'osier, au même instant la sonnerie retentit…
En ouvrant la porte en s'approchant d'elle, levant son bras, tendant sa main vers la poignée de porte, effleurant le bout de ses doigts contre son porte clé et sa clé d'ouverture de porte en métal qui provoqua un cliquetis, tout en émettant un bruit de mouvement, frôlement, bruissement métallique et le froid du porte clé et des clés sur la main, rendait la journée chaude froide sur la peau, un changement de température émanent de la paume de sa peau et des veines, et bougement de clé ; Jenny ouvrit la porte de sa maison tout en se demandant qui pouvait bien frapper, sonner à sa porte en ce jour, en matin, si beau et de bonne heure, de bonne matinée alors que l'aurore était encore présente, en fronçant les sourcils, Jenny savait, sachant que ses amies ou connaissances et sa famille étaient tous au courant, que la jeune femme serait en congés, indisponible, et devrait passer une excellente journée, merveilleuse, incroyable respirant l'air et les nombreux parfums d'été ; donc tout le monde savait que Jenny ne serait pas à la maison. Bien que, quoi qu'il en soit, Jenny avait convenu en donnant un rendez-vous, un lieu de rencontre à son amie, Susan, et la jeune femme pouvait se douter en soupçonnant qu'il était tout à fait, totalement, possible qu'il s'agissait de la femme plus âgée, mais s'en doutant un peu, et cela aurait été étonnant pour Jenny, car, lui ayant déclaré la veille que ce serait Jenny qui la retrouverait, et la rejoindrait, en croyant, pensant que Susan l'écouterait et serait surprise qu'elle ait changé d'avis, ne l'écoute pas mais craignant toute en même temps qu'il se soit passé un imprévu ou quelque chose de grave... Mais s'imaginant le pire, que peut-être il s'était passé un accident ou une tragédie. Jenny doutait tout en continuellement se posant des questions si Susan tenait sa promesse qu'elles se rejoignent, toute les deux, si elle avait pu oublier, en même temps au fils de ses pensées conflictuelles, en boucle, Susan aurait pu changer d'idée en venant frapper chez sa jeune amie.
C'est ainsi que Jenny ouvrit la porte, perdue, plongée dans un flux et dans un océan de pensées en spirale, nuageux, grisâtres de pensées néfastes et dégradantes mais à la fois une pensée heureuse, joyeuse ; la jeune femme ouvrit sa porte aux visiteurs potentiels, indésirables ou encore opportuns. Prête à répondre à dialoguer, échanger avec qui bon lui semble et ce qu'elle voulait, souhaitait dire, discuter en parlant avec n'importe qui, qui soit ses amies jusqu'aux connaissances en ayant jamais de barrière, de complexe et non-dit, des in formulations, informulées, inexprimées, qui pouvaient créer des ambiguïtés et des tensions indésirables qui deviendraient dans des relations incontrôlables, dans tous les cas, Jenny était prête à recevoir et parler aux personnes qui étaient sur son seuil et les congédier de manière appropriée et diplomatie, de toute manière appropriée.
En ouvrant la porte, l'entrebâillant, la laissant entre ouverte pour laisser de cette façon des rayons de soleil, la luminosité, le jaune de la lumière et de sa chaleur chaude, bienvenue, qui pénétra doucement mais rapidement dans le hall d'entrée, vestibule ainsi que dans la maison toute entière, la fissure de l'ouverture était entrebâillé, mi-clos ; Jenny la laissa ainsi, pour pouvoir être ainsi prudente et voir, apercevoir la personne au seuil de la porte, c'était Susan qui lui sourit avec douceur et de manière chaleureuse, éclats ses yeux étaient illuminés, brillants et éclatants de passion et d'égards positifs qui apportaient qu'à elle seule, qui ne venait que d'elle d'une tel image de bienvenue, de courage, et de force, ainsi que l'amour la joie de vivre et le fait de pouvoir tout oublier de la difficulté de la vie... Susan ouvrit ses bras à sa jeune amie, à la jeune femme, en lui déclarant un bien le bonjour matinal, et une très belle journée nationale, en apercevant remarquant le regard de confusion de Jenny dans ses yeux, Susan lui expliqua quand celle-ci lui posa la question de pourquoi elle était ici, alors que tandis qu'elles s'étaient mises toutes les deux d'accord pour se retrouver au parc à un point donné ou bien alors Jenny était sensée retrouver Susan chez elle, la femme lui dit qu'elle avait sa préférence et s'était pour le mieux, pour toutes deux, que Susan vienne chercher sa protégée pour dans l'expectative et dans un même temps pour profiter de la compagnie de l'autre, et que de ce fait Jenny n'aurait pas à se déplacer ni à chercher pour leur rendez-vous, en évitant et épargnant le stress, la confusion et l'émouvant déplacement et se changer d'endroit. Jenny, accepta l'explication rationnelle, en se léchant ses lèvres, et réussi à lui répondre que cela était une excellente idée et initiative de sa part et que de cela et le fait elle n'y avait pas du tout pensé comme solution, ni ne se serait doutée qu'il en allait de même quant à ses troubles de pensées, ses montagnes, ce brouillard et ses nombreux et ces incontrôlables mouvements, vacillations et soulèvements, tumultes de brumes de mauvaises pensées sombres et noires de noirceurs.
Dans ces conditions, après leur brève conversation, Jenny pris son panier en osier, où elle avait préparé, arrangé, aménagé, organisé et disposé de la nourriture pour la journée du déjeuner et quelques petites choses en plus, des encas, pour le gouter de l'après-midi ; chaque boite, sandwich, nutriment, légume, entre -hors-d'œuvre- plats principaux froids, soigneusement préparés la veille, quelques desserts en prévention, si jamais Susan n'en aurait pas apportés et également pour rajouter aux desserts qu'il pourrait y avoir. Le panier était bien rempli de provisions, et était, de ce fait, à cette occasion, bien lourd, pesant, mais agréable à porter que Jenny pouvait soulever d'une seule main, la chaleur, le froid et l'odeur des plats imprègnent l'air, pénétra, s'infiltrant au travers de l'osier.
Attrapant ses clés, Jenny sortit rejoindre Susan sur le seuil en se retournant très légèrement pour fermer sa porte d'entrée à double tour. La forme d'un sourire resplendissant et éclatant, naissait en se dessinant dans un ornement sur les lèvres de la jeune femme tandis qu'elle se tournait doucement, en faisant face, lentement à Susan, tout en lui déclarant qu'elles pouvaient partir...
Les deux amies commencèrent à marcher tranquillement, doucement calme et sérénité, la plus âgée des femmes effleura en marchant la main de son amie d'avec sa paume et le bout de ses doigts, les entrelaçant gentiment leurs mains ; en marchant sous les rayons qui devenaient de plus en plus chaud du soleil, Susan et Jenny arrivèrent au parc, où il y faisait bon, beau et chaud, l'odeur de l'herbe, de la verdures, l'herbe tondue, les fleurs se mélangeant à l'air ainsi que le sol fertile, l'odeur de l'étang ainsi que les bruits des canards, du ruisseau, des courants, le chants des oiseaux, des rouges-gorges, des moineaux... A traves tous les bruits de la nature, on pouvait y entendre, Jenny et Susan entendaient les conversations, la multitude de voix de la population des habitants de Sunnydale, discutant, parlant, de tout et de rien, assis sur une nappe -couverture de pique-nique-, souriant chacun était en famille, où dans d'autres cas, parfois était rejoint par des amis proches et connaissance, en souriant paisiblement, bienveillance ainsi que douceur en observant -surveillant- leurs enfants respectifs au loin qui courraient dans l'herbe, jouer aux jeux d'extérieurs, toboggans ou autres, jouant près de l'eau… La brise accompagnée le doux murmure de la nature et des bruits, environnent du parc, la brises d'été, le vent, sur leur chemin l'air les caressent forment des formes de vent, les oiseaux, les papillons voltigent et formèrent une danse à cet air de saison estivale d'été, qui chantent une mélodie du bonheur…
Jenny et Susan arrivèrent, enfin, finalement, à leur lieu de repos, de détente et de relaxation sous un magnifique chêne, dont les branches des arbres et leurs feuilles fessaient et réalisées une magnifique frondaisons et un allo, tout comme un pont, presque un tunnel, protégeant de la lumière, luminosité, mais des rayons du soleil du matin, et quelques couleurs de l'après-midi s'infiltrèrent à travers les feuilles, branches, qui créer comme -tel- un parasols un habitacles, créant à la création d'ombre, de formes….. La jeune femme installa, dépliant la couverture sur l'herbes en l'étalant confortablement avec précaution, et tout en plaçant leurs paniers à provision au centre de la couverture ; après cela, Jenny s'assit ses jambes repliées sous elle.
Barbara était déjà arrivée avec ses enfants et son propre panier, Lucas de presque douze ans, avec ses jumeaux, Homer et Bartholomew, d'à présent âgés de neuf ans, et ses deux filles, la jeune Ariel de six ans et l'heureuse nouveau-né, dernière-née, petite -jeune- dernière-née en Mars de cette année-là -en 1997- donc de quatre mois, la jeune Jasmine.
Lorsque la petite sœur d'Ariel arriva, vient au monde, Ariel fut si heureuse, reconnaissante remplie d'amour et de bienvenue, la fillette était accueillante et aimable face à la nouvelle de l'arrivée, l'annonce d'un future bébé, et quand l'enfant appris la naissance d'une fille ; Ariel fut reconnaissante, remplie de gratitude, de remercîment, de joie, d'excitation et d'agitation, à la naissance de Jasmine, heureuse d'avoir un nouveau bébé dans la famille et surtout, surtout, que ce soit une fille, que l'enfant plus âgée ne soit plus là seule fille mais cependant elle aurait été tout aussi heureuse, toute aussi comblée si le bébé avait été un garçon… Du moment, du l'instant où Ariel n'aurait plus été la plus jeune, la dernière, le bébé de la famille. Depuis la naissance de Jasmine, Ariel était devenue très proche de sa sœur et extrêmement protectrice, fidèle, loyale et ainsi que farouchement férocement remplie d'amour et tendresse.
Barbara avait choisi pour ses deux filles, des prénoms extrêmement féminins, qui avaient un symbole, un thème donner, de princesses de l'univers Disney, des femmes courageuses gentilles et d'une grande bonté d'âme et cœurs, des univers d'Aladin et de la petite sirène ; Ariel et Jasmine.
Depuis le divorce, la séparation de Barbara d'avec son époux, Yves, vivant seule et heureuse célibataire, vivant avec tous ses enfants, après avoir eu le courage, la bravoure, et la force de pouvoir et le fait est de vouloir mettre un termes à sa relation d'avec son mari et le renvoyée de chez elle, de leur foyer et maison familiale ; c'est ainsi et qu'à partir de cela, qu'eu lieu la procédure de divorce, les papiers à remplir, la fatigue émotionnels, les pleurs, la question de la garde principal des enfants, et chaque action gagnée, en cours et finalité était un combat, une bataille de gagnée, les quelque conflits et certaine complications qui auraient pu y avoir lieu, les batailles :
Cela faisait longtemps qu'il était parti à présent, elle l'écoute démonter sa vie en pleurant, comme si elle était la coupable, Yves réalisait en faisant toujours en sorte, en retournant la situation et que cela devienne incontrôlable, terrible, que tout le monde croit que c'était Barbara, l'infidèle et qui commet, avait commis des actes d'adultères ; ce qui ne plut pas du tout à la jeune femme, qui s'est défendue avec force, courage et d'un courage d'acier et vigueur, convictions bravoure et d'un acharnement hors du commun... Et à tout fait, a fait en sorte grâce à un incroyable soutien collectif, et amicaux, familiale, de retournée la situation en sa faveur, pour avouer en confessant au monde que c'était son époux, lui-même qui commet, crée en accomplissant des actes charnels, d'adultère avec bons nombres de femmes et sa maîtresse comme, le témoignage de Vanessa, selon elle, serait son amante officielle, sa favorite...
Si elle avait su qu'un matin qu'elle serait là, sali, jugée sur un banc, si Yves avait su que ce serait lui, à son tour de l'être. Par l'ombre d'un corps que Barbara a serré si souvent contre elle, et lui a fait faire cinq enfants. Pour des enfants. Il leur dit que son métier c'est du vent, un choix de vie, de femme, épouse, mère au foyer. Et que l'on ne sait pas ce que qu'elle sera dans une fois qu'ils seront des adolescents, adultes parties réaliser leur vie ailleurs.
S'ils savaient que pour le reste du monde avant, pour la justice, le juge, et l'état, de toutes les femmes aux foyers, les mères, Barbara serait la plus grande ; et que c'est pour ça qu'elle voulait continuer à avoir des enfants devenus grands... Les juges et les lois... Ça ne lui fait pas peur, ce sont ses enfants, ses batailles... Il n'aurait jamais dû, ou fait faire qu'il ne fallait pas qu'il s'en aille.
Barbara allait tout casser, tout détruire, se battre jusqu'à la fin pour eux, aux fruits de ses entrailles, il n'aurait jamais dû faire, fallait, pas qu'il s'en aille, et qu'il fasse ce qu'il avait fait. Bien sûr c'est elle qui les a portés, c'est elle qui a porté à bout de bras et sur son dos tout ce monde, et son mari, et pourtant... C'est elle qui lui construit sa vie lentement, la vie d'Yves qui a tout fait pour son bonheur ; Tout ce qu'il peut dire sur elle, n'est rien, n'est plus rien, à côté du sourire qu'ils lui tendent, rendent... L'absence a des torts que rien ne défend, et la défend...
Ce sont ses enfants.
Depuis qu'elle vivait seule, en parfaite harmonie et dans une vie parfaitement saine, épanouie, en développement, gai -joyeuse- rayonnante ainsi que joyeuse. Où Barbara était épanouie, la solitude ne
la pesant nullement, ni même l'absence d'un homme, ou pour être précis l'image masculine, parentale, d'un père. En étant parfaitement éclairée, voyant l'avenir et l'espérant avec une grande clarté. Ce sont les personnes qui ont réussi à trouver la voie la plus épanouie de l'autonomie... Même si le divorce les a appauvris, ils ont le sentiment d'être plus riches, ... Barbara avait pu sentir un, le manque d'épanouissement dans un couple...
Mais la femme ne voulait pas se laisser abattre et pour ce faire, de ce fait elle avait eu l'ambition ainsi que l'énergie de retrouver le bonheur après un divorce S'épanouir après son divorce en faisant le point. Une fois le divorce prononcé, il est temps de faire le point : Psychologiquement : il faut apprendre à faire le tri et de s'évader, et s'échapper, se rendre heureux à nouveau...
Le divorce est un véritable bouleversement, qu'il soit consenti, imposé ou souhaité. Il met un terme à une histoire d'amour, mais il est aussi une chance de rebondir et de retrouver le bonheur, autrement. Découvrez nos conseils pour vous épanouir après la séparation.
Niveau Psychologiquement : il faut apprendre à faire le deuil de son mariage, en passant par les différentes phases du deuil (déni, colère, négociation, tristesse et acceptation). Cela prend du temps et cela peut passer par des actes symboliques, comme se débarrasser des objets et souvenirs matériels de sa relation, pour rebondir en n'ayant plus à porter le poids du passé.
Financièrement : le divorce a modifié la situation financière. Il est nécessaire de faire le point avec un conseiller pour prendre des mesures qui s'imposent. Il peut être judicieux de faire un bilan retraite, qui peut être pris en charge par votre entreprise, afin de connaître le montant de votre future pension et, éventuellement, de souscrire une retraite complémentaire pour envisager l'avenir sereinement.
L'Émotionnellement : une fois le divorce « accepté » et votre situation financière stabilisée, prenez le temps de vous poser la question « de quoi ai-je envie ? ». Interrogez-nous sur nos capacités, nos goûts, nos rêves, et profit-on du fait de ne plus rien devoir à personne pour les écouter et les concrétiser. Par ailleurs, faisons attention à ne pas s'isoler socialement, en profitant de votre liberté retrouvée pour voir vos amis, votre famille, et en faisant de nouvelles rencontres, notamment en prenant part à des associations ou des activités sportives. Autant de choses qui vous permettront de croire de nouveau au bonheur !
Se remettre d'un divorce, ce n'est pas impossible. Loin de là ! Souvent, le divorce est l'occasion de se recentrer sur soi-même et de définir de nouveaux objectifs. C'est l'opportunité, aussi, de reprendre certains de vos projets ou de vos rêves, que vous aviez laissé de côté ou perdu de vue lorsque vous étiez en ménage
Ariel accourus vers Jenny, en sautillant, rebondissant, riant, en engageant, démarrant une conversation, en commençant à parler, discutée avec la jeune femme d'une voix totalement enfantine, joyeuse, enjouer lui demandant comment aller-t-elle ? Et si Jenny était heureuse de voir la petite fille ? ... Ariel se pencha en avant contre Jenny, contre son épaule, pour encercler, enlacer ses minuscules bras autour ses épaules de la jeune femme qui était une adulte bien attentionnée aimante envers la petite Ariel et comme considérée comme l'une de sa meilleure amie ; l'étreignant bien, très, fort, et lui murmurant combien Jenny sentait les fleurs…
Sur ces paroles, la jeune femme fut empreint d'une si grande mélancolie, nostalgie et dans un moment, une instance de réflexion et de mémoire, un moment sombre, de noir, de terrible nostalgie et retour dans le passé et nageant dans les souvenirs heureux mais à la fois douloureux, car une vie heureuse, dont le milieux familiale sain et unie fut bouleversée et renversée par le temps, la tragédie, les drames et les circonstances avaient tout fait pour que les bons ainsi que les plus pures souvenir deviennent tous incontrôlables et involontairement douloureux et atrocement durs à se souvenir, les catastrophes de tout ce qui s'était passé, était dur et rempli de larmes, brisé, cassé, se transformant peu à peu en des larmes en la pluie… Un destin cruel veut que Jenny se souvienne, de sa mère, des fleurs, des plantations qu'elle plantait dans le jardin familial ; des multitudes, multiples couleurs, des senteurs, odeurs et délicieux parfums, Fleuri, fruité, famille olfactive, choisir un parfum. Mais les fleurs viendront apporter à Chance Eau tendre toute leur beauté délicate très charnel entre notes de jasmin, de jacinthe ou d'iris. Les muscs blancs ...Ainsi, s'il est impossible d'aimer tous les parfums floraux, que sa maman fabriquer à base d'eau et de fleurs, où simplement de manière naturelle que son, ses parfums la portée et l'accompagnées tant leurs senteurs sont ... Voici les différentes catégories de fleurs dans les parfums floraux : ... associé à différentes facettes mais un parfum chypré est par définition toujours boisé. Floraux forment une pleine et entière famille olfactive. ... A chaque fleur ses senteurs, ses subtilités et sa personnalité. ... Un parfum floral peut comporter une multitude de notes fleurie lorsque Jenny se rapprochant du cou, de l'épaule et des doux vêtements des tissus de Lily, pouvant respirer son parfum et les fleurs, en lui murmurant combien sa mère pouvait sentir les fleurs, comment elles sentaient comme ses plantes. Cela sentait, ressentait en respirant les souvenirs du passé en ce qui concernait l'enfance, la jeunesse et l'innocence de la douce et petite Jenny.
Le présent la rattrapa tandis que les souvenirs s'écoulèrent dans sa tête et revenant de plus en plus en plus récent à mesure que le temps passait en s'écoulant dans son esprit pour revenir à aujourd'hui, coule, coule le temps, de l'enfance, des années en années jusqu'au présent, jusqu'à maintenant ; Jenny fut envoyée très violement renvoyée en se remettant, revenant à cet instant de l'été de cette matinée et après-midi ensoleillé.
Ariel, s'assit contre, sur les genoux de Jenny, en faisant face à sa maman et Susan, tout en écoutant soigneusement les adultes, les femmes autour d'elle discuter de sujets sérieux, délicats et bien compliqués, et difficiles autour d'elle.
"C'est tout à fait normal, Jenny, que tu penses cela... Susan et moi, sommes plus âgées que toi, et avons plus d'expérience avec les hommes. " Déclara à un moment Barbara, au cours de la conversation d'une voix ferme douce, maternelle avec accompagnée d'un regard, une expression facile compatissante, et lors d'un autre instant une autre phrase de Barbara sortit durant la suite de conversation, et sa prolongation "Tu auras d'avantage d'expérience avec le temps, attend, expérimente, reste optimiste ; d'avantage d'épreuve, de maturité, et de savoir avec des relations... Tu n'es pas encore assez âgée ou n'a pas eu les épreuves à faire, pas comme nous, tu es si naïve, insouciante et née avec de l'espoir en toi qui fait si chaud au cœur..."
Barbara sourit avec émotion et des larmes se formant des ses yeux, non versées, invisibles pour qui pouvait les voir, invisibles à ceux qui regardent.
En ce jour , les fils de Barbara furent habillés d'une grande simplicité mais en même temps avec élégance, et pour un jour spécial, festif, un jour d'exception, des vêtements de jour individuel, distinct, particulier ainsi que bien sûr, avec netteté, précision, évidence, propreté... Lucas, portait un ensemble bleue marine, d'un pantalon taillé avec une cravate assortie et une chemise à tissu léger blanche, et des chaussures en cuir noir, impeccablement cirées et brillantes, il ressemblait à un vrai monsieur, un jeune gentleman. Homer et Bartholomew s'étaient habillés avec des vêtements assortis en petit-marin, blanc, bleu, rouge avec des pantalons qui arrivaient aux genoux... Ariel était habillée en petite robe de marin, purement féminine dans la branche de l'armée marine américaine, en marron très clair.
Au bout d'un moment, Jenny fut interrompue dans sa discussion avec ses amie, en voyant l'arrivée de Blanche avec Éric et leur fille, Anaïs, qui avait bien grandit depuis sa naissance, possédant des beaux cheveux blonds, une bonne touffe de cheveux sur son crâne qui continuait toujours de se former, se sécurisait et grandissait, sa peau, sa chair et sa moelle se solidifiait, ses cheveux étaient toujours épais ce qui confirmait, prédilection que l'enfant aura des cheveux, une chevelure aussi beau, aussi épais et long que Blanche, sa douce maman…
La jeune Anaïs était habillée pour son tout premier jour de fête nationale et si particulière, sa première vrai journée festive, ses première festivité mise à part les fêtes de fin d'année, Noël et le jour de l'an, et les fêtes de Pâques ; sa robe avec des manches légèrement bouffantes et courtes, couleur blanche immaculée crème, avec sur la jupe, l'ourlet et finition de du vêtement qui descendait jusqu'aux genoux, des petit carreaux rouges ou de motif de pois, sur le haut, la poitrine, le torse, il y avait de minuscules filets de dentelle ou plutôt, ce serait, ressemblerait, ce serait une forme de, à de la broderie de fils rouges, avec au centre près du col blanchit, une broderie discrète le prénom de l'enfant.
En regardant en direction des deux autres adultes venant d'arrivée, en suivant la ligne de regard, le mouvement visuel, suivant le regard de Jenny, en regardant le petit bébé, sa nouvelle amie, la fille de ses voisins, Ariel était si heureuse à la vue du bébé qu'elle s'écriât, en se levant subitement, se redressant d'un seul coup, en sautant, a avec joie et éclats de rire, courant vers Blanche, qui posa Anaïs sur la couverture ; Ariel s'agenouilla, pliant ses petite jambe d'enfant sous elle, et agitant un jouet avec Anaïs.
Le bébé souriait avec vivacité, éclats de manière, façon naturelle, et sincère, authentique à la plus âgée des enfants du groupe ; Anaïs babillait, rampait et marchait de plus en plus en s'améliorant sans cesse de la marche à quatre pattes. Blanche s'assit aux côtés de sa fille, son enfant adorée comme elle l'a prénommait affectueusement et avec adoration ; la jeune femme commençait à discuter avec Jenny, juste après avoir dit bonjour au deux autres femmes, Éric était juste à ses côtés, ne s'asseyant pas, reposant une main contre l'épaule de sa femme avec affection, lui montrant son soutien et son amour.
La jeune femme se souvient combien elle avait été inquiète, elle et son mari, quand Anaïs a été très malade avec des boutons noirs, très transpirante et presque déshydratée, recrachant, en régurgitant ses biberons et sa nouvelle alimentation de légumes et fruits, pleurant dans le processus dans sa maladie totalement inattendue , inexplicable, inexpliquée par les médecins et pédiatres ; Blanche remerciait Jenny pour son soutien de cette période, l'encourageant à lui donner de l'eau d'attendre, de patienter, dans le temps au fils des jours avec les événements beaucoup plus étranges qui ont pu survenir, les frappant et subir ; Blanche et Éric avaient discuté tous deux, menant des débats et des monologues internes, et de sérieux dans leur vie, ils se sont amenés à se questionner et à venir se demander à revenir sur l'existence, l'acceptation d'un monde surnaturelle, de sorcellerie et de monstre démoniaque, fantastique, de spiritualisme et fantasmagorique… Blanche a dû se rendre à l'évidence que tout ceci existait et faisait partie d'un monde bien réel, tout à fait normal, simple et ordinaire avec des personnes de chaire, de sang, totalement humains…
Devant tous ces faits, et ces mises dans le fait accompli, et devant toutes les suspicions les questions les faits que Jenny a pu entendre, durant les conversations, les spéculations et le fait est de vivre dans une ville si petite, de taille moyenne et calme avec une importance de la population, l'activité démoniaque était extrêmement, très active, dans une ville qui pouvait être plus ou moins, à peu près, pas si tranquille que ce qu'il y paraissait, si paisible -enfin si, cette ville était paisible et heureuse- mais pouvait vite chavirer et cela Blanche et Éric l'avaient remarqué, qu'il y avait, il pouvait survenir des événements dangereux, dérangeant, étranges…. Et, ils savaient que ce qui étaient arrivé à leur fille, ce qui était passé en ce mois de Mai dernier était surnaturel et anormal, ce que Jenny leur avait expliqué se sentant obligée de les rassurer pour qu'ils cessent de se faire du mouron… A leurs horreurs, c'était inimaginable et au-delà de toute croyance, mais étant ouvert d'esprit, la stupeur, l'incrédulité avait duré que quelque jours ; ils apprirent tout ce qu'ils savaient aujourd'hui, tout de Jenny, et à présent sur le monde de démonologies et surnaturel était grâce à elle, et avait pu s'instruire, se cultiver sur ces matières, en ayant toute la curiosité et le peu de loisirs qui leur fallait pour le faire, tout ceci grâce à Jenny qui avait pu, réussie à leur ouvrir les yeux et leur faisant voir des nouveaux horizons, axes et nouveaux innovations, et surtout des nouveaux jours…
Blanche, Éric, Barbara, Susan et Jenny continuèrent, tous, de discuter, parler, s'exprimer tout en commençant à consommer, mangeant, avant de commencer leur déjeuner, les cocktails que l'homme du groupe, le seul homme, masculin, avait pu apporter pour cette presque, l'arrivée de la fin de matinée, Barbara étant assise sur un banc, table de pique-nique en bois, la femme portant son bébé, son dernier-né dans les bras, Jasmine.
Anaïs rampant sur la couverture, en s'appuyant, prenant appuis, sur ses genoux, cuisses de Jenny pour grimper dans les bras de la jeune femme. Ariel, quant à elle courait dans l'herbe en retirant ses chaussures pour que ses pieds puissent toucher, apprécier d'avoir le contact de sa peau sur le sol en terre et l'herbe fraiche, souple, chaude et à la fois humide du matin ; la petite fille, courrait, se déplaçant, à travers l'herbe en passant de la table à la couverture de pique-nique, en allant d'un endroit, un point à un autre. Pour, par la suite, faire des bisous à sa mère, surtout son visage, pressant ses joues contre ses jambes, en embrassant de suite sa petite sœur sur ses joues et son fond en donner de doux et tendres baisers ; la fillette partit rejoindre Jenny et la petite Anaïs, pour les embrasser et les prendre dans ses bras, enlaçant avec affection le petit bébé.
Éric se déplaçait au gré de la conversation, de sa femme, vers le reste du parc, main dans sa poche de pantalon, soufflant respirant, humant, la brise d'été, le regard levé vers le ciel, heureux de cette journée, tout en réfléchissant, méditant, avec réflexion se demandant comment il avait fait, réalisé, en méritant un bonheur aussi beau, comment avait-il fait pour mériter sa femme et sa fille, Blanche et Anaïs ; il chantonnât, sifflotant des mélodies douces, entrainantes, en sifflant sur les collines du parc, qui ressemblaient à des prairies dans le grand parc du centre-ville.
Au loin, dans une autre colline, derrière les collines loin de chez nous, à la vue et sous la surveillance de leur mère, de Barbara, Bartholomew et Homer, jouer, tous les deux au ballon, ou bien alors au frisbee, en courant l'attrapant le faisant voler, tandis que Lucas se promenait, tout en surveillant ses frères, et participant cependant et avec enthousiasme à leurs jeux.
Dans le temps, les conversations, les discussions, les sujets des jeunes femmes, du jeune homme ainsi que des femmes plus âgées n'arrêtaient pas, ne cessèrent d'affluer, ce qui faisait, le fait est, que la matinée finissait, disparaissait rapidement, ne s'ennuyant nullement ; Jenny souriait vivement et heureuse, alors que les minutes passées, s'écoulèrent et le temps défilait, la jeune femme regardait autour d'elle, les horizons, les alentours, contemplant la nature, les personnes qui y entourent, le soleil toujours présent ainsi que l'herbe verte resplendissante et plus verte et lumineuse que jamais… Jenny aperçut au loin, une famille, qui était complète et dont c'était la première fois qu'elle la voyait, l'apercevait en totalité, et si nombreuse ; la famille Rosenberg, les parents avec leurs trois filles, les grands-parents les entourant…
La jeune Gaëlle, tenaient les deux mains de son grand-père et celle de sa grand-mère, marchant, se promenant, au centre de ses deux aïeuls, ses jeunes mains gantées dans les leurs ; l'enfant était à présent âgée de quatre ans, pour ce grand jour de commémoration, dont Gaëlle, appréciait en aimant tous les ans le jour, et y participer le vivant merveilleusement bien, depuis qu'elle est née, sa famille, ses parents, l'avait emmenée en ces journées annuelles, chaque année, et en la présentant à cette tradition, la petite fille, y avait aimé chaque seconde, avec, en pouvant, conter accompagner de mots d'enfants, imagination, illustration, comment pouvait-elle, résumant, trouvant, se souvenant, avec ses yeux, avait pu assister au feux d'artifice, aux nombreux pique-nique, les couleurs de la saison, celles et ceux qui affichaient les couleurs du drapeau Américain, les eux, la fête forains, les forains, la nourriture qui pouvait en découler, que les forains vendaient, ainsi que les nombreuses peluches et jouer que les enfants pouvaient avoir en jouant à des jeux, et ainsi que les couleurs, la musique du carnaval, des couleur du soir…
Gaëlle était habillée, en ce jour, d'une jolie robe rose dont la longueur descendait jusqu'à ses genoux, de magnifiques minuscules petites fleurs dessinées, motif, sur la robe qui était au-dessus du rose ; ses manches étaient courtes, qu'elle possédait, qui était un ajout, un assortit, de sa robe, en petites manches légèrement bouffantes, son col était rond avec un autre tissu, et avec des chaussures, ballerines noires bien cirées avec du verni, ses cheveux étaient roux foncées mais presque blond châtain, il étaient long et soyeux, attachée à la nuque, avec des barrettes croco, le teint de Gaëlle était mat, comme de la porcelaine et ivoire… L'enfant continuait de marcher, en apercevant, Jenny, tournant la tête d'une manière totalement inattendue, de façon par hasard ; en voyant la jeune femme, la fillette fut si heureuse, qu'elle suppliât son grand-père de se diriger vers Susan et les voisins, en allant voir Jenny pour pouvoir tout simplement lui dire bonjour.
Gaëlle courut presque vers Jenny, en obligeant ses grands-parents et courir derrière leur petite-fille, sans lui lâcher ; Gaëlle, sautillât, avec un grand-sourire des plus éblouissant, en allant vers Jenny, en s'exclamant, s'écriant, un bonjour poliment et des plus joyeux ; Ariel, en voyant, la plus jeune enfant des Rosenberg, se relevant en souriant de la couverture, et entraina, Gaëlle pour partir jouer toutes deux, après que l'enfant ait fait une très grande étreinte à Jenny…
Lorsque le reste de la famille et ses sœurs virent la petite-fille partir en courant accompagner de son grand-père et de sa grand-mère, se demandant qu'est-ce qu'ils pouvaient bien se passer, ils décidèrent de les suivirent, mais en voyant la personne, que petite Gaëlle avait aperçu, ils comprirent pourquoi et l'enthousiasme de l'enfant à rejoindre Jenny ; Dawn était tout aussi ravi que sa jeune sœur de voir la jeune femme, les deux enfants admirent tant Jenny et parlait beaucoup et quotidiennement d'elle à table ou en famille, surtout Gaëlle qui l'idolâtrait avec ses yeux, son regard et son aperçu de jeune enfant la jeune femme, mais il avait Willow qui l'admirait ait été son plus grand modèle, sa figure féminine à respecter et à prendre en charge et exemple ; l'enfant, qui avait à présent neuf ans, était tout aussi heureuse de voir Jenny en lui faisant et rendant un grand sourire, et lui donnant un signe de tête respectueux et légèrement sérieux, qui était inquiétant car Dawn demeurait absente, car le fait est, elle était mécontente, frustrée, en colère, est surtout mal à l'aise…
En effet, sa robe ne lui plaisait et ne lui convenait nullement, Dawn, non seulement ressemblait mais ressentait, avait le ressentiment d'être une petite fille modèle, habillée à quatre épingles, sa tenue représentait et était un même symbole que celle de sa petite sœur, elle était blanche immaculée et très claire avec un col en dentelle qui tombait jusqu'à sa clavicule, ses manches étaient jusqu'au presque coudes, moins bouffantes, tombant jusqu'aux genoux, les mêmes chaussures assorties à ceux de Gaëlle ; Dawn n'aimait vraiment pas cette robe, qu'elle considérait comme celle d'une gentille petite fille, celle d'une enfant riche et qui ressemblait et portait d'un symbolisme, représentatif, dans son milieu social, d'une grande maison riche et bourgeoise ; la jeune Dawn, déclara à sa mère, d'une voix basse, soit tellement les épingles, le tissu, les ourlets la gênait et la grattait, et ne pouvait pas bouger, se déplacer, courir comme elle le désirait et aimait tant le faire, en faisait une grimace, ses long cheveux châtain brun foncé, soyeux et fin étaient soigneusement attachée avec une barrette dont les cheveux tombaient derrière son dos...
Sheila lui répondu combien sa fille était belle, et que cela ne servait à rien de se plaindre, ni de tirait sur le tissu et se tortillait les bras, son bras autour de ses épaules… Sheila Rosenberg, était une femme des plus élégante, chic, riche et raffinée, la parfaite perfection d'une femme d'affaire mère -femme- au foyer, habillée toujours de robes, vêtements dans le plus grand général de marque, des tailleurs de couleurs unies, chic et de classe sociale haute et à la dernière mode ; mais Sheila était une femme stricte, sévère et pouvait paraitre sèche, et pas de quelqu'un de chaleureux en ce qui concernait ses enfants, ses filles et en particulier sa fille ainée, Willow. Elle possédait de longs cheveux roux très foncés et en étant la copies conformes physiquement, de sa fille. Elles se ressemblaient, Jenny la trouvait en aucune façon chaleureuse et pouvait, en la voyant pour la toute première fois, dire et confirmer qu'elle était étrange, mesquine et pas du tout une personne en qui placer sa confiance, aux yeux de Jenny.
La mère entraina sa fille du milieu plus loin.
Willow et son père, Ira, étant si heureuse, mais également surprise de voir Jenny Calendar, mais appréciant l'idée de voir et pouvoir discuter ne serait-ce que brièvement avec sa professeure, ne l'ayant pas vue et ni parler depuis cette nuit où Giles, Cordélia, Jenny et elle s'étaient tous retrouvés pour enterrer et faire disparaitre à jamais les reste et ossement du maître des vampires. Dans ces conditions et de ce fait avait espéré pouvoir revoir et parler, discuter avec Jenny pendant les vacances d'été, ne pas passer de longs mois avant la rentrée scolaire sans la voir.
Willow était habillée en ce jour avec une robe vert foncé, qui ressemblait en tout moins à celle de Dawn et de Gaëlle, qui faisait sortir ses yeux vert émeraude étincelant et brillant, vert foncés émeraude, l'ourlet tombait jusqu'en dessous des genoux avec des chaussures noires en ballerines avec un petit talon ; ses manches étaient courtes jusqu'au coudes ; tandis que les longs cheveux roux de Willow attachés en une seule et unique tresse. Ira tenait sa fille ainée par les épaules, en entourant son bras sur ses fines épaules, reconnaissant l'enseignante de sa fille, et fut des plus heureux de la rencontrait une fois de plus, et en profitât pour la saluer avec un grand sourire chaleur, et d'un œil critique et curieux essayant de l'observer tout aussi discrètement, mais ce fut peine perdue et dans un retour d'une médiocrité car l'homme fut pris sur le fait par sa femme, très mécontente et des plus en colère.
Parti s'assoir au côté de Jenny, Willow commençait à converser avec son enseignante, du début de ses vacances et des nouvelles qu'elle avait d'elle-même, de ses propres projets estivaux d'avec ses sœurs et également Alex… La jeune fille en profita pour prendre des nouvelles de Jenny ; elles firent ce qu'elles faisaient le mieux, parler de leurs passions communes et projets, de livres, des sciences et technologies informatiques, musique et le reste de l'été…
A un moment, quelques minutes après le début de leur conversation, Willow fit la confidence à Jenny, en sachant très bien, ayant la délicatesse, le respect et la douceur d'en faire part à la jeune femme, sachant qu'elle voudrait savoir, et étant perspicace dans les demeures du relationnel et sachant, voyant et pouvait voir la relation grandissante Jenny avec Giles, des sentiments contradictoires, de la relation changeante, d'ennemie, d'amitié et d'amour, tout ceci Willow avait su voir et déceler, détecter…
Willow confia à Jenny qu'avant de la voir, la jeune fille aperçut, Giles et en avait profité, avait saisi l'occasion pour lui parler ; dans et à cette confession, la jeune femme se tendit, la couleur quitta peu à peu son corps se sentant refroidir, le rouge parti, ses membres devinrent blancs, la chair de poule, ses poiles de bras, ne s'attendent nullement à cela, sa respiration cessèrent appréhendant de revoir Rupert, mais voulant savoir comment il allait, voulant le revoir malgré tout ; Jenny ne savait pas qu'il serait à la représentation de la fête nationale…
Essayant de ne rien montrer à Willow, cachant ses émotions, ses peurs, craintes et espoirs, en ne voulant pas l'inquiéter, Jenny remercia sa protégée, lui souriant. A ses paroles, la jeune fille quitta sa place aux cotés de Jenny et retourna retrouver sa famille.
Jenny resserra ses jambes, sous elle, plaçant ses mains contre ses genoux, se pelotonnant contre sa place, et sur elle-même, la jeune femme essaya de reprendre le contrôle de ses émotions et son contrôle de soi, de sa conversation avec Susan, ne remarquant pas à l'instant même, que la concentration, le regard de son amie n'était plus sur son visage mais bien au-delà de son épaule et de l'horizon et les gens, les personnes, autour d'eux.
A un moment, Jenny se retourna malgré elle, hypnotisée, entrainée, envoutée par le regard de Susan, et eux le souffle coupé ainsi qu'un choc totalement inattendu qui fit battre son ventre, son cœur, en retournant tout son corps, et le nouant.
Les émotions l'étouffèrent, la submergèrent, voulant se débattre, gagnées contre eux, ses joues devenant roses, sa respiration devint incontrôlable, en essayant du mieux qu'elle put d'avoir une maitrise de soi, son regard fut un violant d'émotions et d'eau salée, larmes ; Jenny se redressa, en voyant Rupert Giles.
Giles était habillé, en la moindre trace de tweet, de couche de vêtement de type fonctionnaire, de bureau, de légèreté, décontracté, estival d'été, en chemise blanche accompagnée d'avec un pantalon en tissu de toile, purement légère et ample.
Susan rouait doucement avec sincérité, secrètement en rendant ses lèvres et le sourire aussi discret que possible et nécessaire, ne voulant pas attirer l'attention de Jenny, et espérant que la jeune ne se rende jamais, ou du moins pas de l'immédiat tout de suite, ou bien après cette journée, compte que Susan était à l'origine de la venue très inattendue de Rupert Giles au pique-nique ; elle envoya toute son énergie, et sa bonne humeur, et des pensées à cet homme et cette jeune femme ;
Jenny se retourna quand même vers son amie se demandant silencieusement ce qu'elle devait faire et compter faire, mais Susan, son visage et masque fermés avec seule ses yeux chaleureux et brillants, donna un signe et hochement de tête pour l'encourageait à aller vers Rupert…
Après avoir raccroché son téléphone, mettant le combiné sur son socle, Rupert Giles passa une main tremblante et rapide dans ses cheveux, passant l'autre, le bout de ses doigts contre ses yeux, réfléchissant à la conversation qu'il venait d'avoir, qui venait de se dérouler et avait été initiée par Susan... Il ne savait pas comment prendre tout ceci, ni comment réagir, il se sentait trembler et vibrer, à l'intérieur de son estomac et du bas ventre, d'un sentiment inconnu mais néanmoins vif et inoubliable de l'espoir face après la discussion qui venait d'avoir lieu d'avec Susan avec lui-même était toujours aussi vive, enflammée, en suscitant un élan d'optimisme pour Giles quant à sa relation croissante et avancée pour Jenny, il continuait à espérer de la voir, de lui parler, en pouvant se rencontrer et fixer des dates, peu-à-peu et différentes avec la jeune femme dans différents endroits pour continuer à apprendre à la connaitre et à l'aimer au fils du temps et sur un long terme, et pouvoir tomber amoureux d'elle à plusieurs reprises... Giles continuait d'espérer, rêver, en se gardant une infime et grande promesse de pouvoir créer, aboutir, construire une relation avec Jenny Calendar ; ce que Susan lui avait dit, lui avait révélé, lui mettant en confidence les véritables sentiments, confusions de la jeune femme, en évoquant certaines conversations mais omettant les choses -sujets- confidentielles, des secrets confiés par Jenny à Susan ; la femme lui avait confié en chuchotant -murmurant- les sentiments que Jenny pouvait avoir envers Giles, sa frustration face aux faites combien ils pouvaient être différents au tout début de leur rencontre et à leur arrivée tous deux à Sunnydale, se demandait comment cela a pu devenir et être si difficile alors qu'ils ne se connaissaient pas ce qui avait profondément déçu Jenny, mais qui avançait par la suite très maladroitement et ne faisant qu'avancer et reculer alors qu'à chaque fois, Jenny ou Giles croyant faire des progrès, avancer ou rentrer dans une prochaine autre étape relationnelle, ils faisaient un pas en arrière, ne ressentant chacun rien en retour…
Susan confiât à Giles, combien elle pensait cela pourrait être une bonne idée que Giles et la jeune femme se rencontrent au parc le jour de la fête nationale, en parlant avec de nombreux sous-entendus, que Jenny espérait le voir ce jour d'été, de ses sentiments face à cette journée, mais ainsi de ce qu'elle aurait pu dire si elle avait pu le voir durant cette journée ; mais également ses sentiments face à cet homme. Et comment elle aurait voulu développer…
En prenant du recul et réfléchissant consciencieusement sur tout ce que Susan lui avait -pu- lui révéler tous les moindres et plus petits secrets, et de l'intimité en restant dans le monde de la bienveillance, la dignité de Jenny, et ne voulant non plus perdre en abusant la confiance de la jeune femme, il connaissait tous les sentiments qui n'étaient pas du moindre à ignorer et pouvait les comprendre et avait tant espéré qu'elle lui rendrait ce qu'il ressentait, mais doutait beaucoup que cela pouvait être réel et que les sentiments, l'affection romantique pouvait être rendu ; Giles était plongé dans ses pensées, avec de la réflexion remplie la tête, en étant pensif à l'attention, l'approfondissement, porté à la discussion donnée par Susan et Giles ; l'homme voulait tout faire pour Jenny, voulait écouter Susan à la suite de son idée et explication, de son annonciation au planning de réaliser en lui disant ce qu'il devait faire… Giles voulait tout faire pour plaire, faire plaisir, aider Jenny et lui montrer combien cette journée, de deux ensembles et leur sortie ensemble pourrait être bien parfaite, à deux.
L'homme avait souhaité mettre tout ce qu'il fallait et ses qualités de son côté, et mettre tout en œuvre, pour profiter de la fête nationale, toutes ses chances, ses bonnes et mauvaises mais surtout les meilleurs ; Giles voudrait être toujours à ses côtés, vienne à toutes ses soirées profitant de sa cuisine, de sa compagnie, et des nombreuses soirées de chaque jour de la semaine, des mois et de l'année, qui n'aurait jamais ressenti ce besoin d'être sans arrêt avec son amour, son amante, son âme sœur ? L'envie qu'elle soit présente, partout, nous accompagne à tous les dîners de famille, ne nous laisse pas dormir seule le soir, passant la nuit, faisant l'amour, nous suive dans les rayons du supermarché, entre rasoirs et comté râpé ? Il devient alors notre respiration, l'impression que sans lui les jours et les sorties sont plus fades. Dommage, parce qu'à la moindre déclinaison, ne traîne la patte, le cœur un peu lourd. Et si on apprenait à vivre pour soi ? À être deux, tout en étant toujours un plus un ? À profiter du moment présent même si notre cher et tendre se promène à trois rues de là ? La Nature nous a doté d'un cerveau amoureux. Pour augmenter les chances de survie de l'espèce, elle a inscrit en nous des mécanismes visant à nous rapprocher de congénères et de nous attacher à eux. L'idéalisation de l'autre et le plaisir ressenti en sa compagnie sont au nombre de ceux-ci. Le manque en son absence (qui est le revers de la médaille du plaisir) également. Autrement dit, quand nous sommes amoureux, nous avons naturellement tendance à être obsédé par l'autre, à avoir une puissante envie d'être avec lui et une sensation de manque en son absence (que nous comblons en y pensant le plus clair du temps). C'est la raison pour laquelle l'état amoureux n'est pas fait pour durer…
Cela peut-il venir de la personne en face ? Plus elle sera indépendante, plus nous allons nous accrocher… ?
Il s'agit de ce que l'on pourrait appeler le paradoxe de la passion : plus une personne se montre soumise et acquise, moins nous la désirons. C'est souvent au moment où l'autre a envie de nous quitter que l'on tient le plus à lui. Le désir ne peut s'épanouir que dans le manque. Ce qui entraîne la conséquence que nous allons davantage nous accrocher à une personne qui se montre indépendante, et un peu moins à une personne plutôt dépendante de nous. C'est ce qui explique que certains hommes plutôt brusques et peu regardant envers leurs partenaires ont parfois plus de succès que des hommes trop gentils et serviables.
Giles voulait protéger Jenny, rester protecteur, la protégeant de tout ce qui était humain ou démoniaque rester protecteur, attentionner doux et tendre quand il était avec elle en sa compagnie, voulant la protéger de tout ce qui faisaient mal et la gardant à l'écart de toute chose ; L'homme nouveau, viril ? protecteur ? sensible ? Naissance d'une troisième voie pour un homme épanoui, Entre la fin du système patriarcal et le féminisme dur : quelle voie pour un homme épanoui en ce jour nouveau devant cette jeune femme si pétillante, belle et respirant la vie, qu'était Jenny Calendar ? Un homme a été machos, patriarches, autoritaires, ils n'ont pas toujours adoré ces rôles. Aujourd'hui, ils ne veulent pas non plus devenir féminin, émotionnellement ultra connectés, sensibles. Alors nous voulons dessiner ici une 3e voie, c'est-à-dire celle qui enterre l'homme tout puissant, autoritaire et peu sensible, sans faire non plus, de nos hommes, des femmes. Giles était depuis à présent plus de quinze années, resté sans relation sérieuse durable depuis la mort tragique de Mélissa, d'accompagnement dans les relations et qu'il voie devant les yeux advenir l'homme nouveau. Promis, c'est une des meilleures et grandes bonnes nouvelles, les hommes ne correspondent plus et ne se retrouvent plus dans les notions caricaturales du passé. Être un homme était synonyme de pouvoir, de force, de misogynie parfois et de virilité. Les hommes d'aujourd'hui ne s'y retrouvent plus. Le paradoxe des attentes d'une femme.
Paradoxalement, lorsque ces femmes rencontrent des hommes totalement assumés, elles les adorent, mais qu'un temps ! Love Intelligence en connait des histoires avortées auprès de ces hommes « féminins », très versés dans le développement personnel, avec lesquels les femmes adorent parler, mais ne veulent finalement pas construire car la différence homme femme n'est pas assez segmentant. Nos femmes d'aujourd'hui ne les trouvent pas assez confrontant, pas suffisamment affirmés. En fait, elles continuent à avoir les mêmes attentes vis-à-vis du genre masculin : il doit rester fort et protecteur. Et trop d'introspection masculine les déboussole.
Une virilité saine :
La masculinité se voit trop souvent définie comme toxique et l'homme se retrouve castré. Il faudrait redéfinir de manière saine la virilité et réussir à la distinguer de la patriarchie. Un homme autoritaire n'est pas synonyme d'une toxicité masculine. Ainsi, nous sommes présentement face à un paradoxe opposant un système révolu de supériorité de l'homme sur la femme, à une société nouvelle qui tend vers l'égalité mais peine à redéfinir l'homme nouveau. Ce paradoxe vient du fait que l'homme croit devoir renier sa masculinité. Ce n'est pas le cas ! les jeunes hommes ne se retrouvent ni dans la virilité caricaturale du passé ni dans le rejet de toute masculinité. À charge pour les femmes d'accepter d'y perdre en sentiment de protection. À charge pour les hommes de ne pas s'arc-bouter sur les ruines d'un patriarcat perdu.
La troisième voie pour l'homme épanoui : une masculinité qui devienne un bien être individuel.
La définition de l'homme apparait alors obsolète et les alternatives ne semblent pas acceptables. Toutefois, face à la masculinité virile du passé ou à la dépréciation totale de masculinité, naît progressivement, à mesure qu'évolue notre société moderne, une troisième voie. L'homme d'aujourd'hui reste un homme, mais n'est plus celui du passé. La nouvelle masculinité permet une égalité hommes/femmes derrière une définition davantage en cohérence avec nos valeurs actuelles, qui se veulent éloignées des notions de puissance et de domination, et proposant un équilibre nouveau et des relations plus harmonieuses entre les hommes et les femmes sans pour autant confondre les rôles.
A la fin de ses pensées, Giles mit tout en œuvre, à contribution et de son côté de bonnes manières pour planifier, organiser sa journée du lendemain dans l'espoir de pouvoir voir, apercevoir, parler avec Jenny ainsi de la sentir près de lui, de la prendre dans ses bras, encercler dans son étreinte ses ras fort et masculin ; sentir sa chaleur contre son corps, sa poitrine contre la sienne, son odeur, son parfum, sentir ses lèvres à quelques centimètre de sa peau, sentir son sourire, ses yeux s'illuminent de bonheur à sa vue.
Giles voulait prendre du temps, pour lui-même et aller au fils du temps, en faisant de son moment, un instant de paix et de plaisir en espérant pouvoir profiter pour préparer ses habits, sa tenue… Giles était en général un homme simple, méthodique, que l'on pourrait qualifier de rigide, bureautique, fonctionnaire dans la façon, style vestimentaire comment il s'habillait… Vêtu entièrement vêtu de couvert de tweet où Daim ; le tweet la composition de ce vêtement se noyant dans l'autre, en ce jour spéciale, Giles voulut opter pour des vêtement beaucoup décontracter, estivale bien sûr cela pouvait être clair dans son cerveau, et d'été, et espérait vacanciers, surtout ce serait cela le plus important tout en étant le plus lui-même, comme il ressemblait à Rupert Giles, étant neutre et naturel, naturellement lui, en préparant son parfum, son odeur, parfaitement masculine ; le parfum, la senteur, l'odorat forte de l'eau de Cologne à se mettre sur corps et du déodorant, rendu par de nombreuses publicités commerciales, un parfum est composé de plusieurs senteurs successives. Elles sont classées en pyramide, selon leur persistance, c'est ce que l'on appelle la pyramide olfactive. Elle est composée de trois niveaux : notes de tête, notes de cœur et notes de fond, qui évoluent avec le temps. Les familles olfactives masculines ; certaines familles olfactives sont typiquement masculines, quand d'autres sont mixtes. Découvrez les signatures olfactives que l'on retrouve systématiquement dans les parfums masculins, plus ou moins intensément. Selon la puissance du parfum que l'on recherche, ou l'effet désiré, on pourra se tourner vers une famille plutôt qu'une autre. Les fragrances de la famille masculine aromatique sont majoritairement composées d'herbes aromatiques comme la lavande, la sauge, le thym et le romarin. Elles sont parfois complétées de notes hespéridés d'agrumes et d'épices pour une touche chaleureuse. Ces notes sont bien souvent à l'origine des parfums masculins car résolument viriles. Apprenez en plus sur la composition des parfums aromatiques pour faire le choix de votre parfum. Les parfums de la famille olfactive hespéridé sont faits de notes d'agrumes comme le citron, la mandarine, le pamplemousse ou la bergamote.
Les odeurs de cette famille sont souvent des notes de têtes, elles sont les premières à se dégager d'un parfum mais ne durent pas très longtemps. C'est pourquoi elles ont la particularité de très bien s'associer avec d'autres familles olfactives. Découvrez en plus sur les odeurs de la famille hespéridé pour faire le choix de votre parfum. Les odeurs de la famille olfactive orientale sont empreintes de notes exotiques et chaleureuses telles que l'ambre et la vanille. Historiquement composée de notes naturelles, leur odeur est de nos jours composée synthétiquement. Particulièrement sophistiqués, les effluves de la famille orientale ne sont pas simples à décrypter. Cependant, il est possible d'apprendre à connaître la pyramide olfactive qui la compose afin de faire le meilleur choix de parfum.
La famille olfactive est composée de notes de bois et de mousse d'arbre. On retrouve le cèdre, le bois de santal, le bouleau ou l'ébène. Les odeurs boisées font partie des plus insistantes dans la composition d'un parfum, d'où leur utilisation dans les parfums masculins. Des notes plus fraîches de la famille hespéridé y sont parfois associées. Familiarisez-vous avec les effluves de la famille boisée pour faire l'achat de votre parfum ou de celui de votre compagnon !
Parmi les notes masculines les plus utilisées, on note le vétiver, la bergamote, la sauge, les muscs ou encore le patchouli. Certaines notes sont longtemps restées le joyau de la parfumerie masculine comme le vétiver, la sauge ou le patchouli. Longtemps, les hommes n'utilisaient que de l'Eau de Cologne, des eaux souvent hespéridés et fraiches. Dans les années 60, apparaissent enfin des eaux beaucoup plus masculines. Ce sont les années 70 qui révolutionneront le monde de la parfumerie masculine avec l'arrivée de grands parfums mythiques et masculins. Dans les années 80, les parfums pour hommes connaissent une véritable révolution et deviennent virils à souhait.
À l'heure actuelle, il existe de très nombreux parfums masculins, que l'on choisit selon son âge, mais aussi selon son caractère, son style vestimentaire ou encore son style de vie. Mystérieux, séduisant, discret, viril… À chaque homme correspond un parfum. Si certains hommes choisissent également leur parfum selon leur signe astrologique, ils arrivent que ce soient les femmes qui choisissent le parfum de leur homme. Comment s'y retrouver entre ses gouts, ses besoins, les différentes familles olfactives et les marques ?
Une chose est sûre, à chaque type d'homme correspond un parfum. L'homme romantique ne choisira pas le même parfum que l'homme séducteur, que l'homme écolo ou encore que l'homme d'affaires. Les 7 familles olfactives permettent à chaque type d'homme d'avoir des fragrances qui leur correspondent et qui répondent à leurs personnalités.
Quel type de parfum pour un romantique ?
L'homme romantique aime l'amour, la tendresse, les fleurs et fait attention aux détails. Un homme romantique choisira probablement un parfum aromatique ou floral ou hespéridé, ou l'association des 3 familles olfactives ! De nombreux parfums pour hommes contiennent aujourd'hui des fleurs, qui offrent effectivement une dynamique romantique au cœur de la composition.
Giles se retrouverait sans aucun doute dans quel type et genre de parfum pour plusieurs catégoriels à facettes multiples, pour prouver son ouverture d'esprit et surtout qu'il y a plusieurs hommes en lieux plusieurs personnalités, esprits, non explorés ; Le mauvais garçon bénéficie généralement d'un charme fou et attire beaucoup de femmes. Son parfum sera avant tout sensuel et séduisant. Boisé, chypré, épicé ou même oriental, le parfum du « bad boy » ne laissera personne indifférent. C'est un parfum dont on se souviendra, à l'instar de celui qui le porte ! Quand, lorsque son ancien esprit d'adolescent, jeune adulte essayer se forcer à refaire surface une bataille internet faisant rage à l'intérieur, Ripper voulait sortir...
Un homme d'affaires est un homme d'action, un homme dynamique. Son parfum devra impérativement lui ressembler. Une fragrance vive, boisée ou orientale permettra à l'homme d'affaires de s'affirmer. Son parfum devra être également sobre et raffiné, avec des tonalités hespéridés ou aromatiques.
L'homme intello, intellectuel est engagé sur des idées et des valeurs profondes. Son parfum sera discret, il ne lui faut pas un parfum trop exubérant. Une fragrance sobre, hespéridé, florale ou légèrement boisée, avec des ingrédients naturels. Délicat, le parfum de l'homme intello ne sera ni puissant ni insistant. Il laissera l'homme intello continuer à décider.
Afin qu'il puisse trouver en son parfum, une ultime arme de séduction, le séducteur choisira un parfum sensuel, viril, des plus séduisants. Boisée, ambrée ou orientale, la fragrance impose sa force et son caractère. Le séducteur a besoin d'un parfum qui lui ressemble, un parfum charismatique, une fragrance à la fois forte, puissante et virile.
Giles, s'en imprègne du mieux qu'il put et, en y mettant quelque touche, quelque goutes u niveau des tempes, des poignets et en haut du cou près de la mâchoire, mais en y déversant quand même de l'eau sur son dos et la poitrine.
Par la suite, Giles prépara ses habile -vêtements- d'un pantalon léger, ample, au tissus fin et fluide d'été qui convenait à la saison estivale, mais de couleur foncé en grand confort, masculine, mais en aucun cas transparent -translucide-, mais en même temps un tissu épais, lourd, très légèrement… Avec une chemise blanche saisonnière, avec des manches courtes.
En se coiffant, Rupert Giles ne voulait appliquer son peigne comme il le faisait habituellement dans ses cheveux pour les plaquer en arrière dans le sens du cheveu, il voulait se coiffer d'une manière simple habituel mais à la fois décontracter.
Giles avait pris le jour du matin très tôt, du 4 Juillet, après l'aube, l'arrivée de l'aube qu'il pris sa voiture pour partir se garer près du parc, qui Giles le savait, après que Susan le lui en est révélé, qu'elle et Jenny passeraient la journée…
Jenny se leva, se redressa lentement de sa couverture, regardant devant elle, vers Rupert, se dirigeant doucement vers lui, n'osant presque pas bouger, le souffle bloqué dans sa poitrine et de sa gorge, craignant avoir une attaque du cœur, se coince dans sa gorge, elle est absolument abasourdie, ne croyant pas le voir, c'était le moins que l'on puisse dire. En avant difficilement, un peu triste, un peu essoufflé ; croyant qu'il ne s'échappe, si elle allait trop vite pour le rejoindre.
Quelque chose bougea en Giles, en lui.
Il le sentit plus qu'il ne l'entendit. Ses nerfs étaient soudainement sur le qui-vive - affûtés après toutes ces années de combat contre les démons et d'entraînement de sa Tueuse. Avec un soin infini, Giles replaça sa main à l'intérieur de la poche de son pantalon, ses muscles se tendant, se préparant à tout ce qui avait envahi sa solitude. Il se retourna lentement, affichant bien plus de nonchalance qu'il n'en ressentait, jusqu'à ce qu'il fasse face à l'intrus. Il y eut un long silence alors que les yeux verts rencontraient des yeux sombres fondants, et Giles perdit toute sensation dans son corps. Quand il a finalement parlé, il n'a pas reconnu sa propre voix. Sachant qu'il la verrait mais ne s'attendant pas à la vue devant lui, ni à perdre le contrôle de ses émotions.
"Jenny"
Elle se tenait de l'autre côté de la pièce, son expression légèrement inquiète, mille émotions différentes dans ses yeux. Il y eut un fort rugissement dans ses oreilles alors qu'il refoulait le souffle dans son corps. Il aurait pu jurer qu'il s'était évanoui, à part le fait qu'il était toujours debout et qu'elle était toujours devant lui.
Elle sourit doucement.
La regardant, tandis qu'il l'observait, la lumière du soleil coule à travers les fenêtres derrière eux, leur donnant, surtout JENNY, une lueur surréaliste. Le souffle de Giles se coince dans sa gorge. Giles marchant, plongé dans ses pensées, ne faisant pas attention à l'endroit où ses pieds l'avaient mené. Dieu, pourquoi avait-il dit cela à Susan ? Pourquoi lui avait-il confirmé et dit qu'il viendrait au parc ? Elle en a déjà assez en tête, sans craindre que je perde le mien. Je dois le perdre. Jenny… Je pourrais passer des jours, des semaines même, sans penser à elle avant. Sanglant d'enfer, pourquoi ne puisse-t-il pas la repousser de son esprit ? Merde, Jenny… elle est belle, cependant. Merveilleuse… belle, brillante et merveilleuse, et mon Dieu, elle pourrait être à lui. Elle aurait pu l'être. Si je n'étais pas si têtu… idiot ! Bon sang ! … Mon Dieu, elle avait un goût merveilleux… Putain de merde ! Elle va être sa mort ! Il est fou, il y a quelque chose qui ne va pas avec lui, elle lui faisait perdre l'esprit. Giles la connaissant depuis presque un an… depuis un an. Une année misérable et merveilleuse, dont il avait repris le goût d'aimer, de retrouver quelqu'un, de tester ses limites. Un an, ils auraient pu être ensemble. Et tout ce qu'il peut penser… il y a quelque chose qui ne va pas avec cet homme c'était sûr. En fantasment juste sur elle. Bon sang, oh, mon Dieu, elle est adorable. J'aurais dû l'embrasser plus… Merde, arrêtons ! Elle peut mourir, être en danger permanant avec lui, et finir dans le sol, pour l'amour de Dieu… Sa Jenny… Dieu, il se sent mal.
Elle sourit doucement.
"Est-ce que c'est ça ? D'accord, je ne m'attendais pas à une fanfare et à des esclaves lançant des pétales devant mes pieds, mais je ne dirais pas non plus, vous savez, un peu plus ?" Jenny demanda par la suite de que faisait-il à cet endroit ? En pleine fête nationale américaine ? Osant se poser la question et demandant en s'excusant et ne surtout point le prendre mal, mais de comment l'avait-il trouvé, comment savait-il où la chercher, si quelqu'un avait-il prévenu Giles de retrouver Jenny ; et Giles, en s'étonnant, qu'il s'intéresse temps à cette célébration, et que cela, Jenny pouvait l'étonner en étant confuse et triste d'avoir eu de telles pensées à l'égard de Rupert….
C'était sa voix. Le timbre riche et le ton légèrement taquin. Sa voix. Ses yeux - des yeux brillants, plein d'esprit et… vivante, bien vivante.
Elle fit quelques pas vers lui et Giles recula immédiatement, sa position devenant plus défensive.
" Vous êtes ici... vous êtes là ?' Sa voix était dure.
"Je ne vous ai pas prévenu, j'en suis désolée," répondit-elle en s'excusant. « J'aurais dû vous en parler, comme ceci cela aurait été une occasion de se voir tous les deux ; Je suis désolée. Je vous demande pardon", fit-elle un geste impuissant, je suis juste là. Juste pour cette journée. Je ne comprends pas comment, on a réussi à se croiser, exactement, mais je suis réelle. "C'est moi, Rupert" sa voix trembla légèrement, menaçant de se rompre. "C'est vraiment moi. C'est Jenny.
Giles bougea lentement, ne quittant jamais ses yeux de son visage alors qu'il s'approchait d'elle. Elle resta immobile, attendant qu'il réduise la distance entre eux. Quand il fut à un peu plus d'un pied, il s'arrêta et tendit la main avec hésitation, juste un doigt, vers la main qui pendait à ses côtés. Il haleta légèrement au contact, à la sensation de chaire chaude et de peau lisse sous ses doigts. Une fois de plus, leurs yeux se rencontrèrent et il regarda dans les siens comme s'il pouvait lire en eux les secrets de son âme. Son nom s'échappa de ses lèvres si doucement qu'on l'entendit à peine. Et puis il l'attira vers lui, l'écrasant contre lui, enfouissant son visage dans la masse de ses cheveux noirs. Jenny enroula ses bras autour de son cou, le tenant violemment, ne sachant pas si c'était lui qui tremblait ou elle. Elle l'entendit murmurer son nom à plusieurs reprises et le serra plus fort, ses larmes chaudes lui brûlant les joues. Jenny, Jenny, Jenny...
Se retirant, après quelques instants, se retirant, se dégageant en s'éloignant du contact des bras forts et puissants de Rupert, réconfortant et protecteurs, perdant l'odeur naturel son parfum riche et unique, perdant le confort de sa peau douce ; Jenny soupirât de déception, en s'éloignant elle sourit doucement et tristement avec excuse... Passant lentement ses mains sur ses bras, les quittant avec précaution en faisant durer le moment, s'attardant trop longtemps contre sa peau, pour arriver au poignet et ensuite entrelacer leurs doigts ; Giles lui sourit en retour, et quittant les lieux, tous deux marchant doucement, se détournant des regards les observant...
Jenny et Giles marchèrent doucement l'un à côté de l'autre, ne croyant pas qu'il lui tenait la main, ne croyant pas d'être à ses côtés et pouvoir ainsi avoir la totale possibilité de passer une journée entière avec la jeune femme donc il aimait profondément. Il comprenait parfaitement son doute, bien que se l'avouant parfaitement cela avait suscité chez lui au plus profond de son corps un profond mal-être, un doute, un pincement une blessure profonde tel un coup de poignard, que Jenny doute comme cela ; mais se rassurant du mieux qu'il put, en sachant que cette situation et ces sensations, ce ressenti, était tout à fait des plus normal, mais nullement néfaste et au contraire Giles pouvait presque se dire que c'était sain, et que c'était ce qu'il fallait toujours être pour entretenir une bonne relation ; on ne pouvait jamais prendre quelqu'un pour acquis, ne pas pouvoir se permettre de ne pas douter de l'autre, le mot nous était extrêmement important, il pouvait y être qualifié, un autre mot de caractéristique, constitutif, comme l'affiliation employée adoptif de personnes, le « je » et le « tu », le « eux », pouvaient ne pas exister dans certains cas, mais ici dans cette situation avait lieu d'être ; ils n'étaient que tous les deux, lui et elle, et en voyant, observant, Susan lui faisant un signe de tête distinctif encourageant positif, de suivre Jenny, de la prendre dans ses bras et de continuer avec elle, et lui souriant discrètement…
En l'autorisant, lui donnant la permission, telle une bénédiction en allégeant son fardeau et sa culpabilité à Giles envers Susan de ne pas respecter sa promesse, il put le dire à Jenny, que c'était son amie qui les avait réunis ; à cet aveu et à ses paroles, Jenny en fut surprise d'entendre sa voix, d'entendre ses mots de la voix de Rupert ; la jeune femme tourna sa tête, son regard de ses yeux vers son amie, la remerciant silencieusement dans une prière lente, Susan, avec reconnaissance…
Jenny a sursauté de surprise, de crainte, et de légère peur quand elle entendit pour la première fois, que c'était Susan qui avait tout organisé, et prévu, planifié pour que Rupert soit là en ce jour ; la jeune femme se posait des questions, pourquoi l'aurait-elle aidé ? Susan avait-elle deviné, aussi bien lu en elle et dans son esprit combien elle souhaitait le voir, l'entendre et pouvoir passer au maximum tout son temps journalier avec lui ; comment Susan avait-elle fait pour réussir à se faufiler, a pu avoir le temps et avoir l'occasion de fouiller dans les papiers, tiroirs du salon de Jenny en réussissant à trouver son carnet d'adresse, de numéros téléphoniques, sans que son amie ne le sache…. Jenny fouillait dans sa mémoire en réfléchissant pour qu'elle sache, quand et lorsqu'elle avait pu passer du temps avec Susan et l'occasion donnée pour que la femme ait réussi à voir la chance….
Se rappelant des moments passés ensemble où Susan passait la voir, Jenny se souvient de sa table à manger du soleil de la journée tandis qu'elles préparèrent les repas, les sandwiches pour le pique-nique, elle eut des légers moments immémoriaux revenant à la surface, dans son esprit comme des faisceaux lumineux de lumière très blanche, de Susan la quittant ayant de légères absences et que Jenny se retrouve seule dans la pièce, la cuisine pour préparer à manger.
Elle se souvient de la lumière du jour illuminant le salon et la cuisine de chez elle ainsi que de celle de son amie, et essayant de s'imaginent le fit que Susan recherche dans ses papiers personnels, son bureau et son mobilier…
Jenny s'était imaginée, avait visualisé comment la femme avait recopié le numéro, l'avait composé, ses doigts hésitant, immobiles attendant de savoir, son ventre flottant, sa peur d'appeler, ses yeux fixant les numéros, les chiffres du téléphone, la tonalité sonnante, attendant que Rupert décroche.
Jenny pouvait voir la discussion s'étant déroulée entre son amie et l'homme dont lesquels elle tombait peu à peu amoureuse et dans lesquels elle l'était tendrement et profondément ; essayant de le convaincre en tant qu'ami pour que la jeune femme ne soit en aucun cas seule, Jenny pensa qu'il pouvait sans aucun doute accepter de venir par pitié, et ne faire autrement ou par crainte, ne venant que par une simple amitié, de l'affection, et non pas car il aurait montré un réel souhait, désir de voir Jenny.
En cela, par cette soudaine réalisation, la jeune femme en fut profondément attristée et bouleversée, mais était heureuse en réflexion d'avoir pu compter sur Susan, du fait qu'elle ait pris l'initiative de faire toute ces démarches et l'organisation d'une rencontre derrière son dos, lui faisant plaisir, sachant qu'elle l'aimerait l'apprécierait, l'adorerait, faisant comprendre à Rupert trouvant les bons mots, le langage, les mots, les paroles et le sens inné de la conversation, pour le convaincre de venir ; Jenny, au plus profond d'elle-même, en fut profondément reconnaissance et pleine de gratitude envers Susan, et elle le dit, elle le fait en évoquant cela avec Rupert…
Ils se sourirent avec douceur, discrétion et profondeur à cela. Remerciant, avec gratitude, en bénissant dans une prière silencieuse commune dans l'esprit pour Susan, leur ange gardien, celle qui les a réunis.
Giles souhaita parler à Jenny de tout ce qui s'était passé pour lui et ce qu'il avait bien pu réaliser de son côté depuis la toute dernière fois qu'ils s'étaient vus ; depuis que le maître avait disparu et était mort, tué, vaincu grâce au courage et l'assurance et sa dévotion à son appel de Buffy, les vampires s'étaient fait rares ainsi que la concentration, la vie démoniaque, densité de population avait fortement diminuée ainsi que l'énergie -l'énergie mystique- des portes de l'enfer drastiquement moins forte, mais aussi l'équinoxe d'été, y était pour beaucoup, c'était une baisse beaucoup plus importante dans le monde qu'après chaque printemps, après chaque grand danger dans le monde, tout diminuer, l'été y était pour beaucoup tandis que l'arrivée de l'autonome pourrait sans aucun doute faire revenir l'activité mystique et le danger de démons mauvais, et cruels...
Pendant ce temps, alors que Giles se considérait comme au repos et en vacances d'été annuel, au grand étonnement de Jenny, il s'était octroyé et pris des vacances et semaines de repos jusqu'à la rentrée des classes, il lui arrivait de lire et bien sûr avait rédigé de longs rapports à ses supérieurs ainsi que ses nombreux collègues du conseil des observateurs à Londres, et continuait sans cesse à écrire méticuleusement, continuellement quotidiennement son journal d'observateur de la tueuse, l'élue actuelle... Mais Giles voulait rester au repos à Sunnydale pendant les mois des vacances...
L'homme, pendant ce temps, et il en allait de soi, voulait souhaiter, garder le plus proche contact possible en gardant une charge, un soutien et contact régulier et toujours sur Buffy, lui parlant, lui écrivant, par le téléphone et par lettre de courrier postal ; la jeune fille passait ses vacances dans sa ville natale d'origine de sa naissance et de son enfance, à Los Angeles, avec son père, Hank et sa belle-mère, Abbie, durant leur discussion, Buffy appris à Giles un élément sur sa vie privée, primordial et importante information qu'il ignorait, Buffy avait une sœur, une petite sœur, de cinq ans sa cadette. Frances.
En apprenant cette nouvelle, ce secret non partagé de Buffy envers, pour, Giles, celui-ci, il en fut totalement ébahi et interloqué sans voix, il en allait de même pour ainsi que Jenny, qui fut très surprise, et sous le choc... Pour la jeune fille, pour Buffy, la raison qui lui avait poussé à ne rien révéler, à ne rien dire sur sa jeune sœur à Giles, son observateur, c'était pour conserver un semblant d'intimité ce qui lui restait de peu de sa vie privée, de sa vie d'antan, d'autre fois, de jeune fille, adolescente normale et tranquille, douce... Et qu'en aucun cas, son rôle d'élue, de la seule et unique du conseil des observateurs ne sache pour sa vie intime, ou ce qui lui en restait.
En se confiant à Jenny, Giles, lui rapportant, l'aveu, la confession comme une confidence de Buffy à la jeune femme, il lui révéla tout aussi également qu'Angel veillait sur elle et poursuivait une profonde amitié à Los Angeles, en effet, l'homme était parti ne serait-ce que deux semaines fin Juin, il était revenu depuis peu, depuis peu de temps en ville, pour rester avec Buffy et passer du temps avec elle en veillant sur la jeune fille... Jenny releva brusquement la tête en entendant cette information, surprise et quelque peu effrayée. Elle essaya de ne pas le montrer ou le cacher en se rendant compte, avec horreur et terreur que son expression faciale, ses traits pouvaient laisser des informations ou signes compromettant et laisser des soupçons et ainsi donner de mauvaises interprétations...
En essayant de remettre un masque neutre, impénétrable sur ses traits en essayant de laisser passer l'indifférence, mais c'était peine perdue et qui laissait place en donnant la place à un grand, immense échec de la part de Jenny, Rupert vit son expression et s'en inquiétât, lui demandant de suite, ce qui n'allait pas et ce qui la tracassait ; à ses mots, à ses paroles, Jenny se sentit coupable de ce qu'elle pût voir dans son regard si aimant, si doux et attentif à son bien-être à son confort…
La jeune femme prit la décision de mentir de façon partielle et de dire une partie de la vérité de ses pensées et croyait, bien qu'elle fut très surprise quand, au moment lorsque ses mots voulurent quitter ses lèvres, en franchissant sa bouche et ses lèvres, que ce qu'elle pouvait penser d'Angel était bien différent de ce qu'on lui avait enseigné, et des opinions de sa famille, alors que Jenny était encore loin de penser de manière approbative, assurément, authentique, de façon avantageuse et favorable, de la personnalité du vampire d'une quelconque partie à part entière.
Elle le voyait comme quelqu'un de bien, quelqu'un de profondément bon pur et sincère dans sa quête de vouloir faire le bien et sa recherche de rédemption, malgré que Jenny ne savait pas pourquoi après des années, des décennies presque deux-cent ans, deux siècles de massacres, d'horreurs et ignominies en faisant partie de l'ordre du clan Aurelius, en étant un des descendant de cette terrible famille ce clan, cette tribu de vampires, le fléau de l'Europe et de l'humanité, les plus célèbres de la déontologie, et de la communauté vampirique ; qu'Angel avait commis lui-même des crimes atroces, abominable, avant la malédiction de l'âme et des années après l'avoir subi, ce n'était qu'en 1996, qu'il arrêta ses méfaits, même quelques années avant, auparavant, une dizaines d'années d'avant et tout cela resta un mystère. Jenny était reconnaissante et pouvait donner une heureuse et merveilleuse bénédiction de cette relation future amoureuse pour Buffy envers Angel, pour ces deux êtres, mais c'était loin très loin d'être aussi simple, et Jenny ne pouvait laisser cela arrivait ; Angel était peut être convenable, pouvait être un homme bien, un être pur pour l'instant, qui était l'âme sœur pour Buffy, celui et celle pour qui ils feraient tout l'un pour l'autre, mais c'était loin d'être aussi simple et l'esprit déterminant, sombre et puissant de Jenny lui disait qu'ils ne pouvaient être ensemble et que cela ne pourrait se finir jamais bien, jamais…
Il devait y avoir une raison, et c'était Buffy, sans doute… Il avait en réalité fait le vœu de la protéger, c'était et ce sera en réalité la volonté et le souhait fait pour le meilleure et pour le pire des ancêtres bohémiens et des pouvoirs en place pour que cet homme, ce vampire obtienne une rédemption ; Un monde les séparerait, les séparera, cependant toujours. Angel est un vampire, qui fut maudit par les Gitans. Il a une âme et essaye de trouver la rédemption pour ses péchés passés.
Jenny pris sa décision, après avoir réussi d'une voix tremblante, étouffer à se contrôler et à réussir à soutenir le son de sa voix dans une parfaite égalité, en prenant des profondes inspirations et expirations par le nez, en respirant, la respiration de la poitrine, prenant tout son courage de sa vie qu'elle a vécu, en parlant à Rupert, qu'elle était septique et toujours effrayée qu'Angel soit un vampire…
Mais Giles l'arrêta, la stoppant, essayant de la calmer, de l'apaiser tentant de la rassurer et lui faire cessait ses peurs, ses angoisses et doute, de part il pensait que peut être sans aucun doute, Jenny était encore effrayée, doutait et pouvait montrer de l'hostilité mais en grande partie de la réserve, raideur, et de la méfiance qui pouvait apparaitre contre son gré, il en était sûr car jamais Jenny ne serait méfiante envers aucune créature vivante, elle était si généreuse et aimante remplis d'amour… Mais cependant il se posait des questions, il savait que Jenny avait l'esprit ouvert, et il lui arrivait de douter qu'elle s'adapte au monde des créatures de la nuit, mais en pensant que cela ferait, serait trop pour elle à supporter, de plus de toute évidence, il est aussi, également, eu des doutes, était septique, et méfiant en étant sur ses gardes faces à Angel incluant leur groupe…
Sur quoi, Jenny lui répondit qu'il avait raison… Mais essayait de ne point le montrer et le cachant en ne disant rien, le gardant dans ses pensées, elle pensait qu'il avait en partie tort, et ne voulait pas se l'admettre car, cela faisait partie d'elle et voulait reniée et contredire ce qu'elle était ce qu'on lui avait appris, enseignée depuis sa naissance…
Jenny continua ses pensées, ses réflexions, se demandant si Angel pourrait éventuellement ou si à tout hasard pouvait revenir mauvais, cruel et diabolique. Peut-être craignait-elle qu'il redevienne une potentielle menace, si jamais il changeait comme elle avait pu le voir, il fallait tout de même rester un minimum sur ses, leurs gardes, ne pas tenir sa bonté et gentillesse pour acquis ; la jeune femme, avait peur que l'on puisse découvrir son secret, craignait que la malédiction transmise, jeter sur Angélus, l'un des plus vicieux vampires que le monde n'est jamais eu, qu'elle disparaisse, que ce sortilège, cette magie noire n'était pas aussi que l'âme qui l'a pu recevoir n'est peut-être pas aussi permanente comme on pourrait l'espérer... Mais Jenny secoua vite cette pensée atroce, horrible de sa tête, qui était de toute manière et de toute évidence absurde.
Jenny se demanda ce qu'il s'était passé entre Angel et Buffy pendant son séjour au côté de la jeune fille pendant deux semaines, dans cette grande ville qu'était Los Angeles, dans cette ville où la propre sœur de Jenny avait vécu, Nolwenn et où sa famille d'adoption, sa famille, son mari et sa fille vivaient... La jeune femme s'imaginait, que, durant le tout début de son séjour, avant d'arriver en ville, il avait pris soin de trouver, une maison abandonnée où un appartement, pour pouvoir séjourner et passer un paisible moment ; il avait au préalable repéré la maison de Hank Summers, et où Buffy y vivrait pendant l'été pour pouvoir ainsi veiller sur elle, lui rendre visite, l'observer et la voir, tant qu'il voudrait et qu'elle voudrait qu'Angel soit à ses côtés...
C'était la nuit qu'Angel allait rejoindre Buffy, et qu'à son tour elle sortait en cachette de sa chambre, pour retrouver le vampire. En se glissant par la fenêtre, l'enjambant ; Passer par-dessus un obstacle, le franchir en étendant la jambe : elle enjamba la fenêtre. Pour pouvoir passer quelques heures à se promener dans les rues de la ville dans des quartiers tranquilles avec Angel, main dans la main, la nuit pour éviter le soleil ainsi la lumière du jour. Buffy, à sa plus grande tragédie et son plus grand regret, ne pourrait jamais profiter de cette chance, de ce moment de bonheur avec Angel, elle ne pouvait être que dans l'ombre, le noir était son destin avec un cadeau, si elle continuait... Elle profiterait de faire, de réaliser une patrouille rapide dans quelques cimetières, à son plus grand regret, assombrissent ses vacances avec Angel... Souvent, le jeune homme viendrait la voir à sa fenêtre s'embrassant pour se souhaiter bonne nuit... Allant s'acheter des glaces, ou passant du temps dans le refuge d'Angel…
Jenny ressentait de la culpabilité en sentant, en s'apercevant, qu'elle avait failli à sa mission, à son destin depuis le début des vacances, elle avait manqué à son devoir en ne surveillant plus Angel, en ne l'observant plus, ne faisait plus de rapport et si Rupert ne lui avait pas parlé de Buffy ni de sa relation avec le vampire, elle n'aurait plus eu le moindre souvenir de sa mission première, elle aurait complètement et totalement tout abandonné et n'aurait plus donné de signes de surveillance, et donner des signes de vie à Enyos et Ileana. Jenny devait se reprendre et vite et connaitre plus de ce qui s'était passé entre Buffy et Angel et ne pas se fier à son imagination, à des suppositions, spéculations de ce qu'elle pourrait voir chez ces deux êtres, bien que Rupert lui confirmât ses pensées, à son plus grand regret, Jenny avait raison... Son oncle serait tellement déçu et furieux contre sa nièce.
Giles, sans se rendre compte de la détresse de son amie, il changea de sujets, en évoquant qu'il avait aperçu et vu, pu discuter avec Willow il n'y a pas longtemps, lui demandant de ses nouvelles... Des dires de Rupert, Jenny ne put que hocher la tête alors que tandis, pendant qu'un nœud dans sa gorge et son estomac commençait et s'était formé, et ne faisait que renforcer en s'accentuant, en l'étouffant peu à peu, elle ignora les larmes qui étaient en train de naitre dans ses yeux et voulaient sortir.
Jenny prit la main de Rupert dans la sienne, enroulant, liant ses doigts contre les siens leurs paumes chaudes contre l'une contre l'autre, se réconfortant, ils marchèrent ensemble dans le parc, elle lui sourit doucement et discrètement, voulant lui faire passer de la chaleur, du réconfort, et du courage, Jenny ne voulait pas qu'il voit sa tristesse, et son désespoir face à l'ombre d'Angel sur elle et la menace à nouveau de sa mission, et ainsi qu'elle lui montre qu'elle était heureuse et qu'il n'y avait aucune ombre à l'horizon pour, durant cette journée, et qu'il n'y aurait rien à s'inquiéter…
Ils marchèrent ensemble, discutèrent, parlant de leurs temps qui les avaient laissé séparer l'un de l'autre ; ce qu'ils avaient ressenti lors de leur séparation, quand ils pensent chacun l'un à l'autre, et des cœurs ; Jenny sentit sa poitrine, son corps réagir violement, vibrer, et se sentit mal alors qu'elle réalisait l'étendu de cette passion et ce besoin physique, son corps pouvait réagir à elle. Jenny se sentait éreintée, sans force devant l'impétuosité de Rupert... Elle n'avait jamais eu à lutter contre quelqu'un comme lui. Quelqu'un de profondément bon, quelqu'un à l'apparence douce, tendre, qui pouvait être gentleman, mais qui cachait sous lui un feu ardent, un feu de passion et désir charnel. Au contact de son corps dur contre le sien, elle retrouvera instantanément le besoin profond qu'il avait fait naître dans sa chair depuis le premier jour.
Ressentait-elle ce qu'il ressentait ? Ressentir de l'attirance physique d'amour, charnel, de ressentir et savoir, en connaissance, connaitre une relation physique et rencontrant apprivoisant des débuts d'un voyage de l'amour, de l'amitié profonde entre un homme et une femme, entre deux personnes qui s'aiment et s'apprécient. Giles pensait et continuait de parler, d'évoquer ce qu'il ressentait et pouvait ressentir, et ses aveux provoquèrent des feux, de la chaleur, un commencement un début d'appétit charnel, de promesse qui pouvait apporter de l'attirance qui y avait eu visiblement et en toute honnêteté dès l'instant de leur rencontre, qui pouvait être de la haine ou une attraction qui les attirait inlassablement, irrévocablement telle des papillons de nuit vers une flamme les ensorcellent, les envoûtant ; Jenny avait les joues en feu, ne s'attendant nullement à tout cela, voulant rejeter tout entièrement cette conversation, fuir, fuir, et surtout lui-même, lui d'elle, il fallait qu'elle prenne une décision.
Jenny ne se serait jamais attendue, n'aurait jamais espéré qu'il n'y ait qu'elle qui ait envie de cela, qui ressente en cela en tout cela, la jeune femme eut les joues brulantes des nuances, de tâches roses se rependirent sur ses joues et ses pommettes qu'elle sentit la température augmenter ainsi que les battements accélérer, réguliers, erratique du cœur, le rythme cardiaque de son cœur qui tambourinait et la faisait chavirer, son corps tremblant et ayant de l'effet sur sa chaleur et la sueur, le centre même de son intimité tremblait et était trempé de son désir ; son excitation montait, et essayait au minimum de se calmer ainsi que de le cacher grâce à la suite de son apprentissage du contrôle de son corps et de sa respiration ; Jenny n'a jamais voulu que cela arrive, ou l'avait espéré mais jamais un rêve comme celui-ci n'avais pu être réel ou simplement envisagé, car cela demeurait impossible, cela ne pouvait que se terminer qu'en désastre, c'était la partie la plus pessimiste et la plus sombre de Jenny, elle n'aurait jamais envisagé espérer que les sentiments de désirs féroces lui être rendu, et surtout de cette manière, de cette façon, dans ces circonstances et tout de suite et par Rupert Giles, surtout pas après leur début dramatique... Elle ne pouvait continuer comme cela, à trembler intérieurement, ainsi, les larmes menaçant de tomber, se forment à l'intérieur des yeux, voilés d'émotions mais le cachant magnifiquement et remarquablement bien ;
Quand elle pensa comment, elle pouvait faire l'amour, réaliser faire le véritable amour, le faire, il lui a fait l'amour avec son cœur et son esprit, en s'imaginant ses lèvres contre elle, partout tout à la fois sur son corps chaque partie de chair de son corps et de son intimité, et sur ses propres lèvres ; c'était tout ce que Jenny s'était dit, pour commencer. Faire l'amour, l'amour comme on s'aime soit même comme on aime et adore l'autre, Rupert la faisait vibrer comme jamais, comme nul autre avant lui, la faisait se sentir si bien, si aimée d'un bien-être, d'un confort et d'une sécurité emblématique, mais craignant de répéter, de reproduire ce qui se passait avec ses autres amants, de n'avoir jamais véritablement désiré et chérir pour ce qu'elle était, qu'aucun homme la garde et la rejette après lui avoir donné son corps, son âme et sa sécurité à un homme, d'une version horrifique de la scène traditionnelle ou un homme ne rappelle plus la femme avec qui il vient de faire l'amour, La perte de la virginité de Jenny intervient après une histoire d'amour plus forte que tout entre les deux êtres, deux âmes sœurs... En faisant l'amour avec lui, Jenny l'a donc transformé en démon sanguinaire et sans cœur. Qui, bien évidemment, va passer le reste à la torturer ; ils s'aiment mais ne peuvent pas être ensemble. A aucun prix. Sous peine de déclencher de grandes catastrophes. En attendant, Jenny souffrira, et le garçon qui l'aimait, avant l'acte, ne l'aime plus après même si ce n'est pas de sa faute, le raccourci sera fait... L'Amour fusionnel est impossible, et perdre sa virginité, c'est dangereux. Et ne l'aimera plus voulant simplement la manipulée, et rentrer dans sa culotte.
Elle était fascinée par l'ardeur animale de ses traits, et offrir ses lèvres étaient un pêché si ardent si passionnel et envoutant, tentant, qu'elle y succombait, et tandis qu'il la dévorait, glissant une main sous sa nuque dans une poigne presque douloureuse, elle sentit un grand froid descendre sur son cœur, alors que dans son ventre, serré contre le sexe tendu et puissant de Rupert, leurs bassins se poussant l'un vers l'autre, se pressant, se durcissant, Rupert avait une telle envie d'elle qu'il songea follement à la prendre là, là dès à présent dans l'air de l'été, sous le soleil au parc. Sa fougue était irrationnelle et il se força à l'étreindre avec plus de retenue. Mais, soudé à son corps si souple et tendre, sa verge frottant le creux de ses hanches, il ne cherchait qu'à plonger sa langue dans son intimité avec une ferveur grandissante. Il glisserait une main voluptueusement jusqu'au creux de ses reins, caressa l'arrondi de ses fesses, et leur baiser se fit torride. Ce fut lui pourtant qui abandonna la douceur de la bouche de Jenny, alors qu'ils respireraient tous deux en haletant, leurs fronts pressés l'un contre l'autre, front contre front.
Giles ne pouvait lui demander des choses impossibles, il est attiré par elle et ne pouvait le nier et surtout la renier et ne pouvait cesser de la voir. Il pouvait croire, et surtout penser avec exactitude que tout était clair entre eux, Giles avait envie d'elle, et Jenny avait véritablement avec une grande lumière envie de lui. Elle accueillit ses mots avec soulagement et regret. Elle savait à qui elle avait affaire, elle n'attendait rien... Pourquoi être si aveugle à ce point ? Lorsqu'un homme et une femme qui sont attirés l'un par l'autre cherchent à se retrouver, n'est-ce pas ? Elle le rendait fou, incapable de penser correctement et avec rationalité, rendant incapable de penser au mieux, il lui demandait de rester avec lui au moins le plus tôt possible et longtemps aussi longtemps que bien ; c'était son corps qu'il voulait, qu'il désirait Croyait-elle qu'il n'aurait plus envi d'elle, une fois qu'il la reverrait ou penserait à elle ? Croyait-elle qu'elle puisse lui mentir en affirmant qu'elle veut que des relations de travail entre eux ?
Giles réfléchit un long moment alors qu'il plongea son long regard profond vert dans ceux de Jenny, dans ses yeux noirs. Elle reçut son chuchotement comme une caresse, et des ondes de bien-être se répandirent le long de son dos, dans sa poitrine. Il glissa son corps contre le sien, et aussitôt les pointes de ses seins se dressèrent contre la dentelle de son soutien-gorge, alors qu'il enroulait sa taille d'un bras ferme. Elle poussa un gémissement et la réponse de William fut immédiate. Il plaqua ses hanches contre les siennes, la pression soudaine de son sexe en érection la grisa. Ses yeux assombris étaient si lourds de besoin qu'elle se sentit devenir moite de désir.
Jenny haleta de crainte, et presque avec une pointe d'horreur et nervosité, en criant le nom de Rupert, en signe d'avertissement et de mise en garde qu'il ne devait pas franchir cette ligne de non-retour, sauvait ce qu'il pouvait ; ses propres lèvres pleines représentaient la tentation la plus douce. Elle passa ses doigts autour de son cou, s'abandonnant, et pressa une jambe sur sa cuisse dure. D'une main il lui saisit la nuque et captura les lèvres humides dans un baiser si dévorant et intense qu'elle perdit l'équilibre, mais réussi à garder ses jambes tremblantes sous contrôle et droite. Mais il la maintenait avec férocité contre lui, broyant sa taille, resserrant l'emprise qu'il gardait sur le bas de son cou, les doigts entremêlés dans ses mèches de soie.
Au premier contact de sa langue, Jenny chavira. Elle eut la très vague impression que les néons de son esprit des faibles lumières dansaient devant ses yeux et l'intérieur de sa tête se mettaient à tournoyer au-dessus d'elle et elle ferma les yeux. En chaque point où son corps touchait celui de Rupert, elle brûlait. Il frottait son sexe durci contre son ventre, passait fiévreusement sa main gauche le long de son dos, sous la veste noire, et son autre main se faisait plus douce, son pouce caressant l'espace de son cou, sous son oreille. Depuis quand n'avait-elle pas été emportée par un simple baiser ?
Il redressa la tête le temps de leur laisser reprendre leur souffle. Puis à nouveau ses lèvres furent sur les siennes, léchant, mordillant, pénétrant la cavité chaude et palpitante de sa bouche entrouverte. Il força encore l'ouverture, et gémit de plaisir quand elle s'offrit à ses assauts. Elle s'arracha de son étreinte, mais leurs corps demeurèrent soudés. Elle ouvrait des grands yeux et il vint déposer un baiser sur sa tempe, dans son cou.
" Mon Dieu, que vous êtes belle ... " murmura-t-il, le front contre son front. Chuchotant ardemment en s'immobilisant et d'une voix rauque, comme s'il avait du mal à parler.
Jenny rougit violement, se retournant brusquement, chaque musques de son dos et ses épaules étaient nouées et tendues, elle tourna brièvement son visage, ses yeux attrapent à peine son épaule, murmurant que rien de ceci ne s'était passé, et qu'il ne pouvait y avoir rien entre eux. Et Jenny le supplia de la comprendre et qu'elle avait peur, des peurs très personnelles et venant du plus profond de son passé.
Rupert n'incitera jamais, ni ne poussera Jenny là où elle ne voulait pas aller, il ne comprenait que trop bien les lourds secrets du passé, il comprenait et avec une grande modestie, d'humble et d'effacement et d'un grand respect pour cette jeune femme si douce, si pure telle un ange de bonté, refusant de souiller son innocence avec ses ténèbres, bien que cela avait été son côté obscur, son côté Ripper qui avait pris les dessus lors de sa passion ses révélations, sa confession et ses aveux face à cette femme ; mais Jenny avait très bien pu être un ange déchu attendant, espérant et voulant à tout prix gouter et posséder au pêché de chair, au pêché défendu, attendu d'être envolé et imprégné de cela son côté sombre ne pouvait que l'emporter... lui demanda de lui pardonner, oh combien il était désolé de son comportement impardonnable, honteux, scandaleux.
"Jenny, je vous demande pardon."
Et elle la fait... Elle le fait toujours. Bien sûr qu'elle le fait, et le fera, et la fait et le fera à jamais, accorder son pardon, que l'on obtienne miséricorde, que l'on a commis le pire pêché qui soit, et les pires atrocités, elle le donnera toujours... Accorder son pardon à l'autre faisait et était une partie d'elle. Être désolé, se sentir excusé, n'était pas une chose simple. Mais était d'accord avec la jeune femme pour ne plus évoquer ce qui s'était passé, ni leur faim et leur désir et la passion naissante réciproque pour l'un et l'autre ; Jenny ne voulait plus évoquer l'accident, ni n'entendre parler et l'évoquer et y faire surtout allusion. Et, il en sera toujours d'accord, comme un parfait gentleman, comme une personne, un être humain qui voulait toujours faire passer le besoin et les envies, la consentante d'une jeune femme, sans et cessant et ne voulant pas être obscène et pervers, et un sale homme dont la morale était totalement bafouée…
Giles proposa à Jenny de partir se promener, dans un parc, où la verdure était particulièrement abondante ainsi que les arbres étaient nombreusement peuplés, et peut-être aller en forêt et finir par le lac de Sunnydale ; partir à la place, la plage leur parurent un endroit magnifiquement et particulièrement intéressant, surtout en particulièrement en fin d'après-midi pour assister au coucher du soleil…
Giles lui proposa de prendre sa voiture, qu'il avait gardée, garée près du portail du parc ; la faisant rentrer, pénétrer à l'intérieur et claquer la portière, lui faisant signe de monter, et la faisant s'attacher, accrocher sa ceinture de sécurité. En demandant à Jenny, lui demandant ce qu'elle voulait, souhaitait faire.
En ne disant, ne répondant pas, Jenny accepta de se laisser guider, en se demandant ce qu'ils pourraient faire, la jeune femme répondit que ce serait une excellente idée, pensant qu'elle aimait sortir un peu de la ville.
Le mouvement de la voiture, l'air de tout début de l'après-midi, à l'aube de la seconde moitié de la journée, et la chaleur réconfortante du corps contre lequel elle était appuyée, rendait Jenny de plus en plus somnolente. Ils avaient commencé le trajet en s'asseyant décemment l'un à côté de l'autre, mais avaient fini par s'entremêler. Elle écoutait, assez joyeusement, le rythme régulier de son rythme cardiaque quand elle sentit sa poitrine trembler et entendit un grondement sourd.
Jenny leva la tête et le regarda à travers les yeux plissés.
Giles retourna son regard avec amusement, riant encore légèrement. La regardant avec tendresse, un regard, son visage légèrement sur le côté, l'observant et la regardant avec tendresse et adoration, et des yeux quelque peu moqueurs.
Jenny se défendit, tout en sachant qu'il la taquinait tout ce temps, durant tout l'échange de la conversation ; rentrant dans son jeu de mots, de taquinerie et d'espièglerie qu'elle savait reconnaitre dans des sons, des connotations de voix qu'elle reconnaissait dans les paroles et notes musicales, rendait tout ceci particulièrement attrayant, beau, romantique... Et rit avec lui.
Finalement au bout d'un instant, Giles reprit son sérieux et déclara, qu'ils pouvaient arrêter de conserver, de discuter, de babiller, car, ils étaient arrivés au parc près du bois.
Jenny regarda autour d'elle et se rendit compte que la voiture s'était effectivement arrêtée à côté d'une grande étendue de parc sombre. Le voyage, le trajet fut rapide. Giles, gara la voiture, et la stoppa en mettant son frein, coupant le moteur et lui dit d'une voix tendre comment dormir, lui ferait du bien sur elle.
La jeune femme répéta, qu'elle ne dormait point, ignorant, résolument, obstinément dans un courage, alors que son cœur se serait au combien qu'elle désire avoir sa main sur sa taille son offre d'assistance alors qu'elle descendait dès que ses pieds touchèrent le sol, Jenny sentit ses genoux fléchir sous elle et fut reconnaissante pour les mains stables de Giles sur ses épaules.
Dans cet état, et dans ce point où elle ne pouvait reculer ni nier ce qu'elle tentait de cacher, inlassablement, qu'elle dormait peut-être un peu. Mais que Giles ne devait pas profiter de sa fatigue ni de l'influencer... Continuant d'être impressionné, du côté d'observation attentionné et attentif de Rupert, mais qui pouvait venir de qualité développée et qui n'avait cessé de croitre et de continuer à naitre au fils de son apprentissage d'observateur.
La préoccupation remplaçant le sourire amusé sur son visage.
Jenny sourit en secouant la tête. Sa sieste l'avait rafraichi considérablement, alors que tandis que son corps s'était reposé et avait refroidi, tandis que ses membres et nerfs avaient cessé de bouger, et de s'agiter, et l'air frais lui ferait du bien.
Le parc était frais et doux, l'air dégageant une odeur de pin, de bois et de terre humide. Le ciel était d'un bleu profond et velouté et sans l'éclat de l'éclairage électrique ne fonctionnait nullement en plein jour, les étoiles brûlaient d'une beauté féroce. Des nuages argentés parcouraient le soleil de sorte que la scène était parfois plongée dans l'obscurité, parfois inondée de clair de lune. Mais à intervalles irréguliers dans la lumière de l'ombre des arbres, ils pouvaient voir des flammes qui parlaient de feux de camp de barbecue et entendre le bourdonnement des voix, interrompues par l'étrange éclat de rire.
Il y semblerait qu'ils ne soient pas les seuls près du bois en cet après-midi, pensant Jenny en le commentant à haute voix, rapprochant la veste de Giles autour de ses épaules. Une pensée soudaine la frappa, une pensée de peur et d'inquiétude. Pensait-il qu'il y serait en sécurité et que cela soit c'est sûr ?
Giles en fronça légèrement les sourcils. Il le pensait, lors de ses récentes recherches, lors de ses observations de l'été et de ce qui en découlait, le milieu du soliste d'été et de cette période particulièrement calme de cette saison n'amenait aucune activité démonique, durant la journée et la soirée qui précédait la nuit, jusqu'à présent il y semblerait qu'il n'y aurait pas de problème du tout, les ramifications possible des activités de l'été ; étant toujours aussi silencieuse chaque été sur les différentes bouches de l'enfer du monde, de différents pays durant cette période estivale, étant très paisiblement tranquille...
Alors, ils devaient juste rester être tranquille tout en étant sur leur garde, mais profiter de cet après-midi, de leur demi-journée en compagnie l'un de l'autre et de l'aube du début de la nuit ainsi que le reste de la soirée, devant juste tenter leur chance et rester sur leur garde.
Ce fut au tour de Jenny de froncer les sourcils. Elle ne voyait pas, où jamais Rupert comme quelqu'un qui pouvait arrêter d'étudier, faire des recherches et lire de nombreux livres et documents, elle ne l'avait presque jamais vu se reposer et se détendre, et avait dire, pour être tout à fait honnête avec elle-même, l'idée de le découvrir et de ce délecter profitant de cette vue la rendait paisible, heureuse et chaude. Et pensée tout en même temps, que la jeune femme aurait remarqué si Rupert avait caché un pieu sur sa personne.
Il lui suggéra alors avec une grande tolérance, patience et espièglerie d'essayer de voir dans ses poches, avec tolérance.
Jenny plongea ses mains dans les poches de la veste et découvrit un pieu dans l'une et ce qui ressemblait à une fiole dans l'autre. Elle a risqué de supposer que c'était de l'eau bénite et dans sa poche avant de son palan, sentit au travers du tissu un petit livret, un calepin, où était écrit des notations, des brouillons de recherches démoniaques, et autres définitions de démons, vampires et portail ultra, intra dimensionnel...
Avec espièglerie, un rire doux, et sourire en coin, lui dit combien il pouvait être paranoïaque, et si quelqu'un avait déjà pensé à lui dire.
Giles répondit avec impartibilité, qu'il resservait cette remarque, réflexion des personnes, gens tout le temps et avec une grande régularité.
L'homme était un petit malin. Un imperturbable, et inébranlable...
Il n'avait fallu que quelques instants de marche à travers l'herbe pour que Jenny se penche et enlève ses chaussures. Elle resta immobile pendant quelques instants, agitant ses orteils entre les lames humides et appréciant la sensation de terre douce et sombre sous ses pieds. Giles la regarda, admirant la façon dont le clair du soleil, les lumière fluorescente la clarté du jaune, transformait sa fine robe moulante en un ruban translucide et mettait en évidence la riche obscurité de ses cheveux.
Rupert n'avait aucune idée de combien elle était bien, à combien à quel point ça fait du bien, avait déclarer, en disant Jenny. Elle prit une profonde inspiration et étendit ses bras, cambrant son dos, avant de les laisser tomber sur ses côtés avec un soupir satisfait, ses chaussures pendantes d'une main. Elle regarda Giles et le trouva en train de la regarder. Une journée comme celle-ci, comme celle-là est trop belle pour être gâchée.
Un de ses sourires éphémères et brillants traversa son visage et il lui tendit la main en silence.
Ils ont erré dans le parc, évitant les groupes parfois bruyants qui avaient choisi de tenir leurs festivités en plein air. Tous deux étaient toujours conscients de la couverture de magie, la magie d'être ensemble, la magie de leur amour caché l'un pour l'autre, et le romantisme et la romance de l'un et l'autre, qui enveloppait leur environnement - pour Jenny, c'était devenu une légère brume qui planait sur les bords de sa conscience, plus apparente quand elle ne se concentrait pas dessus. Après un certain temps, Jenny remarqua que la même expression mélancolique qu'elle avait vue sur son visage plus tôt était revenue.
"Qu'est-ce que c'est ? qu'est-ce qu'il y a », a-t-elle demandé doucement, glissant son bras à travers le sien.
« Il n'y avait rien » avait répondu Giles. Il détourna la tête d'elle, et même dans la pénombre, elle pouvait dire qu'une rougeur lui montait sur les joues.
Il devait lui dire, avait insisté Jenny, Elle ne mordait pas, continua-t-elle en essayant d'alléger l'atmosphère en le disant d'un ton taquin, Enfin, pas grand-chose. Elle le regarda avec culpabilité et il rit.
Finalement il parla, en lui disant que mieux, moins il parlait, moins il en discutait, mieux c'était, mieux c'est... Répondit Giles, essayant de faire une légère référence à ce qu'ils avaient échangé, leurs baisers volés, plus tôt. Jenny s'arrêta, debout immobile et silencieuse, attendant qu'il parle. Son souffle se bloqua dans sa gorge tandis que son cœur s'emballait, et des larmes montaient à ses yeux alors que ses paumes devenaient moites.
Rupert continua en protestant quelque peu, se défendant inutilement alors, que croyant à tort et inutilement que Jenny essayait de le contredire et de le battre. Il voulut lui compter un souvenir d'enfant, des anecdotes de son passé, et de sa vie en Angleterre, voulant partager un peu de lui, Giles se souvenait juste quand il était enfant et que lorsque le temps clamant et doux pouvait, le temps de l'Angleterre, lui permettre de se promener dans les bois... Il y avait une histoire que Giles avait l'habitude de lire, et il y avait cet arbre énorme dedans qui menait à des mondes différents.
L'arbre lointain - The Feathered Serpent ; cette merveilleuse série de livres pour enfants comptait ; The Faraway Tree est une série de romans populaires pour enfants de l'auteur britannique Enid Blyton . Les titres de la série sont The Enchanted Wood (1939), The Magic Faraway Tree (1943), The Folk of the Faraway Tree (1946) and Up l'arbre lointain (1951)
Les histoires se déroulent dans un bois enchanté dans lequel pousse un arbre magique gigantesque - l'arbre lointain éponyme. L'arbre est si grand que ses branches les plus hautes atteignent les nuages et il est suffisamment large pour contenir de petites maisons creusées dans son tronc. Le bois et l'arbre sont découverts par trois enfants nommés Jo, Bessie et Fanny (plus tard mis à jour par Joe, Beth et Frannie), qui emménagent dans une maison à proximité. C'est alors qu'ils partent à l'aventure jusqu'au sommet de l'arbre.
Le premier titre de la trilogie principale, The Enchanted Wood, a été publié en 1939, bien que l'arbre lointain et le visage de la lune aient déjà fait une brève apparition en 1936 dans The Yellow Fairy Book. Un livre de bandes dessinées, Up the Faraway Tree, a été publié en 1951. Au fil des ans, les histoires de Faraway Tree ont été illustrées par divers artistes, dont Dorothy Wheeler, René Cloke, Janet et Anne Grahame Johnstone et Georgina Hargreaves.
Le bois enchanté
Dans le premier roman de la série, Jo, Bessie et Fanny déménagent pour vivre près d'un grand bois. Un jour, ils se promènent dans le bois et découvrent qu'il est enchanté. Au cours de leur promenade, ils tombent sur un arbre dont les branches semblent atteindre les nuages. C'est l'arbre lointain.
Lorsque les enfants escaladent l'arbre lointain, ils découvrent qu'il est habité par différentes personnes magiques, dont Moon-Face, Silky la fée, The Saucepan Man, Dame Washalot, Mr. Watzisname et le Angry Pixie. Ils se lient d'amitié avec certaines de ces personnes, en particulier Moon-Face et Silky. Tout en haut de l'arbre, ils découvrent une échelle qui les mène vers une terre magique. Cette terre est différente à chaque visite, car chaque lieu se déplace du haut de l'arbre pour faire place à une nouvelle terre. Les enfants sont libres d'aller et venir, mais ils doivent partir avant que la terre ne bouge, sinon ils resteront coincés là jusqu'à ce que cette même terre revienne à l'arbre lointain. Dans divers chapitres, l'un des enfants est coincé dans le pays.
Les terres au sommet sont parfois extrêmement désagréables - par exemple, le Pays de Dame Slap (changé en Dame Snap dans les éditions révisées), un instituteur agressif ; et parfois incroyablement agréable - notamment le pays des anniversaires, le pays des friandises, le pays de Take-What-You-Want et le pays de Do-As-You-Please.
Le premier terrain que les trois enfants visitent est le Roundabout Land, où ils donnent du gâteau à deux lapins, et les lapins creusent un trou pour eux et les trois enfants. Le dernier pays qu'ils visitent dans ce livre est le pays des anniversaires, où les brownies et les habitants de l'arbre lointain célèbrent l'anniversaire de Bessie.
L'Arbre Lointain Magique
Rick, le cousin de Joe, Beth et Frannie, vient pour rester et il rejoint les aventures secrètes dans les terres de l'Arbre Lointain. Dans les révisions ultérieures, son nom est mis à jour en Rick. Dick n'est pas intéressé au début, mais plus tard, il s'y intéresse et se met en bêtise. Ensemble, ils s'aventurent dans de nombreuses nouvelles terres et s'amusent beaucoup. Par exemple, au pays des médicaments, certaines maisons sont faites de médicaments.
Le peuple de l'arbre lointain
Connie, une fille gâtée et coincée, vient passer l'été avec les enfants pendant que sa mère, Lizzie, est malade. Au début, Connie refuse de croire en l'arbre lointain ou en les gens magiques qui y vivent, même lorsque le Pixie en colère lui jette de l'encre et que Dame Washalot la trempe. Jo, Bessie et Fanny l'emmènent sur les terres au sommet de l'arbre et Connie a quelques surprises ! La mère de The Saucepan Man décide de vivre dans l'arbre, quittant son emploi de boulanger dans le pays de Dame Slap. Elle installe une pâtisserie surprenante dans l'arbre.
Dans les réimpressions modernes, les noms de certains personnages ont été modifiés. Jo a été changé pour Joe, l'orthographe la plus courante pour les hommes, et Bessie est maintenant Beth, l'ancien nom étant tombé en désuétude comme surnom d'Elizabeth. Fanny et Dick, dont les noms portent désormais des connotations malheureuses, ont été renommés Frannie et Rick. Dame Slap est devenue Dame Snap et ne pratique plus les châtiments corporels mais réprimande ses élèves en leur criant dessus.
Des passages entiers de l'original ont été réécrits pour supprimer les références aux combats. Par exemple, lorsque l'arbre est repris par les gobelins dans Le bois enchanté, les gobelins ont été initialement combattus, avec des descriptions de M. Watzisname `` les frappant comme s'il battait des tapis '' et l'homme de la casserole lançant ses casseroles sur eux. Celles-ci ont été remplacées par des références superficielles à la « chasse ».
"L'arbre magique du lointain", l'interrompit Jenny, les yeux lumineux. "J'ai adoré ça quand j'étais petite" Jenny se souvient quand elle n'était qu'un tout petit boy, une toute petite file, un jeune enfant, se plongeant dans l'univers de ces livres et cet univers.
Une expression de soulagement se répandit sur le visage de Giles et il se détendit visiblement. « C'était la forêt que j'aimais, les arbres qui pouvaient se parler. Chaque fois que je passais devant un arbre, je me demandais… J'étais convaincu que si j'en attrapais un au bon moment, ou si j'écoutais assez fort, je les entendrais.
Les yeux de Jenny étaient des flaques sombres, leurs profondeurs illisibles. Sa tête était inclinée d'un côté et elle le regarda pendant quelques instants, puis se détourna lentement en même temps, étendant une main jusqu'à ce que ses doigts touchent l'arbre le plus proche.
"Il a l'air amical, doux, tendre, et serein en ma présence", remarqua-t-elle en caressant doucement l'écorce satinée. Elle se dirigea vers lui, puis enroula ses bras fins autour du tronc et pressa son oreille contre celui-ci. Ses yeux sombres se focalisèrent sur Giles et elle sourit.
"Rien", dit-elle tristement. « Il est peut-être amical, mais je ne pense pas qu'il m'aime, je ne dois pas être si bien que ce qu'il y parait, ni envoyer des ondes leur convenant"
Giles était transpercé, buvant à la vue. Au clair de la lumière du jour sa peau brillait d'un argent pâle et ses cheveux avaient la couleur de la nuit. Avec ses bras enroulés autour du tronc courbé de l'arbre, elle ressemblait à une nymphe des bois. Ne pouvant croire que cette jeune femme, cette jeune créature se dénigrait, ainsi si inexorablement, et n'avait pas conscience d'elle-même de telle qualité.
Comment pourrait-il la laisser partir ? pensa-t-il désespérément et sentit une soudaine panique monter dans sa poitrine.
Jenny sembla sentir ses pensées : elle traversa la distance entre elles et jeta ses bras autour de son cou, sa veste glissant de ses épaules, et l'embrassa, sans se rendre compte de ces gestes, et ses actions. Il avait à peine répondu à ses caresses quand elle s'était éloignée de lui.
'Attrapez-moi si vous peux !' dit-elle, les yeux pétillants de malice. Elle a décollé, courant légèrement sur l'herbe. Giles la fixa pendant un moment, puis la suivit, l'angoisse momentanée bannie un peu plus longtemps. Il pouvait entendre son rire et sa voix résonner dans l'air de la nuit, le pressant de la rattraper. Quand il le fit, finalement, riant à bout de souffle, il la prit dans ses bras, les faisant tourner tous les deux. Ils s'arrêtèrent vertigineux, se regardant. Jenny caressa le côté de son visage, elle ne croyait pas qu'ils s'étaient encore arrivés à ce point-là, comment pouvait-ils répondre à une telle attraction à un tel aimant.
"Avez-vous froid", demanda Jenny tout bas, ne voulant rompre cette connexion, ni le lien naissant... Et souhaitant chercher et trouver quelque chose à dire.
'Non. Je vais bien, en fait."
La jeune femme se dégagea alors de ses bras, en balbutiant quelque chose, sur le fait de voulant se rendre à la plage dès à présent... Giles acquiesça, en hochant la tête, il tendit la main en enroulant ses doigts contre le poignet de Jenny, et la conduisit, la ramena, l'accompagna vers la voiture, où ils s'installèrent pour se rendre en direction du lac…
Le soleil allait bientôt se coucher, quitter le ciel du jour, et Giles avait toujours voulut voir le coucher du soleil au sud de la Californie. La plage lui a paru un endroit si intéressant, si paisible, lumineux en cet fin de journée et romantique pour cette fin de soleil couchant. Agréable.
La route était déserte. Personne n'allait évidemment vers la côte en fin de journée en ce début de Juillet, bien qu'en apercevant l'horizon où elle commença à apercevoir le sable, l'herbe et les arbres du lac, elle vit le soleil commençant à disparaitre en ce presque fin d'après-midi, le soleil se couchant. Elle frissonna et mit les bras autour d'elle –même. L'homme le remarqua en l'observant, tournant sa tête quelque peu vers elle.
"Il y a une petite couverture sur le siège arrière."
"Je n'en ai pas besoin." Répondit la jeune femme d'un ton soudainement dur, et beaucoup trop de suite, après lui avoir dit la remarque.
Il haussa les épaules. Il n'avait pas l'air de craindre le froid. Ce qui n'était pas étonnant, si elle songeait que le climat californien devait lui paraître d'une douceur extrême en comparaison avec le temps anglais. Une fois de plus, un silence étrange s'installa entre eux.
Elle regarda le paysage. Le ciel était d'une pureté éblouissante, et des teintes orangées se répandaient à l'ouest. Plus vite qu'elle ne s'y attendait, ils arrivaient, et il vint garer la voiture si brusquement que les pneus crissèrent sur le sable répandu sur la chaussée, beaucoup plus brusquement qu'il aurait souhaité, voulu, rempli d'émotion de se savoir en sa présence. Devant eux, le lac de Sunnydale se déployait, impressionnant, grondant, proche de la ville mais en même temps si loin dans la campagne de l'Etat le plus chaud des Etats-Unis.
Le soleil avait atteint la ligne de l'horizon et ressemblait à un personnage qui hésite à plonger sa tête dans l'eau. Avant qu'elle ait pu réagir, Rupert était sorti et venait ouvrir la porte de son côté, la saisissant par la main, pour l'aider, la guidant à sortir en sortant de son siège. Trop stupéfaite, elle se laissa entraîner sur la plage où il partait en courant.
Elle cria, dès que ses pieds, touchèrent le sable, en se plaignant de ses chaussures, la gênant, la mettant mal à l'aise et dans une mauvaise position à cause des grains de sable, les particules du sol de la terre se rependant dans ses sandales. Jenny cria après Rupert.
Celui-ci lui répondit en criant par-dessus son épaule d'un ton si détendues, si enjouer de les enlever. Aucun des deux ne remarqua que d'autres familles les observaient. Elle retira ses petites sandales, les laissant, les jetant dans le sable chaud de Juillet et sous le soleil, en riant, les laissant sur place. Le vent emmêlait ses cheveux et il admira sa silhouette dessinée par le vêtement qui se plaquait à son corps voluptueux. Arrivés à la lisière de l'eau, il se tourna vers elle. Lui avouant, lui faisant une profonde confession sur l'un de ses secrets et ce qu'il était :
Cela faisait longtemps, très longtemps avant même qu'il commence ses études universitaires ni les études pour être observateur, des études si particulièrement pour devenir un membre du conseil et un spécialiste du monde surnaturel, démoniaque, qu'il n'avait pas vu le soleil se coucher, l'océan surtout celui du Pacifique -celui-là, il ne l'avait jamais vu, l'océan- il n'avait pu plus assister à un coucher de soleil devant une étendue d'eau. Et regarder le soleil s'y fondre a toujours été un rêve qu'il voulait réaliser.
Elle leva son visage vers lui. Il avait les yeux aussi bleus que le ciel, et cela lui donna envie de pleurer. Une rafale plus violente la fit vaciller et une vague vint caresser ses pieds nus. Elle poussa un petit cri et bondit en arrière. Il eut une expression d'une tendresse si profonde qu'elle baissa la tête. Alors il vint se placer à ses côtés, presque son corps en position en angle de derrière elle, et l'entoura d'un de ses bras, croisés autour de sa taille. Mais il n'y avait rien d'équivoque dans ce geste. C'était seulement un geste de protection contre le froid. Et elle le laissa faire, grisée par la chaleur immédiate qui se propageait dans ses membres au contact du torse, du flan dure, puissant de Rupert contre son dos, et de l'étreinte chaleureuse de son bras.
La mer prenait des teintes bleu nuit, et le soleil perdait de sa force aveuglante en commençant sa descente inexorable. Ce spectacle d'une grande beauté les captivait, mais Buffy était aussi troublée par la vision flamboyante que par le souffle tiède de la respiration de Rupert dans sur sa joue venant effleurer, se nicher et trouver refuge contre son cou, et derrière sa nuque. La réalité de ce qu'elle était en train de vivre la frappa comme une vague d'eau froide. Le soleil ne se devinait plus que par une petite auréole vibrante de lumière. Elle s'éloigna de lui vivement, retrouvant son esprit, chassant la brume qui était apparue de son esprit, ne voulant pas y rester, ne voulant pas profiter de ce moment de pure bonheur sachant qu'elle n'y avait pas le droit, sachant que c'était trop, trop puissant, cette force de leur corps de l'énergie mystique d'eux, du désir croissant de leur deux êtres, elle pouvait sentir sa vulnérabilité faire surface et se sentir de plus en plus exposé devant la force de l'être masculin qu'était Rupert, Elle s'écarta légèrement et leva vers lui de grands yeux incertains, brillants, mais où il vit flamber un désir pur. Repoussa impatiemment une mèche de cheveux qui se collait sur sa joue.
"Merci," dit-elle doucement. "J'ai apprécié. J'ai ..." Elle s'arrêta, se mordilla la lèvre inférieure, et murmura sans le regarder...
"Il fait presque nuit. Nous devons rentrer. Il y aura le feu d'artifice, nous, nous devons trouver un restaurant avant..."
Giles voulut la retenir, la supplier, lui parler d'une voix douce la faisant rester "Jenny..."
Il tendit un bras hésitant, mais elle se détourna et repartit vers la route à une allure vive, comme si elle était poursuivie, comme si un danger, le getter, l'attendais. Elle allait parvenir à la voiture quand il la rattrapa et saisit un de ses bras. Elle tressaillit.
" Nous aurions, nous aurions pu, pu rester encore un petit moment. Avec la couverture, vous n'auriez pas eu froid."
Jenny l'avertie, le sermonna, et lui répéta au combien cela servirait-il de se voiler la face ainsi...
Il serra les mâchoires, la bouche, les yeux de douleur, et ouvrit la portière du côté conducteur. La saisissant par la taille, il la fit asseoir. Elle avait frémit en sentant ses mains puissantes, mais douce à la fois autour d'elle, mais le contact fut si bref qu'elle n'eut pas le temps d'émettre un son. Quand elle fut assise en face de lui, il s'agenouilla.
Demanda-t-elle d'un ton si brusque, brusque, que faisait-il.
Il lui murmura alors, si elle ne pouvait en n'émettant pas d'objection ni mettant aucun doute, et aucun sens à la réplique, ni aux mots de conversation, de le laisser l'aider à remettre ses chaussures.
Elle soupira. Il tendit la main et, délicatement, prit les sandales d'un violet Lila éclatant, s'ajustant et étant parfaitement assortie à sa robe, les examina avec un sourire. Elles étaient petites, si petites, pensa-t-il avec attendrissement. Et enveloppaient parfaitement les pieds délicieux de Jenny. Quand il recueillit son pied gauche entre ses mains tièdes, elle devint parfaitement immobile. Mais il se contenta d'arranger les lacets autour de la cheville et lui remit le pied par terre.
Il fit de même pour la seconde chaussure. Et à l'instant où il l'enveloppait de ses yeux touchants, elle paniqua. Elle se faufila sur son propre siège avant qu'il n'ait pu émettre aucun commentaire, n'y réponse à leur geste. Mais quand il prit place à ses côtés, il se pencha aussitôt vers elle, une main sur son ventre.
Jenny cria de scandales et d'indignation son nom. Rupert !
Sa paume, à travers la finesse du tissu de sa robe, la brûlait. Et ce geste était d'une intimité si troublante. Elle désirait son contact et en avait peur. Son corps entier était tendu comme un arc, palpitant. Elle, tentant de repousser sa main. Mais il la fit simplement glisser au creux de sa taille, et dans le même temps, se pencha vers son cou.
Il l'emprisonna complètement dans ses bras. Elle lutta doucement, en silence. Et quand il saisit sa nuque avec force, mais sans lui faire mal, elle s'abandonna. Il trouva sa bouche dans un baiser qui ressemblait à un coup. Une douleur brutale vrilla la poitrine de Jenny, et sous l'assaut de ses lèvres dures et douces, elle eut l'impression que son sang battait furieusement à ses tempes. Mais elle gardait la bouche fermée. Et il léchait doucement les lèvres, mordillait. Il détacha ses lèvres, de sa bouche, les effleurant contre sa peau jusqu'au pavillon de son oreille, lui chuchotant des mots tendre, sensuelle et érotique, que Jenny n'aurait jamais pensées, oser, entendre la propre bouche de Giles, l'encourageant, la conduisant la menant dans une intimité qu'elle n'aurait jamais imaginer...
Elle sentait sa cuisse ferme contre la sienne. Ses mains possessives autour de son cou et dans son dos, et son parfum qui la rendait pliable. Dans le sursaut de protestation qui l'avait fait ouvrir la bouche, il en profita et reprit ses lèvres, entrouvertes, écartant avec sa bouche, faisant aussitôt pénétrer sa langue pour une tendre exploration.
Jenny se détendit d'un seul coup devant l'invasion tiède, langoureuse. Une lente flamme parcourut ses seins, son ventre, sa féminité. Elle sentit qu'il faisait passer sa main gauche de sa nuque à sa poitrine. Modelant un sein si doucement. Avec ferveur.
Elle avait cessé de se débattre, et, les paumes à plat sur la poitrine de Rupert, elle devinait les vibrations de son cœur. Elle gémit. Il ne l'embrassait pas, il la goûtait, la dévorant, l'embrassant avec tendresse, érotisme, intimité, amour, voulant la toucher, l'explorée et la découvrir... Et lui aussi gémissait.
Mais en voulant plus en la suppliant lui parlant, la faisant revenir à la réalité la faisant réaliser de sa voix, de sa masculinité, de son dévouement, qu'elle sentit la réalité revenir et aussi ce qui se passait, la situation... Elle se rejeta contre la portière comme un animal aux abois. Le repoussa brutalement alors qu'il la dévorait avec des yeux interloqués.
Comment avait-il pu faire cela ? Pensa-t-elle, comment avait-il pu la bafouer, la déshonorer d'une manière quelle qu'il soit, en action et geste, pourquoi gâcher et briser la confiance qui avait réussi à avoir l'un pour l'autre, et qu'elle lui avait donnée ; Jenny avait pensée, que Rupert avait simplement voulu la voir passait un moment avec elle, passait la fin d'après-midi à partager un simple instant devant un coucher de soleil des plus chaud et lumineux... Elle qui avait eu de désir, un besoin intime, sexuel et romantique de lui, sa confiance en elle gâchait toujours tout, toutes ses relations potentiellement bonnes et acceptables, il avait voulu la gouter, l'embrasser, la sentir contre lui et son corps solide et dure. Elle pensait, elle pensait... Jenny ne savait pas, ne savait plus ce qu'elle pensait.
Non, elle ne le pensait pas. Lui disant pourquoi, il l'avait emmenée ici, il avait planifié ensemble cette journée, Et pourquoi nous, nous étions là. Croyait-elle vraiment, véritablement, et pensait qu'il pouvait résister à la goûter ? » Croyait-elle vraiment cela. Non, bien sûr que non, elle pouvait être une tentatrice et très désirable et une femme au combien innocence, un homme bon et calme mature voudrait la protéger et lui faire vivre et découvrir ce monde de sensualité et d'érotisme.
Mais il n'y avait rien de possible entre eux. Bien qu'au combien elle le souhaiterait et voudrait s'en convaincre. Croyant avoir été claire dans son esprit, bien qu'elle pût en douter à d'autres moments.
Elle tira violemment sur sa ceinture de sécurité, la mit en place.
Mais ce n'était pas l'avis de Rupert, il voudrait la voir, la revoir encore et encore, passer énormément de temps en la compagnie de cette jeune femme. Sa voix avait pris des intonations aiguës. Elle tremblait, avait froid, chaud. Ses bras viennent s'enrouler autour d'elle-même, contre son corps et sa taille fine.
N'avait-elle pas eu envie de ses baisers ? Giles s'avait reconnaitre l'effet qu'il avait sur elle, qu'il produisait chez une femme qui le désirait et désirable. Jenny avait eu envie de sa bouche. C'était du désir et uniquement du désir, elle le désirait et il la désirait. Lui aussi il le désirait. Giles n'avait rien depuis longtemps, depuis ses années de jeune adulte totalement aux extrémités rebelles, de son surnom Ripper, désiré d'autre. Et il voulait davantage l'embrasser, la toucher, et la garder contre soi, contre lui.
Il se cala dans son siège, les épaules rentrées. Il mit le contact et la voiture bondit en avant. Malgré cette conversation qui était apparue, qui survenait sans que Jenny n'eût pu l'arrêter ni contrôler et se dire comment ils avaient pu en arriver là, elle trouva la force et le courage dans une voix cassée et faible, qu'ils devaient revenir en ville, et manger dans un restaurant, et arriver à temps pour observer le feu d'artifice...
L'homme acquiesça tout simplement vaincu et totalement anéanti, perdant, en serrant sa mâchoire serrée et tendue, stressante, contractée et raide, en voulant au mieux réussir à faire donner une bonne impression à Jenny et à la conforter et lui donner tout ce qu'elle désirait, même si cela signifiait être loin d'elle…
Quand les choses, quand-est-ce que les choses avaient-elles commencées à devenir si mauvaises et si tendues entre eux ? Lorsque les choses, leurs idéaux, leurs opinions et sentiments avaient-ils créés un gouffre infranchissable jusqu'à maintenant et avant longtemps entre eux, parmi au sein de leur relation ? C'était il n'y a pas si longtemps, pas il y a des mois ou depuis quelques semaines, mais en effet venu en cette journée en ce début d'après-midi...
Ils avaient réussi à trouver un restaurant pour pouvoir ainsi se nourrir et pour ainsi finir une journée dans un lieu autre que le plein air, et plus intime, familial et convivial, pour mener à l'agréable de la soirée ; ce repas fut tendu et rempli d'air éclectique et des plus vibrants. Sous les lumières artificielles de ce début de nuit, faisant un éclairage des plus intimes mais des plus chauds, de façon désagréable et presque inconvenante selon le jugement de Jenny, qui était tout de très mauvaise humeur ; mais rendait une atmosphère et une lumière lumineuse chaude de chaleur positive…
Le feu d'artifice fut proche d'un pont, dans le même parc au même lieu où Jenny avait commencé cette journée avec Susan et ses amies et voisins, près d'un pont et étang ; spectacle pyrotechnique, fait de pièces lumineuses explosant en plein air. Sous le ciel de milieu de nuit, de onze heures du soir, où minuit serai bientôt présent et laisserai la place à un nouveau jour du mois... Le ciel d'une couleur habituellement sombre fut illuminé par quelques millions d'étincelles de couleurs variées qui explosèrent au-dessus de nos yeux dans un bruit assourdissant. Les explosions s'enchaînèrent tout en laissant des marques dans le ciel, comme des cicatrices, pour nous rappeler qu'elles ont été là et qu'elles nous ont donné un spectacle grandiose. Est-ce que chacune des personnes autour de moi retournait en enfance comme je le faisais ? Les yeux des enfants pétillaient, eux portés dans les bras de leurs parents, visionnant le bouquet final qui recouvrit une grande partie du ciel, si bien que nous dûmes tourner la tête des deux côtés pour profiter de ces explosions magiques dans leur intégralité. Une multitude d'étincelles brilla pour la dernière fois et les voix des familles autour s'élevèrent pour témoigner leur ressenti à travers des cris de joies et des applaudissements qui avaient certainement rendu leurs paumes de mains rouges. Minuit sonna, et un millier de voix vociféra "un Bon jour de fête Nationale de l'Independence Day -jour de l'indépendance- !" dans une ambiance festive et émouvante. De commémoration...
Lorsqu'elle éclatait en corolles d'étoiles scintillantes et multicolores, que les milliers d'éclats redescendaient en pluie sur l'eau du lac, personne n'avait pas le temps de les voir s'éteindre qu'une nouvelle flèche s'élançait vers le ciel, conquérante et promise à la même destinée…
C'était le premier feu d'artifice pour de certains nombreux enfants.
Cela faisait maintenant dix minutes que la nuit étant tombée, les artificiers avaient déclenché le spectacle. Cela faisait donc dix minutes que Julien se demandait comment, les étoiles qui normalement brillent dans le ciel, pouvaient se trouver sur le sol et se propulser vers le haut…
Lorsque, avant de partir, elle avait demandé à ses parents ce qu'était un feu d'artifice, ils lui avaient répondu que c'était un très joli spectacle avec plein de couleurs dans le ciel. Il fallait attendre pour cela qu'il fasse nuit. Il ne savait donc pas vraiment à quoi s'attendre, par manque de précisions.
Mais elle fut vite captivée. Il assistait à un évènement grandiose, une sorte de miracle qu'elle ne pouvait pas imaginer, et il se posait beaucoup de questions.
Où avait-on trouvé toutes ces étoiles ? Les avait-on récoltées dans le ciel ? Etaient-elles tombées ? Les avait-on ramassées pour les relancer dans le ciel ? Apparemment cela ne fonctionnait pas puisqu'elles retombaient toutes après avoir tenté de s'élever et qu'elles s'éteignaient en touchant le sol…
En attendant de pouvoir poser, interroger ses parents, Jenny ne perdait pas une miette du spectacle.
Toutes ces couleurs ! Le ciel illuminé ! L'eau, dans laquelle elles se reflétaient ! Ces éclats dans toutes les directions ! Ces bruits de tonnerre ! Voilà qu'au bord du lac, des fontaines de lumières se mirent à déverser à leur tour des milliers de fines particules brillantes. Blanches, vertes, bleues, roses, tout cela mélangé ! Et ça coulait comme de la pluie concentrée ! Mais de la pluie brillante, lumineuse, et tout ça, rien que pour ses yeux !
Voyant les spectateurs applaudir, il les imita en souriant franchement et en frappant le plus fort et le plus vite possible sur ses petites mains.
Traversant son esprit, un morceau de musique que jouait son père au piano se mit à danser dans sa tête, mélangeant ses accords aux paillettes éclairant la nuit. Les doigts de son papa glissaient sur le clavier à toute vitesse de gauche à droite et de droite à gauche comme pour tenter de suivre les millions de petites lumières qui, à peine nées, disparaissaient, laissant la place à d'autres, aussi belles que les précédentes. Exactement comme les notes de musiques s'égrenant sur le clavier…
Jenny frissonna de plaisir et saisit la main de Rupert, près de lui.
Tout d'un coup, des tourbillons de feu se déclenchèrent sur la place. Une image s'imposa à elle. Il revit soudain, le cirque de la fois d'avant, et le tigre, le magnifique félin qui traversait le cercle de feu… Jenny avait aimait pour le tigre. Il n'avait pas aimé du tout. Il avait même souhaité que le tigre refuse de sauter dans le feu et attaque le vilain bonhomme avec son fouet.
Mais ici, pas de tigre, pas de vilain monsieur... Et pas de flammes non plus ! On aurait dit la ronde folle d'une myriade de petits points lumineux. Comme des lucioles par milliers, endiablées, affolées, qui se seraient poursuivies sans pouvoir parvenir à se rattraper.
Certaines tournaient dans un sens, d'autres, en sens contraire. C'était si joli à voir, mais un peu angoissant quand même… Il n'aimait pas l'idée de ces petites bêtes effrayées et paniquées.
Jenny s'efforça de penser à autre chose mais n'y parvint pas. Heureusement cela ne dura pas. Les fusées recommencèrent à filer en sifflant vers les nuages. Cette fois, elle voulut suivre la descente des étoiles mortes jusqu'à ce qu'elles touchent l'eau du lac.
Ils entendirent les petits grésillements lorsqu'elles se posaient, comme un petit soupir étouffé, comme si elles étaient désolées d'avoir manqué leur but. Il leur dit en pensée que ce n'était pas grave, qu'il avait bien vu qu'elles avaient fait tout leur possible, et qu'elles ne devaient pas s'en vouloir.
Mais il savait bien qu'elles ne l'entendaient pas… Deux grands coups de tonnerre ébranlèrent soudain le ciel. Tout le monde se leva de l'herbe du parc et applaudit.
Jenny se dit que ce fut le plus beau moment en décida-t-elle, inoubliable de sa journée et de son existence pour l'instant, enfin de sa journée malgré le fait qu'il y eu des instants et des sensations et sentiments qu'elle ne pu oublier…
Plus tard, bien plus tard dans la nuit dans son lit, Jenny, sous ses paupières fermées, le drap relevé sur le menton, revivait le feu d'artifice. Elle préférait presque ses souvenirs à la réalité. Elle savait qu'elle reverrait ces images de nombreuses fois, comme d'habitude, quand quelque chose le fascinait….
Après ce milieu de nuit particulièrement festive, rempli de lumière de musique, de rire et de bruit de conversations, il hocha la tête, saisissant sa main légèrement comme il la guidait à travers la foule, et les différentes familles. De retour à l'endroit où Jenny se tenait, près de l'endroit où la jeune femme se trouvait il la rencontra avec un sourire timide. Marchant à côté d'elle, il a laissé sa main gauche se brosser la main droite, avant de la saisir doucement. La tête baissée, il la regarda du coin de l'œil, souriant parce qu'il se sentait comme un adolescent dans un semblant d'amour.
Incertain, étourdi, nerveux... désir. Il a dégrisé à la dernière partie, et regarda son profil comme ils ont fait leur chemin à l'extérieur du club. Il rétrécit les yeux, voyant presque à travers elle comme il contemplait son intention réelle. Qu'est-ce qu'elle lui a fait ressentir ?
Jenny a gardé les yeux jetés sur le trottoir comme ils marchaient du club vers sa voiture, sentant les yeux de Rupert sur elle, mais pas prête à briser le moment en regardant vers le haut et en rencontrant son regard.
Les mains doucement jointes, elle se sentait à nouveau aussi étourdie qu'une adolescente. Incertaine de l'endroit où les choses allaient, ne sachant pas ce que son cœur et sa tête essayaient de lui dire... et en essayant de ne pas laisser son corps et ses hormones prendre les devants.
Quand ils ont atteint sa voiture, elle a fait sortir ses clés de sa veste.
"Merci de m'avoir fait sortir." En regardant vers le haut, elle a fait un visage. "Je viens de ... ne se serait pas vraiment senti en sécurité encore, marcher par moi-même."
Giles sentit une aire pure s'installer et prendre vie dans ses poumons devant l'aveu de Jenny, cet aveu si pur et si vrai, qui le réchauffa et le fit se sentir mieux devant sa gentillesse malgré ses gestes passées" Et pourtant, vous vous sentez étrangement à l'aise avec seulement un bibliothécaire pour vous protéger."
"Hé, dit-elle en riant, tu étais plutôt bonne avec cette hache." Après un battement, elle a ajouté, plus doux, "Vous savez, jusqu'à ce que cette créature un peu ... coups de pied dans le cul..."
« Oui, eh bien... » Son sourire timide a fait s'élargir le sien alors qu'il traînait.
Pendant un long moment, ils se regardaient, essayant de déchiffrer qui ressentait quoi et à quel point. Enfin, Jenny soupira, se tournant pour déverrouiller sa porte. "Eh bien ! Je suppose que l'on ferait mieux d'y aller.
« Oui, c'est vrai. Oui. Comme je le devrais... Allons-y.."
A l'intérieur de la voiture, la jeune sentit tous ses sentiments renaitre, revivre, et chaque pensée précédente revint, Jenny a gardé les yeux jetés sur le trottoir, les yeux rivées sur les bâtiments, maisons de la petite ville, comme ils roulèrent aux côtés des clubs vers sa voiture, sentant les yeux de Rupert sur elle, mais pas prêt à briser le moment en regardant vers le haut et en rencontrant son regard.
Les mains doucement jointes, elle se sentait à nouveau aussi étourdie qu'une adolescente. Incertain de l'endroit où les choses allaient, ne sachant pas ce que son cœur et sa tête essayaient de lui dire... et en essayant de ne pas laisser son corps et ses hormones prendre les devants... En arrivant devant son allée de sa maison, son jardin, Elle a ouvert la porte de sa voiture, a commencé à entrer, puis s'est arrêtée. Se retournant, elle sourit.
" Bonne nuit, Rupert."
Elle s'avançait avec un câlin en même temps qu'il a tendu la main pour une secousse. Ils se sont arrêtés à mi-chemin et rirent, maladroitement réajuster. Jenny s'est déplacée pour lui serrer la main, et cette fois il s'est déplacé pour l'embrasser, et encore une fois ils se sont arrêtés. Jenny se mit à rire, couvrant son visage avec sa main brièvement. « Oh, wow. Longue nuit." Son rire était doux, presque un bourdonnement faible.
"En effet."
Provisoirement, elle a collé sa main à nouveau, souriant quand il l'a serré chaudement dans une secousse. Instantanément, on lui rappela le jour où ils se rencontraient - leur poignée de main dans la bibliothèque, et s'émerveillait du chemin parcouru en si peu de temps.
" Bonne nuit, murmura-t-elle, et sur une impulsion, elle se pensa pour rapidement, doucement, paître ses lèvres contre les sienne, étincelles volantes entre eux.
"Bonne nuit", murmura-t-il en arrière, contre eux. Le ventre qui flottait, elle a commencé à s'éloigner, les mains sur la poitrine. C'est alors que les étincelles apparemment allumé une flamme que ses lèvres ont soudainement donné la chasse, affirmant la pression de lèvres pendait comme ses mains ont volé autour de sa taille. Et comme ses lèvres abasourdies ont commencé à répondre avec impatience, son sac à main et ses clés ont frappé le trottoir.
Il s'est forcé à la craie jusqu'à la solitude, l'adrénaline et la peur des vies presque perdues. Ce contact - dont il s'est menti, déclarant mentalement que n'importe qui aurait pu prendre sa place – était ce dont il avait besoin comme une sorte de fermeture. Alors qu'il pendait sur sa lèvre inférieure, sa main glissa sur son bras, coupant le côté de son cou, la tirant grossièrement contre sa bouche. Son autre main se déplaça plus haut sur sa taille, le pouce frottant doucement le dessous de sa poitrine comme il a continué à se pousser contre son corps. Il sourit contre ses lèvres comme elle haletait, sa langue le prenant comme une invitation au goût. Il les a déplacés tous les deux sur le côté, la pressant contre la portière de son véhicule, appuyant sur son corps contre la voiture. Il glissa sa jambe entre les siennes, appuyant sur son genou contre l'intérieur de sa cuisse, les Ying légèrement à part, voulant sentir tout son corps appuyé contre le sien.
La situation était en spirale hors de contrôle, mais sa chaleur l'a forcé dans un état presque euphorique, addictif par nature, le laissant respirer dur pour plus.
La tête de Jenny nageait et j'avais l'impression que tout son corps vibrait avec la force, la passion de son baiser. Ses mains erraient sur sa forme avec une expertise qu'elle n'aurait jamais imaginé qu'il possédait, les doigts mémorisant ses courbes comme s'il stockait l'information pour une période ultérieure.
Elle laissa ses propres mains faire un peu d'errance de leurs propres, jusqu'à sa poitrine avec l'un et l'autre marchant jusqu'à sa cravate, directement au nœud du nord et sud à son
cou. Doucement, elle lui a donné un remorqueur et déboutonné quelques-uns de ses boutons de chemise, se faufilant sa main à l'intérieur. Sa peau était chaude au toucher, presque la brûlant, comme il a continué à appuyer sur sa forme tonique contre elle, la sensation de sa longueur contre sa hanche lui faisant gémir.
Il a pris cela comme une invitation à approfondir le baiser plus loin, une main coupant l'arrière de sa tête maintenant comme il buvait d'elle, la drainant de chaque souffle, chaque pensée.
Cela devenait hors de contrôle et elle le savait, mais était impuissante à s'arrêter.
L'adrénaline, l'expérience de la mort imminente, la danse lente, conspiraient tous contre elle et la dépouillent de ses inhibitions.
Elle mordit sur sa lèvre inférieure à peu près, savourant dans son gémissement que ses mains glissent sur sa poitrine, accrochant dans la ceinture de son pantalon comme elle l'a tiré plus étroitement contre elle.
À la sensation de ses doigts taquiner leur chemin au-delà de la ceinture de son pantalon, il inconsciemment résisté, a déjoué et à rué ses hanches, appuyant sur son excitation contre son noyau. Les gémissements mutuellement que leurs bouches se sont séparées bruyamment.
Il respirait contre la peau de son cou, embrassant et suçant la zone tendre jusqu'à ce qu'elle meurtrie.
La main sur sa taille a glissé vers le bas, coupant son muscle de cuisse et le serrant avant de glisser autour, saisissant ses fesses et la poussant contre lui.
Il ne pouvait pas penser. Il ne voulait pas réfléchir. Tout ce qu'il voulait, c'était ressentir.
Le cou de Jenny battait là où ses lèvres l'avaient marquée, la marque comme la sœur. L'exposition crue et animaliste a déchiré le reste de ses inhibitions, et comme il saisit ses fesses et la pressa contre son excitation, elle sauta dans l'action. D'une main, elle serra son biceps. L'autre, ses cheveux justes derrière son oreille. Puis, elle se penchait tout en le tirant vers le bas, et verrouillé ses lèvres sur son cou, feuilletant la zone sensible avec sa langue avant de fermer ses lèvres autour d'elle complètement, sucer la peau jusqu'à ce qu'il tourne une nuance agréable de pourpre.
Quand elle recula, un sourire méchant dansa sur ses lèvres alors qu'elle haussa les épaules, essuya sa lèvre inférieure et expliqua avec coquinerie : "Correspondant aux tatouages."
Ses yeux flashé quelque chose de primal à elle, et avant qu'elle ne le sache, elle a été pressée dur, durement et fortement contre la voiture à nouveau, ses mains saisissant sa jupe, le bouquet de la matière douce et de commencer à le tirer vers le haut.
Jenny réussi à voir clairement autour de sa brume infernale de désire et d'amour, et voulu tellement mieux qu'une voiture, être presser contre la carrosserie d'une ferraille, et décida sur ses pensées de luxure de l'invité à l'intérieur de chez elle, et lui prit la main pour le guider...
Il respirait un gémissement alors qu'il la sentait glisser sa jambe vers le haut, la pressant le long de l'extérieur de sa cuisse, pendant tout ce temps, il n'eut pas le temps de pouvoir observer son salon, n'eut pas la chance d'admirer la demeure où vivait la femme occupant ses pensées, ni ne put admirer et savourer l'instant ; jusqu'à ce qu'elle accrochât son talon derrière son genou. Sa bouche a retrouvé la sœur, et il a meurtri ses lèvres contre, la langue traçant ses lèvres et maintenant facilement se faufiler devant ses défenses.
"Nous devons nous arrêter, murmura-t-il avec d'un ton bourru, roque, enroué, les mots grossiers sur le souffle haletant. "Nous ne sommes pas... nous ne sommes pas dans le bon état d'esprit. Sa bouche glissa dans sa mâchoire, traçant des baisers humides le long de son cou et juste derrière son oreille, causant son corps à spasme contre le sien. "C'est faux... » Il saisit son haut, la couture de ses manches près du col, le poussant vers le bas, exposant une épaule avant que sa bouche n'y réclame la peau. "Si mal sanglant", respira-t-il, son autre main serrant encore ses fesses alors qu'il se frotté contre elle.
Ce qui était un euphémisme alors qu'il voulait temps avoir pu la dévorer et l'explorer, et pouvoir la découvrir, mais il voulait pouvoir avec la chance lui donner une chance de s'échapper et d'accepter ou refuser.
"Je sais, respira Jenny, la voix pratiquement partie pendant que ses lèvres et sa langue jouaient leur chemin sur son épaule. Elle a ouvert quelques boutons de plus sur sa chemise, ratisser ses ongles sur sa poitrine. « Nous ne pensons pas clairement... Mais je ne veux pas arrêter, je ne le souhaite pas... je... je veux ça"
"Non, nous ne le sommes pas." Sa main a dérivé sous sa jupe, cherchant trouvant, fouillant jusqu'à sa cuisse intérieure tandis que l'autre a quitté ses fesses, traînant son dos et sous ses cheveux, saisissant le clip de griffe qui l'a maintenu en place et l'arracher presque sauvagement.
Elle a crié comme son cou a été forcé de revenir en arrière, sa langue trouvant le point d'impulsion sous sa mâchoire tandis que ses doigts trébuchaient de plus en plus haut jusqu'à sa cuisse intérieure. « C'est de sortir de la main ... » Mais elle le saisit encore plus serrée, ses propres mains errant de nouveau à la ceinture de son pantalon, taquiner l'abdomen tendu en dessous.
Tandis qu'il poussa son genou entre les cuisses tremblantes et lisses de Jenny... Son corps pressant sur son sofa, Rupert au-dessus d'elle pressée contre son corps mince et frêle ; l'homme avait pris appuis sur ses avant-bras, puis se redressa à peine et prit appui sur ses avant-bras, de part et d'autre de Jenny. Elle mit ses mains autour de sa nuque et ses jambes autour de sa taille, il n'y avait, n'y exister de position plus intime...
La seule chose qu'il a enregistré était l'extrémité arrière de ses derniers chuchotements, quelque chose à voir avec une main, et le fait que ses doigts étaient maintenant si doucement caresser la peau juste sous son nombril. De mauvaises pensées s'infiltraient facilement dans son esprit, et il se sentait durci comme sa bouche pendait pour la sienne, la tête inclinée comme il a forcé sa langue profondément à l'intérieur de sa bouche. Ce n'est que lorsque sa main a atteint la chair chauffée et très nue de ses fesses que la réalité l'a frappé fort.
Il s'est tiré brusquement d'elle, roulant sur le côté et appuyé contre la voiture, respirant lourdement. « Je ... Mon Dieu, je suis tellement désolé, respira-t-il en se brossant la main dans les cheveux. Il ferma les yeux, prêt son cœur à cesser de battre pour jeûner, tout en permettant à son esprit de commettre la sensation, le goût et l'odeur à la mémoire. Une tranche pécheresse du Ciel, songea-t-il.
Il savait combien, elle détester cela, et il en avait encore profiter, profiter d'elle de sa confiance passée en lui, il avait failli souiller son innocence et sa pureté devant son esprit sale et dégoutant... Mais il fut interrompu, de ses pensées par la voix douce de Jenny.
"Je ne le suis pas, respira-t-elle avec un sourire en le regardant. « J'aime les lanières... Les ténèbres, je me sens attiré par eux, de façon inexplicable." En voyant un autre flash primal dans ses yeux, elle a atteint et l'a attrapé par le revers, le traînant jusqu'à ce que son corps pressât le sien contre elle, le faisant assoir à ses côtés à nouveau. Son excitation a rencontré son centre alors qu'ils reliaient le bassin au bassin, et elle gémit, faisant pencher la tête contre le dossier de son canapé et fermant les yeux alors qu'elle se força à respirer profondément.
Il gémit comme son corps claqué contre le sien, son excitation appuyant sur son noyau presque douloureusement. « Nous devrions vraiment ... devrait s'arrêter... » Il murmura, appuyant sur son front contre son épaule. Il embrassa le creux de son cou, le nez, ses narines respirant son parfum et sa peau comme ses bras enroulés autour de sa taille.
"Cela... nous..." Il l'a insufflée, se perdant dans son parfum. "Nous sommes tous les deux sentiments, sensation, impression adrénaline coursing à travers nous. Aussi, nous avions failli faire des choses regrettable et stupide aujourd'hui, je... je vous ai entrainé délibérément, vraiment, quand vous... pensez-y ... » Il riait nerveusement. Appuyant ses mains contre ses épaules, il a repoussé d'elle, en prenant un peu de recul sûr. « Ce que j'essaie de dire, c'est que ... nous ne devrions pas faire quelque chose que nous regretterons tous les deux plus tard. Il baissa le regard, ses lèvres se serrant dans un sourire embarrassé. « Ne voudriez-vous pas penser être maladroit au cours de notre euh réunion du corps professoral, oui ?"
Il leva les yeux, la peur et l'espoir, la luxure et l'affection montrant dans ses yeux. Il savait que son regard était vulnérable, mais il savait aussi qu'il ne pouvait pas le cacher. « C'est vrai ? »
Quand ses bras avaient jumelé leur chemin autour de sa taille, Jenny a essayé de s'accrocher à ce sentiment, sachant que tout ce qui se passait entre eux ici a été de tirer à sa fin. Elle rentrerait à la maison très frustrée, très excitée, et très seule. Elle utiliserait entièrement le robinet d'eau froide dans sa douche ce soir, pour essayer d'extraire le besoin et désir de luxure, d'érotisme. Comme il balbutiait son chemin autour d'une explication pour expliquer pourquoi ils devraient s'arrêter, elle a essayé de lire le regard dans ses yeux. La luxure était encore très présente, tout comme l'affection... et peut-être juste un peu de nervosité. Ses paroles sur les regrets coincés dans sa tête, jouer sur une boucle sans fin, la narguer.
"vraiment ?" Avec son cœur glissant rapidement dans la direction de ses pieds, Jenny ouvrit la bouche pour dire quelque chose, la ferma quand aucun mot ne vint, et finit par hocher la tête. " Regret. Bien. Ouais, ça aurait été une énorme erreur. Mais je n'en ai pas !... »
Elle a essayé d'ignorer le regard sur son visage, se concentrant plutôt sur sa propre blessure, comme elle se pencha pour ramasser son sac à main et les clés du trottoir. "Eh bien, donc je devrais aller, alors. Je vais, euh... » Elle a avalé la bosse dans sa gorge. "Je vous verrai aux réunions du personnel de fin d'année la semaine prochaine. »
Mais comme elle montait dans sa voiture, il a commencé, et a tenté de ne pas reconnaître le fait qu'il la regardait aller, Jenny savait ... Elle n'avait pas l'intention d'aller à ces réunions...
Les choses, les évènements s'étaient si vite retournait et avaient changer de position si vite que personne pas même ne s'en étaient rendue compte, c'était tellement noir et gris, Rupert voulait la désirer tellement qu'elle était prête à tout pour le repousser, et puis à présent elle se sentait prête, oh oui prête et lui dit cela avec tellement de passion et d'envie, de besoin et fougue qu'elle ne se contrôlait plus ni même ne se reconnu ; elle le désirait et était prête en quelque sorte à se donner à lui à offrir son corps et son amour mais voilà qu'il ne voulait plus, ni n'accepter, pensant que ce serait mieux ainsi et qu'elle ne le méritait pas et qu'elle m'étirait mieux qu'un tapis un sol froid et canapé, pour une première fois...
Il avait des secrets... des secrets sombres et douleur, douloureux, il ne voulait pas partager et surtout qu'elle ne découvre jamais, un lourd passé, un passé sombre et triste... des secrets, Jenny, des choses que Rupert ne pense pas que, il ne serai jamais en mesure de lui dire. Un silence glacial et de mort, s'embla envahir la pièce et y pénétra comme un glaive.
Le non sequitur a fait clignoter et elle a trouvé la respiration a été soudainement difficile. D'où venait sa voix, elle sonnait si profondément. L'air était lourd. Des endroits sombres. Il les avait emmenés dans des endroits sombres. Des endroits où elle aussi cachait les choses de la lumière du jour.
Tout le monde a des secrets, lui doit le savoir ! Et qu'est-ce qui lui était propre ? Il avait été presque un homme avant même sa naissance et était déjà des années dans une vie qui serait passé entouré par la mort et la destruction. Une vie passée autant dans l'ombre que les vampires que lui et Buffy chassaient. La colère involontaire l'enveloppait. Qu'est-ce qu'un gaspillage ! Jenny ne peut pas... ne sera pas être juste une soupape de sécurité pour lui...
Mais elle ne pouvait pas comprendre bien sûr que non, elle était loin de la vérité, loin de s'imaginer ce qu'il avait fait et pu vivre, dire...
Et le savait, proclama avec force et férocité... Tout le monde à des secrets, dont elle plus ou moins noirs ; mais elle osait le dire qu'ils pouvaient être aussi noirs que les siens... L'obscurité saignait la colère. Il a balayé à travers lui geler chaque muscle à son tour de sorte que quand il a essayé de parler, il a été à travers les dents serrées.
" Jenny... Mlle Calendar...", il employa ce ton, ce nom pour pouvoir et être capable de mettre une distance acceptable entre eux et lui faire ainsi ressentir que tout d'émoi et indice, et luxure était finit entre eux… Pour l'instant… Il se dirigea vers sa porte, plaçant une main sur la surface fraîche de sa fenêtre. Se penchant vers le bas à la taille, il regarda, se sentant mal par sa réaction. Il avait clairement été blessé dans ses yeux, et il se sentait absolument terrible d'être la cause. La dernière chose qu'il voulait, c'était qu'elle soit blessée. Il a attendu jusqu'à ce qu'elle se calme et puisse l'approcher sans risque et danger et pouvoir l'apaiser et la calmer, avant de se pencher légèrement, les doigts enveloppant autour de ses poignets, d'elle
"Hem, je voulais juste m'excuser. Je n'avais pas l'intention de le laisser aller aussi loin - je ne voulais pas vous embarrasser, ou vous mettre en colère..." Il s'arrêta, avalant dur. "Ou vous blesser de toute... de cette façon."
Il a pris une grande respiration, sourcils sillonnés d'inquiétude.
" Je euh .je voulais juste m'assurer que nous étions... d'accord... Et que nous irions bien et notre relation n'en repentira pas, en souffrir" Le dernier a été dit, chuchoté doux, presque transmettre des sentiments qu'il ne voulait pas révéler.
"Oui, bien sûr, Rupert. Nous sommes cools." Dit-t-elle avec une voix que la jeune femme se voulut légère mais à l'intérieur au plus profond d'elle-même, elle souffrait et était effondré et anéanti. Il a pris du recul, notant la façon dont elle n'a même pas essayé de masquer son mensonge flagrant. Tête tombée à sa poitrine, il hocha la tête solennellement. « Oui, c'est vrai. Je suppose que nous sommes. Il murmura, son soupir noyé par le bruit de sa voiture s'éloignant.
Il y resta quelque temps à l'intérieur du moins, regardant l'endroit exact où il s'était senti humain à nouveau. Où il avait ressenti l'amour et le désir et la sexualité et un corps contre le sien. Un corps avec la bonne douceur et la bonne force. Un corps avec la bonne quantité de courbes qui l'ont raillé à un blush. Il a fait quelques pas en avant, maintenant debout à cet endroit, cette maison. Cet endroit où il se sentait et comprenait ce dont il avait besoin. Il a finalement tourné, regardant dans la direction où sa voiture avait disparu, hors de vue.
Jenny a essayé et n'a pas réussi à garder sa lèvre inférieure de frémir tout le chemin menant à sa chambre les larmes débordant ses yeux jusqu'à ce qu'ils étaient si pleins qu'elle pouvait à peine voir où elle allait.
En tirant dans son allée, quand elle le vit partir, en rentrant elle courut presque jusqu'à sa chambre, et s'y blottit pour se sentir en sécurité, haletant un sanglot qui voulait éclater. D'accord.
Bien. Ouais, bien sûr qu'ils vont bien. Ils ont failli avoir des relations sexuelles à l'intérieur de chez elle, ce qu'il aurait évidemment regretté, et il s'en est tiré sans vouloir l'embarrasser.
Parce qu'il ne ressentait pas la même chose ? C'était comme s'il l'avait fait... Bien sûr que si il l'avait désirait pendant toute la journée, et avait pu ressentir la preuve de son excitation On peut imaginer certains regards dans les yeux d'une personne ou une inflexion vocale mal lus, mais... il n'y a aucune preuve physique d'excitation.
Une fois à l'intérieur de sa maison, elle avait jeté une fois seule avec colère son sac à main sur le canapé comme un sanglot éclata de ses lèvres. Elle ferma les yeux, serrant une larme de chacun tandis qu'elle appuyait sur le dos d'une main tremblante à ses lèvres. Non, ce n'est pas le cas. Elle ne pleurerait pas là-dessus. Au-dessus de lui. Si elle n'était rien de plus qu'une erreur pour lui, il ne vaudrait certainement pas un bon cri…
Dans la même soirée, lors de l'instant où il l'avait quittée en s'éloignant d'elle et de sa maison, de sa chaleur, de son corps, dès lors où il était parti dans sa voiture pour rentrer chez lui dans sa demeure il le regretta, et se sentit impuissant et honteux, lorsque Giles fut rentré chez lui, à son appartement, dans sa maison, Giles était assis dans sa chaise bien usée, un verre de scotch tenu lâchement entre son majeur et son pouce. Sa gorge brûla, comme il leva son quatrième verre à ses lèvres. Il se mit à rire tristement, se rendant compte que sa consommation excessive d'alcool en raison de chagrin d'amour n'avait pas pris fin dans son adolescence.
Appuyé contre son fauteuil, il regarda à l'extérieur de la fenêtre pendant que son esprit rejouait leur rencontre. Il soupira : pendant les deux dernières heures, le scotch mouillerait son palais comme son esprit rejouait chaque sentiment, chaque émotion, chaque touche... chaque baiser.
Il a terminé le reste du scotch, plaçant le verre soigneusement sur la petite table d'extrémité à sa gauche. Il a serré ses lèvres, se demandant ce qu'il pouvait faire pour faire les choses à nouveau.
A l'inverse de cela de ce qui pouvait bien se passer dans les pensées dans l'apparentement de Rupert Giles, à l'autre bout, à l'opposé de sa maison, dans une petite rue d'un quartier presque banlieue de Sunnydale les mêmes pensées à l'opposé de celles de Giles faisaient rage et front en menant une bataille perdue dans l'esprit de Jenny ; le lendemain matin même à l'aube après du jour National, de beau matin alors que le soleil commençait à poindre à l'horizon et à pâlir et illuminé le ciel, Susan ne cessait de penser, réfléchir et laisser ses réflexions vers sa protégée, Jenny, et son éventuel potentiel amant, Rupert Giles... Elle s'inquiétait et se poser sans arrêt des questions sur ce qui s'était passé entre les deux êtres depuis la toute dernière fois où elles les avaient vues en cette fin de matinée, où ils avaient disparu de son champ de vision ; le temps s'écoulait de la journée à la suivante, de la soirée à la nuit jusqu'en début de l'aube de la matinée, les minutes, les heures suivirent, passèrent dans un calme paisible pour Susan croyant que tout se passait bien, mais plus ou moins inquiétant...
Se demandant ce qui pouvait se passer ou être dit, et la femme étant très curieuse, soucieuse et se posant des questions, voulait tout faire pour garder en sécurité, la jeune femme et la protéger et tout faire pour son bien-être... S'inquiétant et s'enquit de ce qui s'était passé le jour précédent, avait pu se passer, durant la nuit Susan y pensait, en rêvait presque… Elle avait donc décidé de prendre en compte, en l'appelant, en appelant Jenny, et se tenir au courant…
La sonnerie du téléphone retentissait d'une façon inquiétante durant de longues secondes, avec plusieurs totalités et minutes, Susan pressant le combiné du téléphone contre son oreille, ses jointures et phalanges se resserraient autour, et devinrent blanche, s'inquiétant de la longueur de l'attente à laquelle Jenny ne répondait pas... Puis après, un long moment, il y eu comme tel un déclic, le bruit d'un téléphone se soulevant d'un socle, et des bruits de fond, après qu'une voix inquiète et petite encore ensommeillée réponde... La vérité était que la jeune femme n'avait pas voulu, souhaité répondre, craignant, redoutant tout en espérant que ce soit Rupert, mais ne voulant pas être confrontée à la veille ni à son amie, elle avait donc laissé en attendant, le prolongement du bruit du téléphone ; le regardant avec crainte et regret, les nerfs à vifs, déglutissant avec dureté, difficilement une boule tel un rocher apparaissant se formant et se logeant dans le fond de sa gorge ; à cette sensation les larmes lui montant au yeux... Regrettant cette nuit, regrettant tout de la veille, elle aurait tant et voulu avec ardeur que le temps se fige et reste à jamais dans ses minutes, dans les bras de son amant...
En avalant sa salive et prenant un courage tel qu'elle n'en avait jamais eu auparavant, une force qu'elle croyait perdue, lui était enlevée et qu'elle avait l'impression de trop puiser et que son énergie fut vidée, qu'elle eut décrocher et parla avec Susan ; d'une manière ou d'une autre savoir que c'était la femme, en entendant et reconnaissant sa voix, Jenny en fut soulagée et cela l'aida et surtout lui donna de l'espérance, de la vitalité...
Jenny entendit Susan s'enquérir de ses nouvelles, de sa santé, de son inquiétude mentale de l'esprit troublait ou bien au contraire comblé par le bonheur... Mais dans son plus profond intérieur dans les profondeurs de la réflexion Susan avait ressenti l'inconfort de Jenny, son mal être, sa voix tremblante et troublée, et en surtout, en cherchant à se distraire des questions, les contournant, ne voulant plus parler de conversations les questions évasives étaient bannies, envolées et exclues, les questions étaient systématiquement et catégoriquement, qui étaient cherchées à éluder en restant dans l'imprécision par Jenny...
Susan pouvait sentir chaque émotion émanant de la jeune femme, et pouvait sentir sa colère ainsi que sa reconnaissance et sa gratitude, en contradiction que la femme ait pu organiser cette rencontre fortuite entre Jenny et Giles… Ne lui en voulant pas, nullement, bien que ne le cachant pas fut une surprise pour elle…
Susan sut que tout fut un tourbillon de tempête, de déchirement de nuages gris, noirs et blancs, tout fut d'un flou incroyablement perturbant, perspicace et perdu, qui n'était qu'autre que d'un flux car tout n'était pas aussi simple aussi effrayant d'horreur et de méchanceté comme on pourrait le croire ; que tout fut chaotique, qu'il y eu du bonheur, des brins merveilleux d'heureuse, mais du malheur, des tragédies dramatiques, pleurs, et émotions, elles y avaient eu beaucoup de choses tellement d'émotions contradictoires, des découvertes nouvellement faites… Elles avaient beaucoup de choses à dire. Des choses auxquelles elle avait pensé, mais qu'elle ne disait jamais. Il était temps de les dire maintenant. Elle avait espéré remettre ça jusqu'à ce qu'elles soient face à face et se les dire en personne, en privé mais… elle supposait que s'en remettre maintenant était mieux. Au moins, elles ne pouvaient pas se permettre d'argumenter où de se parler aussi fort... Les baisers volés, les sentiments d'impuissance, les instants volés, la vulnérabilité, l'impression de ne pas faire partie du moment ; le cœur, l'âme qui n'y est plus quand Jenny pense, qu'elle ne devrait pas faire cela qu'elle n'a pas le droit d'agir, de cette façon, qu'elle ne doit pas oublier qui elle est vraiment, véritablement, et ne puisse pas s'accorder du bonheur de la joie, de l'inconscience et que l'on surveille cette jeune femme…
Devant tout cela, devant toutes ces révélations, Susan se sentit impuissante, faible, engourdie, incapable de neutraliser tout ceci toutes ces situations, et secoua la tête bien que Jenny ne puisse rien voir de là où elle était mais se l'imaginer et pouvait le voir très clairement dans sa tête et son esprit ; elle ne voulait rien entendre des arguments de Susan, elle ne voulait ni ne souhaite qu'elle la console ou la réconforte, et ce, ceci, cela, malgré les supplications, les raisonnements et la bienveillance, bientraitance de Susan, la voix craquée d'émotions de cette femme.
Finalement en soupirant Jenny lui dit, vaincue et à regret qu'elle déclara et avoua d'une voix émue, d'émotion, émotionnelle et remplie de chagrin et minuscule qu'elle avoua à son amie que la jeune femme voulu être seule, souhaite bien vouloir lui parler mais pas dans l'immédiat ; peut-être, peut-être dans la journée où le lendemain matin autour du petit-déjeuner au plus tard…
Fidèle à sa parole, à sa pensée et tout ce qu'elle a dit, ce qu'elle a pensé, et pu voir, déclarait se confiant à son amie, Susan, en pensant et se confiant tout le long d'une visite privée et intime ; finalement, devant des tasses de thé, de café et tartines grillées, pancakes et gâteaux, d'un petit-déjeuner copieux enrichissant, complet, absolument, que la jeune femme décida de se confier et profiter du cocon, de la sécurité, de la maison un avec et sanctuaire familial et temple de paix… Susan la regarda, lui sourit et avec une expression faciale qui ne montra jamais, et jamais elle ne jugea sévèrement Jenny et lui pardonner toujours tout, tous ses comportements et crises de larmes, ses sautes d'humeurs parfois en totale opposition, contradiction... Cette femme était une grande amie, une amie incomparable et véritablement véridique, et en totalité indestructible.
Elles mangèrent des macarons, des sandwichs et de nombreux fruits aux multiples saveurs, prenant l'assiette qu'il avait remplie pour elle, essayant d'abord l'un des sandwichs, du bacon, des crêpes aux myrtilles, des flocons d'avoine accompagnés de jus d'orange et des œufs brouillés... Elle ferma les yeux, son expression d'un plaisir pur et non dilué alors que ses papilles gustatives explosaient de ravissement face à l'étonnante combinaison de saveurs. En laçant deux assiettes chacune et partageant en moitiés et parts égales, rayonnant sur lui comme elle a reçu l'assiette et a commencé à manger. Les yeux fermés alors qu'elle savourait l'un des canapés tout en gémissant de joie. Combien cela était exquis... Les petits oiseaux qu'elle prononçait et la façon dont elle faisait pratiquement l'amour à sa nourriture avec sa bouche pulpeuse l'ont rendu positivement folle de désir. Elle n'avait aucune idée de ce qu'elle lui faisait de ce qu'elle pourrait avoir sur un homme était sûr, et combien elle était innocente, et naïve songea Susan. Et cela n'a fait que sa convoitise pour elle grandir au point où il est devenu jaloux de la nourriture, un homme.
En mangeant en silence, discutant se pendant souvent, assise l'une en face de l'autre ; Susan et Jenny purent profiter de la compagnie de l'autre... Mais après cette échange, ce sanctuaire, ce moment intime et harmonieux passé l'une et l'autre, durant cette entrevue, Jenny, cette jeune femme ne se sentit beaucoup moins seule, dans ses pensées, Susan se leva de table et partie ; Mais c'était sans compter, l'étonnement plus ou moins bas et élevé de Jenny, sur laquelle elle ne s'était pas le moins du monde rendue compte du départ et de l'absence de son amie, et qu'elle s'était sentie très seule avait ressentie un vide immense subitement, un vide qui dura durant plusieurs jours, et des heures, jusqu'au matin, de son anniversaire, qui eut lieu en ce début de mois, du 7 Juillet.
A l'aube de ce nouveau jour, de cette journée marquant une nouvelle année et la célébration du jour de la naissance et venue au monde de Jenny, n'était une joie et un bonheur indescriptible pour les proches de la jeune femme ainsi que sa famille, mais qui marquât à jamais les cœurs et les esprits, l'aube, l'arrivée de l'aurore lueur du matin d'un point du jour, une nouvelle année d'un nouveau début et commencement ; le soleil du nouveau jour s'infiltrant par-delà les volets et la fenêtre de la vitre ouverte laissant l'air de l'été passé et se laissant rentré dans la chambre de Jenny.
Elle sentit une douce chaleur rampée s'infiltrant dans sa peau, des picotements de plaisir sur sa chaire, ses paupières essayant de s'entre-ouvrir alors que sa tête et son esprit nageant pour se réveiller et la tirer hors de ses rêves de la nuit ; alors que les oiseaux chantaient à l'extérieur, la chaleur de l'été, leur doux chant comme une douce mélodie transportant et amenant un bien-être et la paix sur la terre et annonçant ainsi une journée des plus radieuses des plus clémentes et estivale qui soit.
Elle se tourna sur le dos, sa peau de sa main allant contre son visage et plaçant, pressant sa peau contre ses yeux encore endormis et semi-ouverts, les forants et essayant de faire disparaitre la fatigue et noyant le reste du sommeil de ses yeux et ses traits. son drap s'était enroulé autour de ses courbes du corps élancé, le bruit de la porte de sa chambre qui s'entrouvrit fit sortir Jenny de ses pensées alors qu'elle vit apparaitre, rentrer d'un pas silencieux, Bouboule, qui la regardait toujours avec son petit visage de chat étonné cette caractérisation qui était attribuée qu'à elle, et que Jenny avait appris tant à aimer et chérir ; d'un sourire doux tendre et fragile tout à la fois, elle encourageait son petit chat à venir se blottir tout contre elle, bien que Bouboule ne prenait jamais attention, et montait sur le lit de sa maîtresse à chaque occasion qui lui était présenté pour recevoir des caresses et autre attention de la part de la jeune femme.
Le félin grimpa en ronronnant doucement et affection sur le lit de Jenny, se pelotonnant dans les draps, les bras de la jeune femme dans la douce et la chaleur corporelle de cocon en coton. Elles restèrent toutes deux ainsi, ensemble sous les caresses, amour et tendresses de l'autre, profitant de ce moment d'entre dans une combinaison d'Havre de paix. Les ronronnements devinrent bientôt beaucoup plus réguliers, et frénétiques, en augmentant les intonations ainsi que la berceuse…
Après un moment, un instant, paisible de repos qui amena inexorablement et inévitablement à la détente, et ainsi qu'au plus profond en allant et poussant vers la contrée lointaine, reculée, extrême, éloignée menant à l'apaisement bien-être, calme et décompression de délassement, Jenny se redressa dans son lit, décidant qu'il était temps de se lever et s'habiller pour la journée. En se reposant, se redressant sur ses coudes, son chat dut changer à contre-cœur de position et d'angle, tout en s'arrêtant momentanément, subitement, de ronronner en laissant un silence subit levant son museau vers Jenny. La regardant d'un regard et expression curieuse, se demandant qu'elle serait son prochain mouvement.
Sortant du lit et posant ses pieds chauds sur le tapis moelleux du sol, le parquet était frais sous le poids de son corps, tandis que Jenny se redressait et descendit au salon et la cuisine ainsi se préparer un petit-déjeuner improvisé, elle n'avait en effet pas organisé de collation pour le lendemain matin, bien que la jeune femme ne prépare habituellement pas en avance ou prévoit rien de grand, sauf pour les grandes occasions ou le Week end quand elle voulait manger un petit-déjeuner copieux, savoureux avec des mets originaux, tel comme des préparations culinaires demandant l'appel de recettes simples, pour commencer sa journée spéciale...
Mais attendant, pour l'instant, maintenant, en patientant que l'eau chauffe dans sa cafetière, et que son poêle chauffe ainsi que son four, Jenny prit un temps pour ouvrir son courrier, ses différentes cartes d'anniversaire, de sa famille et du clan Kalderash ; de nombreuses cartes d'enfants accompagnées de dessins de toute sortes, des enfants, des noms qu'elle connaissaient à peine, mais lui chuchotant dans son esprit que Enyos lui en avait déjà parlé, et lui avait déjà fait prendre connaissance de leur existence ; des noms Roumains, des enfants habitant dans son pays natal ainsi que dans sa tribu et maison lui rendait hommage, et également sans aucune surprise, et avec tous les honneurs, attributions accommodées, Jenny aperçut et lut avec une grande attention la lettre de l'Ancienne de la famille, Ileana ; comme à son habitude, à ses façons et mœurs acclimatement, elle avait ses manières d'écrire des lettres à Jenny qui commençait toujours à des longs et plusieurs paragraphes officiels et de manières typiques, et le reste avait des consonnances de composition en rédaction, rédiger de façon personnelle, intime et confidentielle...
Ileana récrivait dans cette lettre-ci pour ce jour des plus heureux, mémorable et en particulier de ces questions pourquoi fête-t-on les anniversaires et aussi pourquoi est-ce que l'on offre des cadeaux ? Des questions pertinentes qui trouveront réponse au travers de l'Ancienne et la sage du clan. Pour chaque type d'anniversaire, il faut bien entendu trouver le bon thème. Par exemple pour une jeune fille, nous pourrions opter par l'organisation d'un anniversaire sur le thème de femmes, du mariage, du passage de l'enfance à l'âge adulte, des enfants, de la famille, de la cuisine où fleurs, thème culinaire, fleurs, couleurs chaudes... ou autour d'un dessin, d'un prétendant, d'un amoureux, qu'elle apprécie en ce moment. Une date importante pour vos proches ; le jour de votre naissance est important aux yeux de vos proches. C'est notamment le cas pour les personnes de votre famille pour qui vous comptez énormément : votre maman, papa, frère, sœur, grand-père, grand-mère, oncle ou tante. Ce jour est particulier et ces personnes vous mettent à l'honneur pour montrer à quel point vous comptez pour elles. Importance selon certaines périodes de la vie, Dans la vie, il y a des caps qui méritent d'être célébrés. Vous pourrez par exemple fêter... Selon certaines régions du monde, les personnes qui fêtent leur anniversaire ont droit à une journée spéciale. Par exemple, en Amérique du Sud, le jour de ses 15 ans, les jeunes filles peuvent porter des talons hauts pour la première fois et ont l'autorisation de se maquiller. Vous avez votre enfant qui va fêter sa majorité ?
Bien entendu, il est préférable de fêter tous les anniversaires, que ce soit pour une dizaine comme par exemple des 20 ans comme pour les autres. Avoir un an de plus est important dans la vie d'un homme ou d'une femme, c'est d'autant plus vrai pour les plus jeunes. Depuis toujours, nous célébrons les anniversaires, on retrouve d'ailleurs dans l'Ancien Testament un passage racontant le festin d'anniversaire de Joseph. Mais le fait de fêter un anniversaire n'est pas seulement religieux puisqu'il est aussi lié à la magie.
Aussi étrange que cela puisse paraître, on offrait auparavant des cadeaux et on allumait des bougies pour protéger des démons afin de lui garantir une année sereine. Néanmoins, le christianisme avait désapprouvé la célébration des anniversaires jusqu'au IVème siècle (cet événement était considéré comme une fête païenne).
Les égyptiens fêtaient déjà les anniversaires des pharaons et ils offraient même un bon repas aux serviteurs. Et bien entendu, n'oublions pas le gâteau qui, de nos jours, symbolise le partage. Et selon la légende, si vous éteignez toutes les bougies d'un seul souffle alors votre vœu se réalisera...
Elle écrivit sur sa naissance, sa venue au monde qui par cela entraina en s'enchainant suivant, que Jenny avait grandi au sein d'une immense famille, d'un clan et une tribu au multiple tradition force et conviction, Jenny avait appris toutes les valeurs les plus profondes familiales, ce qui faisait de l'essence même ce qu'était l'histoire du clan bohémien, la fidélité et la loyauté, sa vie d'enfant, sa vie fraternel, ses jeux, son éducation, et tout ce qui a dû lui être appris ; mais ce que Ileana souhaitait pour aborder, en évoquant c'était le fait est que la femme âgée était si fière d'elle, de sa contribution à la quête du pouvoir de la vengeance, que la jeune femme avait fait et réalisait bons nombres de progrès faits, cette année-là, la surveillance d'Angel, les rapports et commentaires de ses observations, des progrès faits et sa discrétion...
Mais que Jenny allait devoir bientôt devoir prendre des décisions, des considérations, des mesures, et surtout des choix pour que l'Ancienne connaisse réellement de quel côté cette enfant était et si Jenny, faisait vraiment partie du peuple Kalderash, dans l'âme, l'esprit et le corps corporel, et jusqu'où elle irait, son seuil de conduite…
A ces mots, qu'elle y lut, qui décrivait la situation et la sienne-même, se crispant, se tendant, son corps frémissant et tremblant de peur et de colère contrôlée ainsi que de rare mêlée, ne voulant pas croire ce qu'elle y lisait, ses doigts tremblèrent tout aussi violement et autant que le reste du corps, et ils étaient courbés sur les feuilles de papiers à lettre, elle ne pouvait croire ce que Ileana lui demanderait de faire comment pouvait-elle faire cela ? Comment pouvait-elle douter d'elle-même, de l'espionner ainsi et lui demandant de rendre des comptes... Avait-elle vu quelque chose sur son avenir, c'était ce que se demandait Jenny, avait-il vu une possible trahison ou vu qu'elle commençait à douter du bien-fondé de la mission qu'on avait incombée et qui fut sienne... Ce qui fut écrit après cela était encore plus troublant.
Ileana continua de lui dire et la supplier de continuer et rester sur la route, le chemin qui était le sien et ne pas se détourner de son appel, de son devoir, et sa destinée qu'était la prophétie de sa naissance et le cheminement le destin, la malédiction, le drame, fataliste, malheur condamnation, toutes ces soi-disant paroles synonymes, similarité sémantique entre des mots ou des expressions d'une même langue. Et antonyme ; soi-disant bonté et rédemption... Et de continuer encore et encore ses efforts, et ne surtout pas faiblir, ni changer sa loyauté, et que sa préoccupation première.
A la fin de la lettre, Ileana choisit plusieurs notes de fin pour la conclusion, d'un ton neutre, sec, mais tout en même temps et à la fois doux, tendre, affectueux, maternelle avec la fibre parentale qui donna un choc à Jenny nauséeux, presque de répulsion ensuivit de mal-être, et de férocité, qui fit peur à la jeune femme…
Alors qu'elle continuait sa lecture de son courrier, totalement infiniment perdue dans ses pensées et imposante concentration que Jenny fut peu-à-peu et très vite subitement tirée vers la réalité et repoussait, par la sonnerie du téléphone ; en levant son regard, fronçant les sourcils se demandant qui cela pouvait bien être à cette heure si matinale, elle se dirigea donc vers l'objet du bruit, en tendant la main et pris le combinée... Il s'agissait de sa grand-mère, Maria, comment avait-elle pu oublier cela et pu se demander qui pouvait bien l'appeler, bien entendu elle n'aurait jamais pu oublier l'anniversaire, la venue au monde et la naissance et de sa petite-fille, Maria aurait toujours voulu, souhaiter avoir de nombreuses occasions de la contacter ; Jenny parla avec Maria pendant un moment, en se rendant compte après qu'elle lui ait fait la confession que sa grand-mère, lui téléphone depuis un téléphone public d'une cabine isolée téléphonique à pièces, un téléphone ne provenant pas de la maison, en compagnie de ses jeunes nièces, Sally, Marina et Shirley...
Jenny eu l'occasion, de parler d'abord avec Sally, qui était toujours la jeune fille timide, réservée qu'elle connaissait, incertaine d'elle-même, et peu sûre d'elle, Sally, était l'une pour l'autre un grand soutien à mesure que la jeune fille grandissait surtout en atteignant l'âge de raison, en comprenant peu à peu le monde qui l'entourait, en sortant de l'enfance et partageant plus que quiconque n'avait jamais partagé, avec leurs parents, où aucune autres tantes ni nièces n'avaient pu s'offrirent l'une à l'autre ; bien entendu, les parents sont les personnes les plus importantes de la vie d'un enfant mais les autres membres de sa famille peuvent aussi jouer des rôles clés dans son éducation et dans le développement de sa personnalité. Les choses étaient si simples, si faciles et bien connue, un dicton célèbre, qui changeant le monde, qui ouvre de nouvelles portes et horizon, il faut un village pour élever un enfant. Donc, il est très important que celui-ci possède un large éventail de personnalités desquelles il peut apprendre, comprendre la différence entre le bien et le mal et s'inspirer. Une tante est un parfait exemple de ça. Tout au long de la vie de son neveu ou de sa nièce, une tante lui offre son amour inconditionnel et son soutien sans failles.
Elle est également présente pour prêter main forte à sa sœur ou à son frère pour élever l'enfant en question. Elle fait office de nounou lorsque les parents veulent sortir en couple et de confidente quand son neveu ou sa nièce a besoin de conseils en therme d'amour ou de relations en général. Ainsi, dans la vie, une tante est vraiment une meilleure amie. Pouvant parler plus librement avec elle qu'avec les parents. De plus, ils n'avaient pas de raison d'avoir peur de son jugement ou de ses éventuelles mauvaises intentions. Elle ne veut qu'au bonheur et elle lui dire donc toujours la vérité, même si parfois celle-ci peut être difficile à entendre.
Une tante est le meilleur rôle modèle pour un enfant. Une tante se comporte toujours avec intégrité et gentillesse. Elle est parfaitement consciente qu'en dehors des parents, elle est l'adulte préférée de son neveu ou de sa nièce, elle ne va donc pas prendre le risque de les faire dévier du bon chemin. Elle peut permettre à l'enfant d'avoir une autre perspective de la vie.
Même si elle a grandi avec le père ou la mère de son neveu ou de sa nièce, elle a une vision unique de la vie. Sa personnalité est certes très similaire à celle de son frère ou de sa sœur mais ils ont quand même des caractères différents. Et, le fait que l'un d'eux est devenu parent a aussi changé la perspective de chacun.
En grandissant, l'enfant a des conversations avec sa tante qui lui permettent de créer sa propre vision du monde et de l'existence. Comme ses parents, elle a des expériences qui peuvent l'aider à se faire une idée de ce que lui réserve la vie. Mais, comme elles sont différentes de celles de ses parents, il peut avoir une perspective complète.
La relation entre Sally et Jenny était complète, épanouie, heureuse et toujours en constante évolution, et la jeune fille aimait prendre modèle sur Jenny, et voulait constamment de ses conseils, et prendre un modèle féminin et moderne, féministe, progressiste sur elle-même... Les deux femmes, parlèrent avec une telle maturité ouverture d'esprits avec bons nombres de secrets, que cela pouvait être décrits que comme incroyable, sans tabou, sans barrière et rien.
Lorsque il y avait une utilisation d'un téléphone d'une cabine téléphonique, il y avait toujours un petit détail qui avait son importance et que l'on pouvait facilement oublier et que une minorité de gens n'y pensait plus, c'était le paiement de communication, en cela Maria ou encore Jenny avait omis d'y penser et avait considéré le montant comme un détail, pas important, insignifiant ; elles n'auraient aucune des deux, réalisé que la communication allait durer aussi longtemps et que pour continuer l'appel, Maria devrait un peu plus glisser des pièces de monnaies, en dollars, toutes les quelques minutes à chaque fois...
Marina fut la prochaine des nièces à parler avec Jenny, mais surtout exceptionnellement la moins bavarde, la moins vive et d'ardeur excessive, qui s'emporterait facilement. La vitalité se manifeste par la rapidité, la vivacité des mouvements et des réactions ; et discrète qui voulut le moins discuter avec sa tante, n'ayant pas beaucoup de sujets de conversation en ce jour... A la fin, Marina choisit de tendre le téléphone à sa sœur, Shirley, qui fut la plus longue à la communication, la plus vigoureuse, qui discutait avec la jeune femme, son ainée d'une voix forte et enjouée, parlant de tout et de rien ; de ce qu'elle faisait depuis que sa chère et bien aimée tante les avaient tous quitté pour Sunnydale, la tristesse qui l'avait assaillie, mais surtout celle de Sally, qui était beaucoup plus sensible et émotive que ses sœurs, la petite fille racontât surtout et essentiellement ce qui venait dans sa tête, qui venait et s'en aller, en parlant de la mission de Jenny, combien elle était fière et l'admirait secrètement en l'enviant, et voulait être à sa place... Combien Shirley était fière de faire partie intégrante d'une si noble, honorable, humble, modeste, effacé et simple laissant des traces sur terre, des traces selon lesquels Shirley croyait infiniment, que c'était innocent et il y avait de la bonté, dans toutes les traditions qu'il n'y avait rien à craindre à redouter, en aucun cas de méfiance, de malversation... Shirley était fière d'être d'origine une bohémienne, une véritable ; trop espiègle pour son propre bien, trop naïve encore trop jeune, trop enfant...
Expirant difficilement avec une gorge douloureuse et tremblante en entendant les paroles de sa petite nièce, en étant déçue, et étant prise d'une peur soudaine et d'un grand traumatisme et vive inquiétude qui l'assaille de toute pars, dans chaque parcelle et cellule de son corps ; de la voir la jeune et petite Shirley être manipulée et endoctrinée par leurs ainés, elle tremblait à cette pensée qui la terrifiait d'autant plus ; elle se crispait encore au téléphone, ses doigts s'étaient et accrochés et ses jointures blanchit sur le combiné. Ses pensées furent flous, vivent et passèrent en trainées de poudre, en chaine, et vite, des pensées en spirales, vif et des flashs extrêmement douloureux, troublants vivant, et qui ne pouvaient s'oublier, vivant en elle et rendues réels par les sons des souvenirs... Jenny se souvient de son enfance, des moments de soirée au près du feu, des légendes de leur peuple et des vampires comtés par Enyos, des premiers moments où Shirley et du entendre au côté de ses sœurs les mêmes histoires, de sa visions du monde qui avaient alternées entre sa jeunesse, son innocence, son enfance et son esprit d'elle-même en version de fillette, ainsi que celui d'elle-même de jeune femme adulte…
Que l'histoire se répète indéfiniment, à travers les ans, et les âges, était ce qui était le plus terrible, terrifiant, c'était que les anciens, Enyos et Ileana faisaient cela en toute délibération ; chaque génération ne serait épargnée... En gardant une voix égale, sûre, et non tremblante malgré les larmes lui piquant, les yeux, Jenny sut qu'elle devait raccrocher et qu'il était plus que temps de dire au revoir ; raccrochant le combiné avec force et colère, la jeune femme pressa ses paumes contre ses yeux, en hurlant d'agonie, se recroquevillant sur elle, se laissant tombée sur le sol, se glissant comme si se mouler à l'intérieur ferait tout disparaitre, l'horreur et l'angoisse des paroles de Shirley la traversant, et la troublant comme jamais, alors que des paroles répétées, récitées, non pensées par elle-même comme une douce enfant, une gentille petite fille parfaite et modeler à l'image de son oncle et de son frère ; Jenny n'arrivait plus à pouvoir les entendre, elle ne le voulait plus, mais une partie d'elle continuait, car Angel, les vampires étaient mauvais, mal de nature... elle devait continuer à s'en convaincre pour le bien de sa mission et l'avenir...
Finalement, Jenny réussie à se redresser, et à partir préparer son repas du petit-déjeuner...
Finissant de manger avec intérêt en dégustant avec faim, agilité, ses délicieux cookies dont elle venda toute son énergie, sa langue, ses dents, son palais appréciant la saveur, la texture avec délice, et agrément, charme en émettant une saveur du gout de sucre, il y avait de douces odeurs qui étaient charmante émanant de toutes ses charmes en générosité ; perdue dans ses pensées, quand le son de la voix du chant mélodieux et montrant assourdissant du téléphone la fit sursauter.
Jenny se redressa sur sa chaise tout en se levant pour se diriger vers l'objet de son appel, l'objet de la sonnerie, pour ensuite enrouler ses doigts fébriles et minces sur le combinée qui était devenu accoutumé et si fréquent depuis la fête nationale et des jours maintenant, en serrant sa main contre le téléphone, et le levant tout contre son oreille, et son creux, elle décrochât, en répondant d'une voix tremblante qui se voulait neutre...
Et lorsqu'elle l'entendit, elle se figea, totalement paralysée par l'espoir et l'appréhension, ses doigts se crispèrent d'autant plus sur le téléphone, en se figeant, inquiète et incertaine qu'elle l'entendit même dans le réel, devant folle et dépendante de lui, de son besoin croissant, son corps se redisant, c'était sa voix... Sa voix, la voix de Rupert ; cela faisait si longtemps, lui semblait-elle en espérant qui la rappelle, qu'il la recontacte, mais pourquoi cet espoir ? De juste au cas où ? De regarder quand ils pourraient se voir ? Jenny pouvait parfaitement entre et voir, en imaginant, les rouages tournants dans la tête de l'homme, entre son hésitation, sa crainte, son corps raide et tendue, ses mains crispées en tandem avec les siens sur le combiné, son gémissement et allaitement quand il entendit sa voix lui répondre avec les tonalités...
Il lui avait promis, avait fait la promesse, en lui rappelant la promesse, faite, de l'appeler et d'être l'un des premiers à lui souhaiter son anniversaire, et l'emmenant à quelque chose ressemblant à un rendez-vous, une soirée, un moment -instant- agréable entre amis, lui promettant ainsi un anniversaire, heureux, détendu agréable inoubliable, essayant de ne plus mettre leur relation en périple et en échec, de ce qui avait été fut, fait avant… La soirée sera agréable simple et d'une normalité à couper le soufflent semblant presque irréaliste, ou réaliste selon la jeune femme qui avait toujours essayé de vivre une vie douce, agréable, confortable et d'un semblant de normalité coconner… Une soirée sous les étoiles, sous un voile un ciel bleue nuit dans une atmosphère terrestre d'été chaud et clément…
Les promesses de Rupert fit battre son cœur de passion, de fébrilité et d'anticipation positive, devant tout ce qu'il lui dit et devant ses attentions si douce, bien que peut-être non romantique et d'un simplement désintéressé voulu être avec une jeune femme appréciable et rien de plus ; ses mots ne purent l'ébranler surtout quand il lui dit tout bas de faire de cette fin d'après-midi et une soirée inoubliable pour elle, de se préparer comme elle le souhaitait et selon son aise, mais avec toujours un brin d'élégance de féminité et de beauté qu'elle savait toujours obtenir, sa peau couleur d'ivoire en porcelaine matée de sable du coucher de soleil assemblée de ses cheveux noir ébènes…
Elle allaita au combien ses paroles l'avait affectées, alors que tandis que son corps lui envoya de doux tout en même temps de fort violent picotement ; la voix de Rupert était rauque lorsqu'il lui parlait avec tant de familiarité et d'intimité, profonde et si purement masculine... Ses joues devinrent d'un rouge si brulant, intensément sensuel et sa peau commença à être des zones particulièrement érogène, Jenny ne put rien faire d'autre que d'accepter l'invitation et l'offre de Rupert, pour se voir.
Après avoir raccroché, elle tentât de se reprendre rapidement, malgré les quelques instants voler de prise de soi-même, à inspirer et expirer ses poumons se remplissant d'air, d'oxygène, dans ces conditions et ces manières Jenny pu se libérer d'un poids énorme, de se détendre et être en relaxation avec l'air, la terre, son corps et l'esprit ; après ces instants, et moments de pauses en soi, pour soi-même, elle-même, Jenny sortit tant bien que mal de sa torpeur pour se déplacer et quitter le côté du téléphone, marchant dans les escaliers et montée au final à l'étage, elle avait après tout toute la journée, une grande majorité d'heures avant le soir...
La jeune femme se fit couler un bain, passant ses doigts sous le jet du robinet, attendant et testant la température de l'eau, pour qu'il soit à son idéal et à ses attentes, l'eau devient peu-à-peu chaude, tandis que la salle de bain se rempli de vapeur, le miroir du lavabo apparut des traces de buée ; elle s'assit sur le rebord en marbre blanc du bain, se soutenant, quelques instants puis éteignit l'eau courante quand la baignoire fut remplie... L'eau chaude fit du bien, aux muscles à la tension subite durant tous ces jours-ci, la relaxation n'était qu'un Avre de paix, ses muscles se relâchèrent tandis qu'elle frottait du savon sur les pores de la peau de son visage, du gel douche au fruits rouges lui firent du bien la relaxa ; les bienfaits d'un bain chaud, le bain est avant tout un moment privilégié pour s'occuper de soi, mais aussi pour se détendre : la température élevée de l'eau envoie des signaux de détente à notre corps. Fatigue, stress, tension... tout s'évapore dans un bon bain chaud... Ambiance et chaleur.
Cela peut paraître évident de parler d'atmosphère, mais il est de première importance qu'il n'y ait pas de chandelles parfumées dans votre salle de bain. Elles pourraient annuler les propriétés des essences que vous y mettrez et les bienfaits qui y sont associés. La chaleur de la pièce, aussi, il est important que la pièce soit chauffée. Sortir du meilleur bain au monde les orteils raides et la mâchoire crispée annule les bienfaits recherchés.
Le bain du matin demande un peu plus de chaleur, puisque le corps a besoin d'énergie. Le bain du soir, lui, demande à être tempéré pour permettre au corps de soulager les tendons, détendre les muscles et activer la circulation sans provoquer de palpitations ou assécher la peau. La fièvre signifie généralement que l'organisme se défend. Si vous atteignez ce niveau de température avec l'eau du bain, le corps déclenche ses mécanismes de défense. Cela peut être utile, exceptionnellement, si vous couvez un mauvais rhume et que votre immersion ne dure seulement que quelques minutes.
Pour savoir combien d'huile essentielle, de lait de chèvre ou d'épices ajouter au bain, il faut tenir compte du poids et de la capacité en eau de votre bain. Par exemple : Pour apaiser le système nerveux, dans un bain, Versons une tasse de lait en poudre et un quart de tasse de farine d'avoine dans une tasse d'un litre. Ajouter cinq gouttes d'huile essentielle de néroli, Ajouter 5 gouttes de camomille noble, Ajouter une pincée de bicarbonate
Brasser le tout sous le robinet d'eau chaude qui coule dans le bain.
Pour le bain, il faut utiliser les produits les plus naturels possible. Et surtout, sans parabènes. Dès que le produit est composé de poudres, d'huiles végétales pures comme l'huile de jojoba, de corps gras comme le beurre de karité ou de produits qui exigent la préservation de sa fraîcheur, il est composé d'un agent de conservation pour limiter la prolifération microbienne. La plupart des gels et mousses de bain contiennent trop de substances chimiques qui pénètrent la peau et provoquent à la longue irritations et allergies...
Après de longues minutes à ce reposait et des instants voler dans la salle de bain à suspendre en à arrêter le temps, elle sortit de l'eau qui commençait lentement mais doucement à se refroidir, à tiédir... Puis pour se sécher avec une longue et grande serviette moelleuse... Et en l'enroulant soigneusement autour de son corps et ses courbes élancées.
Pour ensuite se diriger vers sa chambre, en fouillant consciencieusement toute son armoire, son placard ainsi que meuble, étant toujours sous le choc que Rupert ait pu l'inviter ainsi, toujours en émoi et rempli de pleine d'émotion, croyant sautement qu'il lui en voudrait et serait toujours furieux contre elle après ce qui s'était passé, ce qui avait pu avoir, entre eux, et la rejetant ne voulant plus rien avoir à faire avec elle... Après que le choc initial se soit dissipé, elle a essayé tous les vêtements qu'elle possédait dans sa chambre ; elle se précipitait de sa chambre à la salle de bain pour inspecter sa dernière tentative de s'habiller juste à droite. Elle avait déjà essayé la majorité des vêtements qu'elle avait avec elle pour la deuxième fois et avait juste deux tenues de plus à essayer. Elle regarda l'horloge sur la table de chevet quand elle revint à la chambre et souhaitait que le temps s'arrête mais se dépêche tout à la fois, si cela avait un sens à tous. D'une part, elle avait besoin de plus de temps pour se préparer, voulant regarder parfait pour Rupert, d'où le temps de vouloir rester immobile. Mais d'un autre côté, elle souhaitait aussi que le temps passe plus vite, puisqu'elle avait hâte de le revoir. Comment quelqu'un pourrait-elle ressentir un lien aussi fort avec une personne, un homme qu'elle vient de rencontrer, qu'elle n'avait pas connu il n'y a même pas un an, qu'il n'avait eu aucune idée qu'elle existait un an auparavant, que leur relation venait de commencer il y a quelque mois, quelques semaines à peine ?
Elle ne le savait pas, mais elle l'a fait. Elle n'avait jamais ressenti quelque chose comme ça pour personne avant. Elle avait eu quelques petits amis dans le passé pour être sûr, mais rien de grave, des petites-amies également, mais rien de sérieux. Elle n'avait pas ressenti ce besoin global d'être avec l'un d'eux, de passer autant de temps avec eux qu'elle le pouvait. Rupert ressentait-il la même chose qu'elle ? Oh mon Dieu, elle l'espérait. Il s'intéressait à elle, sinon il ne l'aurait pas montré la veille et son appel précédant devait signifier quelque chose aussi, espérant qu'il était aussi désireux de la revoir qu'elle l'était de le voir.
Elle a craqué de ses rêveries quand elle a remarqué qu'il ne lui restait que quinze minutes, a choisi une robe de rouge foncée, couleur de sang, de la pile croissante de vêtements sur son lit et s'est habillée rapidement, une robe, qui drapait parfaitement bien ses formes ses épaules, mais un vêtement sans manches.
De retour aux toilettes, elle a appliqué du mascara, du rouge à lèvres et s'est brossée les cheveux jusqu'à ce qu'ils brillent sous la lumière fluorescente. Contente de son apparence, elle saisit son sac à main et quitta la pièce.
S'installant finalement sur une robe de couleur rouge, qui lui allait si bien au teint, lui faisant ressentir sa peau couleur beurrée et ses cheveux noir corbeau avec des sandales à talons hauts rouge qui accompagnaient, alimentaient assez bien la tenue, et avec des brins de brillance. Jenny avait attaché ses cheveux en un chignon, avec élastiques et des pinces barrettes en croco, sous la forme, elle laissa quelque touffes et rebords de cheveux sortir de la coiffure, pour donner un style esthétique de décontraction et de passion avec exubérance jeunesse...
Rupert avait été si nerveux et fébrile à la simple idée de la revoir, surtout après leur dernière rencontre qui laissait son corps en émois, rempli de passion et désir refoulé, de besoins... Il craignait de la revoir, de ne plus réussir à détacher ses yeux de sa beauté et son éblouissante et ainsi de ne plus être en état ni capable de la quittée et la laisser sans aller encore une fois ; Giles est arrivé dans la banlieue rue simple de Jenny, devant à quelques pas de sa pelouse, près de dix minutes avant l'heure prédéterminée, s'est situé en se recroquevillant sur son siège, les mains moites de convoitise, à l'extérieur dans la soirée, il guettait le pas du hall près de la porte à son porche attendant l'apparition de Jenny. Il ne l'admettrait jamais à une autre âme vivante, ou créature vivante, mais il était tout à fait... désireux de la revoir. Il voulait, non, confirmait qu'elle était en effet aussi belle, chaleureuse et radieuse qu'elle ne lui était apparue à chaque fois, à chaque rencontre où instant volé. Quelques minutes de plus avant l'heure, la porte de la maison de Jenny s'ouvrit puis se calquait avant de verrouiller l'entrée sonné et ses portes ouvertes pour révéler la créature la plus glorieuse qu'il ait jamais regardé. Vêtue d'une robe rouge, elle regardait, elle était tel le soleil, ayant l'image et la définition même de ce mot, représentait tout ce qui était beau, pur et innocence et qui était lumière, chaque partie du soleil radieux qu'il lui avait comparé à la nuit dernière. Si intensément ; Il l'a regardait entrer dans la voiture à ses cotées et a attendu quelques minutes avant de suivre et lui parler, savourant leur silence comme une bénédiction, savourant l'idée de sa réaction quand il a finalement exposé son identité du lieu où il l'emmènerait cette nuit...
Rupert était arrivé avec un peu d'avance, et il ne cessait de regarder sa montre. Il redoutait qu'elle ne renonce à venir, et quand les heures continuèrent de défiler, les minutes surtout s'affichant sur son cadre de montre, il serra les mâchoires. Il avait choisi un restaurant élégant, qui fit salle de bal, de danse, de salon, pour les couples âgés, le club organisait des soirées karaoké de vieilles chansons de variété de n'importe de quelle que soit la culture et la langue, mais dont l'atmosphère n'avait rien d'intimidant, ni de trop intime. Leur table était sur le côté, dans un espace tranquille, et d'où il jouissait d'une vue parfaite sur l'entrée de la salle. Des hommes d'affaires étaient arrivés, puis plusieurs couples, puis deux hommes seuls, et il se serait impatienté, s'il y était allé en l'attendant.
Il eut devant les yeux le spectacle radieux d'une jeune femme en rouge, dont la couleur brune et le teint transparent accrochaient la lumière. Il y avait une assurance, une grâce et aussi une incertitude évidente, dans sa manière de se tenir. Mais le corps drapé dans cette toilette à la couleur si provocante, la finesse de ses mollets et de ses chevilles gainées de noir transparent, les cheveux noir, éblouissante de ses cheveux encadrant un visage à l'ovale parfait… Aucun doute n'était permis.
Rupert éprouva une fébrilité et une émotion brutale, devant la réalisation que toutes les inconnues, toutes ces femmes dont qu'il avait échoué à les faire siennes et à le conduire et à le faire suivre dans une perpétuelle sans fin chemin de solitude, ce fut le destin, pour le conduire à cette femme, Jenny Calendar, dont le parfum l'avait grisé, cette femme qu'il a vue si d'innombrable fois au travail, et Jenny Calendar, ordinaire jeune professeur d'informatique au lycée de Sunnydale, était une seule et même personne.
Elle se tenait indécise et glorieuse, sur le siège passager... Leurs regards s'accrochèrent et il ne la quitta pas des yeux quand elle s'approcha à pas mesurés.
Il se pencha et fut devant elle, la contemplant avec une attention qui lui fit l'effet d'être caressée. Elle tendit la main, et il la prit dans la sienne. Mais ce fut pour la porter à ses lèvres, et y déposer un baiser léger comme un souffle d'air, délicieux et retenu. Alors qu'il lui chuchotait quelque chose à l'oreille, des mots qu'elle ne comprit pas et n'arriva pas à analyser -pour l'instant- d'une voix de velours, alors qu'il redressait son visage, et l'enveloppait de ce regard vert inoubliable où elle était déjà prête à se noyer…
Il lui raconta en lui avouant où il comptait l'emmener diner, en lui tenant tendrement la main tel un effleurement un toucher de plume, leurs regards se croisant en se connectant le vert profond de ses yeux rencontrât le noir des yeux de la jeune femme, un de ses pouces caressant avec affection, tendresse et oserait-elle penser avec amour son poignet et sa paume et le dos de sa main ; il lui avait tenu sa promesse malgré tout ce qui était arrivé, il l'avait tenue, voulant lui donner le sourire, lui plaire, et offrir un cadeau spéciale pour l'été, l'un des plus beaux cadeaux ; le restaurant qui fut autrefois un ancien music-hall, un petit lieu de restauration et salle de bal pour beaucoup d'émigrés Irlandais et espagnols et autres pays Européens, le restaurant, qui faisait à la fois tout en un, un bar, un club de danse de salon -ancienne- karaoké, musique, variété qui traversent le temps... Le petit lieu de repas, de repos et détente de nutrition, du soir, était, se trouvait dans un lieu, un quartier et une rue assez éloignée et peu animée de Sunnydale, calme et paisible dont peu de gens, des personnes de tous âges dont un minimum de jeunes personnes, de gens, de vingtaines d'années s'y présentaient, mais beaucoup dépassant la cinquantaine puis après la retraite, et bon nombre de personnes âgées s'y rendaient, y allaient... En sortant de la voiture, qui l'avait conduit en ce lieu, si familial, convivial, intimement, dans une petite rue, paisible, et tranquille, sombre de la nuit ; Jenny s'émerveillât de cette endroit plus ou moins inattendu, et insolite, de cette bâtisse qui fut un lieu si petit d'un point de vue extérieure, qui fut vue à l'extérieur l'air libre du lieu, mais fit si lumineux et paru un peu plus grand à l'intérieur, Rupert avait choisi un restaurant élégant mais dont l'atmosphère n'avait rien d'intimidant, ni de trop intime. Leur table était sur le côté, dans un espace tranquille, et d'où il jouissait d'une vue parfaite sur l'entrée de la salle. La lumière des néons, de la lumière artificielle, dont la luminosité, la lumière jaunie orange donnait un côté particulièrement intime et privé, qui donnait une douce lumière pale, mais quelque peu plus brillante à certains endroits... Cet établissement de qualité, tenu par des propriétaires privés, qui possèdent la maison depuis très longtemps, plusieurs générations, quatre-vingts ans, qui ont su allier modernité et rusticité. Le poêle à bois est idéal pour se réchauffer les soirées d'hiver tandis que la terrasse avec vue sur la campagne, dont un calme charme champêtre était envoutant, où la jolie cour fleurie seront parfaites pour profiter des mois d'été. Le pub propose un menu quotidien à base de poissons frais, de tourtes, de steaks et du plat du jour, pour des prix raisonnables, et non élevés. Tous les plats étant préparés sur place dans la cuisine du pub, tout régime alimentaire particulier peut être pris en compte. La plupart des sauces et soupes sont toutes sans gluten...
Dans ce restaurant culinaire, qui datait, qui existait et un établissement créé bien au-delà de ses années à la fin du XIXème Siècle, dans les années mille-neuf-cent-vingt -les années 20- dans les rues de ces années passées où le monde commençait, débuter au changement, après la guerre, les couples dansèrent souvent sur des musiques de Jazz, de chants à textes, ainsi que des nouveaux styles de danse qui fut conçus, affabulés, échafaudés durant ses années en improvisation, en création nouvellement fait quand le monde changea avec le temps à la force des choses...
Les années 20 sont marquées par le style art déco ! Remis au goût du jour par les films The Great Gatsby (Gatsby Le Magnifique en français) et The Artist, le style des années folles s'invite dans nos maisons mais aussi dans nos soirées à thèmes : anniversaire, nouvel an, cocktail, mariage années 20…
Des tenues rétro inspirées par The Great Gatsby
Rétro, glamour, le style vestimentaire des années 20 respire le chic et le luxe à profusion, avec des tenues qui brillent de mille feux pour les femmes, des bijoux, robes et accessoires clinquants. De la tête au pied, les femmes affirment leur féminité.
Tissus fluides, coupes droites pour les robes, cheveux crantés et coupes garçonnes mais travaillées, boucles d'oreilles imposantes, sautoirs en perles, bracelets rigides, escarpins à bouts ronds et petits talons épais… Ce sont dans les grandes lignes les incontournables d'un look d'une femme des années 20.
Le look à la garçonne trouve aussi sa place grâce à une certaine Coco Chanel qui démocratisa à l'époque le blazer, le pantalon, la cravate, la jupe-culotte… Mais dans les soirées Gatsby de notre époque, ce sont surtout les robes, courtes ou longues, qui sont ultra tendances.
Certaines femmes, appelées flappers, étaient reconnues aux Etats-Unis par leurs looks garçonnes (coupe au carré très courte), jupes et robes courtes, et leur liberté (maquillage voyant, cigarettes, alcool fort et sexe étaient de la partie). L'actrice et danseuse Louise Brooks était le symbole de ces femmes.
Difficile de résister aux looks glamour de la mode des années 20 !
Les coiffures des femmes dans les années folles
Côté capillaire, les coiffures des femmes pendant les années 20 sont marquées par 4 tendances : les coupes courtes, les crans, les chapeaux cloche et les bands -bandeau de cheveux- bijoux.
A cette époque, les cheveux sont courts, et la coupe garçonne a le vent en poupe. Carré court, bob lisse, chignons flous et romantiques, cheveux plaqués sur la tête, cheveux en vagues et ondes douces (les fameux crans !) sont les coiffures tendances de l'époque. Les coiffures des années 20 sont accessoirisées de bandeaux à perles, à plumes ou à strass pour encore plus de glamour.
Les robes Charleston des années 20 ; Dans les années 20, les robes raccourcissent pour dévoiler les jambes des femmes et laisser libre mouvement pour la danse. Elles se parent de strass, de perles, de franges et sont légères et fluides, et ont la coupe droite, des matières fluides et des drapés travaillés, des décolletés devant ou dans le dos et sont sensuelles à souhait.
Pour compléter leur look Charleston, les femmes accessoirisaient leurs tenues de bijoux : colliers, bracelets, bagues et boucles d'oreilles. La star des années 20, c'est la perle (blanche) qui se porte en superposition de sautoirs. A l'époque, les bijoux sont massifs : gros colliers avec pierres imposantes et énormes boucles d'oreille sont de rigueur !
Les jupes et robes dans des couleurs nuancées, des couleurs douces et autres thèmes et connotation, pour différents caractères et personnalités de couleurs chaudes, froides, discrètes, vives et à personnalités enflâmes, les jupes virevoltent, de tissues fluides bougent au travers les danses, les couples de personnes, se tenant à un bras, un gentlemen accompagnant sa fiancée, sa dame dans les rues ; le Jazz faisait réaliser des mouvements fluides et souples, qui donner de l'entrainement de l'entrain à son corps apportant de doux mouvements envoutant et de plus en plus modernes, ainsi que des mélodies lentes et rapides, qui apporta du rythme rapide et rythmique qui faisait courir d'un tourbillon de précipitation soutenu, qui apportât et donna du tango dans les veines de lac musiques et rapidité. Accélérer ses pas ...
De retour au présent, dans l'univers du restaurant et dans les esprits de Jenny et Rupert, en s'assaillant l'un en face de l'autre en étant conduit à leur table de réservation, un serveur leur apporta le menu ; dans un calme et silence reposant, amical, un silence partagé, agréable sans modestie, un silence qui n'était pas le moins du monde embarrassant... Chacun choisit son repas, de l'entrée, en passant par le plat principal au dessert, suivi du café...
Le hors d'œuvre consistait en une mousse à l'avocat entourée de tomates cerises et autres petites merveilles pour les yeux. Elle se concentra sur la tâche de déguster tout cela, s'apercevant qu'elle avait une faim de loup. Elle plongea la cuillère dans la mousse et la porta à ses lèvres, qu'elle entrouvrit. Une myriade de sensations explosa sur sa langue et elle ferma les yeux. Elle prit une seconde cuillère, et se décida à lever les yeux vers son compagnon de table. Il l'observait avec acuité, et ses narines frémissaient. Elle avala lentement, et reprit une troisième cuillerée. Il n'avait pas commencé à manger. Elle prit son temps pour lécher son couvert, et nota que ses yeux étaient devenus d'un vert sombre ardent, très foncé, et presque surnaturel.
Jenny posa sa cuillère, en lui demandant tout bas s'il ne mangeait pas.
Ce sur quoi il lui répondit, qu'il préférait l'observer manger, en l'étudiant, et que cela nourrisse ses sens et profitant de cette magnifique vue qui fut devant lui, de la dévorer des yeux, en pouvant s'y noyer... Ce que Giles dit ensuite, laissa Jenny sans mots, une voix rauque comme en colère rempli d'émotions contenu, d'y gouter d'une toute autre manière, et surtout de gouter et profiter et se délecter de la saveur rien qu'en sentant la nourriture sur elle.
Jenny en rougit et devient moite, réprimant des haut-le-corps, son visage quelque peu effrayer de ses instants, de son envie d'elle, et ce demanda quand continuera-t-il d'arrêter de la faire rougir, de la voir ainsi et de lui faire ressentir tous ses sentiments et sensation.
Giles répondit, que cela voulait dire qu'elle réagissait à lui, et qu'il espérer que jamais elle ne s'arrêterait de rougir pour lui...
Il la regarda terminer son plat, et seule sa main gauche dont les doigts tapaient la surface de la table, trahissait ses sentiments.
Un silence plus lourd s'ensuivit. Quand le garçon vint reprendre leurs assiettes, Rupert Giles prit volontairement un air détaché, et s'appuya plus au fond de son fauteuil.
Le plat principal suivit, une fois les commandes passées, ce fut d'une grande rapidité de leur apportaient, un plat, repas, riche en nourriture et très bien rempli ; mangeant goulument et à leur faim.
Mais ce fut le dessert qui attira véritablement l'attention de Jenny, qui apporta de la saveur, des onces positives de bonheur ainsi qu'accompagner de sens de gouts dans les papilles gustatives qui apporta le sucre, les gouts divins, succulents, gourmandise suprême pour émerveiller les pupilles et les papilles… Si pour une occasion spéciale vous voulez faire plaisir ou vous faire plaisir sans vous ruiner, ce gâteau mousse au chocolat accompagné de poires au rhum alcoolisées et chocolats fondus chauves dans un verre, est ce qu'il vous faut. Ce dessert riche, élégant et raffiné commencera par éveiller les pupilles, et à coup sûr enchantera les papilles... Deux textures différentes, mais aussi exquises l'une que l'autre, que du fondant, que du plaisir en bouche et au cœur. Mais oui, même le cœur apprécie, car selon de nombreux experts, le chocolat serait excellent pour le moral. Et nous bien sûr, nous n'allons pas les contredire… La mousse au chocolat qui recouvre le gâteau moelleux a une texture parfaite, et de plus elle a une tenue ferme, aucun risque que le gâteau ne s'effondre au démoulage, ou même au découpage. La recette de la base, le gâteau au chocolat, est facile et rapide (pas de blancs à battre en neige etc..), et la mousse, simple et inratable.
Dans les vergers de la vallée rhodanienne, mûrissent lentement les meilleures poires. Fondantes, sucrées et parfumées, allant du vert au jaune, et piquetées de grains jaunes, ils brillent comme un soleil, pour le plus grand plaisir des promeneurs. Sorbet qui peut mettre en valeur la force du chocolat noir ou d'un caramel salé. Coupe Poire Belle-Hélène : glace Vanille, sorbet Poire Williams Monts et coteaux du lyonnais, poire au sirop, sauce chocolat & chantilly.
Le chocolat, le beurre, le miel et l'alcool de poire. Parfaitement lisse et onctueuse, Nappez chaque poire de sauce au chocolat très chaude, parsemez-les d'amandes effilées et servez aussitôt. Un miel à la saveur plus ou moins prononcée selon votre goût. Le miel de châtaigne est très particulier. Celui d'oranger et les mille fleurs conviennent parfaitement à la pâtisserie. Pour un dessert plus sophistiqué, ajoutez 2 boules de glace à la vanille par personne. Pour faire un sucre vanillé maison délicieux, séchez bien la gousse de vanille et placez-la dans un petit bocal rempli de sucre en poudre.
Un verre de vin accompagna les plats, et le repas d'une façon globale, le café suivit tout de suite après, la saveur de la tasses de café, la chaleur dans la coupelle ainsi que le mini carré de chocolat, était un délice ; Jenny remarqua la douce musique remplissant l'atmosphère, et emplissant la pièce qui faisait écho dans la salle, la pièce et l'établissement, ce qui l'envouta, voulu la faire danser, en se levant tel hypotonisé et comme tel une sirène arrachée de son corps, elle se redressa et suivit la piste de danse se laissant aller, se laissant onduler ; L'atmosphère était plus chaude et enfumée. Jenny songea qu'elle n'avait plus qu'à essayer de venir poliment à Rupert afin de le remercier avant d'appeler son taxi. Il n'était pas loin de dix heures et demi... Telle cendrillon, elle serait en retard pour rentrer chez elle. Cette pensée la fit sourire, mais aussitôt un grand froid s'abattit sur elle-même, quand elle eut le sentiment poignant que son prince ne viendrait certainement plus pour elle, si elle le laissait ici, sans le remercier, en le laissant ici, en refusant de passer le reste de la soirée, la nuit avec lui à ses côtés et cette pensée la glaça ne voulant plus être seule.
Le visage de son chère Rupert se superposa sur la foule de visages anonymes qui flottaient sous ses yeux, et, comme si un voile obscur était jeté entre elle et les autres, l'air lui sembla soudain chargé de tristesse et de menace.
A cet instant, une musique délicieuse et langoureuse commença à se répandre dans ce qui faisait office de séjour, et Buffy se trouva malgré elle bousculée légèrement et au milieu de plusieurs invités, de gens qui avaient réservé et étaient venus d'eux-mêmes, qui dansaient tranquillement, seuls ou par couple. Dans cet endroit la lumière était plus tamisée, beaucoup plus douce, et fermant les yeux, laissant la musique pénétrer son esprit et son corps, Buffy se retrouva ondulant au gré des notes. Elle voulait oublier. Oublier pour un instant sa solitude, sa souffrance. Oublier que le regard chaud et caressant de Rupert, l'homme qu'elle aimait, n'était pas là pour suivre ses mouvements, manquant sa présence, imaginant qu'il était là, bien là, l'observant tellement fascinait, Giles la regardait depuis sa chaise en tournant son torse vers elle, alors qu'il avait tordu son corps pour l'observer. Le peu d'alcool qu'elle avait absorbé troublait ses pensées, et elle se laissa bercer sensuellement par la musique, les bras légèrement levés au-dessus de la tête, dans une attitude d'abandon absolu. Elle ouvrit légèrement les paupières, à la recherche d'un équilibre précaire ; danser les yeux fermés était grisant mais peut-être un peu dangereux. Et elle eut l'impression que son cœur sautait littéralement dans sa poitrine.
Elle continuait à se déhancher doucement, mais tout son corps était tendu dans l'attente qu'il tourne son regard vers elle. Il était plongé dans une discussion avec quelqu'un qu'elle ne voyait pas.
A ce moment, la jeune fille qui dansait à côté d'elle marcha légèrement sur son pied ; Buffy se tourna et accepta les excuses de la maladroite avec un sourire, tout en continuant à accepter la langueur qui s'était emparée de son corps, la chaleur de l'air, et la musique, s'infiltrant dans ses membres engourdis. La pièce fut plongée dans une pénombre plus accentuée, quelqu'un avait dû tourner le commutateur, et cela sembla convenir aux invités qui manifestèrent leur accord avec quelques " Oui ! ". Elle évoluait avec une telle sensualité, mais visiblement sans faire aucune attention à ce qui l'entourait, qu'il se trouva complètement subjugué, et son cœur battait d'une manière insensée dans son cerveau, dans ses veines. Il crut qu'il ne pouvait plus respirer, son cœur.
Jenny ouvrit à nouveau les yeux, et lorsqu'elle réalisa que le regard fervent de Rupert la clouait d'une admiration non déguisée, elle laissa échapper un soupir de détresse. Il ne ressemblait pas du tout à son Rupert, d'ordinaire si calme si posé, si discret et timide et réservé. Ses yeux étaient du plus parfait vert qu'elle n'eut jamais vu, d'un vert presque noir, chargé de tant d'émotions qu'elle en eut la gorge serrée. Et ses cheveux, sous un éclairage différent, étaient d'un brun doré qui n'avait rien de commun avec ceux, plus noirs de son bien-aimé. Jenny cessa de danser, et restait là, pétrifiée. Elle eut l'impression que le temps s'arrêtait tandis qu'elle détaillait ses traits durs, sa mâchoire admirablement carrée, sa bouche suggestive, et toujours ses yeux, d'un vert intense. Elle rougit profondément en se rendant compte qu'elle le fixait, et s'apprêtait à partir. A peine eut-elle fait quelques pas incertains parmi les danseurs, pour fuir sa gène, d'avoir été si audacieuse, son audace, fuir le monde qui l'entourait et fuir l'homme qui l'avait invité... C'est à cet instant, au même moment, qu'elle sentit une main sur son bras. Elle fit volte-face et retint son souffle en voyant qui se tenait à côté d'elle.
" Nous dansons ? " proposa-t-il avec une voix si caressante que Jenny pensait ne jamais retrouver l'usage de sa propre voix. Elle bégaya un mot d'excuse, mais il posa un doigt sur ses lèvres, et l'entoura de son bras ; ces seuls contacts suffirent à l'électriser tout entière. Elle comprit alors qu'elle ne partirait pas, et il le savait aussi bien qu'elle. Ils semblaient flotter l'un contre l'autre. Il la tenait dans ses bras d'une manière indéniablement possessive, une main sur sa taille, et l'autre sur son dos qu'il se mit à caresser lentement en remontant vers son épaule. La musique continuait toujours aussi langoureusement. Jenny avait l'impression de rêver. Elle se laissait guider, les yeux fermés, la joue contre son cou. Il émanait de lui un parfum très masculin, et elle se rendit compte que leurs corps étaient admirablement ajustés. Des ombres se mouvaient autour d'eux, mais elle ne voyait plus personne. Elle se sentait légère. Ses bras étaient maintenant autour de son cou, caressant délicatement les boucles de cheveux châtains qui perlaient sur sa nuque. Sans savoir comment ils étaient arrivés là. Elle le regarda avec des yeux si purs et lumineux qu'il perdit tout sens du réel. Il déposa des baisers légers sur le lobe de son oreille, puis enfouit son visage dans sa chevelure.
Elle ne parlait pas. Elle sentait ses boucles sous ses doigts, elle les caressa doucement, puis effleura sa nuque musclée, et ses épaules. Rien n'existait plus pour elle que ce rêve dans lequel elle s'enfonçait.
Une main brûlante glissa le long de son cou, et lui prit doucement le menton pour lever son visage. Les yeux fermés, elle sentit une bouche ferme se poser sur la sienne, et mordiller sa lèvre supérieure avec un désir contenu. Elle poussa un gémissement ; il continua sa caresse en la serrant davantage contre sa poitrine.
Puis sans se rendre compte de ses gestes de ce qui se passait tout autour d'elle et d'eux, il les menant un peu à l'écart de la piste de danse, les isolans, voulant être seuls, dans leur monde et leur univers, se moulant d'avantage, si c'était possible l'un à l'autre, la lumière de l'obscurité les isolant tout à fait, les faisaient littéralement disparaitre des autres, et les oubliant,
Jenny ouvrit les yeux à regret, en accord avec ses pensées et pour hochet la tête en signe d'acceptation de l'emmener à l'écart. Elle distinguait maintenant des visages qui les observaient, certains avec curiosité, d'autres avec amusement. Buffy détourna son regard. Elle connaissait si en aucun cas, pas du tout tous ceux qui l'entouraient, les gens et la sociabilisation ces temps-ci n'était pas en accord et en harmonie, et de spécialité avec son tempérament d'ordinaire... Rupert la serrait davantage contre lui, en lui murmurant près de son oreille, sa joue contre sa chevelure, la hument la respirant, et se délectant de sa chaleur, sa présence.
"Jenny... Jenny, je vous en prie laissez-moi encore danser avec vous... Accordez-moi toutes les danses jusqu'à plus tard ?... Je vous en prie."
La jeune femme n'avait pas de mot pour cela, ne croyant pas qu'il s'attendait véritablement à une réponse de ses mots chuchotée avec tendresse, dévotion et amour, elle ne put que hocher la tête en accord et acceptation... Son corps se moulant d'avantage au sien bougeant étroitement ; Elle lâcha son poignet et fit courir ses deux mains sur les revers de sa veste en tweet pour s'installer sur ses épaules. Pendant un moment, elle pensa qu'il allait juste rester là mais ses bras se serraient autour d'elle, l'un se posant sur le haut de son dos, l'autre sur sa taille. Il l'attira contre lui et commença à bouger sur la musique. Instinctivement, elle moula son corps contre le sien, passant son bras gauche autour de son cou. Dans une danse sensuelle, une danse intime tellement intime et enivrante dont les corps ne faisaient plus qu'un, les hanches bougeant contre des hanches, la poitrine contre une poitrine forte et masculine, une danse si l'on pouvait appeler cela une danse, n'en était plus une, des mouvements érotiques, amour, chaudes, sensuel... Sa main glissa de sa taille pour prendre son dos. Elle gémit, cambrant son dos et poussant son cul plus fort contre sa paume. Son pantalon déjà serré devenait très clairement inconfortable...
Rupert pressa son front contre celui de Jenny, la regardant profondément intensément dans les yeux, lui révélant dans un murmure de velours qu'il souhaitais lui offrir le même cadeau, le même présent qu'elle lui avait offert durant son précédant anniversaire et lui avouant révélant en confidence qu'il n'avait pas de cadeau pour l'instant ; en levant son regard chaud brun noir de derrière ses paupière mi-close, elle le regarda avec interrogation, ne se pensant plus clairement se demandant ce qu'il voulait, ce qu'il demandait ; il lui offrit un baiser, en l'embrassant avec intimité, tendrement doucement avec lenteur et langueur...
Ses lèvres chaudes sur les siennes, chaudes intimes, humides, des baisers dans la caverne humide, mutuellement de leurs bouches ; il lui mordilla les lèvres, le coin de sa bouche, il l'enlaça et l'attira contre lui. Son étreinte était à la fois forte et douce ; il plongea les lèvres contre son cou, le long du décolleté de sa robe, là où ses seins formaient un renflement tentateur. Il gémit contre sa peau. Elle sentit la tension de son corps contre le sien, et accepta ses caresses avec un plaisir qui s'insinuait en elle comme un parfum capiteux. Sa bouche était chaude et dévorante. De ses mains, il tenait sa taille d'une étreinte dominatrice. Si c'était un rêve d'une douceur encore plus bouleversante que tous ceux qu'elle avait fait auparavant. Il prit ses lèvres avec ardeur, elle passa les bras autour de son cou tandis qu'elle percevait leurs cœurs battre follement. Ils s'embrassèrent comme des amants séparés qui se retrouvent après de longues années. Ses seins s'écrasaient contre son torse dur, et la chaleur de son corps lui montait à la tête. Sa bouche continuait à descendre dans son cou, puis remontait fiévreusement sur son menton, ses joues, le creux de ses oreilles. Elle restait immobile et délicieusement lovée contre lui, la tête renversée en arrière. Elle le sentit trembler contre elle, puis il reprit sa bouche avec passion. Ils s'arrêtèrent brusquement, hors d'haleine.
C'était si intime si doux si tendre, l'embrassant une dernières fois, prenant ses lèvres à nouveau, un dernier bisou, il prit sa lèvre inférieure dans la sienne, la suçant lentement doucement avec intimité, lenteur, la gardant entre les siennes quelques instants, quelques secondes, avant de la relâchait.
" Partons d'ici " chuchota-t-il ardemment en s'immobilisant. Ils devaient aller ailleurs, ils devenaient de plus en plus conscients de leurs environnements et où ils se trouvait et avec qui, dans un endroit rempli d'inconnus...
" Vous venez ? Venez avec moi " murmura-t-il. Elle le regarda et lui sourit. Sans imaginer à quel point son merveilleux sourire était une invitation. Il reprit sa respiration bruyamment. Ils se frayèrent un chemin à travers les pièces, suivis par quelques regards curieux. Il passa son bras autour de sa taille pour la guider vers la porte d'entrée. Dans le hall, il la garda serrée contre lui. L'air plus frais de la nuit la fit frissonner. Une nouvelle page, un nouveau tournant de sa vie commença, un nouveau tournant, une nouvelle vie et cycle commença débuter…
En sortant du restaurant, Jenny eu des frisons de l'air de l'été, un sentiment de craintes mais à la fois d'appartenance à l'inconnue la subjugua en l'emportant, en se posant des questions sur l'inconnue, attirait inexorablement par des questionnements incessant, voulant vivre, voulant gouter la vie, essayer de bouleverser son existence encore et encore, voulant essayer toujours de nouvelles choses, elle ne restait pas, jamais dans la routine où une vie lisse et facile, ce sera ainsi qu'elle, le soirée même de son anniversaire qu'elle s'était jetée dans une sortie avec un homme qui la mettait mal à l'aise et dont l'attention la mettait en rage, la bouleversait, la mettant en émoi, bouleversait et faisant réaliser que ses sens, ses émotions et sentiments opposaient tellement des aiguilles, des boussoles, et tel une saison et le temps la faisait mettre en opposition, et la rendit incertaine, peu sûre d'elle et voulait faire naitre de nouveaux sentiments, des sentiments si intimes si profond si amoureux et romantiques que cela la bouleversât...
C'est dans ses pensées que Giles l'avait guidée et accompagnée jusqu'à l'intérieur de sa voiture, la faisant entrer et aider à attacher sa ceinture de sécurité, et conduisit, la voiture sous les étoiles, juste avant de lui demander où elle désirait aller et ce fut à cet instant qu'elle s'aperçut en se rendant compte qu'il connaissait très bien ces collines, et qu'il les affectionnait et aimait en avait le gout pour cette tranquillité rechercher et ce repos et ce lieu de cachette... Ils avaient une fois de plus un autre des points communs.
Profitant que la prochaine petite rue sur la droite conduisait à l'extérieur de la ville, vers la colline surplombant Sunnydale, La circulation était inexistante. Quelques familles étaient parties en montagne près des sources d'eaux, et beaucoup restaient tranquillement chez eux pour l'été où partaient au lac où à la mer, Jenny fut saisie d'une impulsion et manœuvra de façon à prendre le chemin. Mieux valait conduire un peu sur cette route qu'elle adorait, dans la lumière agréable de cette journée d'été finissante, que de demeurer dans les embouteillages. Après quelques instants, elle s'engageait dans la direction de Ming River.
Il y avait plusieurs voitures qui revenaient, cela demeurait une destination appréciée des habitants de la petite cité, et particulièrement des couples. Au moment où elle arriva au sommet, et qu'elle descendit de son véhicule, elle fut à nouveau saisie de plein fouet par une vague de souvenirs dont la force la surprit. Brutalement, elle eut la sensation de se retrouver plusieurs mois en arrière, à l'instant où elle avait entraîné Rupert dans une promenade impromptue. Ou était-ce lui qui l'avait entraînée ? Pour causes de lutte verbale, de lutte de punition pour s'être insulter mutuellement et voulu être addictives à leurs luttes verbales, combats verbaux qui se déroulaient toujours entre de façon intime et particulièrement en priver vivant pour cela, étant oppressant et ayant une certaine hâte de le vivre, faisant des paris, des défis, en ayant plus ou moins des limites, cela allait de soi bien sûr, en se mettant à l'affut et mettant au résultat de l'adrénaline et du positive dans cette relation particulière... Elle s'était prise d'affection pour celui dès l'instant où elle aperçue cette colline, où le jour où Jenny emménagea, ses yeux se posèrent sur les collines, la vue de l'horizon de Ming River qui surplombèrent la cité de Sunnydale
Quand la voiture prit les lacets qui montaient sur la colline, le ciel était devenu plus menaçant, et une atmosphère étrange semblait recouvrir la petite cité. Buffy ne pouvait s'empêcher de penser qu'un jour Rupert allait repartir très loin d'ici, qu'il n'était aux Etats-Unis que sans doute pour une courte période de sa vie, sa véritable existence n'était qu'en Angleterre, et elle ne comprenait pas pourquoi cette perspective la paralysait.
Le trajet lui parut très court, et quand il vint lui ouvrir la portière, elle s'empressa de marcher à vive allure vers l'endroit qu'elle affectionnait.
Jenny se laissa tombait en se reposant sur l'herbe sèche de saison, arrivait au terre-plein, observant regardant les étoiles de minuit, mille et une étoiles célestes du cosmos dans tous ses états, la galaxie plus loin que le lointain des mystères, plus loin que des boules de feu, que les planètes que les galaxies ; Une galaxie est un assemblage d'étoiles, de gaz, de poussières, de vide et peut-être essentiellement de matière noire, contenant parfois un trou noir supermassif en son centre. Une planète est un corps céleste orbitant autour du Soleil ou d'une autre étoile, possédant une masse suffisante pour que sa gravité la maintienne en équilibre hydrostatique, c'est-à-dire sous une forme presque sphérique, et ayant éliminé tout corps « rival » se déplaçant sur son orbite ou sur une orbite proche ; Planète et étoile diffèrent en ceci que l'énergie lumineuse rayonnée par une planète ne provient pas de son sein propre mais de l'étoile autour de laquelle elle gravite (toute planète émet des rayonnements électromagnétiques, généralement dans l'infrarouge en raison de sa faible température. Même si cette opposition entre production et réflexion de lumière garde une part essentielle de sa pertinence, elle pose quelques problèmes conceptuels de définition. Le système solaire, le nombre infini qui pouvait y en avoir dans la multitude, de l'étendue de l'espace, À la suite de la formation du Système solaire, les planètes — et la grande majorité des autres objets — gravitent autour de l'étoile dans la même direction que la rotation du Soleil, soit le sens antihoraire vu du dessus du pôle Nord de la Terre…
Giles s'assit à ses côtés, l'observant, la regardant du coin de ses yeux d'un œil attentif et préoccupant ne voulant briser la plénitude et le moment céleste, intime, et religieux dans lesquels elle se trouvait, puis à un moment, Jenny tourna son beau regard vers lui, et lui sourit faiblement et timidement, une timidité rare et laquelle il ne s'attendait jamais, et discuta tous les deux ; de la nuit, de chaque anniversaire qu'elle a eu durant le passée, et partager avec sa famille, sa sœur... Discutant ensuite, aussi, du ciel, du paradis, des étoiles de la merveille et le conte de fée d'il était une fois l'espace... Et de d'autres sujets, et bien d'autres, si seulement bien sûr, c'était si simple, si facile, si le monde, leur monde était si beau et moins fragile...
Au bout d'un instant, d'un moment, de quelques époques de durée volée Jenny se redressa pour se lever, en marchant dans l'herbe, aimant venir ici dans cet endroit car le ciel était plus vaste, si vaste et beau beaucoup plus brillant, beaucoup plus libre, et ainsi de loin on pouvait y distinguer l'océan... Ils marchèrent en silence sans jamais croiser le regard de l'autre, dans une atmosphère et un silence de plus en plus quelque peu détendu.
"Je n'avais rien d'approprié et de matériel pour vous à votre anniversaire, » commençât-il en fouillant la poche droite de son pantalon. "Alors j'ai pensé que vous aimeriez peut-être..." Il lui tendit un petit paquet enveloppé maladroitement dans un papier argenté. Elle le regardait avec des yeux étonnés mais néanmoins accepta le cadeau.
Arrachant le papier avec un peu de maladresse, elle découvrit un pendentif dont le lien du cou était une cordelette tressée de tissu et de corde, et le pendentif en cuir souple avait une forme arrondie. C'était très délicat dans sa simplicité, mais, ce qui la toucha infiniment fut de découvrir son nom Jenny gravé au centre du pendentif.
Elle leva vers lui des yeux heureux.
"C'est très joli..."
Il se tenait, rigide, son visage penché de côté, dans un air contemplatif silencieux, relaxatif, hypnotique de détente. IL lui prit le petit collier des mains, en lui souriant, lui murmurant qu'il voulait l'aider et le laisser lui mettre autour du cou, soulevant sa masse de cheveux.
Elle tressaillit à ses mots et son regard se chargea d'incertitude.
"Où l'avez-vous trouvé ?" demandât-elle en conservation et voulant combler le silence qui devenait oppressant et ne voulait plus qu'il y ait du silence entre eux, ça devenait trop, trop d'un seul coup et elle n'en pouvait plus, alors qu'il se plaçait derrière elle et faisait passer le bijou par devant.
« Dans une petite rue du centre-ville, j'ai remarqué un marchand ambulant. Et son travail était remarquable. Ce n'est pas grand-chose, mais... »
"Je l'aime beaucoup," chuchota-t–elle alors qu'elle soulevait la masse de ses cheveux pour qu'il puisse accrocher les deux parties ensemble. Elle se raidit quand elle sentit son souffle dans son cou, mais il était à nouveau devant elle et la regardait. Il lui prit le menton et passa son pouce sur ses lèvres tremblantes.
"Il vous va bien. J'aime quand un collier entoure le cou de près, surtout quand…" Il se rapprocha et il était à présent juste à quelques centimètres de son visage. "...quand il est aussi gracile que le vôtre," terminât–il en déposant un baiser au creux de son oreille, sa peau brune avec dans sa beauté son petit grain de beauté près de son cou.
Il se redressa aussitôt, faisant face à Jenny. Il lui sembla soudain si proche, menaçant et vulnérable à la fois. Une rafale de vent les fit vaciller mais il ne détacha pas ses yeux bleus de la contemplation des traits de Jenny. D'instinct elle recula.
"Rupert !" dit-elle d'une voix qui contenait un avertissement. Mais il attrapa son poignet et la retourna vers lui. De son autre main, il l'attira contre son torse. Elle se débattit et il eut un rire rauque. Cependant la sensation de ses muscles plaqués contre elle en tout point de sa propre chair la fit fondre, comme la glace au soleil. Elle poussa seulement un petit gémissement quand il embrassa ses lèvres avec une faim qui exigeait une réponse.
Elle s'agrippa à ses épaules pour conserver son équilibre. Il lui tenait toujours le poignet serré comme dans un étau, mais elle n'écoutait que le plaisir grandissant à l'avoir contre ses seins, contre son ventre, un plaisir qui venait en vagues brûlantes.
La bouche de Giles semblait vouloir tirer l'âme de Jenny hors de sa protection. Il la dévorait, et, seuls au sein de cette nature dont les forces peu à peu se levaient sous la forme d'un vent plus violent, de nuages énormes qui grondaient au-dessus d'eux, alors que la lumière baissait inexorablement, ils devenaient un seul être. Elle ignorait qu'un baiser pouvait être cela : une impitoyable affirmation de puissance, l'assurance de droits incontestables, l'invasion de sens qu'elle ne connaissait pas. Il détacha sa bouche d'elle quelques brèves secondes. Puis il captura à nouveau les lèvres douces, offertes. Elle vacillait, l'esprit et le corps en feu, la nuque en avant contre son visage, sous l'assaut de baisers plus avides et furieux que jamais.
Il murmura son nom encore et encore, parlant murmurant des paroles douces et caressantes, affectueuses, qui ne voulait pas de réponses, il y avait assez de paroles dans ses mots venant de lui pour eux deux... La suppliant de l'attendre, en lui laissant une chance d'être avec lui, d'attendre qu'il pourrait revenir à Sunnydale de façon de manière permanente quand le jour où il devra revenir en Angleterre, d'attendre d'être patiente, et lui laisser des chances d'avoir un jours une relation à deux, de les laisser s'organiser de se mettre chacun de leur côté à ses dispositions... Croyait-elle qu'il pouvait partir d'elle s'en aller alors qu'il avait le souvenir d'eux parfait ensemble ? Elle devait lui dire qu'un jour... Un jour il aurait une chance, une simple chance, de s'aimer...
Elle ressentit une explosion brutale de joie et de douleur. Ces quelques moments avec lui ne l'avaient pas préparée à cette révélation terrifiante.
« Rupert. Taisez-vous ! je vous en prie, taisez-vous, » criât–elle avec un sanglot dans la voix, ne voulant plus en entre d'autre, des espoirs, des faux espoirs, de la joie, une joie de vivre, d'une vie normale, d'une vie sans peur et elle ne voulait pas qu'on lui promette qu'on lui fasse voir la vie sous un nouvel angle de croire que tout était possible, de croire l'impossible.
Il la tenait toujours par les épaules, il haletait et passait des yeux hagards sur l'ovale parfait du visage de la jeune femme... Il voulait tout lui montrais et faire vivre comme une jeune femme normale, lui faire voire sa nouvelle année d'un nouvel angle, alors que sa nouvelle année d'une nouvelle aire, un nouvel âge d'or une page tournante de sa vie pour que son année passe et arrive au mieux... Et voulait rien laisser passer... Sa vie était dorénavant avec lui, et lui avec elle et les choses étaient ainsi...
Sa vie était avec lui, mais Jenny ne le voyait pas comme cela de ce point, car tentant de lutter, tentent de se débattre, elle lui disait obstinément que sa vie n'était pas avec elle, ni à Sunnydale sur un long terme, et elle voulait le blesser pour la faire espérer, rêver et vivre, alors qu'elle savait avec sureté et certitude que sa vie ne serait jamais ainsi que son oncle ne le permettrait jamais ; son monde ne serait jamais comme ça, jamais, en il en sera toujours ainsi, c'est ainsi, tel était l'image noire que se peignait Jenny Calendar en ces jours sombres et en cet instant...
Sa gorge émettait un son bruyant. Elle voyait la veine dans son cou battre si fort, et ses narines frémissaient. Il laissa retomber ses bras le long de son corps, parut chercher à reprendre son calme. Il ferma les paupières puis les rouvrit. "Jenny..."
Il appuya sa bouche entre son cou et son épaule. Le premier bouton de sa veste était défait et offrait un accès à sa peau. Il la reprit contre lui et les mains d'elle se retrouvèrent prisonnières entre leurs poitrines. Il posa son front contre le sien. Elle écoutait le rythme tourmenté de son cœur, et recevait dans son dos, dans ses reins toute la séduction et l'intense possession de ses mains autour de sa taille. Puis brusquement son visage sembla se figer. Et, à la stupeur de Buffy, il s'écarta à peine, son bras gauche une étreinte de fer autour d'elle...
De quelques manières que ce soit et se demandant brièvement s'il n'était promis, promu en se dotant d'un ... il n'avait pas un sixième sens en ce qui concernait l'absence de vide dans sa vie, et le fait qu'il y ait d'autres hommes qui tentaient de flirter avec elle, et qui lui apportaient des attentions, ou que son cœur pouvait disparaitre et le quitter momentanément et s'absenter en l'oubliant et le laissant. Il semblait lui proposer quelque chose chaque fois que ce dernier de son âme était occupé par ailleurs. Malgré son apparence décontractée, elle perçut aussitôt une différence dans son attitude. Et elle se sentait entraînée par la force sauvage de l'émotion difficilement contrôlée qu'elle sentait chez lui...
D'une étrange façon, il sut que Jenny lui cacha quelques choses, certains secrets, tel que le message qui s'était voulu anonyme et privé de Craig d'affection et qui était presque amoureux de Craig en voulant lui rappeler à qui elle appartenait réellement et non à Rupert Giles, pour sa fête, mais Jenny s'était hérissée et était devenue furieuse jamais et à personne elle n'appartenait à quiconque, elle lui avait renvoyé et clairement fait comprendre qu'elle refusait ses vœux et ni son amour et encore moins accepta ; ensuite le plus affectueux le plus tendre et sincère de ses soupirant non désirait et qui fut un ami d'enfance, Ralph, qui venait de Roumanie et appartenait à la même famille, le même clan et lien du passé, et lui offrir un gage de son attachement pour elle, un présent et un cadeau symbolique ; Jenny, elle avait oublié qu'elle avait accepté hier au soir ce bijoux quand il lui fut livré en colis recommandé, en gage de fiançailles non officielles, d'amour enfant, entre elle et Ralph.. Elle avait oublié qu'elle était censée frémir et soupirer dans les bras d'un autre homme qui la courtisait depuis plusieurs mois, même si c'était plus réel avec Rupert que Ralph, ce n'était que rien, qu'une aventure un amour idéal et l'homme parfait qui convient à sa famille, la sécurité, la respectabilité et une situation des plus honorifique, et rien qui ne comptait rien d'un amour de passage, rien qui vaille la peine de rester... Elle avait oublié car Rupert Giles la rendait différente de la jeune fille, la jeune femme sereine et enjouée qu'elle avait toujours été.
Giles était sidéré, figé, fait de glace tout son corps gelant, le monde s'écroulant ses rêves se brisant, n'avait-il pas l'air, ne serait-il pas ridiculisé quand il ne fut pas le seul, le seul peut-être dans le cœur et les pensées de cette femme, mais ce qu'il ne savait pas ce qu'il ignorait, c'est qu'elle était prisonnière et terrifiée de sa réaction, il le dit, dit-il d'une voix hachée en s'éloignant vivement en arrière ; Il ne pouvait pas finir sa phrase.
Ils restèrent d'éternelles minutes face à face et elle aurait voulu que la terre les engloutisse. Cette femme qui lui plaise mais qu'un autre eu le privilège de lui offrir quelque chose de plus beau qui eut le plus privilège d'avoir déjà eu le sourire unique et étincelant de Jenny, il eut peur qu'elle choisisse un autre plutôt que lui, qu'il passera en dernier, qu'on lui refuse d'être en elle.
Mais elle ne l'aimait pas c'était sûr, et il ne se privé pas pour le lui dire, il voulait lui faire comprendre la colère, l'aveuglement et la fureur l'emporter sur sa, la raison, il l'enveloppa d'une telle intensité, une telle faim, une telle sureté et sûr de lui, que cela lui fit peur en grande possessivité qu'elle ne connaissait, en voulant faire comprendre que Jenny Calendar n'appartenait à personne d'autre et n'a que Rupert Giles...
Elle s'effraya du pouvoir qu'il avait pris sur elle en l'espace d'une semaine.
Et ils eurent une lutte verbale cinglante, forte, impressionnante tonitruante atroce... mais elle ne posséder que de très faible et plus d'argument, que des phases et de derniers mots qui n'avait plus de sens et ne menait plus à rien, au grand final... Sur ses faibles paroles, Il rejeta la tête en arrière et éclata de rire. Alors elle l'attaqua de ses petits poings, prise d'une grande rage et fut stupéfaite et horrifiée du manque de respect et de tact qu'elle connait habituellement si bien chez Rupert, de ses pieds. Il reculait pour éviter les coups, puis finalement l'attrapa par les poignets et l'entraîna sur l'herbe sèche de la butte. Elle luttait encore mais il l'emprisonna entre ses jambes et fit en sorte que les bras de Jenny se retrouvent également sous lui. Mais elle se tortillait et dégagea son bras droit, le griffa sur une joue. Elle regarda avec fascination et stupeur un filet de sang qui y coulait. Il avait perdu ses lunettes et son regard semblait plus sombre, plus brûlant. Elle agrippa sa nuque et lui mordit la lèvre inférieure.
Il poussa une plainte animale mais répondit à son baiser avec une furie passionnée. Puis leurs lèvres se firent plus tendres, plus hésitantes, et elle se détendit sous l'assaut répété de sa bouche qui fouillait la sienne, de sa langue qui s'enroulait et suçait son palais, de ses hanches qui ondulaient doucement entre ses cuisses. Il s'était soulevé sur un coude et de sa main droite, il la caressait. Quand il enveloppa complètement un sein après qu'il ait défait tout le fin tissu de son buste... En se penchant, il dit qu'il ne pouvait pas la quitter, qu'il l'avait en lui et que c'était le seul objet de personne qu'il pouvait penser si avec peu de clarté à nouveau sur les lèvres offertes, humides.
Elle répondait à ses lèvres tout en bougeant son visage. Son esprit et son corps menaient une lutte, et il la relâcha, essoufflé. Il la fit taire encore avec possessivité. Pendant quelques minutes qui avaient une saveur d'éternité, Rupert se noya dans la douceur veloutée de ses lèvres, buvant ses halètements et respirant l'air qu'elle lui offrait. Comment pouvait-on être si heureux et si désespéré, se demanda–t-il, continuant l'assaut de ses lèvres si douces, modelant son corps dur contre la paroi souple du ventre de Jenny... Il releva la tête brièvement, contempla la lueur de désir sauvage qui devait refléter le sien, mais une colère certaine flambait inexorablement, et quand il voulut la posséder à nouveau, elle le mordit plus fort. Et profitant qu'il tressaillait sous la douleur, elle se dégagea de toutes ses forces, se remit debout, les jambes tremblantes.
Ralph pouvait être si tendre et attentionné, si persuasif, la veille au soir. Et elle avait été secrètement flattée de provoquer une telle attention amoureuse chez cet homme séduisant, de son âge, qui la couvait d'une expression attentive. Elle ne pouvait pas nier qu'elle avait été stupéfaite, quand il lui avait présenté l'écrin de velours au centre duquel étincelait un diamant simple, pur, monté sur une bague en or blanc, alors qu'il lui était présentée dans du papier en colis, et lui avait téléphoner tout ceci pleine et profondément calculer étant donné que c'était prévu et rendu parfait aux yeux de sa famille, si précis. Et il avait aussitôt murmuré que cela n'avait rien d'officiel, qu'il ne voulait pas la brusquer. Mais que cela prendrait une signification particulière pour eux deux, en attendant de fêter cela en famille, d'ici la fin de l'année civile durant la fête de noël, mais cela était si faux, si superficiel non réel, et pas le moins sincère car ne se connaissant pratiquement voire pas du tout.
Pourquoi sa joie d'accepter lui apparaissait-elle absurde à cette minute ? Rupert lui brouillait l'esprit, en ces instants volés et cet été plus que jamais il était si différent d'habituellement, la jetait dans une confusion anormale.
Elle ne voulait plus rien laisser paraitre, elle voulait se vider, elle était désespérée et il ne comprenait rien, elle voulait pouvoir aimait librement quiconque s'en rendre des comptes à personne. Elle s'étonna de pouvoir tenir debout, encore après toute ces émotions. Il la prit doucement par le bras et elle leva son visage vers lui. Ses yeux étaient devenus suppliants, la suppliant lui demandant de lui pardonner encore et toujours pour stupidité et maladresse. Affolée, bouleversée, elle balbutia, qu'elle ne pouvait pas faire cela encore, elle n'avait de ne rien faire et voulait tout ce qu'elle voulait et désirait, c'était rentrer chez elle et être seule dans sa chambre blottie en boule dans son lit...
Il ne comprenait rien, lui répétant encore et encore que ce n'était pas ce qu'il croyait ; elle ne croyait plus en l'amour, et le désire qui se moquer de tout de ce feu ardent de la confiance et la raison... Et ne voulait refuser de s'expliquer se sentant insulter, humilier et blesser dans sa dignité et son amour de soi...
Elle savait et était résignée de vouloir croire en cette histoire en cette belle relation qu'ils s'apprêter à construire, sachant que c'était peine perdue, qu'il n'y avait plus d'espoir que Rupert ne lui faciliter plus la tâches et refusant de lui donner ce qu'elle voulait et ne se laissant plus faire… Et c'est ainsi qu'elle s'enfuyant qu'elle fit la seule chose pour lesquelles elle était douée ces temps si, fuir. Fuir son amour et la personne qu'elle aimait…
Sans réfléchir à ce qu'elle faisait, Willow se leva, se retourna et se précipita devant Giles. Les larmes ont commencé à strier sur son visage. Giles a appelé son nom, mais elle ne s'est pas retournée. Elle dévalait en marchant tel une furie la colline, ne regardant n'écoutant rien sur son passage, passa et contourna la petite voiture de Rupert.
Une fois qu'elle avait obtenu quelques pâtés de maisons plus loin, Jenny éclata en larmes pour de bon. Elle s'est effondrée sur un banc de parc, grimaçant à la douleur de s'asseoir. Elle ne pouvait même pas identifier ce qui la contrarierait si autant. Ce n'est pas qu'elle était désintéressée de Giles de cette façon. Ce n'est même pas qu'elle n'aimait pas la sensation, les sensations mais ne supporter plus ce qu'il lui faisait. Elle s'est sentie dépassée. Elle a paniqué. Elle avait besoin de partir.
Réalisant qu'il n'était probablement pas intelligent d'être seul la nuit avec un démon nécromancien fou courir autour, Jenny se leva et a commencé de l'autre côté de la rue. Elle se sentait un pincement vif de l'embarras à la façon dont son fond se sentait chaud et comment il commençait déjà à se sentir mal comme elle marchait à la maison.
Giles a appelé la jeune femme alors qu'elle s'enfuyait par la porte arrière de la Boîte Magique. Il a fait quelques pas à sa poursuite, puis a traqué en arrière, en pensant mieux de lui. Après un moment, il a commencé à marcher vers la voiture mais encore une fois il a changé de cap.
Appuyé avec ses paumes sur son front, il fut bercé par une vague de dégoût pour lui-même et ses actions. Il poussa le coffre de toutes ses puissances, l'envoyant basculer dans une armoire à armes, voulant souhaitant brisant les portes vitrées.
Il arpentait le sol, la terre battue comme un animal en cage, si furieux de lui-même qu'il pouvait difficilement penser droit. Tout ce qu'il pouvait voir, c'était le regard sur le visage de Jenny alors qu'elle se retourna et s'enfuit. La rage a traversé lui. À ce moment-là, il aurait pu prendre à peu près n'importe qui dans une bagarre, peut-être même Buffy.
Il aperçut l'horloge et se rendit compte qu'il se faisait tard et Jenny retournait seul à la maison. Elle n'est peut-être pas en sécurité. Sa rage cligna des yeux hors de l'existence comme il pensait à Jenny étant en danger. Sans hésitation, Giles saisit ses clés de son bureau et se prépara à aller après elle. La vue du sac et du manteau de Willow a attiré son attention. Elle ne les avait pas attrapés en s'en va, évidemment. Il les a ramassés et c'était enfermé dans l'habitacle.
Giles n'a mis qu'une minute ou deux pour la rattraper, mais il n'a pas pu se présenter à l'approcher. Je vais rester près d'elle pour que si quelque chose devait arriver, même s'il était persuadé et était certain et ne se doutait pas qu'elle savait se défendre si besoin était, je puisse faire attention à elle. Il a gardé sa voiture à distance, s'assurant qu'il n'attirera pas son attention. Finalement, elle est arrivée à la maison et est entrée. Giles a garé sa voiture en face de la maison et a poussé un soupir de soulagement.
Il laissa sa tête tomber en avant et cacha son visage dans ses mains. Il était certain, absolument certain, qu'il avait complètement ruiné son amitié avec elle, ne voulant plus lui faire confiance voire peut-être pire. Il avait franchi une frontière d'une marge si importante qu'il ne pouvait même plus voir la ligne, en voulant lui faire l'amour, en voulant l'embrasser. Et il a peut-être fait de réels dégâts à sa guéri son. Il pouvait se dire tout ce qu'il voulait, qu'il essayait de l'aider, tester une théorie, lui donner ce dont elle avait besoin, mais ce sont des excuses conçues par les parties les plus égoïstes et déviantes de son cerveau. Il se sentait physiquement malade.
Il leva les regarda vers la chambre de Jenny et vit que sa lumière était toujours allumée, l'observant et surveillant toutes les lumières qui s'éteignirent. Il a imaginé qu'elle n'était peut-être pas très somnolente. Il soupira pensivement. Puis, du coin de l'œil, il a vu Jenny rentrer, il ne voulait guère avoir à lui expliquer pourquoi il était assis dans sa voiture devant sa maison au milieu de la nuit. Il s'est glissé dans le siège et espérait le meilleur. Heureusement, qu'elle est allée directement dans la maison sans même se prononcer.
Il les a soigneusement disposés près de la porte d'entrée afin qu'ils soient facilement découverts le matin. Quand il est revenu dans sa voiture, il a jeté un dernier coup d'œil vers la fenêtre de la chambre de Willow, la lumière brille encore, puis a commencé la voiture et s'en alla.
Jenny avait poussé un soupir de soulagement d'être seule, se faisant une tasse de thé avant de se retirer dans sa chambre pour réfléchir à ce qui s'était passé... En se disant que le reste de ses vacances s'annonçait en aucun cas pas du tout reposant et encore bien long, la rentrée ne pouvait arriver aussi vite...
Résumé : partie 4 de la seconde partie, les vacances de Jenny, ; les instants voler d'une fête nationale et l'anniversaire de Jenny : Le jour de la fête nationale, Jenny revit Rupert Giles, de la passion les fit succomber et d'ancien sentiments refirent leur apparition, l'intensité de leurs moments et instants passer étonna Jenny sur l'ancien passé de Giles… Et son anniversaire fut loin d'être désagréable mais aussi intense…
