Résumé : Lyana progresse dans la grande maison. Après avoir résolu l'énigme du croc de loup et celle des trois sirènes, elle a récupéré la clef "East", puis la clef "West".
Elle fait alors la connaissance de "la Dame" qui lui propose un marché : elle donnera la clef "North" à l'inspectrice, si Lyana lui récupère un bijou particulier qui est caché derrière une porte fermée par une serrure "South".
Afin d'obtenir la clef "South" Lyana doit fouiller les sous-sols où elle était enfermée deux heures plus tôt, mais tombe dans un piège tendu par les jumelles : une véritable arène où elle doit se défendre face à des chiens morts vivants et des mordeurs.
Après s'être débarrassée des chiens, Lyana tombe nez-à-nez avec deux autres créatures inquiétantes : des lickers ...
CHAPITRE 6 : SOUTHSIDE
Je levais le fusil et fit feu, mais les créatures étaient bien trop agiles, mes cartouches atteignirent le mur et les grilles, tandis que la monstre avait fait un bond en avant, je dus me jeter au sol pour esquiver les coups de griffes.
Tournant sur moi-même, je faisais feu sur la deuxième créature qui, elle aussi, esquivait le tir.
Il me restait trois balles, je ne pouvais pas me permettre de tirer n'importe comment.
Consciente que je ne les aurais pas ainsi, je me dirigeais rapidement vers les cartouches renversées sur le bureau, mais la langue d'une des créatures me saisissait à la gorge. La forme souple me serrait et m'empêchait de respirer et c'est qu'il avait de la force l'animal !
Des petites tâches jaunâtres commencèrent à danser devant mon regard, j'étais en train de perdre connaissance, il fallait absolument que je trouve une solution.
Fébrilement, je posais le fusil sous la langue et fis feu, mais le canon glissait et les cartouches touchèrent le plafond. La seule chose qui en tombait fut le plâtre sur mon visage.
De ma main libre, je saisissais la langue et de l'autre, à une main je fis feu, la puissance du tir me fis lâcher l'arme qui rebondissait sur le sol accompagné par le bout de langue. La créature poussait un cri, tandis que son autre ami s'apprêtait à charger.
J'esquivais le saut, mais sentais une main s'emparer de ma cheville, c'était l'un des morts-vivants dont j'avais explosé les genoux un peu plus tôt.
D'un coup de pied rapide je dégageais la prise et lui écrasais la tête. Un autre mort-vivant me saisissait aux épaules et tentait de mordre ma jugulaire, je remuais et plaçais mon épaule dans le chemin, sentant la morsure glacée des dents du monstre se plongeant dans le haut de mon bras. Je hurlais de douleur avant de le repousser en arrière, le mordeur chutait emportant un autre mordeur dans sa chute.
La créature à la langue sectionnée était suspendue au plafond et me plongeais dessus, j'esquivais non sans sentir une brulure sur mon flanc, tandis que le monstre venait d'achever par erreur les deux mordeurs.
Rampante, je tentais de m'emparer du fusil que j'avais laissé choir. La langue de l'autre créature me saisissait la cheville avant que je ne puisse m'en emparer, je forçais de toutes mes forces et m'emparais de mon arme.
L'autre monstre poussait un cri et me sautait dessus au moment je m'emparais de l'arme et me tournais. En plein saut, elle ne put esquiver le tir qui lui explosait la tête. Des amas de chair sanguinolents et des morceaux de son cerveau apparent se déversèrent sur moi.
Crachant les bouts de viandes explosés, je visais la gueule de l'autre monstre qui lâchait ma cheville et tentait une esquive ... Trop tard ... Sa jambe volait en éclat.
Loin d'avoir dit son dernier mot le monstre tentait une attaque, sa langue s'enfonçait violemment dans mon épaule déjà meurtrie.
Je levais le fusil, tremblante et fit feu, lui explosant la tête à son tour.
Titubante, je commençais à chercher parmi les cadavres. Le troisième cadavre était le bon : l'hispanique au t-shirt jaune avait la clef "South" dans sa poche.
Souriante, je la glissais dans ma poche arrière avant de commencer à perdre connaissance …
Je me réveillais doucement, ma tête me faisais mal et mes diverses coupures, morsures et autres bleus me faisaient souffrir. Au-dessus de moi, je pouvais voir Irma posant un regard inquiet sur moi.
- Ou suis-je ? Et vous ? Je vous croyais morte ?
Irma me montrait son flanc gauche en partie blessé et recouvert d'un épais bandage.
- Rappelez-vous, je suis immortelle ... Je me suis permis de vous soigner.
- Je Merci, mais ... Pourquoi vouloir m'aider à ce point ?
Elle se mit à sourire d'un air maternel.
- Pour moi c'est trop tard, mais si vous pouvez mettre un terme à tout ce bordel, je me dois de vous aider à chaque moment de lucidité que je puisse avoir ... Et puis ... Vous me rappeler ma fille ... Ma petite Chelsey ...
- "Chelsey" ? Vous êtes la mère de Chelsey Britt ?
La gouvernante acquiesçait d'un signe de tète.
- Je suis venue ici pour trouver des indices pour la retrouver, vous savez où elle est ?
Une larme se mit à couler sur la joue d'Irma.
- Elle est ... Morte ...
Je haussais un sourcil, quelque chose ne collait pas.
- Attendez, c'est illogique, nous n'avons jamais retrouvé son corps ...
- Pas "morte" dans le sens ou vous l'entendez ...
- Oh - Fis-je en comprenant.
Je m'étais demandée si Chelsey avait dû faire face aux mêmes problèmes que moi, visiblement oui, mais elle n'avait pas réussi à quitter les lieux semblait-il.
D'un geste amical, je saisissais la main d'Irma.
- Je vais vous venger Irma, c'est promis. Je vais trouver le vaccin et faire payer ces enfoirés !
J'étais décidée de combattre, mais mon interlocutrice semblait ne pas être d'accord.
- Non, ils sont trop dangereux ...
- Ils doivent bien avoir un point faible ?
Irma semblait réfléchir, mais ne trouvait pas de solutions.
- Le virus que nous combattons ... Celui qui coule dans vos veines ...C'était un vieux projet d'Umbrella Corporation, une sorte de prototype d'un virus développé ensuite par les laborantins qui vivaient ici. J'ignore qui est à l'origine de cette nouvelle version, mais arriver à donner une conscience à des créatures anthropophage c'était ... Brillant ...
"Brillant" ? Drôle de qualificatif ...
- Certes, mais ces choses doivent bien avoir une faiblesse, personne n'est infaillible, toutes les armes ont un manuel.
Irma soupirait.
- S'il existe une faiblesse, je ne la connais pas. Je ne veux pas avoir l'air d'une groupie, mais le créateur de ce virus a, semble-t-il, réussi à créer une arme sans défauts.
Je baissais les yeux, cherchant une solution, mais n'en trouvait aucune.
- Peu importe, moi j'y arriverai : j'ai éliminé deux de ces monstres bizarres, vaincu cinq morts-vivants et trois chiens infectés, je ne me laisserai pas démonter aussi facilement !
Déterminée, je m'emparais de mon fusil et observais les lieux : j'étais dans l'une des cellules. Je sortais et récupérais les cartouches restantes, les déposant toutes sur le bureau. Je récupérais la ceinture du gardien de sécurité pour glisser les cartouches dans les encoches.
Je me devais de faire le point : un fusil à pompe avec plusieurs cartouches, deux clefs en ma possession : la clef "West" qui m'était désormais inutile seule et la clef "South" qui allait me permettre de trouver le bijou de la Dame et de récupérer la clef "North"
Il me restait à retrouver la clef "East" et je pourrai enfin quitter cet endroit.
- Prenez ça - Dit Irma.
Je regardais ce qu'elle me tendait : une sorte de mélange d'herbes.
- Cela devrait atténuer la douleur et soigner vos blessures un peu plus rapidement.
J'avais le mélange d'herbes, le gout était ... particulier ...
- Il en existe une variété bleue qui pousse dans la serre - continuait-elle - Vous en aurez surement besoin si vous passez par la, il y a des créatures toxiques.
Je prenais congé d'Irma et quittais les lieux pour repasser par le couloir du rez-de-chaussée. En entrant, je remarquais quelque chose au sol, m'approchant, je reconnaissais la clef "East"
J'allais me précipiter pour la récupérer, mais m'interrompais. Quelque chose clochait, c'était trop simple, trop facile.
Comme pour le confirmer, la clef glissait sur le sol, comme tirée par une ficelle. Je m'avançais prudemment, le fusil braqué vers l'avant, suivant la clef vers la cuisine.
Une fois entrée, la porte se refermait derrière moi et je faisais face à mon prochain adversaire. Vu le lieu, je pensais à nouveau faire face à Hassan, mais ce fut l'une des deux sœurs : Vittoria, si j'en croyais son masque. Quant à Hassan : la porte de la chambre froide était ouverte, mais lui n'était nulle part.
- Tu sais c'est drôle - Commençait la gamine - Vesla et moi sommes jumelles, pourtant, je suis l'ainée, de seulement quelques secondes ...
L'enfant levait la tête vers le plafond comme si elle trouvait une forme d'inspiration.
- Ce virus nous a donné une sacrée force, mais malgré tout, je l'ai toujours protégée. Tu veux que je te dise qui tu es Lyana ? Un obstacle ... Tu es dangereuse, dangereuse pour moi, dangereuse pour mes parents ... Je l'ai compris en te voyant combattre dans ce piège que j'avais préparé pour toi.
- Dangereuse ? - Répliquais-je ? - J'ai failli mourir dans cette merde !
- Et tu crois que tu avais ce genre de reflexes avant d'arriver ici ? Tu n'as pas senti que le virus qui coule dans tes veines avait décuplé tes capacités ? Certes, le virus a des effets secondaires qui vont petit à petit te transformer en morte-vivante, mais en attendant, il te donne plus de capacité, plus de forces, de réflexes et d'endurance. Si je laisse faire, tu deviendras bien trop dangereuse pour nous. C'est pour cela que Vesla n'est pas ici. Je vais en finir avec toi ... Maintenant.
Cette fois j'en avais assez de fuir et j'avais la puissance de feu pour en finir avec elle ...
- Je vais te donner ce que tes parents auraient dû te donner depuis longtemps : une éducation ! Tu n'es qu'une sale gamine et même avec des super pouvoirs tu ne me fais pas peur !
- Gamine ? J'ai été infectée quand j'étais enfant, mais ça fait un moment que je suis ainsi, je suis peut-être même plus âgée que toi ...
J'avais eu le réflexe de me préparer à sauter sur le côté et bien m'en pris puisque le monstre sautait à l'endroit où je me trouvais. J'avais esquivé de justesse.
Disait-elle vrai ? Est-ce que mes capacités étaient améliorées grâce à ce virus ? Et si oui, comment les utiliser pleinement ?
Le monstre étendait son bras et frappait à l'horizontale, ce bras qui n'avait plus rien d'humain et était fait de tentacules s'entrecroisant comme des branches d'arbres ou des ronces. Le coup envoyait balader la vaisselle qui était restée sur les tables en inox, décidemment cette cuisine allait souffrir de mon passage.
Je profitais du coup pour lever le fusil et m'apprêtais à faire feu, mais l'autre bras tentait de me frapper et j'esquivais le coup, oui, clairement, j'avais de meilleurs réflexes, ce qui ne me rassurait pas. Était-il déjà trop tard pour m'injecter l'antivirus ? Après tout, Irma m'avait dit que j'avais huit heures en tout, mais qu'en savait-elle ? Elle n'était pas scientifique et elle avait peut-être donné une estimation ?
Profitant d'une fenêtre de tir, je shootais sa jambe droite et la gamine tombait sur le côté. Triomphante, je sautais par-dessus la table qui me servait d'abri pour finir le travail, mais de minuscule vers sortirent des deux moignons et se rejoignaient pour se reformer.
- Merde, c'est quoi ce bordel ?
Tout à coup, je me souvenais de ce qui était écrit dans le carnet de la chambre de Irma : que les deux gamines avaient surement aidée pour rendre Hassan aussi puissant. Logiquement, elles avaient les mêmes pouvoirs que lui ou plutôt lui avait les leurs, mais comme il n'était pas capable de raisonner, il ne pouvait pas les utiliser ? Non, je misais plus sur le partage de régénération uniquement.
Vittoria lançait son bras jusqu'au bout de la pièce et, l'utilisant comme un grappin ramenait sur corps sur moi pour me percuter de plein fouet, me fendant la lèvre au passage. J'allais m'écraser sur une autre table en inox.
Je levais mon arme et fit feu, mais la gamine refusait d'esquiver et son corps se reformait à chaque fois, il fallait que je trouve une parade. Je ne pouvais pas fuir, elle avait la clef "East" sur elle.
Esquivant un nouveau coup je glissais près du frigo à alcool et sortait une bouteille de cognac, le même genre qui avait servi à me soigner plus tôt. J'enfournais un torchon dedans et y mit le feu avec l'allume gaz avant de lancer mon cocktail Molotov au visage du monstre.
La gamine se mit à hurler, visiblement cela lui faisait de l'effet, les flammes envahirent la cuisine, brulant tout sur leur passage et la clef "East" tombait des lambeaux des vêtements de l'enfant. Je me jetais à plat ventre et la récupérait avant de retourner mon attention sur le monstre qui brulait. Je l'avais vaincue, c'était terminé ...
... Du moins le croyais-je ...
Les sprinklers se mirent en route et de la fumée s'échappait du corps calciné de l'enfant, mais lorsque la fumée se dissipait, elle m'apparut à nouveau, cette fois sous son véritable jour : son corps entier était fait de vers bizarres, le peu de peau qui restait était complètement calcinée, ses vêtements avaient disparu, tout comme sa peau et son visage qui n'était maintenant plus qu'une espèce de tète affreuse faite de racines avec des yeux sombres passant au travers.
Je voulais m'enfuir, mais le bras de la créature frappait la porte et y laissait une créature tentaculaire comme dans le hall. Était-ce Vittoria ou Vesla qui l'y avait déposée ? Je ne me rappelais plus. Celle-ci c'était celle de Vittoria.
Comme une mutation, son corps se mit à gonfler, elle devenait de plus en plus grosse, ses tentacules se refermaient sur elles-mêmes pour former une énorme masse avec laquelle elle frappait avec force, hurlant d'une voix qui n'avait plus rien d'humain.
Projetée par la puissance du coup que j'avais esquivé, je me retrouvais collée contre les frigos du fond, loin de l'avoir affaiblie, le Molotov l'avait, au contraire, rendue furax.
Nouveau coup, horizontal cette fois, que j'esquivais en me pliant en deux, faisant feu vers elle, mais comme d'habitude, ce que j'avais touché se régénérait ... Encore que ... Était-ce possible ? Cela avait l'air de prendre plus de temps.
La sortie désormais bloquée, je n'avais plus le choix que de l'affronter. Le tentacule refermé comme un poing tentait de me faucher les jambes, je trébuchais en arrière et la vit frapper dans ma direction. Je fis une roulade sur le côté, esquivant le coup, mais la puissance de ce dernier, m'éjectait sur le côté.
- Si seulement je pouvais avoir une seconde de répits !
J'avisais l'extincteur à sa gauche et fit feu dedans : la mousse se rependait sur le monstre, l'aveuglant partiellement. Je me relevais, cherchant n'importe quoi me permettant de la combattre ... Mon attention s'interrompait sur la taque chauffante.
Mais oui, le gaz ! J'allumais rapidement le gaz de chaque taque chauffante, j'avais un plan, un plan bien précis.
Le monstre recouvrait la vue tandis que je finissais mon second cocktail Molotov. Je fonçais sur Vittoria qui tentait un coup d'estoc, mais me ratait alors que je glissais sous ses jambes (si on pouvait appeler ça "des jambes") et je sautais vers la chambre froide où j'avais enfermé Hassan et dont la porte était totalement ouverte.
Mettant le feu au cocktail, je le jetais avec force et refermais la porte derrière moi.
Un bruit énorme se fit entendre et les murs de la chambre froide se mirent à trembler. La porte en fut déformée et j'étais éjectée au fond de l'habitacle. De là, je restais un moment au sol, profitant du froid qui faisait du bien à mes blessures. Mes oreilles sifflaient et je me sentais comme dans du coton. Je me relevais avec peine pour ouvrir la porte de la chambre froide. L'explosion avait déformé cette dernière et je dus forcer pour réussir à l'ouvrir.
Sortant des lieux, j'apercevais ce qui restait désormais de la cuisine : plus aucune table en inox au bon endroit, les taques chauffantes avaient explosé, quant à Vittoria, il n'en restait que quelques débris brulant de ses racines qui ne se régénérait pas. J'avais vaincu la gamine et la mort de cette dernière avait tué la créature tentaculaire qui bloquait la porte comme si elle était reliée psychiquement à sa créatrice.
- Avec un peu de chance, c'était Vittoria qui avait installé la créature dans le hall.
Titubante, je sortais de la cuisine pour découvrir qu'une partie du couloir était démolie, mais qu'il était toujours possible d'y circuler, en revanche, une fois revenue dans le hall, je pouvais voir que le monstre tentaculaire n'avait pas bougé, quant à l'étage, si l'escalier de gauche était encore praticable pour se rendre dans le grand salon, le salon de lecture ou la bibliothèque, il n'était plus possible d'accéder au bureau à moins peut-être d'utiliser les toilettes ...
La créature tentaculaire de la porte d'entrée était toujours là, c'était donc l'œuvre de Vesla.
Peu importe, il me fallait aller au salon de lecture. J'empruntais donc le dernier escalier praticable pour déverrouiller la porte du salon de lecture : une petite pièce carrée avec plusieurs étagères de livre. Un juke-box et des fauteuils. Ici, aucune mauvaise surprise, je trouvais le bijou assez facilement : il trônait sur une table comme s'il n'attendait que moi : Une énorme chaine en or avec un bijou circulaire au bout, je m'en emparais sans tarder et me rendais à nouveau dans le petit salon pour le déposer devant la Dame.
- Tu en as fait du bruit ...
Je ricanais.
- Juste une enfant mal éduquée à corriger, rien de gra ...
Quelque chose me saisissait à la gorge, pas un monstre, mais comme quelque chose en moi. Je fus agitée d'une quinte de toux, me pliant en avant je vomissais sur le sol d'énormes quantité de liquide violet.
- Aie - Fit la dame - Le virus a ses avantages, mais ses inconvénients.
C'était les mêmes mots que Vittoria, était-ce un hasard ?
- Il va falloir t'activer, ça n'est que ta première crise, mais d'autres vont arriver, de plus en plus fréquentes. Comme promis voici la clef "North" prends en soin ...
Me remettant petit à petit, je récupérais mon "trophée"
- Ok - Dis-je - Comment je trouve l'armature pour transformer les quatre clefs en rose des vents ?
La Dame jouait son coup sur son damier avant de me répondre.
- Il te faudra résoudre une dernière énigme ...
