chapitre g
"Mais qui es-tu à la fin ?"
"Je pensais que c'était devenu évident maintenant, tu as une cervelle de moineau."
"Je ne suis pas..."
"Si, tu l'es et si tu ne l'étais pas comment ce fait-il que tu n'as aucune idée de ce que j'essaye de te mettre dans ton crâne je suis toi et toi tu es moi, nous sommes tout les deux le dieu Seth."
"C'est impossible j'ai toujours vécu sans vivre avec des pouvoirs, avant de mourir volontairement j'étais un yakuza..."
"Qu'est-ce que c'est un yakuza ?"
"C'est un membre de la mafia japonaise."
"Qu'est-ce que c'est la mafia ?"
"C'est une organisation criminelle qui consiste à faire des activités illégaux contre la loi. Attends, pourquoi je te dis tout ça ? Tu n'es pas censé être monsieur je dis tout, je vois tout et je connais tout ! Finalement tu ne sais rien de moi ? Ou est la caméra cachée, si c'est une badinerie le plaisantin va amèrement le regretté !" Dit Severus dans un ton meurtrier en serrant les poings mais quoique dans le noir on ne peut pas voir grand chose comme même, il inspire et expira pour se calmer.
"Donc tu veux dire que mon autre moitié à travailler depuis tout ce temps pendant ce temps, moi j'attendais comme un gros concombre sur place en pensant qu'un jour tu reviendra un jour." Demanda rhétoriquement la voix en grognant d'agacement en envoyant balader des insultes de plus en plus impure que la précédente.
"Non, j'étais le parrain."
"Je suis content de le savoir au moins une chose qui ne change pas, mais du coup du qu'est-ce que cela veut dire parrain ?"
"La ferme, et laisses-moi continuer ma phrase ! J'ai vécu comme un être humain ordinaire pourquoi je ne peux pas être un mortel bien banal."
"Réfléchis, crois-tu qu'un banal mortel, pourrait parler sans bouger sa bouche lorsqu'il se mette à parler, ou encore un humain pourrait-il obtenir la résurrection et revenir à la vie lorsqu'il en a envie ? Nan c'est impossible pour lui."
"Mais..."
"Tais-toi, maintenant c'est toi qui va étendre les oreilles parce que sans vouloir te vexer cette situation me fait tirer par les cheveux jusqu'à devenir chauve, toi, et ton amnésie à intérêt de partir. Et tu vas répondre à ma question d'accord... Car si nous sommes en désaccord on ne pourra pas s'unir comme avant ! Est-ce que tu te rappelles du jour de ta naissance, ou de tes parents ? N'as-tu pas remarquer que les jours passent plus lentement ? N'as-tu pas remarquer aussi que tu ne t'aies jamais préoccuper par la mort ?"
"Nan." Chuchota Severus mais la voix avait bien compris il avait touché un point faible, il s'en fichait royalement que son double souffrait mais ce qu'il l'importait le plus c'est que son idiot de frère retrouve la mémoire pour se venger de ce que les humains et leur pathétiques sentiments ont fait. "Ils vont payer d'avoir rendu docile mon frère et d'avoir tuer celui qui était chers à nos yeux."
"Je ne t'ai pas entendu je ne connais pas encore la langue des muets."
"Nan, je ne connais pas mes parents ni mon anniversaire je comprends pourquoi je n'étais pas infecter par la solitude. Cria Severus de frustration.
Qui suis-je ?" Murmura-t-il en lâchant par une pure appréhension des larmes pour la première fois depuis son existence de la vie à la mort.
La voix prit une distance pour laisser son alter égo dans son chagrin, pleurant lui aussi par une pure incompréhension. Alors que cette comédie durait cinq minutes ce fut Severus qui arrêta en premier suivit de dix minutes après par la voix.
"Si tu me dis la vérité depuis le début comment je t'appelais jadis ?"
"Apoth, le dieu serpent égyptien qui t'avait affronté, toi et ton filleul dans une guerre sanglante, j'étais tellement en colère que je veuilles détruire le monde mais tu m'a empêché cent millénaires plus tard. Puis je suis revenu et tu m'as appris ce que je faisais était stupide. Tu m'a donné une raison j'ai accepté sans broncher."
"Pourquoi je me souviens de rien lorsque je meurs et quand je revins à la vie ?"
"C'est normal parce que tu sois simplement le corps de Seth tu es ni le cerveau ni la source de ses pouvoirs, tu es le protecteur de notre santé et de notre force sans toi je serais probablement mort de maladie ce qui pourrait être humiliant pour une divinité."
"Maintenant il faut trouver un moyen de sortir d'ici."
"Je suis d'accord, je vais t'apprendre ton premier tour de magie, tu dois fermer les yeux et souhaites où tu veux atterrir en songeant l'endroit dans ta tête."
"Mais je dois aller où ?"
"Il est temps que tu comprenne ce qu'il s'était passé il y a longtemps..."
Au temps ancien.
En -1560, un homme âgé dans la trentaine, habillé d'une robe courrait après un autre jeune homme, renversant au passage des servantes, et esclaves en ne se souciant pas du désordre qu'il faisait. Sa seule préoccupation pour l'instant était de rattraper le fripon qui lui avait piqué son pain. Le maraudeur était à environ un mètre de différence de lui, et courrait assez vite pour un homme maltraité.
Il prit une autre voie pour prendre une autre itinéraire pour prendre au voleur par surprise. Et lorsque ce dernier lui frôla quelques instant il lui bloqua au passage, et le prit par le col de son vêtement pour lui accrocher à un mur pour éviter tout type d'échappatoire.
"Tu pensais vraiment pouvoir m'échapper ?"
"Ce n'est pas ce que j'avais en tête, grand pharaon."
"Tu peux tromper autant d'homme que tu désires mais je sais que tu veuilles t'enfuir !" Dit le pharaon avec un sourire moqueur ses yeux brillaient de gaieté _ dont l'identité restait encore inconnu _ il contempla le jeune homme devant lui avec un regard qui reflétait l'avertissement, d'une promesse sombre.
En tenant toujours le jeune homme, le pharaon vit deux gardes vinrent vers t'eux par hasard, il les ordonna d'emmener le jeune traite dans ses loges et de l'enfermer. Le captif ne bougea pas, ni cria il se laissa faire comme un chien docile il lança un regard mauvais de temps en temps vers le plus âgé, mais il fut contraint de se retourner pour éviter de marcher sur les pans de sa robe.
