Chapitre 7 : Le plus beau des papillons n'est qu'une chenille habillée

Pendant que la femme chat et le jeune Hunter aux cheveux d'ébène passaient les portes de la cachette des Hunters ; Pâmu et Kirua, eux, faisaient face aux assauts incessants des clones de Pufu. Apparemment, ce dernier semblait être passé à la vitesse supérieure et comptait bien éliminer la jeune Komugi de ses propres mains. Or, tout à coup, les attaques du garde royal cessèrent subitement. Les deux Hunters profitèrent alors de ce bref instant de répit pour faire le point sur leur situation devenue particulièrement critique depuis peu. En cet instant, ils étaient alors loin de se douter que cette petite accalmie sonnerait l'arrivée d'une véritable tempête…

« La mission me parait bien mal engagée… D'abord le roi revient au palais encore plus puissant qu'il ne l'était avant mais en plus on n'a réussi à éliminer aucun des gardes royaux. D'ailleurs en parlant de ça, le comportement de Pufu m'inquiète. S'il avait été aux côtés du roi comme prévu, nous n'aurions pas tant été surpris par son retour… », déplora Pâmu alors qu'une touche de désespoir s'emparait de chacun de ses songes. Il est vrai qu'avec l'échec du président Netero à éliminer le roi, il était difficile pour les Hunters présents d'entrevoir un quelconque espoir de mener à bien leur mission.

« C'est vrai que c'est bizarre… Pourquoi n'était-il pas aux côtés du roi ? Son corps principal devait se rendre auprès de lui d'après ce que nous avait dit Knuckle… J'aime pas ça du tout… Il fait quoi là du coup ? », interrogea Kirua, alors que l'inquiétude de Pâmu commençait à déteindre sur lui. « Je ne le suis plus… Sous le coup de la panique, j'ai remplacé son écran par celui du roi lorsque je l'ai vu débarquer au palais… J'ai aussi remplacé le tien par celui de Yupi au cas où. De toute façon, Pufu n'arrêtait pas de faire la même chose depuis que j'avais commencé à le surveiller. Il faisait des rondes dans les alentours du palais, encore et encore… C'était comme si un tiers de ma technique de surveillance ne servait strictement à rien », s'indigna Pâmu en serrant la mâchoire.

« J'pense que t'as bien fait. Il a dû comprendre comment fonctionne ton Wink Bleue et a décidé d'éloigner son corps principal… Surtout qu'avec son pouvoir de scission, il n'a pas besoin d'être au palais en personne, il peut se contenter d'envoyer ses doubles », argumenta Kirua en se tenant le menton d'un air réflexif. Il devait bien avouer que, de tous leurs ennemis, Pufu était bien celui disposant des capacités les plus ennuyantes. Son pouvoir, Belzebuth, lui permettait d'être partout et nulle part à la fois, ce qui le rendait insaisissable.

« Savoir où était son corps principal aurait pu nous être utile pour réussir à nous en débarrasser définitivement. S'il était effectivement de la taille d'une mouche, nous aurions pu peut-être l'écraser comme tel, mais bon, ce qui est fait est fait… N'empêche, j'ai l'impression d'être entré dans son jeu, j'ai un très mauvais pressentiment à ce sujet… », regretta-t-elle en regardant dans le vide comme pour y chercher des réponses.

Effectivement, quelques mètres plus loin dans un fourrée se trouvait l'un des petits doubles de Pufu, il semblait les observer avec beaucoup d'assiduité. Ce dernier paraissait attendre quelque chose, un sourire machiavélique déformant son visage enfantin. Toutes les personnes présentes étaient alors loin de s'imaginer qu'elles étaient déjà prises dans les rouages d'un plan des plus funeste. « Ainsi, cette chère Pâmu a enfin décidé d'arrêter de me surveiller ? On peut dire que ça va grandement me faciliter la tâche… », sourit-il intérieurement alors que, en parallèle, son corps principal se mit à fendre le ciel nocturne à une vitesse vertigineuse.

Pour comprendre les intentions de l'homme papillon en cet instant, il conviendrait de revenir quelques temps en arrière. Plus précisément, au moment où ce dernier avait quitté discrètement la chambre des invités en laissant une partie de son corps derrière lui. La fierté qu'il avait ressenti après ce petit coup de maître fut de bien courte durée alors qu'une drôle d'intuition s'insinuait en son être. Il était persuadé qu'au-delà du cas Komugi, il était complètement passé à côté de quelque chose d'important.

De ce fait, sa mémoire ressassait sans cesse ce qu'il s'était passé dans la fameuse pièce et ce, dans l'espoir de débusquer ce petit détail manquant qui l'empêchait de saisir pleinement l'enchaînement des événements. Alors que, perdu dans ses pensées, il survolait le palais royal il aperçut le garde royal Montuyupi dans une cour en contrebas. Il lui apparut que ce dernier semblait avoir beaucoup changé depuis leur dernière rencontre.

Au-delà du fait qu'il était devenu une espèce de guerrier centaure, l'aura qu'il dégageait était bien différente de celle qu'il émettait auparavant. En observant cette sagesse nouvelle chez son camarade fourmi-chimère, il ne put s'empêcher de la superposer aux changements qu'il avait entraperçu chez la femme chat précédemment. « Serait-il possible que ce soit à cause de Pitô que cet étrange pressentiment ne me lâche pas depuis tout à l'heure ? », songea-t-il alors, perplexe.

De surcroît, quelques instants plus tôt, un tout nouvel élément était venu bouleverser chacune des certitudes forgeant la psyché de l'homme papillon. Son clone, étant resté dans la chambre des invités, venait de voir débarquer un nouvel intrus auquel il ne s'attendait certainement pas. Ce dernier était pourtant loin de lui être étranger puisqu'il s'agissait du même ennemi qu'il avait vu se battre avec acharnement contre son camarade garde royal quelques temps plus tôt. Et maintenant, comme venant renforcer ses présomptions, Yupi était justement présent à ses côtés.

Au départ, en voyant débarquer Knuckle dans la chambre des invités comme la défaite de Yupi lui paraissait invraisemblable, il avait eu cette intime conviction que son camarade avait épargné le rebelle. Mais, maintenant qu'il voyait les deux ennemis de ses propres yeux et que ces derniers semblaient en pleine forme, il en était désormais certain. Cela ne pouvait dire qu'une seule et unique chose. Si ce jeune intrus pouvait le provoquer de la sorte à cet instant précis, c'était forcément que le guerrier centaure l'avait laissé partir. C'est justement pour glaner des informations à ce sujet que le clone de Pufu avait daigné accorder un entretien à Knuckle au moment de sa sortie théâtrale.

Néanmoins, c'est finalement en racontant les événements de la chambre des invités à Montuyupi que l'homme papillon commença à les voir sous un tout autre jour. Plus son esprit revenait sur la manière dont Pitô s'était retournée pour lui faire face dès son arrivée, plus le doute gonflait en lui. Que ce soit la manière dont elle s'était mise en position défensive ou l'air paniqué qui se lisait sur son visage lorsque son regard avait glissé du jeune Gon à la petite Komugi tout lui indiquait qu'il avait probablement sous-estimé les changements qui se produisaient chez elle.

Bien sûr, dans un premier temps, il avait placé cette inquiétude sur le compte de la mission confiée par le roi mais, les imprévus se superposant, il ne semblait plus sûr de rien désormais. « Qu'aurait-elle fait si j'étais passé outre sa réaction et que j'avais tout de même attaqué ce jeune humain par derrière ? J'aurai dû utiliser mon Spiritual Message et ce, même si cela voulait dire remettre en cause sa loyauté… », regretta-t-il alors amèrement.

Le garde royal avait la terrible impression que le contrôle de la situation lui échappait peu à peu. D'autant plus qu'au regard des changement s'opérant inexorablement auprès de ses camarades gardes royaux, il avait le sentiment d'être laissé derrière par les membres de sa propre espèce. D'abord son roi se comportait étrangement avec cette humaine lui paraissant insupportable. Ensuite Yupi épargnait ce pseudo rebelle au sang chaud pour une raison qu'il ignorait complètement. Et enfin, celle qui l'inquiétait le plus, Pitô et ce jeune humain aux cheveux noirs.

Pour l'homme papillon, il était incontestable que les humains ne valaient pas mieux que du bétail destiné à nourrir les fourmi-chimères et il était jusqu'alors persuadé que ses camarades étaient du même avis. Cependant, ce qui lui apparaissait comme une évidence s'effondrait graduellement ; face à cela, il éprouvait une peur insondable. Les individus composant son espèce évoluaient à une vitesse quasi vertigineuse au contact des humains alors que lui restait au point mort. Cette impression de stagnation lui étant insupportable, il se demanda alors ce qui pouvait bien le différencier de ses congénères.

Il est indéniable que Shaupfufu brillait d'une intelligence rare. Néanmoins, il est tout aussi vrai que ce grand intellect était à la mesure de sa propre faiblesse d'esprit. C'est pourquoi il cherchait désespérément une explication à cet isolement qu'il ressentait ; à cette terreur qui lui dévorait progressivement les entrailles. Souvent, lorsqu'un orgueil colossal se retrouve croisé à un esprit ne pouvant suivre la cadence, la solitude peut vite entrer dans une forme de complaisance malsaine.

Aussi, au lieu de chercher à compenser l'écart se creusant avec son espèce, l'homme papillon s'ingénia à remonter à contre-courant toute cette évolution. C'est ainsi qu'il eut alors la sensation que cette solitude était le prix à payer pour son intellect supérieur. « En définitive, peut-être suis-je le seul à même de servir sa Majesté convenablement ? Je me dois d'assurer la suprématie des fourmi-chimères ! Heureusement que mon génie me distingue de mes semblables, cela me permet de prendre de la hauteur pour les surveiller… », sourit-il intérieurement en regardant du coin de l'œil Yupi volant alors à ses côtés.

C'est sur cette pensée d'un orgueil démesuré qu'il réitéra exactement le même tour de passe-passe qu'il avait utilisé pour tromper la vigilance de Gon précédemment. Son corps principal s'échappa alors discrètement par son dos à l'insu du guerrier centaure pour revenir dans les alentours du palais. Il avait décidé de garder avec lui la moitié de ses forces et commença à les disséminer progressivement au fur et à mesure qu'ils faisaient route vers le roi. Comme il était en train de voler, il lui était aisé de faire passer les particules de ses doubles pour les écailles qu'il émettait naturellement en battant des ailes.

Il était alors persuadé que, dans le pire des cas, la moitié de ses forces suffirait amplement pour assurer la protection de leur roi aux côtés du puissant Montuyupi. D'autant plus qu'à ses yeux, il était devenu prioritaire d'enquêter sur les changements s'opérant chez les fourmis chimères. Cette certitude s'en trouva largement confortée lorsqu'il constata que son projet expérimental de nouveaux soldats conservant une partie de leurs souvenirs d'antan avait échoué.

En effet, lorsqu'elle avait tenté de se suicider pour éviter d'être capturée, Pâmu n'avait pas réussi à échapper à la garde royale. Elle fut alors la toute première à servir de cobaye à ce projet. Pendant que Gon et Pitô était affairé au chevet de Komugi, la femme aux cheveux d'ébène était justement sortie de son cocon. Sous sa forme nouvelle de fourmi-chimère, elle avait alors fait face au jeune Kirua qui fut vite accablé par leur différence de niveau. Ce dernier en avait été réduit à supplier la jeune femme de revenir à elle et de ne surtout pas se présenter dans son nouvel état face à Gon. À ce moment, il était désespéré et savait que si son ami la voyait ainsi, les conséquences psychologiques pour lui seraient dramatiques.

Finalement contre toute attente, et au grand dam de Pufu, la jeune Pâmu avait réussi à imposer sa volonté humaine sur celle de fourmi-chimère. Elle avait alors épargné le jeune Zoldick et supprimé le clone de l'homme papillon qui essayait justement de la pousser à éliminer son ancien compagnon d'arme. L'échec de cette expérimentation renforça indéniablement son rejet de l'humanité, Pufu était alors convaincu que leurs deux espèces ne devaient surtout plus se mélanger.

« Nous avons confondu vitesse et précipitation. Les soldats n'auront besoin ni de conscience, ni de souvenirs, c'est aussi simple que ça… Ce qui veut dire que je me passerai de la capacité de Pitô et que je peux créer des soldats tout seul, sans l'aide de personne. Après tout tant mieux, cela ne rendra la création de notre royaume que plus aisée, notre royaume à sa Majesté et à moi ! Tu es sur la sellette ma chère Neferupitô… », s'amusa-t-il en pensant à la femme chat.

Cette dernière conclusion sembla ravir l'homme papillon au plus haut point. Du fait de son élan de complaisance solitaire, il devint indubitablement plus frileux à l'idée de devoir dépendre des autres gardes royaux. S'il pouvait bâtir seul le royaume de sa majesté, cela serait pour lui le plus grand des honneurs. Finalement lorsqu'il scinda ses forces en deux pour pouvoir suivre parallèlement chacun des membres de la garde royal, il eut la sensation presque enivrante que son pouvoir et ses capacités étaient dédiés à cet instant. Il s'était alors promit d'éclaircir la moindre des zones d'ombres subsistant dans son esprit avant le retour de leur roi.

C'est justement dans cette optique qu'il considéra la situation comme idéale pour ses machinations. Il se devait de combattre leurs potentiels ennemis de l'intérieur et, de ce fait, toute la confusion provoquée par l'attaque des Hunters offrait un terrain propice pour faire le ménage dans leurs rangs. Cette détermination froide alla lui permettre d'assister au départ de Gon et de Pitô ainsi que d'entendre cette fameuse conversation entre le traître caméléon et le jeune hunter aux cheveux blancs.

En effet lorsqu'aux côtés de Yupi, son clone avait constaté cette puissante explosion dans la direction où se trouvait leur roi sous le coup de la panique, son premier réflexe fut d'abandonner son enquête et de laisser Knuckle derrière pour retourner auprès de Meruem. Néanmoins, cette course effrénée vers le sud, fut pour lui l'occasion de réfléchir à ses précédentes conclusions pendant que ses clones étaient affairés au sauvetage de son roi. Il eut donc le temps de se calmer et de méditer sur la situation. « Est-ce bien prudent de laisser le palais et nos ennemis sans surveillance ? Et Pitô dans tout ça ? Elle non plus ne peut pas être laissée sans surveillance… », songea-t-il soucieusement. Il se rendit compte que les événements échappaient véritablement à leur contrôle, à son contrôle.

Cette réalisation soudaine était mue par les diverses méfiances successives qu'il avait ressenties autant envers les humains qu'envers les membres de sa propre espèce. « Si ma capacité de scission existe, c'est uniquement pour cela ! Ce n'est plus le moment d'hésiter, c'est pour le bien de sa Majesté ! Si je ne le fais pas qui le fera ? », avait-il alors pensé avant de renvoyer une partie de ses clones vers le palais royal pour assurer la surveillance de « leurs » ennemis.

De ce fait, lorsqu'il se rendit compte que son clone avait réussi à sauver le roi, il put revenir pleinement vers sa mission secondaire et, grâce à ses clones partis alors en reconnaissance, il avait de nouvelles données. « Je n'ai finalement pas pu tirer les vers du nez de cette racaille mais j'ai obtenu des informations beaucoup plus intéressantes…. Ainsi, tu t'es joué de moi ma chère Pitô ? », murmura-t-il, son orgueil piqué à vif alors que son corps principal stoppa brusquement son envolée vers le roi.

C'est pour toutes ces raisons que son clone se retrouvait présentement à observer Pâmu et Kirua avec un rare intérêt. Dans son esprit avait germé un plan des plus diabolique, et ce dernier était déjà bel et bien en cours. Le mauvais pressentiment qu'exprimait alors la Hunter aux cheveux d'ébène était tout à fait légitime mais elle ne pouvait évidemment pas encore le savoir…

« Venant d'une voyante, c'est assez inquiétant… Et il en est où Gon dans tout ça ? », demanda alors Kirua en pensant à ce dernier alors qu'il portait la jeune Komugi inconsciente sur son dos. Cette question sembla ramener sur terre Pâmu, elle savait pertinemment que ce n'était pas le moment de se laisser accabler. « Hein ? Bonne question. Je vais jeter un œil tout de suite », répondit-elle alors en posant sa main sur son œil droit pour activer son Wink Bleue.

Dès l'instant où elle observa l'écran du jeune Gon se trouvant dans les sous-sols de la cachette des Hunters, elle stoppa sa marche et une profonde stupeur se lut alors sur son visage. « Qu'est-ce que cela peut vouloir dire ?! », paniqua-t-elle alors sous le regard tétanisé de l'ex assassin. « Qu'est-ce qu'il se passe ?! Y'a un souci du côté de Gon et Pitô c'est ça ? », questionna le jeune Zoldick, la panique commençant à envahir son esprit.

« Je ne sais pas. Je ne peux que voir et pas écouter. Gon est bizarre… Son Nen est déployé et son aura est sinistre. Il a l'air complétement abattu. Et Pitô ne semble pas soigner Kaito… », décrit-elle, plus qu'inquiète. Les questions fourmillaient dans l'esprit des deux Hunters, ils avaient du mal à saisir ce qu'il pouvait bien se passer dans ces sous-sols. Une seule chose était sûre cependant, c'est que tout cela ne valait rien qui vaille.

« C'est pas normal. Pitô nous à confier Komugi pour qu'on la protège. Elle ne devrait pas briser la confiance de Gon… Je ne me serais pas trompé quand même ? », tenta de se convaincre Kirua à haute voix. Ses jambes commençaient à trembler sous le joug d'une profonde angoisse, il était complétement perdu. « Pitô vient d'activer son En ! Il est en train d'envelopper Gon ! », s'affola Pâmu impuissante. À ses paroles, Kirua commença à poser Komugi et sembla alors prêt à courir à toute vitesse vers Peijin pour secourir son ami. Quelques mètres plus loin, dans son fourrée, le double de Pufu observait méticuleusement chacune de leurs réactions.

Même si elle avait échappé à son contrôle, l'homme papillon avait appris à mettre le pouvoir de Pâmu au service de ses terribles desseins et s'en servait donc pour espionner les faits et gestes de sa camarade garde royale. À cet instant, il voulait évidemment savoir comment Pitô allait réagir suite à l'appel qu'il avait fait passer par Werefin. « Tchhhh ! Il semblerait que Pitô soit finalement passé à l'action. J'ai eu tort de douter de sa loyauté on dirait… », songea-t-il alors comme particulièrement insatisfait par ce résultat. « Très bien. En fait cela n'a pas une grande importance… Dans tous les cas, ça va être à mon tour d'entrer en scène », murmura-t-il avant de se mettre à rire machiavéliquement.

Fin du septième chapitre

Et c'est ainsi que se termine ce septième chapitre de "Meilleurs ennemis", de même que cette plongée dans la psyché de ce cher Shaupfufu ! Je m'excuse pour le "léger" retard de sa parution, je dois avouer m'être beaucoup attardé sur la suite de l'histoire ces derniers temps...

Encore merci à ceux qui suivent ma fanfiction et, plus précisément, je tiens à remercier reypipines pour son commentaire des plus positif ! Cela m'a fait énormément plaisir. Surtout qu'en le lisant, j'écrivais justement les chapitres qui vont suivre donc cela fut d'autant plus motivant pour moi. En tout cas j'espère que ce dernier chapitre était à ton goût car je dois admettre qu'il m'a donné un peu de fil à retordre !

Maintenant que les nuages menaçants s'accumulent au dessus de notre duo, il va être temps pour celui-ci de leur faire face... Et pour cela, je vous donne rendez-vous dans le prochain chapitre qui s'intitulera "Une lueur au milieu du blizzard" !