Il s'agit de la suite du bonus précèdent, la vraie première fois entre eux, car ce qui s'est passé avant, n'est qu'un avant-goût de ce qui s'est réellement passé cette nuit-là...
...
PDV de Taehyung
Je suis toujours couché sur lui et il m'embrasse passionnément, avec fougue et c'est bien la première fois qu'il me traite comme un homme. J'apprécie le baiser, mais il m'en faut plus, je le veux ce soir et ce n'est pas négociable. Je ne me pose plus de question car au moment où j'ai joui, tout était maintenant clair dans ma tête. Je finis par me défaire de ses lèvres et y appose une phalange, le faisant comprendre qu'il ne doit rien dire et juste me laisser faire. Lentement, les orbes ancrés dans les siens, je descends ma tête vers son buste et commence à lécher comme un chat, mon sperme qui y était. Ses pupilles sont brillantes et je sens son souffle s'accélérer de nouveau. Je m'applique et récupère chaque goutte, profitant pour sucer son épiderme brûlant par la même occasion. Je me sens bien, j'aime ce que je fais et le plaisir que je lui donne avec ses simples touchers.
Une fois propre, je remonte mes lèvres aux siennes et je l'embrasse, la cavité pleine de semence qui se mélange avec nos salives. C'est bon, ce baiser est enivrant, savoureux, je me régale, mais ce n'est toujours pas suffisant. Ses mains caressent mon corps alors que les miennes jouent dans ses cheveux, puis les siennes agrippent mes boules de chairs et les malaxent, les palpent. Mon corps ondule contre lui et notre échange buccal devient encore plus profond, encore plus humide. Je place mes mains sur son torse et je m'éloigne de lui, pour m'asseoir sur son bassin, le surplombant avec un air malicieux dans le regard.
- Mon cul veut te remercier Kookie, mais il est fâché contre Mini Kook. Dis-je sensuellement, d'une voix que je ne me connaissais pas, voulant l'allumer comme une salope.
Il me regarde sans comprendre, mais surtout surpris par la luxure qui se cache derrière ma petite voix enfantine.
- Et pourquoi ? Demande-t-il.
Un sourire fier se dessine sur mes lèvres alors que ma main va saisir sa virilité fermement.
- Parce qu'il est tout mou et que mon cul le voulait en lui. Dis-je innocemment.
Il déglutit avec les yeux qui s'ouvrent en grand, prenant conscience que j'en voulais encore plus, que je le voulais lui, maintenant en moi, qu'il devait me combler et trouver le moyen de dresser son membre.
- Mais bébé, je viens de jouir comme je n'ai jamais joui.
- Non, non, non Kookie, mon petit trou veut mini Kook maintenant, alors réveille-le.
- Tae...souffle-t-il.
Je commence à le branler et viens l'embrasser passionnément. Il participe au baiser, y répondant avec ardeur et ses mains viennent me caresser le dos. Je l'éloigne et me redresse sur mes genoux pour qu'il ne me touche pas.
- Désolé Kookie, tu ne peux pas me toucher tant que mini Kook n'aura pas fait son boulot car il est vilain.
- Mais bébé, ce n'est pas juste, Mini Kook est fatigué, il a besoin de se reposer.
- Mon cul est triste à cause de lui, alors tu vas en payer les conséquences.
J'oriente son pénis vers mon entrée et je frotte son gland contre en jouant avec. Je frissonne à se contact et ma main libre commence à me caresser sur le regard désireux de Jungkook. Il me dévore des yeux, il veut me toucher plus que tout et pourtant il respecte ma décision, il ne bouge pas d'un cil. Je viens pincer l'un de mes tétons et je lâche un gémissement, tout en le regardant dans le blanc des yeux. Il est tellement beau et la façon qu'il me contemple me rend fou.
- Oh oui Kookie, c'est tellement bon... ahh.
- Je veux te toucher bébé.
- Non ! Vois ça avec Mini Kook.
- C'est pas juste Tae.
- M'en fou !
En parlant du loup, je le sens tressaillir d'un coup quand je gémis une nouvelle fois. Je continue à frotter son gland contre mon orifice beaucoup plus rudement, en même temps que je gigote mon cul contre. Jungkook frissonne, il souffle bruyamment, il transpire et je sens son engin se réveiller timidement dans mes mains, ça vient, lentement mais sûrement.
- C'est bien Kookie, c'est ça, humm, donne à bébé ce qu'il attend, fait lui plaisir.
Sa queue se durcit de minute en minute et je dois le récompenser, alors je dépose mon bassin sur son entre-jambe et je débute des mouvements de bassin, tout en continuant à le branler, obsédé par l'envie de le sentir en moi.
- Oh oui Kookie, j'ai envie de toi, si tu savais.
Mes coups sont beaucoup plus rapides. Je prends finalement mes deux fesses avec mes mains pour les écarter et je me frotte encore plus, sentant sa bite s'y glisser. Oh mon dieu que c'est bon, il est dur, il gonfle, il m'excite encore plus, je suis tellement pressé de le sentir dans mes chairs. Envoûté, ma cadence s'accélère alors que je me rue sur les lèvres de Jungkook, je les veux, elles me manquent. Il se laisse faire, il est à ma disposition et pourtant il aime ça car mini Kook est enfin d'attaque. Je gémis de plus bel et ses mains viennent se déposer sur mes boules bombées. Je le laisse faire, il les écarte encore plus et guide mes hanches pour intensifier les contacts. Il est maintenant aussi chaud que moi, aussi enflammé, la suite promet de faire des étincelles. Je me défais de sa bouche et me rapproche de son oreille, laissant mon souffle erratique s'y écraser.
- Tu mérites une récompense Kookie. Prépare mon cucu pour ta grosse bibite. Murmures-je.
Je le sens se contacter, son corps réagit à ma provocation et il déglutit avec un souffle saccadé. Je retire ses mains de moi et m'allonge sur le dos à côté de lui.
- Je suis à toi Kookie, fait de moi ce que tu veux, fait de moi ta salope.
Pour être honnête, je suis allé tellement loin sur le chemin de la perversion, que plus rien ne me choque ce soir, même des comportements comme ceux-là. Je me laisse juste porter par mes pulsions, par mes envies et par Jungkook. Il se redresse sur le lit et dépose de tendres baisers dans mon dos, me faisant frissonner. L'un de ses doigts me pénètre, sans que je ne m'y attende et j'émis un petit cri. Il commence à le bouger alors que ses lèvres aspirent mon épiderme. Il m'explore, va de plus en plus loin, et le remue en même temps. C'est bon, mais je sais que ce n'est que le début. Et un deuxième doigt fait son apparition. Il fait des mouvements de ciseaux et je sens mes chairs s'étirer, s'élargir, je gémis, c'est bon, c'est tellement bon.
Et enfin le troisième doigt qui me provoque une douleur dans le postérieur, pourtant j'y prend du plaisir, c'est bon d'avoir mal, c'est excitant, je ne veux pas qu'il s'arrête.
- Frappes-moi.
Il prend quelques minutes avant de me donner une fessée, ce qui me fait gémir encore plus fort. Puis une seconde, c'est électrisant, la douleur se propage dans tout mon corps pour finir dans mon sexe gonflé d'excitation. Il continue à me fesser et je tremble de plaisir.
- Oh oui Kookie, plus fort.
Ses fessés sont de plus en plus violentes et je sens mes fesses rougir, n'enlevant rien au plaisir que je ressens.
- Putain Tae, t'es trop bandant.
Il avait enfin prononcé des mots, son silence me faisais peur car je pensais qu'il n'appréciait pas autant que moi, maintenant je suis rassuré, je me sens libérer d'un poids. Mon corps se cambre sur l'excès de plaisir dû à ses coups sur et entre mes fesses, et je gémis. Il accélère ses pénétrations et s'enfonce encore plus, distendant mes chairs encore plus avidement, encore plus sauvagement. Je le veux maintenant, je ne veux plus de ses doigts, ils ne sont pas assez gros, j'en veux plus, je veux avoir encore plus mal.
- Baise-moi Kookie.
Il continue de me titiller avec ses phalanges alors qu'il passe ses jambes de part et d'autre de mon corps, pour venir déguster ma nuque.
- Kookie...humm...je te veux...
C'est une torture, ça me fruste et pourtant mon plaisir ne cesse de monter en flèche, c'est grisant d'être sa chose, c'est trop bon, putain.
- S'il te plaît Kookie. Implore-je.
Il se fait désirer et mon dieu que j'aime ça. Son corps s'allonge sur le mien et je sens enfin Mini Kook me rencontrer. Et à ce contact je gémis, il est là contre moi, je le sens mouver d'excitation. Mon cul l'appelle, l'implore, le supplie, je le veux. Ses doigts se retirent d'une lenteur déconcertante et laisse place à l'objet de mon désir, l'objet de ma convoitise, l'objet de la délivrance. Il le flotte contre moi sans jamais franchir la frontière et j'en pleure d'impatience. Mes forces m'abandonnent et enfin je le sens me pénétrer lentement. C'est chaud, c'est gros, ça tend mes chairs, mais je ne veux pas qu'il soit doux, peut-être une autre fois, ce soir je veux avoir mal.
- Défonces mon cul de salope Kookie.
- Tu me rends fou bébé, tu ne sais pas l'effet que tu me fais.
- Montre le moi, pilonnes-moi, fait moi crier.
Il débute des mouvements de vas et vient lent, mais ça ne me convient toujours pas, je lui ai pourtant dit ce que je voulais.
- Plus fort !
Il accélère et enfin il me donne ce que je veux, il me défonce, il m'écarte, j'ai mal et j'aime ça. Il ne se retient plus et me donne exactement ce que j'attends. C'est bon, je perds pieds, je gémis et lui il grogne.
- Mords moi.
Sans réfléchir, il plante ses dents dans mon omoplate, il se laisse lui aussi porter, il libère son côté animal sans crainte et c'est d'autant plus meilleur.
- AHH...OUII...ENCORE.
Il a enfin trouvé ma prostate et je crie, je hurle, ses mouvements sont précis et brutaux. Je plane, je suis en extase et aux sons que j'entends dans mon dos, il n'est pas mieux que moi. Ses doigts se glissent dans mes cheveux qu'il tire pour décoller ma tête de l'oreiller et cambrer mon corps encore plus. C'est bon, il me donne tellement de plaisir, j'ai les larmes qui commencent à couler, j'en veux plus. Je presse ma queue contre le lit pour l'écraser alors que mon corps se fait violer par sa bite, se fait abuser par sa bouche et se fait violenter par ses mains.
- Ça va ? Demande-t-il, sûrement inquiété par mes larmes et mes hurlements de détresse.
- OUII... JE T'AIME.
Sa main libre vient me plaquer de toutes ses forces contre le matelas, augmentant la pression sur mon sexe, s'en est trop, j'en peux plus, je vais exploser.
- PUTAIN...JUNGKOOK !
Je jouis d'une puissance que je ne croyais pas possible jusqu'à là, mon corps est complètement vidé, épuisé. Je sens un, puis un second mouvement et puis un liquide chaud qui remplit l'intégralité de mes entrailles.
- TAE !
Il vient de jouir et se laisse tomber sur mon petit corps fin et frêle, ravagé tout comme moi. On essaye de reprendre notre souffle et je le sens se retirer pour se retourner sur le dos à ma gauche.
- Oh mon dieu ! Gronne-t-il. Putain bébé !
Je souris de satisfaction et de fierté. Je sens ses bras me serrer pour me blottir contre lui, avant qu'il ne m'embrasse amoureusement. J'essaye d'y répondre mais le sommeil me gagne, puis le néant.
Je sens quelque chose de chaud m'envelopper et des caresses sur mon dos. Lentement, j'ouvre les yeux et j'en déduis aux rayons de soleil, que l'on est le lendemain matin. Je suis allongé sur Jungkook et quand mes orbes rencontrent les siens, je suis envahi par la peur, je panique, je me redresse et m'éloigne rapidement de lui. Il me regarde surpris alors que mes yeux se voilent de larmes, mon dieu qu'est-ce que j'ai fait, j'ai tout gâché. Je commence à pleurer et ma respiration devient irrégulière. Il se redresse et vient me prendre dans ses bras. Je me débats mais il me serre fort contre lui.
- Qu'est-ce qu'il y a bébé ? Dit-il d'une voix douce. Mais je n'arrive pas à me calmer.
- Je suis désolé Jungkook. Ne me quitte pas, je t'en suffis.
Il me berce et me caresse le dos, je ne comprends pas pourquoi il ne me repousse pas, je suis un monstre, il devrait être dégoûté.
- Pourquoi je te quitterais ? Tu ne m'aimes plus.
- Quoi ! Non jamais, je t'aime Kookie, je t'aime, pardonne-moi.
- Explique moi bébé, je ne comprends rien.
Il défait notre étreinte pour me regarder et vient essuyer mes gouttes salées qui inondent mon visage. Son sourire est tendre et je peux lire dans ses pupilles sombres qui est triste et inquiet de me voir dans cet état.
- S'il te plaît Tae, parle-moi.
- Je suis un monstre. Dis-je en baissant la tête honteusement.
Oui, je suis un monstre répugnant car j'ai aimé, j'ai adoré me faire défoncer comme une salope. Un monstre dégueulasse dont personne ne veut, un déchet, une pute.
- Pourquoi ?
- Je me suis comporté comme une salope hier soir, je comprendrais que tu ais honte de moi, je suis dégoûtant.
Et là, il happe mes lèvres dans un baiser délicieux, un baiser tendre, doux, envoûtant, rassurant, un baiser plein d'amour. Sa langue cajole la mienne et ses croissants de chairs se mouvent contre les miennes. Je l'aime, je l'aime tellement, est-ce un baiser d'adieu, je ne pourrais pas vivre sans lui, à quoi bon s'il n'est plus à mes côtés.
- Je t'aime. Murmure-t-il contre mes lèvres.
Je le regarde choquer, m'attendant à tout sauf à ça.
- J-je...je ne te d-dégoûte pas.
- Non, pas le moins du monde. Au contraire.
- Hier soir pourtant j'ai été un gros pervers dégueulasse.
Il sourit et essuie les dernières larmes sur mes joues, alors que j'analyse son visage dans les moindres détails.
- Tu as aimé hier soir ? Soit honnête, je ne veux pas de mensonge entre nous.
Sa voix était douce et virile à la fois, elle me faisait frissonner. Oui j'avais aimé, mon dieu, je ne m'étais jamais autant senti vivant que hier soir. J'avais atteint des terres jusqu'à-là inconnue et mon corps en voulait encore et encore, je voulais en découvrir encore plus, aller plus loin avec lui, grâce à lui. Mais devrais-je lui dire la vérité car après tout, je l'ai forcé à me bouffer le cul, je l'ai forcé à bander, alors qu'à chaque fois il était hésitant. Il avait peut-être peur de me dire non, il ne voulait pas me blesser alors il m'avait laisser faire. Je sens mes larmes remontrer, je veux m'enfuir, je ne me sens pas la force de lui faire face, je me répugne moi-même de ressentir ses choses, d'aimer ses choses et d'en désirer encore.
- Bébé, s'il te plaît, regarde-moi, n'est pas peur, je suis là. Je t'aime.
- Oui. Souffles-je en baissant la tête.
- Moi aussi Tae.
Je redresse ma tête pour chercher son visage du regard.
- T-tu...tu...
- Oui, j'ai adoré. Je t'aime bébé et avec la nuit que tu m'as donnée, je ne suis pas près de te lâcher, jamais.
L'émotion me gagne et je l'embrasse avec fougue. Je l'aime, il m'aime et il accepte cette facette de moi. Je suis heureux, je suis euphorique, tout mon être explose, moi non plus je ne suis pas près de le lâcher car mon bonheur est dans ses bras.
- Je te fais la promesse que moi et Mini Kook, on te donnera ce que tu mérites et on comblera ce petit cul sale.
- Même si je te demande de me faire mal.
- Oui, tout ce que tu veux. À une seule condition. Je t'interdis de montrer cette salope à quelqu'un d'autre car tu es maintenant ma salope à moi, rien qu'à moi.
Et là je fonds, mon cœur explose, il m'a dit ce que j'attendais. Je n'ai même pas les mots pour décrire ce que je ressens, mais je suis certain d'une chose, je veux explorer et découvrir cette nouvelle part de moi avec lui, rien qu'avec lui. Je l'embrasse langoureusement, je lui dévore la bouche et je l'enjambe pour prendre place sur ses cuisses. Le baiser dur de longues minutes alors que mon corps se met instinctivement à onduler sur lui. Je me sépare par manque de souffle et je retrouve son oreille.
- Mon minuscule trou de salope demande son Mini Kook. Chuchote-je.
- Tu as de la chance car Mini Kook est chargé à bloc.
Je frissonne, il me touche et me fait basculer sur le côté, heureusement qu'on ne travaille pas car mon petit doigt me dit qu'on va passer la journée dans la chambre, ou peut-être un peu partout dans la maison, qui sait, ça dépendra de notre créativité. Mais je suis certain d'une chose, lui et moi allons passer des moments esquisses dans notre intimité, rendant le futur à se côté d'autant plus excitant.
...
Et voilà, vous connaissez toute l'histoire, comment le mot ''salope'' est devenu la plus belle des déclarations d'amour pour Tae.
