Disclamer: l'univers de Harry Potter ne m'appartient pas, il appartient à J.K Rowling.
Point de Vue de Ginny:
J'avançai dans les couloirs de Poudlard, Hermione m'expliquait je ne sais quoi, sur je ne sais quoi, alors que nous nous dirigions vers notre prochain cours.
Dans une semaine, nous serions en vacances, et nous allions rentrer au Terrier.
J'avais hâte de revoir Harry, il me manquait tellement.
Ça faisait 4 mois que nous ne nous étions pas vue, 4 long, très long mois.
Je n'avais pas pue rentrer pour les vacances de février, avec Hermione nous avions eu trop de contrôle donc pas de vacances.
Et je ne tenais quasiment plus en place, à un tel point que j'avais complètement ratais mon examen de Métamorphose.
Heureusement pour moi, ce n'était pas un examen qui comptait pour ma note final.
- Ginny, tu es avec moi ? Tu ne m'écoutes pas ! S'exclama Hermione en me faisant sortir de mes pensées.
- Si si, répondis-je en me tournant vers elle. Tu étais en train de me dire que c'était dommage que j'ai raté mon examen, car je m'étais beaucoup entraîné, je me trompe.
- Non, répondit-elle.
Je souriais et nous repartions en direction de notre cours d'histoire de la magie avec le professeur Binns.
La journée se passa vite.
Le reste de la semaine se passa aussi rapidement que le lundi.
Il était 17h 32. Et ça faisait un peu près 20 minutes que je tournais en rond dans le dortoir d'Hermione alors que cette dernière fignolait sa valise.
- Tu es au courant que ce n'est pas en faisant les cents pas devant moi, donc en me déconcentrant, que j'irai plus vite.
- Je sais, je sais, mais tu n'as pas idée à quel point j'ai envie de le voir, et en plus Harry a prit sa fin de journée pour me voir dès que je rentrerai.
- Je suis déjà au courant, c'est au moins la 378ème fois que tu me le dis, et…
- Hermione, je veux vraiment être dans les premiers à partir.
- J'ai compris, et dans tous les cas, je suis prête.
Je ne laissais même pas le temps de la réflexion à Hermione, et attrapai sa valise que je descendais jusque dans la salle commune où ma valise était déjà posé depuis une petite heure.
Hermione me suivait de près, en train d'étouffer un rire.
Elle passa à côté de moi, et attrapa sa valise, alors que je prenais la mienne.
Nous nous précipitamment ensemble par le trou de la grosse dame, et on partit toutes les deux en direction de la salle où nous devions prendre une cheminée direction le Terrier… et Harry.
Je souriais à cette pensée, mon sourire resta fixé alors que nous faisions partir nos valises.
Et que nous nous mettions à côté de Luna dans la queue constitué que de quelques élèves.
Nous arrivâmes rapidement au bout de la queue, et nous fîmes promettre à Luna de passer nous voir pendant les vacances.
Et enfin, ENFIN, je lançai une petite poignet de poudre de cheminette dans l'âtre de la cheminée, entrai dedans en prononçant distinctement le nom du Terrier. Je me mis à tournoyer, et eu à peine le temps de voir Hermione attrapai une poignet de poudre de cheminette alors que j'étais emporté et baladai entre toutes sortes de cheminée.
Mes pieds finirent enfin par heurter le sole de ma maison, et je me retrouvais immédiatement immobilisé par deux bras passé autour de ma taille.
Je relevais la tête et me perdis dans un magnifique regard vert.
Je souriais alors que Harry posait ses lèvres sur les miennes et, bien entendu, je lui rendis son baisé.
Nous nous séparâmes en appuyant nos front l'un contre l'autre quand le besoin d'air se fit sentir.
Je me retournais, et trouvais Ron et Hermione en train de se murmurer je ne sais quoi enlacé dans les bras l'un de l'autre.
Je retournai toute mon attention sur Harry.
- Tu m'as tellement manqué, murmurais-je.
- Toi encore plus.
Je fus arraché de l'étreinte de Harry pour me retrouver dans les bras de ma mère.
- Oh, Ginny chérie, tu m'as tellement manqué, comment c'est passé le voyage en cheminée ? Et ne t'inquiètes pas, ce n'est pas grave, on est pas du tout déçue avec ton père pour ta mauvaise note en métamorphose. Tu es pleine de suie ma chérie ! Passe moi ta cape, je vais te la nettoyer.
Je n'eus même pas le temps de protester, que ma mère m'enlevait déjà ma cape.
Je souriais, alors que ma mère repartait vers la cuisine.
Ça fait du bien d'être rentré chez soi.
Point de Vue de Audrey:
J'avançai dans le couloir du 1er étage, en direction du bureau d'un beau roux au petites lunettes dont j'étais follement amoureuse.
J'avançai d'encore quelque pat jusqu'à apercevoir la porte du bureau de Percy, je me stoppai net, et repartais en sens inverse.
C'était la 3e fois que je faisais demi-tour à la vue du bureau de Percy. J'avais trop peur de le voir, ou j'étais juste trop timide. J'avais trop peur que, en me voyant, Percy devine ce que je ressentais vraiment pour lui.
Ce que je ressentais vraiment pour lui ?
Bonne question, je pense que sincèrement, j'étais amoureuse de lui. Mais en même temps, je ne savais pas vraiment ce que c'était qu'aimer réellement quelqu'un, hormis Jake, mon meilleur ami (et encore je ne savais pas trop si je pouvais dire que je l'avais vraiment aimé comme on est censé aimer quelqu'un dont on est amoureux), j'étais quelque peu perdu dans mes sentiments.
J'étais perdu dans mes pensées quand sans me rendre compte, en avançant vers le bureau de Percy je rentrai dans quelqu'un.
Je relevai la tête.
Mince, mince, mince.
Un beau rouquin, avec de petite lunette, et un air sérieux, mais qui faisait tous son charme plaqué sur le visage.
- Je… je suis désolée, bredouillai-je en rougissant comme une citrouille.
- Oh… Euh… Audrey ? Que fais-tu ici ?
Et oui, depuis notre premier rendez-vous en tête à tête, nous avions eu plusieurs autres rendez-vous, et nous avions commencé le «tutoiement».
Je revenais au présent, et bafouillai une réponse qui devait ressembler à quelque chose dans ce genre là:
- Je… bah… je… voir… rendez-vous… toi… ce soir ?
Je rougissais de plus belle, alors qu'un sourire apparaissait à la commissure de ses lèvres.
- Eh bien, je suis désolé, mais ce soir ce n'est pas possible…
Je sentis mon cœur se fendre en deux, il dût le voir à l'air triste qui venait d'apparaître sur mon visage, car il s'empourpra, (oui, Percy Weasley peut s'empourprer) et repris avec une bonne imitation de mon bafouillage précédant.
- Ce… Ce n'est pas à cause de toi, un autre soir m'irait très bien, mais, ma petite sœur rentre de Poudlard aujourd'hui, et ma mère ma demandé de venir manger chez eux avec ma famille. Mais… mais…
Il eut l'air de réfléchir, puis avec un sourire gêné, me dit:
- Euh… est-ce que ça te dirais de venir dîner avec ma famille ce soir ?
Alors là, je ne m'y attendais pas, on est arrivé au point où on se présente nos familles, et dans 1 moi on se marie… Audrey, reprends toi, ce n'est pas le moment de penser mariage, me grondai-je intérieurement.
Je relevai la tête et croisai son regard plein… d'espoir ?
- Avec plaisir, répondis-je avec un grand sourire.
Il eut l'air soulageai, et recommença à respirer… Attend, Audrey, il retenait sa respiration ?Ça voudrait dire qu'il était inquiet que je refuse ?
- D'accord… Euh… on se rejoint à la sortie du ministère à 19h 30.
J'acquiesçai, alors que le nom de Percy résonnait dans le couloir, je tournais a tête et apercevais un homme plus vieux dont j'ignorais le nom.
Percy s'excusa, et partit à grand pas vers l'homme.
Après qu'ils est disparus à l'angle du couloir.
Je sautais de joie.
Une exclamation outrée me fit calmer mes rebonds, mais ne fit pas pour autant disparaître le sourire plaquais sur mon visage, et la seule chose à la quelle je pensais tout le reste de la journée, était :
« J'ai un rendez-vous avec Percy, je vais rencontrer sa famille !»
Point de Vue de Angelina:
Je me redressai et attrapai la tasse de café froid sur la table du salon, j'en buvais une gorgée mais grimaçai en sentant l'arrière goût de chaussette.
Je me laissais retomber sur mon canapé en soufflant.
Cela faisait maintenant 3 mois que ma carrière de Quiditch était terminé, et 3 mois que je restais enfoncé dans mon canapé.
Mes parents avaient essayé de me remonter le moral, jusqu'à ce que je leur fasse comprendre que rien n'y fera, en leur hurlant dessus. Lee était passé plusieurs fois aussi, il avait essayé de me faire sortir, mais je ne lui avais pas parlé et il avait finis pas abandonner.
Il n'y a qu'une seule personne que j'aurais réellement aimé voir, peut être parce que moi même, j'avais sortis cette personne de la déprime.
Ma carrière de Quiditch était terminé, Fred était mort, et je ne savais même plus quoi penser pour une certaine personne.
J'étais perdu, complètement perdue dans mes sentiments, est-ce que ce serait possible d'aimer quelqu'un d'autre que la personne que j'avais aimé qui était morte ?
Cette question me tordait la tête.
Est-ce qu'il serait possible que les sentiments que j'avais pu ressentir à une époque pour George Weasley, ces sentiments que j'avais finis par ressentir pour Fred, ces même sentiments qui me crier que Fred étaient mon passé et que, au plus profond de moi, George serait mon futur ? Est-ce qu'il serait possible que je sois… amoureuse ? Amoureuse de George Weasley ?
Depuis trois mois, j'évitais cette question, mais plus les jours passaient, plus elle me tordait l'esprit.
Mais là, j'allais devenir folle.
Est-ce qu'il serait possible que je sois amoureuse de George ? Le premier garçon dont j'étais amoureuse.
Je me levai de mon canapé en essayant de ne pas regarder les piles d'affaires et de poubelles étalé partout par-terre.
J'avançai dans mon appartement et zigzaguai entre les piles d'affaires. J'arrivais jusque dans ma chambre sans tomber.
Une fois dans ma chambre, on aurait pu croire qu'elle n'était pas habité depuis un bout de temps, ce qui était partiellement le cas. Je me dirigeais vers mon placard, au qu'elle j'ouvrais la porte, mais me retrouvais par-terre ensevelis sous un tas de robe, d'épaulette et de coudière de Quiditch.
Je me relevais en empêchant les larmes de dévaler mes joues.
J'essuyais d'un revers de main les quelques larmes qui avait réussi à s'échapper de la barrière que je m'étais construise depuis 3 mois.
J'enjambais tous ces «vieux» vêtements appartenant à mon passé, et attrapais quelques affaires puis me dirigeais ver la salle de bain.
10 minutes plus tard, je sortais de la salle de bain, dégoulinante.
Où pouvait bien être ma brosse à cheveux ?
Pas dans ma chambre. Dans le salon ?
J'avançai dans le couloir enroulé dans ma serviette.
J'entrai dans le salon en regardant mes pieds pour éviter de me casser la figure sur les piles de poubelles, jusqu'à ce que je rentre dans quelque chose ou plutôt… quelqu'un.
Je relevai la tête et croisai un regard surpris.
Un jeune homme roux, une oreille à moitié arraché, et pour ne rien dire, super beau, qui me tenait par la taille.
George Weasley.
Point de Vue de Hermione:
Cela faisait 1h 30 que nous étions arrivé au Terrier, il devait être un peu plus de 19h et j'étais dans la cuisine avec Mrs Weasley… Molly.
Molly venait de faire cuir un poulet et un gratin de choux de Bruxelles qui sentaient divinement bon.
Tous le reste de la famille Weasley était censé arriver entre 19h 15 et 19h 30, ce qui voulait dire que la cuisine des Weasley serait bientôt pleine à craquer.
- Tu sais Hermione, tu peux me laisser terminer, il n'y a plus grand-chose à faire. La table est mise, les plats sont près, ils ne manquent plus que le reste de la famille, s'exclama Molly en essuyant ses mains avec un torchon à carreaux.
- Vous êtes sûre Molly.
- Bien sûre, tu es en vacances, et tu n'as pas arrêté de m'aider depuis que tu es arrivé, et de toute manière, je crois que Ron t'attend dehors.
Je rougissais et avançai vers la porte qui menait dans le jardin.
J'avançai dans le jardin, le soleil était quasiment entièrement couché mais il laissait échapper quelques rayons de lumière.
Une ombre bougea près de l'arbre, puis deux bras m'enlacèrent et une bouche se posa sur la mienne.
Je souriais et m'éloignai de Ron.
- Le reste de ta famille va bientôt arriver, murmurai-je.
- Eh donc ?
Je souriais alors que Ron m'embrassait à nouveau.
Un petit «pop» résonna derrière nous, nous nous séparâmes.
Bill et Fleur se tenait derrière nous main dans la main.
Point de Vue de Fleur:
Une baleine.
Voilà à quoi je ressemblais, je n'étais enceinte que de 5 mois 1/2, et j'avais déjà l'impression d'être une baleine.
Bill, lui était vraiment heureux.
Depuis que j'étais officiellement enceinte, Bill était devenu sur-protecteur. Au moindre de mes mouvements, il avait besoin d'être là, pour m'aider et surtout pour s'inquiéter.
Plus mon ventre grossissait, plus Bill devenait collant et ressemblait de plus en plus à un gamin de 4 ans à qui on avait promis un gros paquet de bonbon dans 9 mois.
Il devait être environ 19h 10, quand Bill me tendit son bras avec un sourire inquiet pour transplaner.
J'attrapais son bras, et nous nous fîmes emporter pour atterrir dans le jardin du Terrier où Ron et Hermione s'embrassait.
Ils se séparèrent.
- Bonsoir, s'exclama mon Bill.
- Salut, répondit Ron en nous emboîtant le pas vers la maison.
Hermione s'approcha de moi, alors que Bill et Ron avançaient devant nous.
- Ça va ? Me demanda timidement Hermione en fixant mon ventre de baleine.
- Hormis le fait que j'ai l'impression d'imiter une baleine alors que je ne suis enceinte que de 5 mois 1/2, je vais super bien, nous allons super bien, répondis-je en posant ma main sur mon ventre.
Hermione sourit, alors que Ron ouvrait la porte de la cuisine.
Bill fut immédiatement coincé dans les bras de sa mère.
- Je suis si contente de te voir mon grand chéri.
Molly lâcha Bill, puis sourit de toutes ses dents et me prit dans ses bras.
- Oh Fleur, Chérie, comment vas tu ? Ou plutôt, comment allez-vous ? Rigola Molly en posant sa main sur mon ventre.
- On va très bien, répondis-je alors que Bill passait son bras autour de ma taille.
Ensuite, Molly nous invita à nous asseoir à table, ce que j'acceptais volontiers.
10 minutes plus tard, on toqua à la porte de la cuisine.
Point de Vue de Angelina:
George avait sa main posait sur mon épaule, sans doute pour m'empêcher de partir en courant. Il toqua à la porte de chez lui.
J'avais accepté de venir, mais je me demandais pourquoi j'avais accepté.
Flash-back:
George rougit et s'éloigna de moi, alors que je me transformais en tomate.
Je plaçai mes bras sur ma poitrine, j'avais beau être enveloppé dans ma serviette, j'avais l'impression d'être complètement nue.
- Geo… George… Mais… Qu'est-ce que… Qu'est-ce que tu fais là ? Bafouillai-je.
- Bah… Euh… Je… Je voulais venir voir comment tu allais ? Mais… Mais… Je ne voulais pas… Enfin… Je vais y aller… Je ne veux pas…
- Non, reste, m'exclamai-je avant de plaquer ma main sur ma bouche en me rendant compte de ce que je venais de dire.
George se tourna vers moi.
- Je… Je veux dire… tu peux rester… enfin, c'est comme tu veux… je ne veux pas que tu crois que je veux que tu restes… parce que… parce que je vais me taire…Tu fais comme tu veux… tu peux trouver une place… là où il y en a… ou tu peux partir… Euh… je me tais…
George étouffa un rire.
- Je veux bien rester.
Je relevai la tête, et répondis :
- D'accord, je… je reviens.
Je ne me fis pas prier, et me précipitais vers la salle de bain où j'attrapais mes affaires et me jetai dans ma chambre.
Je me laissais glisser contre la porte, même mes affaires de Quiditch étendu par-terre ne me firent pas changer d'état d'esprit.
George Weasley m'attendait dans le salon, dans mon salon, dans mon appartement. George Weasley était dans le même espace que moi.
Je… Mais qu'est-ce que je racontai ? Je devenais complètement folle. Il fallait que je me ressaisisse. George m'attendais dans le salon, et il fallait que je me prépare.
Je me relevai, et m'habillai le plus rapidement que je le pouvais.
J'ouvrai la porte en soufflant un bon coup.
J'avançai dans le couloir, et trouvai George une pile de photo à la main, debout devant l'une des étagères du salon.
Il se retourna au moment où je franchissais le pas du couloir.
Je baissai la tête.
- Pourquoi tu es là ? M'exclamai-je après quelques minutes.
- Je n'ai pas le droit de venir voir une… une amie.
- Non… Pourquoi es-tu vraiment là ? C'est Lee qui t'as dis de venir !
C'était plus une affirmation, qu'une question.
- Non… Oui… Avoua-t-il.
Toute la joie que j'avais pu ressentir à la venu de George, disparut comme une traînée de poudre de cheminette au milieu du désert.
Je reculai d'un pas et m'appuyais contre le mur.
- Je vois, marmonnai-je d'un air déçu, et visiblement George le remarqua, il traversa le salon poubelle, en 4 enjambés et vint se placer devant moi, un air on ne peut plus sérieux sur le visage.
- Bon, maintenant Angelina Johnson tu vas m'écouter. Si tu ne veux pas sortir de cette situation, grand bien te fasse, mais penses un peu à ta famille, ta mère et ton père, ma mère leur a demandé des nouvelles de toi il y a quelques jours, à peine avait-elle prononcé ton nom que ta mère fondait en larmes, et que ton père devenait aussi blanc que du sang de licorne*. Tu devrais arrêter de penser qu'à toi, penses un peu plus aux autres, penses à tes parents qui souffrent pour toi, qui sont inquiet à longueur de journée. Lee aussi s'inquiète, il est venue plusieurs fois me voir ces dernières semaines, il voulait me convaincre de venir te voir parce qu'il était persuadé que tu m'écouterais, et… moi aussi je m'inquiète, et pour tout avouer, il m'a fallut 6 jours pour que j'arrive à sortir de la maison pour venir te voir. Tu te laisses aller, et ça ce n'est pas possible, ce n'est pas parce que tu n'as plus la chose à la quelle tu tenais le plus que tu dois le faire vivre à tout le monde, que ça te vexes, que ça te mettes en colère ou que tu sois triste, tu dois te battre pour empêcher les autres de le vivre. Donc, maintenant tu vas m'écouter attentivement, tu vas finir de te préparer, tu vas ranger ton appartement de fond en comble, je vais te laisser, tu as tous l'après-midi pour ranger, et à 19h 10 je viendrais te chercher pour aller manger chez moi, Ginny rentre de Poudlard ce soir, et ma mère organise un repas. Tu n'as pas le droit d'objecter, c'est un ordre que tu le veuilles ou non.
George termina son discours d'un hochement de tête convaincu.
Si tout chez moi était surpris, ma bouche et mes yeux le montraient le mieux.
George fit un petit sourire en coin gêné, en se grattant la nuque.
- Après tout, c'est toi qui m'a dis ça.
Je clignai rapidement des yeux, la bouche toujours ouverte, j'avalai ma salive, et fermai la bouche.
J'inspirai un grand coup, et m'exclamai:
- Tu as raison, pour une fois, (George fit une tête bizarre), je vais me ressaisir, le… le Quiditch n'était pas la seule chose dans ma vie.
Dans un élan de frénésie,je montai sur la pointe des pieds en embrassai sa joue, puis le poussai dans le dos jusqu'à ma porte d'entrée et lui dis:
- Ne sois pas en retard alors.
Puis je lui claquai la porte au nez.
Je me laissai glisser contre la porte… J'avais embrassé George Weasley, sur la joue, mais je l'avais embrassé.
Je m'extasiai pendant encore un temps indéterminé, puis bondissais et commençai à organiser mon appartement (qui fut plus compliqué à ranger que prévu).
Fin du flash-back.
J'avais accepté de venir parce que c'était George, George Weasley. Le jumeau de Fred Weasley. Au début, quand Fred, George et Lee m'avait «invité» dans leur groupe de farceur, j'avais accepté sans hésiter. J'étais rapidement tombé amoureuse de George, mais je ne sais pas pourquoi, George n'avait jamais vraiment montré de signe qu'il m'aimait et au fur et à mesure des années, j'avais oublié George et était tombé amoureuse de Fred avec qui j'avais fini par sortir.
Mais était-ce possible que depuis tout ce temps, je n'ai jamais vraiment oublié George, est-ce que j'avais aimé Fred pour oublier George, était-ce possible que j'aime toujours George ?
Était-ce possible que je sois amoureuse de George Weasley ?
Bonjour Bonjour,
Je sais, ça fait vraiment longtemps que je n'ai pas publié. Pour m'excuser voici un chapitre spécial fille.
J'espère que vous avez aimé.
Donnez-moi votre avis avec une petite reviews, ça me ferait super plaisir, et ça m'encouragerait à écrire plus.
Kiss Kiss Little Fairy Wolf !
PS: Désolée pour les fautes.
