Chapitre 11
Harry entendit le miaulement du chat et le son impliquait que le chat allait sauter sur lui ou sur l'Inquisiteur. Il bondit alors dans le sens inverse et il eut l'impression qu'une énergie magique malveillante frôla son visage. Il haleta, ayant l'impression qu'un couteau le coupait, mais il ne s'y attarda pas du tout. Il pointa sa baguette une nouvelle fois et il envoya son sort préféré :
«Lapidae!»
Le sort se dirigea vers l'Inquisiteur et le toucha, manquant Sombre de quelques pouces. Devant son échec, l'Inquisiteur saisit le chat et il lui lança le contre sort. Pendant qu'il regardait en bas, le survivant s'enfuyait vers le hall. Tout élément de surprise était perdu, du moins pour ce soir.
La prise de l'Inquisiteur se resserra sur le coup de Sombre dans la colère. «Je l'avais presque et tu as tous gâché. J'aurai ta peau!»
Sombre se retrouva dans un espace très serrer, il connaissait vaguement cette voix et ce n'était pas une connaissance dont il aimerai qu'elle connaisse son secret. Il ne pouvait donc pas se permettre de se déplacer sans tuer l'Inquisiteur. Mais si cela devait arrivé, un Inquisiteur mort voulait dire faire accuser Dumbledore à un moment où l'Ordre de Phénix avait le plus besoin d'un chef. C'est une lutte de chat alors… Sombre pensa alors que ça commençait à être grave alors que l'oxygène commençait à avoir de la difficulté à se rendre au cerveau alors il grogna et essaya de griffer l'homme. Il griffa la main qui le tenait profondément, mais l'Inquisiteur ne desserrait pas sa prise. Il montra sa baguette au chat et le sort le frappa de plein fouet, envoyant le petit birman s'écraser contre l'armure du hall.
"Stupefix!"
"Pedalis Nix!"
"Cicatricas Manos!"
"Corpus Avaris!"
"Pantaichis!"
Cinq sorts frappèrent carrément l'Inquisiteur, certains d'entre eux complètement créé, de cinq baguette différentes. Tous les membres du groupe d'étude qui étaient partit de la salle d'Exigence pour la réunion avaient suivi Harry dans l'allée. Drago et Blaise sourirent de satisfaction à leur œuvre et le sourire qu'ils se lancèrent entre eux était un de ses sourires dangereux que seul les Serpentard savent faire. Ron grimaça sombrement.
«Es-tu sûr que nous en avons assez fait?»
«Bien, nous aurions pu l'accrocher à l'envers au plafond et écrire sur le mur 'Attention au groupe d'étude' en lettre ensanglanté, mais cela n'a pas déjà été fait?» plaisanta Blaise et Drago gloussa.
«Mecs, Sombre doit être quelque part ici! Peut-on regarder comment il va?» fit Harry, urgemment. Et on entendit Hermione commencer par l'armure.
«Harry, je pense que le chat est épinglé entre les plaques de l'armure. Il ne semble pas très heureux» dit-elle sur un ton grave alors qu'Harry marchait vers l'endroit.
«Saigne-t-il? Il m'a sauvé la vie!»
«Nous verrons. Je vais le démêler d'abord.» fit Hermione, puis elle agita sa baguette. Les plaques de l'armure rétrécirent et se retirèrent, laissant le chat qui était de côté et qui miaulait d'irritation.
«Amenons le à Pomfresh» fit Ron.
«Alors nous parlerons de l'Inquisiteur.» avertit Blaise
«Il nous a déjà vu.» fit Hermione.
«Non, il était trop occupé à harceler le chat. Il a seulement vu Harry.» fit Drago en regardant l'Inquisiteur avec mépris. L'homme lançait quelques coups de pied dans l'étage, fâcher de ne pas pouvoir répondre, ses mains si affreusement lacérées qu'il ne pouvait pas utiliser sa baguette et ses pieds refusant de lui obéir. Le groupe d'étude avait appris à travailler ensemble les combinaisons de sort.
«Qu'est-ce qui se passe ici!?» la voix du professeur Lupin se fit entendre dans le hall alors que le professeur de DCFM courait à leur rencontre.
«J'allais à notre rencontre et l'Inquisiteur ma sauter dessus. Sombre l'a empêcher de me tuer, il a utiliser une sorte de période de sabre, donc je pouvait pas entendre le chant.» fit Harry. Remus remarqua que la joue d'Harry saignait toujours d'une coupure en diagonale qui commençait sur la ligne de sa mâchoire jusqu'à son nez, cela semblait déplaisant, mais pourrait être guérit plus tard.
«Nous nous sommes assez attarder ici. Entrons dans la pièce.» fit-il en prenant Sombre des bras d'Hermione. Il semblait blessé, mais il ne saignait pas. Comme la plupart des membres du groupe d'étude fut entré dans la salle sur demande, Remus appuya doucement sur Sombre. Le chat grogna et lui lança un regard furieux.
«Est-ce que tu sais comment l'aider?»
«Je sais qu'on ne peut pas l'amené à Poppy. Je ne suis pas sûr de se que nous devrions faire et le directeur est à l'extérieur avec Mr. Black.» dit pensivement Remus.
«Nous ne pouvons pas le laisser souffrir! Il pourrait mourir avant leur retour. Il doit bien y avoir quelqu'un de confiance qui pourrait l'aider?» fit Harry d'un ton urgent. Remus soupira et regarda le chat.
«Je pourrait le faire. Après tout, ce cadeau est la chance que tu voulais.» il prit Sombre qui ferma les yeux, se préparant à la douleur qui allait suivre.
«Quelle chance?» demanda Drago et Harry fronça les sourcils.
Remus se concentra dans la salle sur demande pensant qu'il avait vraiment besoin d'un lit, et il surgit à proximité. Le groupe d'étude cligna de l'œil.
«Pourquoi un lit de la taille d'un homme?» demanda Hermione. Harry sentit son cœur battre plus vite, son esprit courser. Si Sombre est un animagus… que j'ai trouvé près d'un chaudron il y quelque temps… pourrait-il être? Il serra le bras de Ron si fort que Ron jappa.
Remus assis Sombre sur le lit et pointa sa baguette. Il lança le sort qu'il avait besoin pour redonner sa forme humaine au chat. Dans un pop et un fort gémissement, Severus Rogue se transforma dans sa forme ordinaire.
Le silence ce fit dans la salle, alors que personne n'en croyait de leurs yeux Harry courut jusqu'au lit, ses mains trouvant rapidement sa face, recherchant les erreurs. Il eut à peine le temps de toucher son nez crochu que vint la remarque acerbe, encore plus la bienvenue qu'Harry n'aurait pu imaginer qu'elle le soit.
«Bas les pattes Potter!»
«Tu es vivant! Tu es vivant? Tu es vivant!» la voix d'Harry sonnait différemment alors que l'émotion s'écoulait en lui. Sans y pensé, il frappa Rogue sur se qu'il croyait être son estomac.
Connard, je vais vous tuer moi-même! Pourquoi m'avoir fait ça!?» Drago et Ron attrapèrent Harry par le dos alors que Rogue siffla de douleur et se pelotonna sur le lit. Rémus se dépêcha vers le lit.
«Harry, ce n'est pas prudent de le frapper maintenant. Attend au moins que nous l'ayons guérit.» fit-il rapidement.
«Je vais le guérir moi! Pour toujours! Est-ce ton idée d'une blague!? Je n'ai pas pu dormir pendant des nuits parce que je pensais que tu étais mort par ma faute!»
Harry se débattit de la poigne de Drago et de Ron, essayant d'atteindre à nouveau le professeur.
«Juste comme cela, il peut toujours mourir Potter» fit de manière cinglante Drago, d'une voix inquiète. Harry s'arrêta, pantelant.
«Comment pouvons-nous vous aidez, professeur?» demanda Blaise, pour la première fois heureusement. Elle comprenait pourquoi Rogue avait caché qu'il était toujours en vie, elle était justement une Serpentard comme son mentor et actuellement, elle était simplement heureuse qu'il soit à, parmi eux
«Bâillonner… Potter… d'abord.» réussit à prononcer Rogue.
Rémus gloussa. «Je t'ai déjà dit qu'il avait le tempérament de son père. Je vais lancer un sort de diagnostic car je ne vois rien de casser ni saignement.
«Pas… pour… le sort… de… ugh… Sang Frigidae…»
Harry pali. Ce sort gelait le sang lentement à l'intérieur des veines de la victime, causant des crises cardiaques.
«Potion, y a-t-il une potion pour cela?» demanda rapidement Harry.
Rogue ne répondit pas immédiatement, faisant s'agiter encore plus Harry. Il ne voulait pas que le maître des potions meure alors qu'il venait de le retrouver. Rémus s'approcha de Severus et il écouta attentivement alors qu'il murmurait les instructions à l'oreille du loup-garou.
«Harry, Severus m'a dit que tu te déplaçais rapidement et calmement dans les allées. Prend Hermione et Drago avec toi et va aux donjons. Dans son placard personnel, il y a trois fioles étiquetées avec trois runes. Vous devez brasser la potion exactement comme pour la pimentine, ajoutant à la fin les trois fioles dans l'ordre exact que les runes indiquent. Hermione, j'espère que tu pourras aider les garçons dans ce domaine ?»
Hermione approuva rapidement. Rémus acquiesça.
«Bien. Drago, tu brasseras parce que tu en es capable et Harry, Severus dit que la potion doit être sous le sort gelant au moment des changements d'odeur. Il espère que tu pourras le faire.
«Nous le ferrons. Gardez-le en vie jusqu'à notre retour.» fit Harry avec détermination et Drago appela une cape d'invisibilité. Hermione serra Ron dans ses bras en soutient et Drago envoya un clin d'œil à Blaise, ensuite, le Gryffondor et la Serpentarde s'approchèrent d'Harry et les recouvrirent de la cape.
«Sommes-nous bien camouflés?» demanda Harry
«Nous le sommes tous, Potter» fit Drago et les trois étudiants passèrent la porte.
Dumbledore retourna rapidement à Poudlard le jour même, après que Rémus l'ai informé de ce qui c'était produit pendant son absence. Rémus l'attendait dans son bureau.
«Quelle est cette situation dont tu m'as parlé ?» demanda Albus alors qu'il marchait dans la chambre du professeur de DCFM. Ce n'était pas prudent de parler dans le bureau du directeur avec l'Inquisiteur toujours présent.
«Severus est dans la chambre de préfet d'Harry. Il est encore faible, mais il récupère bien. A l'heure actuelle, c'est une bonne nouvelle. Apparemment, c'était ce que nous suspections, l'Inquisiteur en a après la vie d'Harry.»
«Où est l'Inquisiteur qui a attaqué Harry?»
«Il est toujours au soin de Poppy. Les étudiants sont vraiment très créatif avec leurs combinaisons de sort. Je suspect aussi Poppy de ne pas tout faire pour que l'homme récupèrent rapidement. » Fit Remus avec un petit sourire.
«Le professeur Flitwick l'a-t-il fait?»
«Oui. L'Inquisiteur est partiellement dans l'oubli, il se souvient d'avoir eu une altercation, mais pas avec qui.»
«C'est bien. Quand Severus sera de nouveau sur pied, il continuera selon notre plan initial. Sirius a tout préparé au Manoir des Black. Bien sûr, nous devrons informer Harry pour que le plan fonctionne.»
«Miss Zabini m'a informé qu'il y avait de l'excitation dans les rangs des mangemorts. Ils s'attendent tous à une réunion bientôt, encore plus dans le cercle intérieur.»
«Bon, bon. Comment Harry a-t-il prit la révélation de la réapparition de Severus?»
«Il ne m'en a pas encore parlé, mais je pense qu'après avoir frapper Severus, il lui a pardonné.» fit Remus avec un léger sourire.
Albus sourit et se leva.
«Je pense que nous avons assez prouvé le fait que nous n'avions pas l'intention de laisser faire les Inquisiteurs. Je devrai croire qu'après presque un mois d'inactivité, notre coté semble assez affaibli.»
«Que dites-vous, monsieur?» demanda Remus, son cœur battant rapidement sous l'excitation, Cela allait être la fin de l'attende et de la passivité, finalement, les mesures seraient prises.
Je dit qu'il est maintenant temps de rendre visite au Ministre Verpey.» fit joyeusement Dumbledore et il marcha ensuite vers la sortie. «Et je crois qu'aujourd'hui la crème anglaise sera particulièrement délicieuse, n'est-ce pas?»
Harry regarda le corps de Rogue à travers les yeux de Sasha, et pour la première fois il était heureux de voir le sévère professeur s'allonger et se rétablir. Il se sentait d'habitude fautif ou coupable, mais dans l'esprit d'Harry, il revenait de la mort et le fait de pouvoir le regarder respirer était un cadeau qu'il avait longtemps cru inaccessible. Il retrouva le sourire et oublia le temps.
«Sasha va finir par s'évanouir Potter.» fit Rogue en ouvrant les yeux dans un craquement. Harry sursauta de surprise, il avait oublié que le lien d'esprit pouvait fatiguer Sasha s'il l'utilisait plus d'une heure sans arrêt. Il cassa rapidement le lien.
«Je suis désolé Sasha» siffla-t-il au serpent
«Non Harry… Je sssssuis heureux que tu ais aimé sssssse que tu as vu» siffla Sasha en enfonçant sa tête dans la pochette d'Harry pour se remettre de la fatigue en dormant.
Sans vision, l'avantage de la surveillance revenait à Rogue maintenant et il regarda non sans satisfaction la retenu sur le visage du garçon. C'est si agréable de le savoir heureux que je sois en vie. Les gènes de Lily plus que ceux des Potter je paris.
«Alors, comment?» demanda Harry, en cassant le silence.
«Comment quoi?» demanda Rogue en retour.
«Comment as-tu fais pour survivre à l'avada Kedavra?» répéta Harry, ses yeux regardant fixement le mur opposé. Ils étaient peu réceptifs à la lumière alors il ne détourna pas le regard du rayon de soleil qui brillait directement dans ses yeux, les colorant profondément d'un même vert étincelant que ceux de Lily. Il avait toujours sur sa joue la fine cicatrice où le sort de l'Inquisiteur l'avait touché.
«Je te répondrai quand tu répondra à la même question en premier. Fit Rogue avec amusement, se relevant un peu dans le lit.
«Allez, professeur, je ne peux pas croire qu'un Serpentard comme vous ait saisi l'occasion avec quelque chose de si important. Dois-je demander à quelqu'un d'autre? Ils pourraient se demander pourquoi je veux le savoir.» ronronna presque Harry, boxant avec le maître des potions, appréciant les tours pointus que prenait la discussion avec l'homme. Il entendit Rogue respirer soigneusement. Il attendit.
«J'ai survécu au sort de la mort à cause du professeur Lupin, Potter» répondit Rogue.
«Ça ne me dit toujours pas comment» pressa Harry
«Il y a un sort, un sort médical, appelé Effectio Stasis, il arrête tout le métabolisme du corps, toutes ses activités. En fait, il donne l'apparence d'un mort. Le sort de la mort ne peut marcher que s'il peut détecter de la vie. Sous le sort Effectio, il n'y a aucune indication que la personne est vivante. Professeur Lupin m'a lancé le sort une seconde avant que je sois touché par le sort de mort. Quand il m'a touché, le sort a pensé que j'étais déjà mort, et il s'est dissipé dans les air. Est-ce suffisant comme information?»
Harry acquiesça doucement, prenant conscience de l'information. Il se rappela avoir entendu le sort de Remus, mais il n'avait jamais pensé que de lancer un sort protègerai Rogue d'un sort de la mort. Harry décida qu'il pourrait pardonner à Remus de l'avoir laisser dans le noir à ce propos, juste parce qu'il avait été si parfait dans son timing.
«Je suis heureux de savoir que tu es en vie. Je te hais toujours de ne pas me l'avoir fait savoir, mais je suppose qu'il y a de la logique derrière cela… Merde, j'envi Blaise. Elle prend cela si naturellement, comme toi.»
«Zabini a la mentalité d'un Serpentard, pas d'un Gryffondor, Potter.»
«Le Choixpeau a voulu me mettre à Serpentard au début» fit Harry. Si Rogue fut surprit, il n'y avait aucune trace de surprise dans sa voix.
«Toujours est-il qu'il ne t'y a pas mis à la fin. Alors ce n'est pas un argument, non?»
«Je crois pas…» fit Harry avant ce se lever, prenant sa cane. «Je dois aller en classe, professeur.»
«Ce serait mieux» fit Rogue, regardant Harry prendre son sac et marcher vers la sortit. Alors qu'il allait ouvrir la porte, Rogue dit, avec un léger sourire même s'il savait qu'Harry ne pouvait pas l'entendre dans sa voix :
«Oh et Potter?»
Le garçon se stoppa sans se retourner
«Ce sera 20 points de moins à Gryffondor pour m'avoir frapper et 50 pour m'avoir traité de connard.» fit Snape et Harry sourit, secouant la tête alors qu'il sortait et qu'il fermait la porte. Cet homme doit vraiment revoir ses priorités…
Blaise était spécialement heureuse ce jour-là, Snape était en vie, elle connaissait des sorts que Pansy ne pouvait même pas imaginer, sa couverture était bien établie et elle recevait de bonnes appréciations, aussi. Elle marcha vers la classe d'enchantement avec Drago, qui semblait toujours avoir le temps de l'accompagner aux classes qu'ils avaient en commun et jamais le temps pour parler à Pansy. Les querelles de Parkinson à ce sujet l'amusaient énormément.
«Il y a certain jour où je pense que tout est parfait dans le monde.» dit-elle à Drago alors qu'ils marchaient à travers le corridor. Il sourit et tourna son regard vers elle.
«C'est une pensé que j'attendrais de la plus jeune Weasley.» fit-il et Blaise joua du coude avec lui pour plaisanter. Le fait que Snape soit revenu avait aidé la jeune fille à retrouver son caractère naturel et son dynamisme, au lieu du silence rocailleux et le désire de vengeance qu'on avait l'habitude de voir poindre dans ses yeux. Elle est presque élastique, pensa Drago avec amusement. Mais pas seulement de l'amusement, pensa-t-il un peu surprit, mais aussi de la tendresse. Il respectait vraiment Blaise Zabini et l'admirait pour entreprendre quelque chose qu'il n'aurait cru pouvoir faire, mais… il appréciait cette satanée fille.
«Bien, je ne vois pas pourquoi je ne peux pas voir la perfection du monde une fois de temps en temps. Ce qui est voyant a toujours dérangé et ce qui est terne est fatigant à la longue et je me sens heureuse aujourd'hui, malgré les Inquisiteurs autour.» dit-elle en souriant de ses lèvres fines.
«Je suis heureux alors. Tu es plus belle quand tu es heureuse.» répondit Drago
«Oh, alors je ne le suis pas quand je suis malheureuse, c'est ça?» fit Blaise en prétendant être insulté, et Drago sourit.
«Ne joue pas à cela avec moi, Zabini» fit-il d'une voix traînante «Parce que je connais chaque truc dans la syntaxe et la grammaire et que tu ne peux pas tourné ce que j'ai dit : j'ai dit que tu étais plus belle, pas que tu ne l'étais pas en général.»
«Est-ce ainsi Mr Malefoy? Viens tu, dans tes mots, de me faire un compliment?»
Drago haussa un sourcil et sourit de nouveau.
«Peut-être que oui» dit-il.
La conversation aurait pu continuer si elle n'avait pas été interrompu par le grand et indéfinissable cri perçant d'un hibou. Il vint directement vers Drago et lui offrit la lettre. Drago fronça les sourcils et son cœur commença à battre plus vite.
«C'est de ma mère» fit-il alors qu'il ouvrit le courier.
Cher Drago
Ton père s'est échappé d'Azkaban. Fait attention, tu n'es pas en sécurité.
Maman
Les mains de Drago laissèrent tomber le papier alors qu'elle commençait à s'agiter.
À suivre…
Chapitre 12
Voldemort regarda une nouvelle fois son groupe de mangemorts. Ce n'était pour lui que de la marchandise, tout ceux qui était parti, tout ceux qu'il avait acquis. Il était satisfait. La mort de ce traître, Severus Snape, et le fait que tous les inquisiteurs de Verpey s'étaient introduits dans Poudlard, empêchant l'Ordre d'avancer le faisait se sentir encore plus puissant, en avance dans le jeu. Il savait que Dumbledore aurait du mal à trouver un aussi bon et loyal maître des potions, comme Snape l'avait été, alors qu'il avait le meilleur maître de Potion après Snape, et qu'elle avait prouvé sa loyauté plus graphiquement que Snape ne l'avait jamais fait. C'était un bonus pour lui. De plus, Harry Potter avait perdu un autre protecteur, un protecteur vital comme l'en avait informé Zabini et Parkinson. Si j'avais su que ce bâtard avait enseigné à l'aveugle, je l'aurai fait tué une 6 mois plus tôt, rumina Voldemort. Enfin, il était mort maintenant, c'était déjà ça.
«Mes loyaux mangemorts…» dit-il alors que chaque figure habillé de noir s'inclinait au son de sa voix. «Je vous ai appelé aujourd'hui pour célébrer. Je vous ai appelé aujourd'hui pour s'incliner face à la persévérance que donne la vrai loyauté. Je vous ai appelé aujourd'hui pour accepter le retour dans nos rangs de Lucius Malefoy qui vient de s'échapper d'Azkaban.»
Blaise acclama le grand homme qui était venu et s'était incliné devant le seigneur des ténèbres juste au moment où tous les autres le faisait. Son cœur se mit à battre rapidement. Oh non…Draco… Son esprit répéta cela alors qu'elle regardait Lucius. Son haleine était chaude au dessous du masque. Il est condamné. Que puis-je faire.
Lucius était beaucoup plus mince qu'avant l'attaque de Poudlard, et cela se voyait sur son visage. Ses pommettes étaient saillantes, ses yeux étaient plus creux, les faisant sembler plus grand et plus intense, ils brillaient avec haine et triomphe. Après les acclamations, Voldemort fit retrouver le silence.
«Approchez Blaise Zabini et Pansy Parkinson.» ordonna-t-il. Les deux filles s'approchèrent, la tête inclinée. Pansy tremblait d'adrénaline. «Enlevez vos masques.» l'ordre habituel fusa et Blaise enleva le sien sans relever la tête.
«Comment pouvons nous vous servir mon seigneur?» demanda-t-elle calmement, en protégeant ses émotions et ses pensées comme le professeur lui avait montré. Au lieu d'une réponse, le sort que Voldemort préférait arriva. Pansy et Blaise crièrent. Derrière eux, Crabbe et Goyle tremblèrent de peur dans la crainte de recevoir le même traitement que leurs camarades de classe.
Alors le sort s'arrêta. Blaise réussit à revenir à quatre pattes, Pansy ne réussissait toujours pas à arrêter de gémir.
«Je vous puni car vous m'avez déçu et aucun de mes mangemorts devraient être trompé par leurs ennemis.»
Blaise savait de quoi il parlait, mais elle garda silence.
«Comment nous avons nous déçu mon seigneur?» demanda Pansy d'une voix larmoyante. Voldemort ne répondit pas, mais il sembla faire un signe de tête à quelqu'un.
«Mon fils vous a trompé.» Sa voix sonnait plus soyeuse qu'avant, mais maintenant il y avait de la rage et de l'indignation à peine contenu. «Draco Malefoy ne peut plus être considéré comme mon fils. Il m'a trahis ainsi que notre Seigneur. Il doit payer pour son insolence.»
«Lucius.. Je comprends ton désappointement, mais je peux seulement te dire ce qui devrait être fait avec quelqu'un. J'espérais que vous vous en seriez souvenu.» dit Voldemort et Lucius jura de l'autre côté de la salle, cependant, il ne reçu pas de doloris, un grand service venant du Seigneur des Ténèbres. Lucius se leva et s'inclina, s'excusant.
Voldemort se tourna vers Blaise et Pansy.
«Vous êtes tout les deux proche du jeune Malefoy non?»
«Oui mon seigneur» dirent les filles à l'unisson.
«Apportez moi le jeune Draco.» ordonna Voldemort.
«Et s'il résiste mon Seigneur?» tenta Blaise.
«Je me fiche qu'il soit entier ou non, Blaise Zabini, tant qu'il est assez vivant pour regarder son père… et son maître dans les yeux, » dit Voldemort en souriant d'un air glacial.
Harry poursuivait son chemin en tapotant de sa canne vers le petit déjeuné avec un groupe d'étudiant, accompagné par Minerva McGonagall. Sombre marchait à proximité, la queue haute et la tête droite avec irritation.
«Ginny?» appela Harry, essayant de discerné ses pas. Il entendit la confusion et le réarrangement continu autour de lui et la voix irritante de McGonagall en disant aux étudiants de marcher.
«Je suis ici, Harry. Qu'est-ce que tu veux?» il entendit la voix de Ginny juste à côté de lui. Il sourit
«Sombre veut être reconnu comme le familier d'un certain étudiant… Je me demandait si tu pouvais faire un scène pour que chacun sache à qui il appartient.»
«Bien sûr, Harry, » fit Ginny et elle prit le chat noir allègrement, ce n'était pas tout les jours que l'on portait Severus Snape, sous la forme de chat ou non.
Drago essayait de trouver Blaise dans la foule de Serpentards alors qu'ils cherchaient où s'asseoir et manger leur petit déjeuner quand il entendit un cri aigu typique venant de belette et une voix haute l'appeler.
«DRACO MALEFOY!»
Il se tourna et vit Ginny, le visage aussi rouge que ses cheveux, venir à lui, tenant un Sombre mécontent entre ses mains, de sorte que la plupart du corps du chat se balançait le plus loin possible de la jeune fille que possible. Oh mon Dieu. Le professeur s'amuse-t-il ou quoi? Il lui jeta un coup d'œil et ricana.
«Si ce n'est pas une des belettes? Quoi de neuf petite fille?»
«Est-ce que tu sais qui c'est?» fit Ginny en colère, lui tendant le chat. Draco regarda les yeux noir charbon du chat qui le regardait avec colère.
«Oui et alors?»
«Ha ha! Tu l'admets. Tu admet que tu as entraîné ton familier à aller dans la tour des Gryffondor pour cacher nos affaires?»
«Qu'est ce qu'il y a, est-ce que Sombre a caché tes culottes ? » dit Draco pour les tenir en haleine. Sombre grogna et sa queue siffla d'irritation. Ginny poussa Sombre dans ses mains et se retourna.
«Si jamais j'attrape encore ton familier dans MON dortoir, je lui arrache la peau ! » hurla-t-elle aussi fort que lui permettaient ses poumons, marchant sous les rire des Serpentards et les sourires satisfait de ses camarades de classe.
«Bien Sombre, il semble que le prochain arrêt sera la valise de Potter.» fit Draco a voix haute et les Serpentard rirent encore plus alors que le chat siffla et émettait des pffff jusqu'à ce que Draco le laisse sur la table près de son plateau. Les Serpentard commentaire la beauté du chat noir. Sombre lui appartenait officiellement.
Blaise marchait à pas lent dans la salle commune des Serpentards, ne sachant que faire. Elle avait mis Pansy sous un sort dormant, pour qu'elle ne se réveille pas et ne prévienne quelqu'un. Elle ne s'inquiétait pas de Crabbe et de Goyle; ils n'avaient pas reçu d'ordre et la bouffe les distrayait assez pour que Draco soit en sécurité pendant le déjeuné. Qu'est-ce que je dois faire ? Je ne peux pas le laisser se faire tuer par Voldemort ! Mais qu'est-ce que je peux faire ? Elle avait été voir Dumbledore après sa réunion avec Voldemort vers 4h du matin. Le sorcier l'avait écouté soigneusement et l'avait ensuite expulsé au lit en lui disant de le faire. Elle n'était même pas sur que l'homme ait prit des mesures.
Elle était si agitée qu'elle ne vit pas le chat noir entrer. Elle leva les yeux seulement lorsqu'elle entendit le pop et que le maître de Potion soit debout devant elle.
«Tu va exécuté l'ordre aujourd'hui.» lui dit-il rapidement.
«Je ne vais pas donner Draco à Voldemort! »
«Ne crie pas son nom. Je t'ai mieux enseigné que ça.» fit Snape d'un ton brusque et elle recula et déglutit.
«C'est dans l'intérêt de Drago que tu exécute l'ordre du seigneur des ténèbres plutôt que Parkinson.» fit uniformément Snape et elle leva les yeux de nouveau.
«Que dois-je faire ?» dit-elle avec détermination.
Sirius Black lisait le parchemin. Il était d'une humeur massacrante; il avait constaté qu'il n'avait aucune façon de décrocher le portrait de sa mère. La femme criait comme une banshee chaque fois qu'elle levait les yeux vers lui. Il avait collé une toile de James et Lily par dessus avec des sort collants. Elle criait toujours avec indignation, mais le son était étouffé et James aimait beaucoup garder le portrait assez occuper pour laisser Sirius seul.
«Quoi?! Dumbledore… merde, il ne restera que Snape d'ici la fin de l'année à ce rythme là!» dit-il après avoir fini de lire. Quand même, il envoya une réponse rapide et brève :
Bien, envoyez-lui.
Cette même nuit, une grande réunion était tenu au lieu de la séance d'entraînement. Severus Snape et Remus Lupin était dans la pièce ainsi que Harry, Draco, Fred, George, Neville, Ron, Hermione et Ginny.
«Miss Zabini dois vous informer de quelque chose d'important. Nous l'avons retardé d'un jour, mais Mlle Parkinson se réveillera tôt demain.» dit sérieusement Remus.
«Suis je dans les projet de mort de Voldemort?» demanda amèrement Draco.
«Il veut que moi et Pansy on t'apporte à lui.» fit Blaise en regardant ses pieds. Harry frissonna, se souvenant de se qu'il avait vu quand Karkaroff avait été capturé.
«Évidemment, nous ne pouvons faire quelque chose comme cela sans compromettre la santé de M. Malefoy.» fit sarcastiquement Snape.
«Peut-on organiser sa mort, comme nous l'avons fait avec vous?» demanda Harry.
«Même tes amis te le diront, on ne peut pas faire le même truc et s'attendre à ce que ça réussisse plus d'une fois.»
«J'ai peur qu'il ait raison, Harry» dit George avec un petit sourire déprimé.
«Nous devons trouver de nouveaux trucs à chaque fois avec maman.» ajouta Fred, «parce que c'est comme si elle gardait un livret de nos exploits.»
«Je ne peux pas la blâmer» fit Remus avec un petit sourire.
«Alors, comment peut-on aider Draco?» demanda Hermione.
«Nous allons permettre aux filles de commencer à l'amener à Voldemort.»
«Mais si elles échouent, elles seront punis!» protesta Draco. Blaise haussa les épaules
«Alors, et s'il le fait? Il ne peut pas se permettre de tuer quelqu'un. Notre nombre est déjà assez petit comme il est.»
«Je ne vous laisserai être torturé à cause de moi!» fit Draco, faisant mine de partir.
«Et je ne te laisserai pas mourir non plus» fit simplement Blaise.
«Ne fait pas ton Potter avec moi Zabini»fit Draco en serrant les dents.
«Tu as commencer» dit Blaise avec un petit sourire.
«Hey, qu'est-ce que cette chose à mon propos? Impliquez-vous que je…»
«Ne vas pas là Harry» dit Remus avec un sourire. Snape ricana et applaudit ensuite pour amener le silence.
«Ne présume pas de t'inquiéter d'un étudiant plus que ses professeurs, Malefoy» réprimanda-t-il «sois rassurer qu'elle ira bien. Maintenant, sois sûr d'être disponible demain soir dans la salle commune des Serpentard. Je serai là pour superviser, m'assurer que rien ne tourne mal.»
«Et nous professeur?» demanda Harry
«Vous commencerez à vous occuper des inquisiteurs. Sois tranquille, le pire qui puisse t'arriver est une détention avec le directeur.» dit Remus et tout le groupe d'étude se mit à rire.
Deux heures avant le petit déjeuner, les inquisiteurs se dispersèrent sur les terres de Poudlard. Deux par deux, ils marchaient brusquement, pour prendre leurs positions. Une baguette sembla flotter dans les air, un sort fut marmonné.
"Dessinato Florae!"
Des fleurs multicolores commencèrent à se dessiner sur les robes des inquisiteurs. Aussitôt qu'ils le remarquèrent, ils devinrent agité et commencèrent à jeter des sort de détection tout autour, Mais celui qui avait lancé le sort était partit depuis longtemps.
«Ces putains de fleurs ne s'en iront pas!» fit l'un des inquisiteurs.
«Un glamour ?»
«Ça s'accroche.»
«Bien laissons tomber, nous devons prendre position!» fit l'un des inquisiteurs en colère et il marcha rapidement.
Fred et George se mordirent les lèvres pour s'empêcher de rire, tous deux dissimulés sous un sorts de désillusion (ils regardaient dans le cadre des mur de l'allée). Ils se firent un signe de tête et pointèrent leurs baguettes un peu plus en bas d'où était les inquisiteurs en se moment.
Les inquisiteurs se retrouvèrent subitement dans des douves profondes et puantes, avec des moustiques et de petites créatures bizarres désireuses de piétiner leurs robes. Les jumeaux Weasley se rendirent visible et rire sottement alors qu'ils s'enfuyaient loin des inquisiteurs qui se bâtaient pour sortir des eaux boueuses.
«Stop! Arrêtez ce que vous faites !» dit un inquisiteur à Harry et Neville. Les deux garçons sourirent.
«Nous ne faisons rien» dit Harry ne tournant même pas sa tête au son de la voix de l'inquisiteur.
«Nous sommes ici seulement pour avoir des ennuis» dit Neville en pointant sa baguette et il murmura un sort. Le sort ne frappa pas l'inquisiteur, il alla directement sur la gargouille derrière l'inquisiteur.
«Petite brute! Tu es chanceux de m'avoir manqué parce que maintenant je vais seulement te ahhhh!» l'inquisiteur grogna et cria alors que la gargouille prenait vie subitement et se saisi de l'inquisiteur, le gardant épinglé là. Harry gloussa.
«Neville, tu dois me décrire son expression.»
«Bien» dit Neville, en riant alors qu'ils fuyaient l'homme qui se débattait. «ses yeux sont gonflé et il a pâlit…»
L'inquisiteur resta captif de la gargouille en pierre.
«Ne partez pas!» il appela les garçon qui ne tournèrent même pas la tête. Il resta accroché là pour que tous les étudiants puisse le voir.
Hermione sourit avec satisfaction avec Ron, alors qu'Harry montait jusqu'à eux en riant à voix haute avec Neville.
«Ils sont tous dans le sac, c'est votre tour. Vous devez couvrir les douves, une gargouille, trois inquisiteurs sont aux serres, 5 sont calé entre les pierres murales dans les allées du cachot et un groupe entier d'entre eux sont prit au piège dans une bulle d'air. Ginny les fait volé à l'extérieur du bureau du directeur.»
«Allons-y Ron!» fit Hermione avec la même avidité qu'elle avait pour les études. Ron couru dehors avec elle. Alors qu'ils bougeaient tous les deux leurs baguettes à l'unisson, passant devant chaque inquisiteur pris au piège dont Harry leur avait parlé, Ron sourit de joie :
«Oh, ce sera délicieux de s'en rappeler!»
Dumbledore caressa Fumseck avec le même scintillement qu'autrefois.
«Aujourd'hui, nous menons l'attaque dans un jeu d'échec, mon ami.» dit-il avec humour au Phoenix. Fumseck roucoula joyeusement et apprécia le contact du directeur. Albus sourit et lui donna un de ses muffins préférés, mis ensuite son chapeau (un bleu ciel avec des étoiles en argent) et sortit.
Il fut accueilli par 6 inquisiteurs dans une bulle d'air. Il leur sourit joyeusement.
«Bon matin gentlemen» dit-il et il regarda le visage de chaque homme. Le groupe d'étude avait fait du bon boulot.
Tous les glamours des inquisiteurs étaient terminés. Dumbledore vit quelque visage qui ne devrait pas être libre. Il est temps d'aller voir le ministre Verpey.
Chapitre 13
Ludo Verpey avait l'impression d'être pris entre le marteau et l'enclume. Quelques soit les choix qu'il avait fait, il aurait fini par être le perdant. Il n'y avait aucun jeu du hasard à faire, aucun risque aujourd'hui. Ludo Verpey était, comme on dit, fait comme un rat. Il déglutit inconfortablement et jeta un regard à la grande et sévère silhouette du Directeur qui était venu avec Arthur Weasley - un autre ministre officiel. Il n'y avait aucun moyen pour Verpey de réfuter leur témoignage, même s'ils n'avaient pas tous deux été membres de l'Ordre du Phénix.
« Bien, Ludo, j'attends vos explications. Comment est-il possible pour des condamnés de s'échapper de la prison d'Azkaban et de patrouiller dans mon école en votre nom. »
« Il est évident qu'ils ont infiltrés le rang des Inquisiteurs. Vous ne pouvez pas me rendre responsable de cela ! » Dit Ludo rapidement.
« Je serais très intéressé par ce que le Conseil d'Administration de Poudlard dirait sur le fait que leur Ministre lui-même ait compromis la sécurité de l'école. »Dit Albus, ses yeux brillants d'étincelles. Quand Albus regardait comme cela, même Severus Snape n'arrivait pas à soutenir son regard.
« Si vous détruisez la confiance du peuple dans le ministère, maintenant que Voldemort a de plus en plus de pouvoir, vous mettrez l'ensemble du monde des sorciers en danger !" Ludo essayait de défendre sa position.
« Personne n'a dit que le Ministère sera considéré comme peu fiable. » Dit Arthur sévèrement. « Mais je ne sais pas ce qui vous arrivera à vous, personnellement, Mr. Verpey. » Ajouta t-il.
Ludo sentit la transpiration gagner son front et il se tassa dans son gros fauteuil de Ministre. Comment aurait-il pu réellement sortir de cette galère ? Comme s'il avait lu dans ses pensées, Dumbledore dit :
« Je pense qu'il serait dans votre intérêt de nous dire l'entière vérité, Ludo- comme un gage de votre bonne volonté pour aider l'Ordre. Cela faisait parti de votre serment lorsque vous avez pris cette position, vous rappelez-vous ? »
« Je me souviens. » dit Ludo tout en massant ses tempes. Il devenait de plus en plus agité de minute en minute.
« Je trouverais même peut-être trouver une simple raison pour ce que vous avez autorisé à produire et vous aider. » Dit Dumbledore jetant un petit espoir au Ministre.
« Bien que vous ne le méritiez probablement pas. Mettre la vie des enfants en danger ! » S'emporta Arthur mais un coup d'œil à Dumbledore le calma aussitôt. Ludo respira difficilement. Il se leva soudainement de sa chaise et fit les cents pas dans le bureau.
« Je suis vraiment pressé par le temps monsieur le Ministre » Dit Dumbledore de sa voix coupante qui fit tressaillir Verpey. Celui-ci se retourna pour regarder Dumbledore de ses yeux d'animal sauvage attrapé dans un piège mortel.
Soudainement, il sortit sa baguette et la dirigea, tremblotant, vers les deux sorciers toujours présents dans la pièce.
« Je ne vous laisserai pas me détruire ! Je me battrai pour ma vie ! »Croassa t-il, ses yeux se promenant du Chef de l'Ordre à son allié.
Dumbledore sourit aimablement.
« Mon pauvre ami, je crois vraiment que cette façon de faire est vraiment radicale. Il vous faudrait la reconsidérer. Tout ce que je veux de vous, ce sont de simples informations. »
« Il serait dans votre intérêt d'y renoncer volontairement » Dit Arthur grinçant des dents, sa main sur sa baguette prête à la sortir en cas de besoin.
Ludo resta immobile, la baguette sortie depuis un moment, observant les deux sorciers inébranlablement. Sa main retomba alors sur le côté et il recouvrit son visage de ses mains dans un sanglot.
« Si je vous dis ce que je sais, je mourrai. » Dit-il.
« Si vous me dites ce que vous avez, il y aura plus de chance que viviez longtemps » modifia Albus. Verpey inclina la tête en signe de défaite.
« Bien » Dit-il, un tremblement dans sa voix.
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Sombre fainéanta dans la salle commune des Serpentard. Il se sentait beaucoup plus confortable là que dans la chambre de préfet de Gryffondor d'Harry. Beaucoup trop… rouge et or à ses goûts. Draco était assis au bord d'un fauteuil, ses doigts entrelacés devant sa bouche. Il mordit ses lèvres plusieurs fois. Sombre se hissa sur le bras du fauteuil et sa queue se posa contre les genoux de Draco. Il se retourna et examina les yeux noirs du Birman.
« Je sais, mais je suis inquiet. » Chuchota t-il, observant les élèves de Serpentard qui rentrait prendre leurs affaires pour les cours et d'autres petites choses. La nouvelle que les Inquisiteurs avaient été démasqués par une force inconnue faisait toujours le tour des maisons changeant parfois de version pour la rendre plus intéressante. Tout le monde pensait que Dumbledore était derrière tout cela et certains pariaient même qu'il y avait des Aurors cachés dans l'école. Draco sourit d'un air satisfait tristement. En un sens, vous avez raison. Vous ne voudriez pas faire face à Potter dans un duel dans les plus proches délais.
Après, ce fut le moment de la troisième période, la salle commune redevint vide. Draco prétendit préparer ses affaires pour aller en classe lorsqu'il entendit des pas – faire les exercices avec la tactique ses yeux bandé qu'Harry lui avait apprise l'avait aidé à avoir une audition quelque peu plus développée.
« Tu vas quelque part, Draco ? » Reconnaissant la voix, Draco se raidit. Pansy ! Il se retourna doucement et la regarda. Il prit sur lui pour ne pas lui en mettre une dans sa face de Bulldog et prétendit qu'il ne savait pas pourquoi elle était là, souriant d'un air narquois sinistrement.
« Pour quelle affaire urgente es-tu là, Pansy ? » Demanda Draco, tandis que Sombre sursauta hors du fauteuil et s'éleva derrière Draco.
« C'est mon travail – pas seulement le mien, en réalité. C'est aussi celui de Blaise. » Dit-elle en souriant, sachant que Draco se calmerait. Il semblait toujours beaucoup plus tenir à Blaise – probablement pour extraire des informations à la fille Mangemorte. Blaise s'approcha d'elle et elle regarda fixement Draco avec satisfaction et dégoût – comme il convient à un vrai Mangemort de faire. Draco trembla – tout semblait si réel, comme si Blaise n'avait pas été l'un de ceux qui le protégeait de Voldemort.
« Je ne vois pas comment - et vous n'avez pas peur que Lupin vous demande où nous étions, au lieu d'être présent lors de son cours ? » Il inclina sa tête.
« Draco, nous venons à toi au nom du Seigneur des Ténèbres » Dit Blaise. Pansy resta silencieuse, comme elle l'avait promis à l'autre fille.
« Que voudrait-il de moi ? » Demanda Draco tandis que les battements de son cœur s'accéléraient.
« Tu ne portes pas la marque. Le Seigneur des Ténèbres veux te parler pour une mission que seul quelqu'un comme toi peux réaliser » dit Blaise. « Refuses-tu ? »
« S'il te plait, Draco, ne refuse pas, je détesterais devoir te tuer »dit Pansy avec une moue concernée.
« Je ne peux pas refuser, bien sûr. Je suis à la disposition du Seigneur des Ténèbres. Hein ? »
« Oui, suis-nous » dit Pansy tandis que les filles sortaient. Draco prit Sombre et les suivit. Cependant, assez rapidement, dans l'aile, Sombre descendit et tomba en arrière.
« Il semblerait que ton familier ne veuille pas venir » lâcha Pansy d'une voix traînante.
« A mon avis, il s'est plutôt évanouis pas l'odeur étouffante de vos parfums » répliqua Draco en retour. Pansy sourit en montrant bien ses dents. Blaise la regarda en signe d'avertissement pour lui signifier d'arrêter d'attaquer à nouveau.
Les filles menèrent Draco au fin fond des cachots. Sombre se rendit compte de l'endroit vers lequel ils se dirigeaient : Ils vont utiliser mon chemin pour transplaner à l'endroit où je le ferais. Les cachots étaient vides- Pas de classe de potions dans ces lieux et Dumbledore était absent- tout le monde était réuni dehors en compagnie d'Hagrid qui venait tout juste de partir de l'endroit où il devait aller.
Ils étaient dans la salle de classe de Potion quand Draco entendit un petit sifflement venant de derrière- le signal de Sombre.
« Tu sais Pansy- tu n'aurais vraiment pas du rentrer au service de Voldemort, »dit Draco d'une voix traînante. Pansy se retourna avec un épouvantable froncement de sourcil.
« Ne dit pas son nom avec ta sale langue, traitre ! » Gronda t-elle, s'oubliant. Blaise la fit taire se réjouissant à l'intérieur que Pansy s'y était laissée prendre.
« Idiote que tu es, Parkinson ! »
Draco jeta son bras en avant et sa baguette vint dans sa paume- un autre tour que Potter lui avait appris- et il Stupéfia les deux filles avant que Pansy n'ait le temps de réagir.
Avec un petit 'pop', Snape se métamorphosa en sa forme humaine et saisit une feuille et une cannette. Il griffonna une ligne.
« Lisez-le rapidement et maintenant, » Ordonna t-il. Draco regarda ce que Snape avait écrit.
Le Quartier de l'Ordre du Phénix se trouve au 12, Square Grimmaud, Londres.
Ensuite, le papier s'auto enflamma et ses cendres traversèrent les doigts de Draco. Il s'étonna et cligna plusieurs fois des yeux.
« Seul le gardien du Secret peut vous dire où il est et c'est l'endroit où nous allons aller. Accrochez-vous à ma main. » Dit Shape tandis qu'il tira Draco dans son bureau et qu'il prit de la poudre de cheminette. Ils apparurent à Londres.
Quand Draco recouvrit la parole, il s'exclama :
« Vous êtes le gardien du Secret de l'Ordre ? »
« Les hommes mort ne peuvent pas parler. » Dit Snape ironiquement. Il sonna à la porte et Sirius Black l'ouvrit pour eux.
§*&o&*§
Quand Dumbledore fut de retour à l'école, il était accompagné de Bill et Charly Weasley. Ceux-ci emmenèrent les Inquisiteurs qui avaient été fait prisonniers, des criminels ou des Mange morts. Aucun étudiant ne sut jamais ce qu'il advint d'eux… Peut-être étaient-ils à Azkaban ? Peut-être mais rien ne vint confirmer ces rumeurs… Les restes des Inquisiteurs furent -par ordre du bureau du Ministre- retirés. Poudlard était enfin libre.
« C'est génial, on peut se déplacer comme il nous plait à nouveau. » S'exclama Ron avec un large sourire placardé sur son visage. Il recevait toujours des félicitations par des gens qui savaient ce qu'il c'était réellement passé avec les Inquisiteurs. Il n'était pas nombreux – seulement le Groupe d'Etude, ils étaient les meilleurs étudiants en duel et cela enchantait Ron. Hermione souriait joyeusement, elle aussi.
« Oui ! Maintenant je n'aurais plus à attendre le couvre feu pour aller à la bibliothèque. L'étude de mes A.S.P.I.C.s sera tellement plus facile. »
« Tu as déjà appris toute la matière, Hermione. » Dit Harry avec un petit sourire, en écoutant le bavardage de ses amis.
« Oui, mais le travail réside dans l'entrainement. » Dit Hermione avec sagesse. Ron ne put s'empêcher de faire des sons d'étouffement. Hermione sourit d'un air satisfait.
« Continue à faire semblant de t'étouffer mais tu me remercieras quand tu obtiendras les résultats des tes A.S.P.I.C.s ! »
« Je te remercie de toute façon, Hermione. » Dit Ron en clignant des yeux.
« En tout cas c'est génial que tout soit redevenu normal, quelque part, » dit Hermione qui rougissait légèrement. Ron sourit tandis qu'Harry fronçait des sourcils.
« Ce n'est pas totalement vrai. Nous ne savons pas où se trouve Draco. Bien sûr il est probablement sain et sauf mais Voldemort ne doit pas être heureux. »
« Blaise dit qu'ils iront tous bien. Vous-Savez-Qui ne tue aucun Mangemort, » dit Hermione mais elle semblait peu sure.
Et ensuite, Harry porta ses mains à sa cicatrice sur son front et cria. Il tomba ensuite sur le sol, sa canne roula loin de lui.
§*&o&*§
Narcissa Malfoy n'était pas une femme heureuse ou une bonne mère. Pour tout dire, elle n'était rien de ce qu'elle devrait être – sauf une poupée malléable pour Lucius pour que celui-ci puisse la montrer à tout va. Du moins, cela avait été le cas jusqu'à ce que ce dernier soit incarcéré. Elle l'observa lorsqu'il but son brandy, les yeux rempli de colère. Jusqu'alors, Narcissa n'avait jamais beaucoup pensé aux acte de son mari, comment il avait acquit sa richesse et avec qui il s'était affilié pour rester où il était. Elle ne s'était pas non plus donnée la peine de regarder comment évoluait son fils, jusqu'au Noël dernier. Elle regarda de nouveau Lucius du coin de l'œil. Il s'appuyait contre la cheminée comme un sinistre spectre attendant le moment que choisirait le Lord pour l'appeler, désireux d'aller tuer la seule chose que Narcissa avait jamais créer au monde : son fils.
Maintenant, Narcissa avait peur de son mari. Elle le craignait et il la dégoûtait. Quoique qu'ait fait Draco – même s'il s'agissait du déshonneur de la famille – il ne méritait aucunement la mort, et ce surtout pas devant son…son Seigneur. Si épouvantable et pourtant, il n'est pas mieux qu'un chien entraîné à tuer, pensa t-elle tout en marchant vers l'autre bout de la pièce, silencieusement. Elle n'avait pas appelé son fils aux dernières vacances, craignant pour sa vie. Elle ne lui avait pas non plus envoyé un seul message, effrayée qu'il lui réponde. D'une façon ou d'une autre, la manière dont son fils l'avait regardée la dernière fois qu'elle l'avait vu -à Ste-Mangouste où elle était partie recueillir le nombre de perte humaine lors de l'attaque- lui avait fait comprendre qu'il avait changé de destinée.
Comme ce qui est arrivé aux Black, il n'y a pas si longtemps, il semblerait. Sirius ne les avait-il pas accusé par ses actions lui aussi ? Narcissa s'en senti heureuse, pour une raison insondable. Et son esprit chercha une façon d'aider son fils.
Mais rien ne vint alors que son mari commençait à siffler de plaisir lorsque sa marque devint de plus en plus noire –signe qu'Il l'appelait pour l'exécution de son fils. Aussitôt qu'il fut parti, elle courut a la cheminée et jeta une poignée de poudre verte.
« Dumbledore ! »
§*&o&*§
Voldemort était furieux –Blaise et Pansy souffraient déjà de la douleur du Doloris étant donné qu'elles avaient échoués. Lucius était en rage. Comment était-il possible que son traitre de fils, incompétent, leur ait échappé ? Il n'avait jamais été bon que lorsque Lucius lui ordonnait de faire des choses. Il salissait toujours son travail de toute façon. Cependant comment était-il possible que maintenant il ait perçu le piège si efficacement ? Lucius commençait à penser qu'il perdait la raison.
« Où est Draco Malfoy en ce moment ? Demanda Voldemort.
« Nous ne le savons pas, mon Seigneur. » Dit Blaise tout en se arquant en arrière et poussant des cris perçants.
« Alors à quoi me servez-vous ? Hurla le Seigneur des Ténèbres alors qu'il maintenait toujours aussi fermement le sort. Pansy pleurnicha et Blaise respira disant exactement ce que Snape lui avait dit de dire :
« Nous … nous pouvons mener… à la base de l'Ordre du… du Phénix, mon Seigneur qui est… où Draco doit avoir… pris refuge…. »
La rage s'efface du visage de Voldemort et il arrêta le sort.
« J'écoute. » Dit-il dans un ronronnement, la voix suffisante.
§*&o&*§
Harry gémit alors qu'il reprenait lentement connaissance, son esprit chancelant avec le sens de la vue, son corps lui faisait mal étant donné qu'il ressentait chaque Doloris que Voldemort avait envoyé cette nuit.
Cependant, la douleur ne diminua pas en même temps qu'il recouvrait ses sens comme d'habitude. Il s'arqua en arrière et gémit.
« Qu'est-ce qui se passe ? Entendit-il Remus dire d'une voix inquiète.
« Je ne suis pas sûr. » Lui murmura Pompom en retour.
« Harry ? Peux-tu m'entendre ? Est-ce quelque chose ne va pas ? » La voix de Remus, était proche de son oreille.
Harry siffla de douleur.
« Veux pas… peux pas arrêter… le sentir…. Toujours… JE DETESTE… ça fait si mal… »
« Je vais te porter maintenant, Harry. » Dit Remus de nouveau. Harry se senti soulevé dans l'air. Il était heureux : il souhaitait tant cette proximité mais en même temps, ça le révoltait.
« Lachez-moi, loup-garou. » La voix d'Harry était coupante. Il se mit ensuite à pleurer de nouveau. « Non ! Remus, qu'est-ce qu'il m'arrive ? »
Remus déglutit. Son cœur battit de plus en plus vite par frayeur.
« Nous allons le découvrir Harry. Tient-le coup. » Dit-il et il regarda le jeune Gryffondor de face. Il fronça des sourcils. La cicatrice du garçon était rouge écarlate mais ne saignait plus. Elle semblait rougeoyer.
Lorsqu'il lui parlait de cette voix dure, sinistre qui ne pouvait appartenir à lui, Harry. Ses yeux semblaient se concentrer - quelque chose que Remus n'avait pas vu qu'Harry ait fait depuis l'été. Il courut.
§*&o&*§
« Narcissa ? Que puis-je faire pour vous ? » Demanda Dumbledore, quelque peu impatient de terminer le rapport pour enfin pouvoir réunir tous les membres de L'ordre, y comprit Snape et pouvoir leur dire ce que Verpey lui avait dit.
« Il va tuer mon garçon ! Il va envoyer faire tuer Draco, ils se sont réunis il n'y a pas longtemps. Faite quelque chose Dumbledore et je vous donnerais tout ce que vous voulez, je ferais n'importe quoi, tout ce que vous voulez en retour ! »
Dumbledore soupira, regardant le visage de Narcissa soigneusement. Il ne l'avait jamais vu aussi expressif, ainsi elle tenant tant à son fils, Draco. Pourrait-il avoir confiance en elle maintenant ?
Je puis vous assurer que votre fils est en sécurité. Vous n'avez rien à craindre. » Dit Dumbledore.
« Il a faillit être enlevé dans votre école ! Ne prenez-vous pas cela en compte ? Vous avez des espions dans votre école ! » Hurla t-elle de désespoir.
« Vraiment, Narcissa. Faite moi confiance. Votre fils est en vie et il est bien protégé. » Dit Albus d'une manière apaisante.
« Vous devriez vraiment cesser cette connexion avant que l'on ne nous voit parler. En ce qui vous concerne, je ne pourrais rien faire pour votre protection. »
Narcissa soupira. « Vous me dites la vérité ? »
« Comme toujours. »
« Merci… Merci monsieur le directeur. Vous pouvez être sûr d'avoir un autre allié. » Dit-elle puis elle disparut.
Dumbledore sourit légèrement mais son sourire s'évanouit lorsque Remus traversa la porte, Harry dans ses bras.
« Quelque chose a mal tourné » Haleta t-il alors qu'il aidait Harry à s'installer dans un fauteuil. Dumbledore regarda fixement le visage d'Harry. Le garçon frissonna puis son expression changea tandis qu'il poussa un cri perçant comme si son coup d'œil lui était douloureux. L'expression d'Harry changea ensuite du tout au tout et il le lorgna. D'une certaine façon, Dumbledore le comprenait que trop bien.
« Je te prendrai à part, » caqueta Harry et son rire donna des hauts le cœur à Dumbledore.
À suivre
