Bonjour mes poussins !
Et oui, ça fait longtemps...
Mais je suis enfin dans une situation sécuritaire, j'ai mon chez moi !
*grand sourire idiot*
Et comme je commence enfin à prendre mes marques et mon rythme, je me suis remise à écrire !
*danse de la joie*
De ce fait, je peux enfin revenir vers vous et vous offrir un chapitre tout frais. Une petite surprise qui, je l'espère, excusera mon absence et mon manque de communication.
Et pour tous nouveaux lecteurs, merci de lire la préquel qui s'intitule Une explosion mène au désastre !
Et petit rappel des tailles et âges de tout ce beau monde :
Usopp : 1 m 76 cm, 21 ans
Nobuo : 2 m 18 cm, 20 ans
Nirvane : 1 m 97 cm, 52 ans
Lokias : 1 m 58 cm, 28 ans
Perline : 1 m 60 cm, 24 ans
Sengoku : 2 m 78 cm, 79 ans
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La matinée s'était bien passée, tous deux avaient apprécié leur repas, chacun ravi de leur boisson chaude. Usopp avait mangé un croisant en plus de son raisin, qu'il trouva rafraîchissant de si bon matin, tandis que Nobuo avait dévoré deux pains au chocolat, son raisin et avait bu un grand verre de jus d'orange d'une traite. Rire d'aussi bon cœur lui avait donné très faim.
Puis, le marine lui avait proposé de se poser tranquillement avec un passe temps au coin de la cheminé éteinte, histoire de ne pas faire trop d'efforts comme lui avait conseillé son médecin. Le convalescent prit donc un livre dans la bibliothèque tandis que le canonnier hésita, il voulait continuer à lire le livre qu'il avait emprunter au marine mais faire ça serait avouer qu'il s'intéressait à ce que lisait son gardien et donc qu'il s'intéressait à son gardien et cela bien avant qu'il montre de l'attention pour son état de blessé. Il finit par pencher sur son second choix, le dessin. Il y avait toujours son carnet posé sur sa table de chevet ainsi qu'une trousse de crayons.
Pourtant, il resta bloqué devant sa page blanche un bon moment, ne sachant pas quoi dessiner. C'est en lançant un énième regard à son compagnon que l'idée lui sauta au visage. Même si il se montrait plus attentif et détendu avec son gardien, glissant inexorablement dans ses filets, il ne captait pas encore toute l'essence de son cadet. Comment ce jeune homme si doux depuis ce matin pouvait aussi être son bourreau à l'esprit détraqué ? Peut-être que le croquer réussirait à lui donner la clé pour le comprendre.
Toutefois, il ne voulait pas que le noiraud devine ce qu'il faisait. Il s'était donc tourné de 90 degrés, faisant semblant de s'intéresser à la baie vitrée et commença à griffonner, jetant de vifs œillades à son sujet pour bien assimiler ces détails. Et ils restèrent ainsi jusqu'au début de l'après-midi.
Le dessinateur ne prit même pas compte du temps écoulé tellement il était pris par ses coups de crayons. Il avait pratiquement fini.
Le marine était assis à sa place, faisant semblant de ne pas voir son louveteau le regarder à la dérober, regardant superficiellement son livre depuis quelques temps déjà, préférant sentir le manège de l'artiste et jetant lui-même des œillades plus discrètes à la porte de sa chambre, désespérant peu à peu de la voir s'ouvrir.
Légèrement irrité, il finit par fermer son livre et se lever. Ses gestes n'avaient pas été brusques mais démontraient un certain agacement. Il se dirigea vers les étagères débordant de livres et y déposa le sien en vrac sur une pile afin de le laisser à porter de main et de vue pour un certain frisé qui voulait le lire sans être vu. Cela eut le don de calmer l'agacement qui le gagnait.
Au moment où il posa sa main sur un autre livre pour patienter, la porte de la chambre s'ouvrit. Elle laissa passer plusieurs personnes dont le trio du matin. Chacun portant quelques chose dans les mains.
La plus vieille, Mary portait un panier, sans doute celui du pique-nique, qui semblait bien lourd puisqu'elle le portait à deux mains. Sa seconde, Joséphine portait une grande couverture plié ainsi que deux gros coussins posé dessus. Nirvane, lui, tenait une trousse et le très léger froncement qu'il lança à son supérieur signifiait clairement que cela lui était destiné et qu'il désapprouvait qu'il soit debout. Perline, qui avait salué ses deux maîtres, comme ses collègues, avec le respect qui leur était dû, offrant en prime un léger sourire au frisé qui lui rendit, portait de la vaisselle. Quant à Kimo, il tenait un livre qu'ainsi qu'une clochette.
Nobuo fut un peu perplexe par rapport au dernier mais accueillit son personnel avec une grande exclamation de joie :
« Enfin vous voilà ! Nous commencions à avoir faim ! »
En tous cas pour lui ! L'artiste du matin n'avait pas vu les heures défiler et avait observé les nouveaux venues avec surprise. Il dû regarder l'horloge murale pour confirmer que c'était bien le moment de déjeuner. De plus, avec l'accident du matin, il avait oublié le pique-nique et ne pensait pas qu'il serait maintenu. Surtout qu'ils ne pouvaient pas sortir, son compagnon de chambre devait se reposer et en voyant le sous-lieutenant fixer son supérieur, il se dit que c'était déjà beaucoup que le noiraud soit debout. Ils ne pouvaient tout de même pas déjeuner dans la chambre. Ce n'était pas vraiment un pique-nique alors. Cela le resterait s'ils étaient dehors.
Soudain, Usopp blêmit. Ils pouvaient ne pas bouger et pique-niquer dehors, il suffisait juste d'aller sur le balcon. Cette perceptive lui déplut fortement. Il avait apprécié l'air frais mais pas ce qui avait suivi. Il commença à paniquer un peu, se rappelant peu à peu pourquoi il ne pouvait pas laisser du terrain à son sujet de dessin.
Le marine, qui n'avait pas remarqué le changement de couleur de son compagnon, s'était avancé vers le petit groupe, offrant un sourire innocent à son second qui le regardait toujours avec les sourcils légèrement froncés. Il se dirigea directement vers Kimo qui semblait ravie de faire partie des priorités de son employeur.
Celui-ci ne parlait pas très fort ni très vite. Son débit était plutôt lent et mesuré, comme si chacune de ses paroles étaient soigneusement pensées avant de se faire entendre :
« Nirvane-san nous a prévenu ce matin du votre malencontreux accident. Nous avons pris toutes les dispositions pour ne pas importuner inutilement. Le personnel reste à votre service à toute heure. J'ai demandé à plusieurs serviteurs de rester à l'étage inférieur pour les prochains jours afin d'éviter tout désagrément pour vous et éviter la cohue dans le bâtiments des domestiques. Tous ceux restant sont les plus disciplinés et compétents, bien entendu. Perline est exemptée de ses tâches et sera à votre entière disposition ainsi qu'à celle d'Usopp-sama. Les cuisines sont prévenus de vous préparer des repas riches en vitamine et en fer afin de faciliter votre rétablissement. Nirvane-san m'a assuré s'occuper de vos charges et votre rôle auprès de vos hommes afin d'éviter toutes méprises ou conflits avec ceux de la maison. J'ai écrit les noms de tout ceux qui sont au manoir, domestiques comme officiers. Je vous donne également cette clochette qui sera plus pratique que le bouton ou l'escargophone pour nous appeler. » conclut-il en donnant son fardeau à son supérieur.
Celui-ci les accepta avec un brin d'ennui. Il ne pouvait pas enlever à l'intendant de la maison son professionnalisme et sa prévoyance. Il savait déjà que l'homme avait prévu non deux jours mais au moins trois jours de chamboulement. Nobuo allait être tout seul avec son loup à se faire cajoler, ou en tout cas couver des yeux par lui et risquait fortement de rajouter quelques heures de plénitude à ses mini-vacances. Mais savoir que l'intendant le connaissait aussi bien que Nirvane l'agaçait. Kimo n'était au manoir que depuis deux ans et il était parti de simple commis de cuisine. Son ascension avait été fulgurante du fait de sa clairvoyance et de sa prévoyance et il agaçait profondément le jeune propriétaire des lieux. Toutefois, il était celui qui répondait au mieux à la tâche et qui avait les nerfs pour supporter un employeur prestigieux au rejeton aussi lunatique. Et puis, le personnel s'était très vite accommodé à ce jeune intendant issu de leurs rangs. Il avait certes adopté les usages de son status mais il parlait toujours de manière claire, concise et calme, donnant cette atmosphère respectueuse et légèrement complice dut au son de sa voix qui était léger, obligeant les gens à se taire pour l'écouter. Si certains de ses domestiques et de ses hommes étaient remplaçables, l'intendant faisait parti de ceux qui laisseraient un vide si on devait les remplacer.
Kimo finit par se reculer, laissant la place à l'autre homme du groupe qui s'avança et déclara immédiatement :
« Désolé pour notre retard mais les cuisiniers ont fait quelques changements dans votre menu lorsqu'ils ont appris le changement de situation et votre convalescence nouvelle. Ils se sont permit de rajouter des mets qui vous redonneront des forces ainsi que le sourire, ils l'espèrent. Chacun vous souhaite un bon rétablissement, de ce fait. »
Il avait dis cela avec tant de déférence que le noiraud excusa leur retard. Même si ce n'était pas lui le fautif, il réussissait toujours à prendre leur défense d'une façon ou d'une autre et à se faire pardonner à leur place sans que ceux-ci n'aient à s'excuser. Nirvane faisait partis de la troisième catégorie, ceux dont il ne pouvait se passer sans que l'absence le lui fasse perdre son équilibre.
« De plus, je vous demande de m'accorder cinq minutes avant de pouvoir enfin manger pour que je vous examine pour m'assurer que deux jours soient suffisants. »
Les mots étaient plus hésitants, le médecin savait que peu de personnes osait prendre du temps à son supérieur en sachant qu'ils risquaient d'ennuyer voir énervé le noiraud. Mais il n'avait pas du tout apprécié le vertige de son cadet et prenait son rôle de soignant très au sérieux. Surtout que le plus jeune ne serait pas venu le voir si cela ne l'avait pas inquiéter aussi. Et bien entendu, le plus jeune perdit un peu de son sourire mais accepta sa requête, comprenant très bien que son aîné ne le lâcherai pas tant qu'il ne prenait pas soin de lui.
Il lança donc un regard entendu à l'intendant qui ordonna aux femmes d'installer leur chargement tandis que lui-même se dirigea vers la salle de bain avec son protégé.
Tandis que tout le monde s'activait comme une machine bien huilé, une seule personne ne bougea pas, commençant sérieusement à paniquer. Il ne voulait pas retourner sur le balcon ! Pourtant ses angoisses n'avaient aucune raison d'être puisque le trio féminin se dirigea non pas vers les baies vitrées mais vers la bibliothèque ou les deux plus jeunes, après avoir déposé leur charge sur le lit, prirent la petite table et les chaises, qu'elles avaient déposé sur la table, derrière le bar afin de dégager l'espace de pique-nique.
Ensuite Mary, qui avait posé le panier sur le lit aussi, prit la couverture que les trois femmes étendirent sur le sol, bien dans l'axe de la lumière filtrant de la seconde baie vitrée. La couverture de laine rouge aux motifs écossais semblait presque en feu quand les rayons l'illumina. Elle était si chatoyante et lumineuse qu'on avait immédiatement envie d'y plonger. Puis, Perline et Josephine se saisissement des gros coussins qu'elles déposèrent sur le tissu. Mary se saisit de nouveau du panier qu'elle déposa entre les deux masses tandis que Joséphine alla chercher la vaisselle qu'elle posa sur le panier. Et d'un même pas décidé, elles revinrent à leur place initiale, se courbant un peu face au frisé, qui était à mille lieux de s'inquiéter si on lui montrait du respect ou pas, et partirent de la pièce au hochement de tête que Kimo leur adressa.
Perline, toutefois, se permit de regarder derrière elle et d'offrir un sourire encourageant à son ami qu'elle sentait angoissé.
L'intendant fronça des sourcils face à cette flexibilité dans le cadre professionnelle mais ne dit rien, leur employeur lui avait donné le droit d'être vivante pour égayer la solitude du jeune compagnon, elle ne faisait que suivre les instructions.
Usopp, qui avait à peine hoché la tête quand le groupe le salua pour prendre congé, sentit, par contre, le sourire et la lumière réconfortante que son amie voulu lui transmettre. Cela lui permit de reprendre un peu pied avec son environnement et de découvrir l'emplacement de leur futur repas. Il fut soulagé d'y trouver un endroit réconfortant, entouré de livres et de lumières. Le poids qui commençait à le peser, s'en alla un peu. Mais les images de sa crise de larmes étaient revenus le submerger et il tenta de se concentrer pour ne plus réfléchir.
Il ne voulait plus réfléchir. Pas maintenant.
Comme pour répondre à sa prière, son estomac lui rappela son existence et se mit à grogner. Cela le fit sourire. Il posa tranquillement son calepin, qu'il avait fermé, il était hors de question que le noiraud voit ce qu'il avait fait, et il se dirigea d'un pas qu'il voulait insouciant vers le petit havre de paix qu'on leur avait installé. Il s'assit tranquillement sur le coussins placé près de la baie, recevant la douce chaleur des rayons lumineux dans son dos. Il ferma une seconde les yeux pour profiter de leur bienfait.
La seconde d'après, il ouvrit les yeux et inspira profondément. Il retint sa respiration un temps avant d'expirer tout l'air et les angoisses accumulés. Il voulait juste profiter de ce moment.
Il jeta ensuite un regard circulaire dans la pièce, espérant voir les deux hommes apparaître, démontrant qu'il n'y avait aucune inquiétude à avoir et que c'était juste une vérification.
Mais, ils ne répondirent pas à son souhait et le brun tenta de garder la zénitude qu'il venait d'acquérir en regardant tout autour de la porte de la salle de bain sans la regarder directement. Il jeta même un coup d'œil à la bibliothèque, histoire de repérer sa prochaine lecture. Il fut surpris de retrouver le livre qui piquait sa curiosité, posé négligemment sur une pile en équilibre. Pourtant, au vu de l'intérêt de son cadet pour celui-ci, il aurait pensé qu'il l'aurait rangé plus soigneusement.
Il commença à se lever pour aller le voir de plus près quand la fameuse porte s'ouvrit, le faisait se rasseoir rapidement sur son coussin. Il faillit tomber en arrière dans sa précipitation mais se rattrapa habillement. Il reprit sa position, essayant de sourire au noiraud qui venait de s'asseoir brutalement devant lui.
Nobuo était renfrogné. Le petit examen que lui avait fait passé l'aînée n'avait pas du tout été pour sa tête. Il avait à peine regardé le bandage, s'assurant seulement que les bandes tiennent bien. Au lieu de ça, il l'avait obligé à remonter son t-shirt pour qu'il puisse écouter son cœur et la régularité de sa respiration. Il lui aussi pris la tension et la température, l'obligeant à se comporter en gentille marionnette obéissante. Mais le plus énervant avait été le regard réprobateur qu'il lui lancé quand il avait vu sa tension. Ce n'était pas un médecin mais une vraie mère poule ! Et évidement, celui-ci avait décrété que si le noiraud ne suivait pas les deux jours de repos qu'il lui avait recommandé, il lui donnerait une semaine de plus !
Autant dire que lorsqu'il s'assit, il décida de ne plus bouger ses fesses du coussin. Il se dérida un peu en voyant son louveteau lui sourire mais tira quand même la langue à son subordonné quand celui-ci se posa derrière lui, sans doute pour le saluer avant de prendre congé.
Celui-ci n'y prêta pas attention et salua les deux hommes dont l'un continua à lui bouder, tandis que l'autre lui sourit doucement, lui rendant la gentillesse qu'il faisait preuve fasse à son patient peu patient.
Le long nez avait du mal à comprendre l'agacement de son voisin mais fut rassuré de voir que l'autre homme n'avait pas changé d'expression. Il le prit comme un signe, le marine se portait bien malgré cette période de repos imposé.
Il devait aussi avoué que voir son homologue, maître de ces lieux, fin stratège de marine et héritier d'un des plus grands nom de la marin, le dépassant d'un tête, tirer la langue comme un enfant était attendrissant.
Il jeta un rapide coup d'œil au malheureux médecin qui s'en alla et se dit que l'homme était plus chaleureux qu'il ne l'avait pensé. D'ailleurs, ses chaussons lui revinrent à l'esprit et son sourire s'agrandit. Il était peut-être prisonnier mais il n'était pas qu'avec des fous. Enfin, en tous cas, pas ceux qu'il pensait.
Le marine parti, le sniper se concentra de nouveau sur son voisin, qui s'était assis en tailleur, un coude posé en appui sur son genou et la tête reposant dans le bras qui le prolongeait. Son visage affichait des joues légèrement gonflés et des lèvres faisant la moue. Il ressemblait à un enfant en cet instant et le frisé ne put s'empêcher de tendre la main pour ébouriffer ses cheveux, dans un geste maternel. Cela marcha instantanément.
Le convalescent, qui continuait à maugréer intérieurement contre les vieux trop soucieux, ouvrit de grand yeux quand il sentit la main sur sa tête. Il se redressa d'un bon, bien que restant toujours assis, et regarda avec effarement le propriétaire de la main qui lui aussi le regardait avec effarement. Il savait que le brun ne résisterait pas longtemps et ferai de son mieux pour prendre soin de lui pendant sa convalescence mais il n'avait pas pensé qu'il serait aussi tactile. Sa pensée eut à peine le temps de le traverser que la main disparut.
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Et voilà ~
On en apprend plus sur les pensées de Nobuo et sur le parcours de Kimo. J'aime de plus en plus cet intendant et j'adore en faire une figure qui irrite notre petit tiran de service, hihihi.
Je sais, rien d'extraordinaire dans ce chapitre mais je pense avoir titiller votre curiosité. Surtout pour savoir de quoi est fait leur pique-nique. Ça ne vous intéresse pas ? Pas grave, je me suis fait plaisir et vous ne le serez quand dans le prochain chapitre.
…
Ah oui ! Usopp commence gentiment à céder à sa culpabilité, sa gentillesse et les griffes de son geôlier, mouhahahaha !
Je rappelle que le rating R n'est pas là pour faire joli.
Et je suis désolée si des fautes d'orthographes se sont glissées dans le texte.
Je vais essayer de reprendre doucement le rythme et de vous fournir un chapitre tous les mois, dernier jeudi ou vendredi du mois.
Nda: … DÉSOLÉ ! Je m'excuse de vous avoir laisser dans le flou et je tiens à remercier sincèrement tous ceux qui continueront de me lire malgré mon irrégularité.
