Réponses aux reviews anonymes :

Guest : Merci beaucoup, j'espère que la suite te plaira !

Drou : Haha je suis contente de lire que ce tâcle t'a bien plu ;) Merci pour ta review

Dremox : Haha on l'attend tous ce bisous, enfin ce vrai bisous ;) Merci pour ta review !

Mel : Merci beaucoup ! J'espère que la suite te plaira autant que ce début !


Chapitre XXVI


Le samedi 6 novembre, au soir, Ginny Weasley toqua à la porte de l'appartement d'Hermione Granger, les bras chargés de vin et de nourriture. Ladite porte s'ouvrit et elle colla un baiser sur la joue de sa meilleure amie avant de se rendre dans son salon et de tout poser sur la table basse. Elle prit dans ses bras Pansy Potter qui s'était levé de son fauteuil. Les trois amies s'étaient rendues compte qu'avec tous les derniers évènements, elles ne s'étaient pas retrouvées seulement toutes les trois depuis longtemps. Harry en avait profité pour se retrouver avec Ron.

La rousse s'installa sur le canapé d'Hermione qui se rasseyait à sa propre place. Elles trinquèrent les deux anciennes Gryffondor avec leur verre de vin et Pansy avec son verre de thé glacé. La conversation alla directement bon train. Elles avaient du temps à rattraper et des sujets à aborder. Les lettres comblaient l'absence mais ne remplaceraient jamais pas les retrouvailles juste entre elles.

Ginny en vint à aborder son weekend d'entrainement à Bury St Edmunds organisé par la fédération quelques temps plus tôt avant leur premier match en vue de la coupe du monde qui se déroulerait dans dix jours. Elle exprima sa confiance pour ledit match. Son équipe était prête. Elle n'était pas encore tout à fait prête pour la coupe du monde, elle en était consciente, mais pour cette première rencontre, oui.

- Et les retrouvailles avec Jill ? demanda Pansy avec un petit sourire.

Ginny sentit la chaleur se répandre sur son visage. Merlin qu'elle pouvait haïr sa peau qui rougissait facilement. Elle se moquait souvent de son frère qui avait les oreilles qui rougissaient quand il était énervé ou jaloux, ou même gêné, mais elle n'était guère mieux. Hermione et Pansy échangèrent un regard complice que la rousse ne manqua pas.

- J'étais heureuse de la retrouver, répondit vaguement Ginny. Les lettres et les messages, c'est bien mais…

Elle fut coupée dans sa phrase par la sonnerie de son portable. Elle pinça les lèvres alors qu'Hermione et Pansy esquissaient le même sourire amusé. Hermione lui fit signe de regarder son portable et de voir si c'était important. Ginny lut rapidement le message de Jill qui s'affichait sur l'écran et un sourire apparut sur son visage. Hermione leva les yeux au ciel en voyant ce sourire sur son visage.

Ginny releva ses yeux vers ses amis et rit presque en voyant leur expression. De toute évidence, elle ne s'en sortirait pas sans plus d'explications.

- C'était Jill ? devina Pansy avant de reprendre une gorgée de thé glacé.

- Oui, elle m'a envoyé la photo d'un…

Ginny passa une main dans ses cheveux et secoua la tête. Ce n'était pas si intéressant.

- Ouais, je crois que… commença-t-elle. Je l'aime bien ?

- Je crois aussi, confirma Hermione alors que Pansy haussait un sourcil qui typiquement signifiait « sans rire ».

Ginny laissa échapper un petit rire et prit une gorgée de vin.

- Je verrai bien où ça nous mènera, soupira-t-elle. La priorité, c'est la coupe du monde.

- La dernière fois que tu as choisi la carrière… commença Pansy.

- Ça m'a mené où je suis aujourd'hui, coupa-t-elle plus sèchement qu'elle ne l'aurait voulu. Crois-moi, c'est la première coupe du monde pour Jill aussi, et c'est sa priorité aussi.

Ginny pinça ses lèvres.

- J'en parle comme si… comme si j'avais la moindre chance que… marmonna-t-elle. Et depuis quand je suis attirée par les femmes ? Bref. Je crois qu'il est trop tôt ou trop tard pour que j'essaie de trouver une réponse à cette question.

- Peut-être qu'elle n'a pas besoin de réponse, suggéra Hermione. On est attiré par qui on est attiré et on aime qui on aime. Je crois qu'il n'y a pas de raison ou de logique là-dedans.

La rousse sembla réfléchir à sa réponse pendant un instant, puis, elle pensa qu'il était peut-être temps de détourner la conversation d'elle. Elle-même n'était pas très à l'aise avec ce sujet. Elle ne savait pas quoi penser de cette relation avec Jill ou de son comportement avec elle, ou même – et elle devait bien se l'avouer – des sentiments qu'elle commençait à avoir pour elle. Tout était flou et elle doutait que tout ne s'éclaircisse dans les semaines à venir.

- En parlant de personnes qui nous attirent sans qu'on ait notre mot à dire la-dedans, sourit Ginny en regardant Hermione, Drago Malefoy ?

Hermione leva les yeux au ciel et prit une – longue – gorgée de vin sous les regards amusés de ses amies.

- Qu'est-ce-que je peux dire à son sujet ? Où commencer ? Dois-je écrire une série de romans sur cet homme ? rit la brune avant de passer une main dans ses cheveux.

- Tu l'as vu pour la réunion à Sainte-Mangouste, comment ça s'est passé ? demanda Pansy.

- Bien, souffla-t-elle. Le conseil d'administration doit me donner des nouvelles dans peu de temps. J'espère avoir pu être convaincante…

- Hermione, tu l'as été, ne détourne pas le sujet, la coupa Pansy.

- Avec Drago aussi. On a discuté de choses et d'autres. Et… voilà. Que voulez-vous que je vous dise ? rouspéta-t-elle.

- C'est simple, Hermione, tu comptes le pardonner ou le faire galérer un peu plus ? demanda la rousse avant de prendre une tapas cuisinée par Hermione du bout des doigts.

Leur hôte soupira bruyamment.

- J'ai envie de lui en vouloir, avoua-t-elle. J'ai envie de ne pas être capable de lui pardonner car il a quand même révélé un secret médical et trahi ma confiance.

- Mais ? demanda Pansy qui était pendue à ses lèvres.

- Mais plus je le vois et moins je lui en veux et… hésita Hermione. Il est persuasif et je suis faible face à lui. Voilà, vous êtes contentes ? rit-elle alors que ses amies pouffaient de rire sans retenue.

- Donc, nouvelle chance pour Drago ? résuma la rousse avant de resservir sa meilleure amie et elle en vin.

- J'imagine, confirma Hermione. Enfin… si ça se fait et s'il fait les efforts. Je ne suis pas celle qui a fauté, marmonna-t-elle laissant parler sa fierté.

Les deux autres esquissèrent un sourire amusé. Pansy laissa voyager son regard sur Hermione. Bien entendu, elle serait heureuse que les choses marchent enfin entre Hermione et Drago. Mais elle se demandait si Hermione était prête pour une relation avec Drago. Il avait ses défauts, il était parfois compliqué et les deux ensemble… La brune soupira intérieurement, cette histoire serait loin d'être simple.

- Une vraie chance ? demanda alors Pansy.

- Qu'est-ce que tu veux dire par là ? s'étonna Hermione.

- Drago est… Drago, répondit-elle simplement. Je l'aime, mais il a ses défauts et toi aussi. Vous deux ensemble… enfin, ça pourrait ne pas être parfait tout de suite. Alors c'est une vraie chance ou est-ce que tu vas t'enfuir à la moindre embûche ? insista-t-elle.

Hermione se mordit la lèvre inférieure. Comment savoir si elle ne partirait pas s'il y avait des problèmes? Comment répondre à cette question ? Elle pensa que ça dépendrait des embûches en question. Elle ne se voyait même pas encore avec Drago, du tout. Ils n'étaient pas sur cette voie-là pour l'instant alors répondre à cette interrogation semblait bien compliqué. Pansy remarqua les doutes qu'elle avait plantés dans la tête d'Hermione et elle regretta. Ce n'était pas le but. Elle s'inquiétait car elle considérait Drago comme sa famille, ainsi qu'Hermione. Elle prit sa main et ramena Hermione à la réalité.

- C'était stupide, excuse-moi. Vous verrez, sourit-elle.

Hermione lui sourit et acquiesça d'un mouvement de tête. Ils verront. Ils n'en étaient pas là. Peut-être ne se passerait-il jamais rien entre eux ? Peut-être pas. Un silence s'installa pendant quelques secondes. Silence qui rendit Ginny assez mal à l'aise et elle décida de le briser en changeant de sujet et en parlant de Pansy, de son travail et de sa grossesse. Pansy fut ravie de ce changement de conversation et aborda alors les nouveautés du ministère dans le département de la coopération internationale. L'organisation de la Coupe du monde en Angleterre commençait déjà à chambouler tous les domaines de ce département et le travail ne manquait pas. Elle en faisait autant qu'elle pouvait tant qu'elle n'était pas en arrêt.

- Comment te sens-tu maintenant que tu as passé le premier trimestre ? demanda Ginny.

- Soulagée, sincèrement, répondit Pansy. Déjà parce que nous avons enfin pu le dire à nos proches. Puis… Au départ, j'avais peur de… de tout. J'avais peur de perdre le bébé car je me disais que c'était trop beau pour être vrai, surtout après qu'on nous ait dit que nous n'aurions jamais d'enfant « naturellement ». Maintenant que le premier trimestre est passé, j'essaie de mettre les peur un peu dans un coin de ma tête et de profiter.

Hermione lui sourit sincèrement et prit sa main dans la sienne pour la serrer un peu.

- Tu as tous les droits de profiter et il le faut.

- Le weekend dernier avec Harry, on est allé pour la première fois dans une boutique pour bébé, raconta Pansy avec un petit sourire. J'avais dit qu'avant la fin du premier trimestre on n'y irait pas… enfin. On y est allé et, par Merlin, je pensais que je serais la plus gaga des deux mais vous auriez vu Harry, rit-elle. Il s'extasiait sur tout et n'importe quoi.

Hermione et Ginny sourirent, attendries par le récit de leur amie.

- C'était sympa jusqu'à ce qu'il découvre qu'ils vendaient encore des balais ensorcelés pour enfants, là j'ai déchanté, marmonna Pansy.

- C'est une super idée ! s'extasia Ginny. Tu imagines ton enfant sur un petit balais !

- Oui, et c'est exactement pour ça que j'ai déchanté, sourit la brune.

- Mais ça ne risque rien enfin ! contredit la rousse.

- Mais, oui, que pourrait bien risquer un enfant sur un balais ensorcelé ? ricana Hermione avant de prendre une gorgée de vin alors que Ginny levait les yeux au ciel.


Blaise Zabini savait que Pansy passait la soirée avec Ginny et Hermione. Il avait alors décidé que finalement ce n'était pas une si mauvaise idée. Alors il avait pris l'initiative d'en faire de même et de s'inviter chez Drago en ce samedi soir. Normalement, ils se seraient retrouvés avec Théodore mais vues les relations entre eux deux… Blaise avait préféré ne pas suggérer de l'inviter.

Il était alors arrivé chez Drago avec de quoi grignoter et de quoi boire, finalement, de quoi mettre de bonne humeur son meilleur ami. Il toqua à sa porte que le blond ouvrit quelques secondes après. Ce dernier s'écarta pour que Blaise puisse passer dans le couloir alors qu'il montrait la bouteille de whisky qu'il avait ramené avec un grand sourire. Drago leva les yeux au ciel.

- Je pensais que nous nous contenterions de vin ou de bières ce soir… marmonna le blond.

- Comme si tu pouvais dire non à un bon whisky, Drago, riait Blaise alors qu'il posait ses victuailles sur la table basse et jetait sa veste sur un des fauteuils.

Il se laissa tomber sur le canapé alors que Drago s'asseyait sur l'autre fauteuil de la pièce. Blaise regarda autour d'eux et soupira.

- Juste toi et moi, comme au bon vieux temps ? demanda-t-il.

- Tu ne pensais pas que j'allais réellement inviter Théodore, répondit Drago en haussant un sourcil. Techniquement, je ne t'avais même pas invité.

Blaise ricana puis s'approcha de la table basse pour servir un verre à son meilleur ami et lui.

- Ce serait bien que vous ayez une conversation tous les deux, reprit le brun. Vous êtes amis depuis l'enfance, vous n'allez pas ne plus vous parler pour… Hermione Granger ?

Le blond soupira avant de prendre une longue gorgée de whiskey.

- Tu as sûrement raison, je le concède, dit-il.

- Et donc… ?

- Ce n'est pas pour autant que j'accepterai d'avoir une conversation avec lui, même si, comme je viens de le dire, tu as sûrement raison.

Les yeux de Blaise roulèrent dans leur orbite.

- Tu sais ce que dit le dicton : les potes avant les…

- Fais bien attention à la manière dont tu vas terminer cette phrase, Zabini, l'avertit Drago en plantant son regard dans ses yeux noirs.

- Avant les femmes respectueuses que vous pourriez potentiellement fréquenter, sourit le brun. Tu pourrais quand même le contacter pour une conversation. Maintenant qu'il s'est fait jeter par Hermione.

Le blond haussa les sourcils de surprise et cligna plusieurs fois des yeux.

- À Sainte-Mangouste, après la réunion avec le conseil d'administration, continua Blaise en répondant à sa question silencieuse.

- Je ne savais pas qu'ils s'étaient vus.

- Ils se sont croisés dans le hall. Théo m'a raconté et d'après ce qu'il m'a dit il a mis quelques jours à s'en remettre.

Drago ne put réprimer le sourire narquois qui naquit sur son visage. Blaise voyait bien la joie qu'il ne pouvait cacher et souffla du nez.

- Il ne faut pas se réjouir du malheur des autres, Malefoy.

- C'est l'hôpital qui se fout de la charité, Zabini. Bon et elle lui a dit quoi ?

- Il ne m'a pas raconté toute la conversation mais elle lui aurait dit qu'il la « débectait », selon ses mots.

Drago rit franchement, imaginant la scène.

- Ça sonne bien comme du Granger tout craché, ricana-t-il.

Un sourire en coin trahissait son contentement. Blaise l'observait du coin de l'œil alors qu'il commençait à grignoter. Drago tapotait du bout des doigts son verre qui reposait sur l'accoudoir du fauteuil. Elle avait rejeté Théodore, complètement. Il était son ami et une part de lui lui chuchotait qu'il ne devrait pas être si heureux à cette idée. Pourtant il ne pouvait s'en empêcher. Il se disait que c'était son côté méchant qui ressortait sûrement. Côté qu'il essayait tant bien que mal de combattre.

- Sourire comme un idiot ne fera pas avancer les choses, Drago, marmonna finalement Blaise qui s'était vautré un peu dans le canapé et qui observait son meilleur ami.

Drago le toisa quelques secondes avant d'hausser un sourcil interrogateur.

- Avec Hermione, explicita le brun alors que Drago soupirait. Tu es sur la bonne voie pour te faire pardonner, c'est peut-être le moment de sortir un peu de sa zone de confort et de tenter quelque chose, suggéra-t-il. Deux ans que tu attends le bon moment peut-être que…

- Je ne vais pas la forcer non plus, coupa le blond sèchement.

- Je ne te parle pas de forcer mais d'être… force de propositions. Faire des efforts.

Drago renifla.

- Pourquoi n'en ferait-elle pas, elle aussi ? demanda-t-il. Je suis celui qui a fait les premiers pas dernièrement.

- Techniquement, tu es aussi celui qui a merdé entre vous deux, Drago, sourit Blaise.

Drago lui jeta un regard qui voulait dire « à cause de qui ? » et qui fit rire son meilleur ami. Il leva les yeux au ciel. Il ne pouvait nier qu'il y était pour beaucoup dans cette situation. Le blond soupira pour la énième fois alors qu'il songeait à ce que lui disait son meilleur ami. Il n'avait jamais réellement dû se battre pour avoir une femme, ou pour séduire quelqu'un. Tout s'était fait plutôt naturellement jusqu'ici. Jusqu'à Hermione.

- Je ne me suis jamais battu pour quelqu'un et… commença Drago.

- Et tu vas me faire croire que tu n'es pas prêt à te battre pour elle ? répliqua Blaise. Tu veux que je te dise ? Tu te caches derrière ta couardise, Drago, car tu as peur que ça puisse réellement mener quelque part et te sortir de ta zone de confort. Tu n'as enchainé que des petites histoires, qui n'avaient pas de sens, sans conséquences, et, enfin, tu es tombé amoureux – ne le nie pas Malefoy – et là c'est le moment de se jeter à l'eau et tu as peur.

Blaise prit une gorgée de whiskey alors que Drago finissait son verre. Il posa ledit verre sur la table basse et releva son regard vers le brun.

- Peur que ça ne fonctionne pas ? marmonna-t-il.

- Pas que ça ne fonctionne pas, mais que ça fonctionne.

Drago se mordit la lèvre inférieure. Pendant deux ans Hermione Granger avait semblé comme hors d'atteinte, comme quelqu'un qu'il n'aurait jamais, qu'il ne mériterait pas de toute manière. Tout était impossible. Et enfin, elle était là. Tout était possible et Drago avait l'impression d'avoir les pieds dans le béton : incapable de bouger, incapable d'avancer comme de reculer.

- Tu sais, elle a divorcé il y a seulement quelques mois, elle n'est pas prête à… contredit le blond.

- Laisse-la décider, bon sang ! s'exclama Blaise. Tu n'es pas dans sa tête pour décider si elle est prête ou non. Si tu ne te bats pas plus, si tu ne te plonges pas dans cette histoire, tu le regretteras car un autre n'hésitera pas et le fera.

Drago acquiesça d'un mouvement de tête. Si un autre se réveillait avant lui peut-être, en effet, qu'il le regretterait et ce n'était pas la première fois qu'il entendait ce discours. Pour une fois, il songea à écouter les conseils des autres et à enfin prendre des risques. Car, il en était sûr, Hermione Granger en vaudrait la peine. Il se servit un verre et commença à boire deux gorgées avant de le reposer sur la table basse.

- Bon… et je fais quoi ? demanda-t-il avec un sourire en coin au brun.

Le sourire de Blaise s'élargit et il échangea un regard complice avec Drago. Depuis le temps que le blond se pâmer sous les moindres faits et gestes d'Hermione, autant dire qu'il avait attendu ce moment.

- Ce que la noblesse anglaise fait de mieux, Drago : la cour.


Hello !

On se retrouve - tard - après cette pause de deux semaines. Je suis désolée pour cette coupure mais elle était nécessaire car beaucoup beaucoup de boulot ces derniers temps. Je suis pas encore sortie totalement le cul des ronces comme on dit, mais je commence doucement haha

Bref, j'espère que ce chapitre vous a plu ! À la suite de celui-ci, on rentre dans une autre phase de l'histoire, bien plus romantique hehe

On se retrouve aussi vite que possible (croyez moi je fais le max !)

Merci à tous de continuer à me suivre :)