Ce chapitre est un Lemon MMF qui commence en yaoi... C'est une scène de sexe gay qui se transforme en scène de sexe bisexuelle*
*Si vous n'aimez pas, rendez-vous au chapitre suivant!*
Lavie
Ce chapitre aurait dû s'appeler "ce que Lavie aurait dû transmettre par télépathie à Luka"!
J'étais devant la chambre vide du docteur Gogmagog. Mes amis profitaient de son absence.
Ils étaient donc nus sur le lit. Rshou était à quatre pattes, les bras ballants, la tête contre les draps, son postérieur n'étant relevé que parce qu'il était tenu par Tso qui le tenait par les hanches.
L'aswang prenait son amant en levrette. Dans leur état naturel, ils étaient juste magnifiques! Tso enchaînait les va-et-vient, à califourchon, il avançait et reculait encore et encore pour démonter la prostate de son ami. Le passif aux yeux verts transpirait, soupirait de plaisir, ses yeux représentaient le célèbre "ahegao", son visage était déformé par l'extase charnelle.
L'actif, lui, n'était que pure masculinité! Des muscles bien seyants, que ce soit au niveau de ses larges pectoraux, de ses abdominaux en tablettes de chocolat, de ses gros biceps ou de ses épaules robustes. Il faisait appel à toute la puissance musculaire que lui offrait son athlétisme de spartiate pour enchaîner les coups de butoir à l'intérieur de cet anus. Les mamelons de Tso étaient si durs qu'ils auraient pu faire éclater un ballon de baudruche...
Les pouvoirs mystiques du cœur de l'éther me permettaient de ressentir ce qu'ils ressentaient, c'était si plaisant d'être à la place de Tsobek et de posséder un corps aussi mâle, aussi costaud, aussi bien charpenté, qui ne demandait qu'à décharger le contenu de son impressionnant équipement entre les parois si étroites du conduit de Rshou, qu'il soumettait à ses coups de bassin.
Vigueur, ardeur, fougue et un besoin de sexe indissociable d'une rage primitive! La taille des bourses qui frappaient contre celles de Rshou m'indiquaient que le geyser allait être bien fourni.
Tout comme les miens, les mamelons de Rshou commençaient à pointer.
La faculté de téléportation de mon "Coup de Foudre" me fit donc entrer.
Quiconque aurait été dans le couloir aurait entendu les grincements du lit et les couinements de plaisir de Rshou se mélangeant aux grognements à la sonorité plus que gutturale de Tso. Les deux mâles en sueur remarquèrent rapidement mon odeur. Tso se retira de Rshou qui laissa ses jambes tomber sur les draps mouillés, le membre de Tso était si large que l'androïde ressentit un grand vide entre ses deux globes musclés, le trou bien ouvert, il tourna la tête vers l'entrée, mais le désavantage de la métamorphose en humain était qu'il devait reprendre son souffle, surtout quand son cœur battait aussi fort!
Possédée par le désir, j'entrai, je ne portai qu'une robe blanche composée de pans de tissus flottants, mon aura et mon allure me faisaient ressembler à une nymphe, le souffle qui poussait mon brouillard magique portait les pans de ma robe et ma longue chevelure. Cette tenue mettait en valeur les formes rondes de mes hanches et de mes seins pulpeux.
La nudité aurait été moins indécente. Je laissai le parfum de la chair envoûter les deux mâles qui étaient déjà en chaleur, mes phéromones les poussaient à accepter que je marche vers le lit.
La beauté noueuse de leurs deux différentes musculatures était mise en valeur par cette allure, une peau couverte par une alléchante pellicule de sueur, des poitrines se contractant et se soulevant au rythme de leur respiration saccadée, les dessins de leurs muscles s'approfondissant, devenaient encore plus détaillés, assimiler ce parfum méphistophélique les faisait paraître plus musclés, et donc encore plus attirants, tant ils ne pouvaient pas cacher leur excitation, leur rut bestial, les deux mandrins qui s'érigeaient entre leurs cuisses n'auraient pas pu être plus durs... Ils étaient complètement soumis à moi.
Bon, O.K, ils étaient complètement soumis au feu de l'action qui me possédait! Après m'être déplacée de manière sensuelle plus que suggestive, je m'asseyais donc sur le lit, laissant ma robe tomber, puis m'allongeai, ils m'observaient, toujours aussi transpirants, le plus grand posa sa main sur mon aine déjà mouillée, pendant que le plus musclé posait la sienne sur mon sein droit.
Le grand Rshou posa ensuite chacune de ses mains sur mes cuisses, sa tête s'approcha de ma petite chatte rasée, il y déposa donc un baiser pendant que Tso en déposait un sur mon mamelon droit, pendant que la main bestiale s'emparait du gauche.
Ainsi l'androïde aux yeux de jade planta ses doigts dans mon abricot pour en écarter les parois alors que son compagnon aux yeux de saphir suçotait mon téton. Je me cambrai en gémissant et en me tordant, je lâchai mes couinements, subissant la pénétration de la langue agile de Rshou dans ma fente chaude et humide.
Une fois ce cunnilingus terminé, les deux mâles se relevèrent, toujours aussi érectiles, je les comparai, elles étaient à l'image de leurs corps. Rshou avait une hampe plus longue, mais moins large, celle de l'aswang était plus grosse, plus veineuse et mieux fournie en crachats de liquide pré-séminal. Alors que le jeune homme aux yeux bleus prenait entre ses doigts le mamelon de son partenaire, je m'attaquai à leurs torses, celui de Tso avait des muscles mieux dessinés, plus seyants, il était surtout plus large, alors que celui de Rshou était plus élancé et fin.
Après avoir apprécié la texture de leur peau, je posai mes mains sur leurs deux membres toujours aussi fièrement dressés. Je les caressai, les enfermant avant d'effectuer des mouvements de montée et de descente pour les faire rugir. Les deux glands circoncis crachaient de grosses gouttes d'ouate translucide, elles étaient bouillantes, gorgées de sang. Je collai mes lèvres sur le membre de Tso pendant que ma main continuait de masturber celui de Rshou. Je dégustai le phallus de Tso, pompant le bout mouillé de son frein circoncis, puis je m'attaquai à celui de Rshou, j'alternai entre chacune des deux masses de chair, quand j'accordais mes fellations à l'une, je branlais l'autre! Finalement, je joignis les deux bouts des piliers humides pour les enfoncer tous les deux dans ma bouche.
Les deux glands turgescents étaient donc coincés entre les parois chaudes et étroites de ma bouche.
Je secouai les deux verges en les attrapant par la base pour les faire aller et venir dans ma bouche, je léchai, je suçai, je caressai, je dégustai l'amère saveur des deux mouilles que crachaient les trous situés au bout des deux glands, au bout d'un moment, je finis par les replanter dans ma bouche, collant les deux braquemarts l'un contre l'autre, les bloquant entre mes lèvres, continuant les va-et-vient qui me permettaient de les faire gémir et rugir.
Les deux mâles soumis se tordirent avant de lâcher un ultime bruit bien guttural tout en contractant leur puissante musculature, se relâchant, j'avais libéré ma bouche, ce qui fit que ce fut mon visage qui fut aspergé par les salves salées que projetaient les deux sexes toujours aussi durs!
Je devais reprendre ma respiration et eux aussi, mon cerveau était complètement embrouillé par les odeurs si masculines qui imprégnaient la pièce. Maintenant, c'était au tour de mes deux victimes de prendre les choses en main. Mes deux esclaves se jetèrent sur moi, ce fut donc votre narratrice qui se mit à se tortiller et à pousser des soupirs et des gémissements d'extase alors que leurs baisers dévoraient ma peau, que leurs mains en conquéraient chaque parcelle.
Les deux verges gluantes se frottaient contre moi, elles n'avaient pas ramolli, j'adorai sentir le contact de leurs muscles si fermes, si chauds, je sentais toute leur puissance physique, ils faisaient appel à chacun de ces muscles susmentionnés pour pouvoir me dominer. Devant moi, il y avait Tso qui me roulait une pelle d'enfer, sa barbe me chatouillait, derrière moi, Rshou passait ses mains sur mes seins et léchait ma nuque, y posant un suçon!
Quelques pouvoirs auriques de Rshou furent suffisants pour téléporter le film plastique qui couvrit chacune des deux verges.
*CETTE HISTOIRE EST UNE FICTION! DANS LA RÉALITÉ, LES MONSTRES, LES CRÉATURES MAGIQUES ET LES POUVOIRS IMMUNISANT CONTRE LES MALADIES SEXUELLEMENT TRANSMISSIBLES N'EXISTENT PAS! PROTÉGEZ-VOUS OU J'INVOQUE LE FANTÔME DE NIETZSCHE POUR VOUS HANTER!*
Après avoir frotté leur gourdin contre la cavité qu'ils devaentit pénétrer, Tso et Rshou finirent de m'imposer leur souffle chaud en cédant à leurs besoins primaires. Lentement, mais sûrement, ce qui me fit encore plus gémir, le sceptre charnel de Tso s'enfourna entre les lèvres de mon aine pendant que celui de Rshou s'engouffrait dans ma cavité anale.
Alors que les deux paires de testicules se rejoignaient en se cognant, Tso fut plaqué sur le lit, la sueur de son dos imprégnant les draps, je caressai son torse si musculeux.
J'aimais les dessins de ses abdominaux, de ses pectoraux, de ses dentelés et de ses intercostaux, et sa peau était si douce, lui, laissait ses mains remplacer celles de son ami sur mes mamelons, Rshou collait son torse ciselé contre mon dos. Quand les séries de va-et-viens commencèrent, les paluches de Rshou reprirent leur place sur ma poitrine pendant que celles de Tso tombaient sur mes hanches, c'était ainsi plus facile pour eux d'enchaîner les coups de reins.
Je pouvais donc chevaucher l'aswang en le laissant marteler mon vagin pendant que Rshou mitraillait mes fesses, les deux amants se synchronisaient pour pouvoir me fourrer et me sodomiser en adoptant une délicieuse cadence. Je ne savais pas que je pouvais autant couiner ou même cracher autant de fluide lubrifiant. Je ne m'imaginais pas non plus pouvoir sentir mes entrailles autant remplies, comblées!
Tso était donc en train de faire se succéder les coups de butoir à l'intérieur de ma petite chatte et Rshou se déchaînait dans ma cavité anale, je me cambrai en laissant mon aura réveiller leurs sens, nos transpirations se mélangeaient, le jeune mâle alpha autoproclamé devait se retenir de ne pas me faire mal en agrippant mes larges hanches, encore une fois, les deux paires de glandes viriles se cognaient l'une contre l'autre en produisant un son bien intéressant.
Alors que les perles de pré-sperme giclaient sous le latex, je finis par jouir en manquant de griffer les larges pectoraux de Tso, les transpirations de mes doigts tombant entre ses quelques poils, j'éclatai en pleurant de plaisir, ce qui fit que les deux mâles se lâchèrent, libérant leur sève dans les préservatifs.
La manière qu'avaient leurs muscles de devenir plus seyants était juste magnifique.
Juste après, les deux jeunes hommes se retirèrent, ils n'en pouvaient plus, Tso en avait même mal au scrotum.
