Mains enchevêtrant maladroitement les brins devant lui, Ace confectionnait ce qu'il espérait être une corde assez solide.
Le temps de Dawn était parfait pour cette occupation. Malgré le froid hivernal des derniers jours, le temps avait décidé d'offrir une température assez élevée pour faire fondre la neige, et ainsi Ace en profitait pour réaliser un nouveau piège, assis jambes croisées dans une herbe encore mouillée, il tressait une corde.
Il aurait pu fouiller et en obtenir une au Grey Terminal, mais...
Il était...
Sabo était…
Il risquait de voir Sabo.
Et il ne savait pas comment l'aborder, ne savait plus comment lui parler.
"Merde." Chuchota-t-il vers la corde qu'il agrippait fermement, il avait fait du bon travail, mais cette confection était la preuve d'un problème.
De son impuissance.
"Merde !" Il n'était pas du type à fuir comme ça ! Qu'est-ce que Sabo penserait s'il voyait Ace ?
Heh, question piège. Rien, c'est ce qu'il ferait. Sabo l'éviterait sans soucis ! Car il n'avait aucun souvenir d'Ace.
Et c'était bien ça le problème…
Quelque chose de lourd s'abatis sur les genoux d'Ace. "Qu-" Il n'eut même pas le temps de crier ou de comprendre que ce qui venait de tomber sur lui était -de la viande fumante, c'est quoi cte merde ?- qu'un homme corpulent apparu sous son nez.
Et là, Ace cria. La corde s'éleva par réflexes, ses instincts lui réclamant de l'utiliser pour…
"Gah ! Sale morveux ! C'est comme ça que tu traites ton Grand-père ?!"
"Papi !?" Garp se tenait maintenant droit, soufflant d'indignation, une simple contraction des muscles de sa nuque brisa la corde enroulée vicieusement autour.
Ace admira une seconde cette démonstration de force avant de se rendre compte, "Ma corde ! Sale fils de-"
Un point fonça droit sur son crâne, et Ace se résigna à la patate de forain qu'il allait recevoir.
Mais il ne reçut rien, il rouvrit ses yeux. Le vieux… lui tapotait la tête ?
"Hehe… Super réflexes gamin !" Il avait une voix joviale enfin ce qui s'apparentait à joviale pour Garp. "Continue sur cette voie et tu deviendras un valeureux marine !"
Ace plissa les yeux, il voulait lui affirmer l'inverse mais… s'il cassait la joie du vieux il allait souffrir, il en avait l'expérience. "Pourquoi t'es là ?" Il devait être en mer.
"Pour t'entraîner ! " s'exclama Garp "Mais pour l'instant," Il désigna le littéral mètre cube de viande à proximité d'Ace. "mange !"
Ace ouvrit la bouche, au diable la souffrance future, il allait l'insulter de tous les noms. Il se prépara à enchaîner nombres d'injures, mais son ventre grogna. Lourdement.
Garp le regarda sans rien dire, tandis qu'Ace attendit la fin du beuglement de son estomac.
Puis, un peu trop innocemment, le vice-amiral déclara : "Après, on peut s'entrainer avec un ventre vide, ça forge le caractère." avant de mordre dans l'énorme pilon de poulet qu'il avait en mains.
À cheval donné, on ne regarde pas les dents, huh ? Pensa Ace, qui se résigna et prit une énorme bouchée de son steak(?), essayant d'ignorer l'expression triomphante du vieux.
Devait-il voler un bout de la part de Garp en guise de revanche ? Avec cela, il perdrait sa mine suffisante.
Ça lui rappelait un fait similaire entre lui et Sabo, avant, bien avant, quand Ace n'était pas mort et n'était surtout pas revenu dans le passé.
Sabo lui avait volé de la nourriture, et Ace l'avait tabassé pour cela. Sabo avait riposté en prenant un gigantesque croc dans le repas d'Ace avant de se faire la malle.
Ce fut leur première rencontre, et le début de la Terreur au Grey Terminal.
Dans cette réalité actuelle, ça ne s'était pas passé comme cela. Pourquoi ? Ace savait qu'il avait changé, c'était évident, mais le Sabo d'ici paraissait presque…
Peureux…
Il secoua sa tête, impossible ! Il se méfiait juste, Sabo s'était juste méfié de lui à l'origine.
… n'est-ce pas ?
Il ne se voilait pas la face, sa mémoire était lacunaire, et il avait déjà oublié le visage de Sabo au fil des ans.
Peut-être qu'en se remémorant il parviendrait à accélérer sa relation avec son frère ? Faire en sorte qu'ils puissent enfin parler comme avant ? S'amuser comme avant ? Il se l'avouait : leur jeu du chat et de la souris qu'ils menaient continuellement lui tapait sur les nerfs.
Il en était fatigué, démoralisé, allait-il trouver le courage d'aller encore le chercher aujourd'hui ?
Il voudrait souffler ne serait-ce qu'un moment, oublier ses peines et tout ce qui était dans sa tête, tout ce qui était urgent. Il voudrait que tout disparaisse, que tout revienne à la normale ! Que Sabo se décide finalement de lui parler !
Il fut tiré de ses pensées par le claquement de ses dents contre l'os entre ses mains, qui était dénudé de toute chair.
"Terminé ?" Dit Garp, qui n'attendit pas avant de le prendre par le col.
Ace protesta, projetant ses membres dans toutes les directions pour ennuyer le vieux. "Comment ça se fait que tu sois là, déjà ?!"
Pour une raison qui l'échappait, Garp avait décidé de revenir le voir alors que ça ne faisait même pas deux mois depuis son dernier départ.
"En ce moment je fais un tour d'East Blue bwahahaha ! J'élimine la vermine et j'en profite pour venir ici !" Cria Garp, se méfiant aucunement de la faune prédatrice des environs. Mais, faut dire… le vieux faisait fuir ces dites bêtes.
"Viens Ace !" Il le posa à terre. "On va voir comment tu te débrouilles !" Et Ace se résigna à suivre son grand-père.
"Allez lèves toi !"
Ace répondit par un grognement, il avait la brève envie de lui présenter son doigt mais il se ravisa rapidement.
Alors, il se releva, les jambes flageolantes, le regard mitraillant comme à son habitude l'homme devant lui.
Hormis les bandits, Garp était son seul vrai repère ici. Toujours aussi fort, toujours aussi borné, toujours aussi terrifiant.
C'était rassurant en quelque sorte, il était une constante dans un monde, dans une temporalité qui semblait si lointaine, une dont Ace se souvenait difficilement.
"Tu sais," lui avait dit Deuce, griffonnant une phrase sur un vieux livre, était-ce un nouveau journal de bord ou ses écrits ? Il ne l'avait curieusement jamais vu. "la mémoire est bien particulière. On se remémore surtout des mauvaises choses chez quelqu'un, et même là, on se souviens de ce qu'on a ressenti et pas des actions qui ont causé ces émotions négatives."
Ace avait hoché la tête, malgré n'avoir jamais remarqué cela. Deuce tenait-il cette information de ses études de médecine ? En tout cas il y avait quelque chose qu'Ace ne comprenait pas.
"Beaucoup de gens ont une famille qu'ils ne quittent pas malgré les problèmes." Déclara le logia, voulant entendre plus. Ils savaient tous deux que Ducky avait eu une peine terrible à quitter son horrible "famille".
"On est attaché à eux, ou même dépendant, parfois pressuré moralement par soi-même." Et là était un sourire qu'Ace n'appréciait pas.
"Nombreux sont les états mentaux qui peuvent affecter la mémoire : dépression, troubles dissociatifs de l'identité, ou tout simplement le stress." Deuce plongea ses yeux dans le livre sur ses genoux. "Cela peut survenir après un traumatisme, tel un mécanisme de défense. "
Perdre certaines parties de sa mémoire car notre être entier se protégeait de lui-même, c'était limite poétique.
"C'est intéressant," dit honnêtement Ace, il voudrait demander 'pourquoi m'expliquer tout ça ?' mais Deuce n'était pas calme, enfin, il l'était, mais pas d'une bonne manière.
Alors, Ace se tint sur ses mains, se penchant doucement pour observer le contenu des pages, il vit les images inversées de lobes crâniens et de ce qu'Ace savait être des synapses grâce à Deuce.
Ah.
C'était un livre de médecine.
Bien sûr qu'il avait peu de souvenir de son enfance, il était un adulte maintenant, peu de personnes se souviennent de cela. Qui se rappelait d'avant ses cinq ans ?
Ace avait été jeune, alors c'était complétement normal qu'il ne se remémore pas intégralement de son enfance avant Luffy.
Ensuite, bien sûr qu'il se rappelait les années qui suivirent avec son petit frère.
Luffy avait été comme une littérale colle pour eux trois, consolidant leur amitié en une solide fraternité.
Chaque moment avait été incroyable, bordé de tellement de nostalgie pour Ace. Une période où il ne se souciait de rien, et de surtout pas de son sang.
Mais les visages disparaissaient, et le celui de Sabo s'était estompé. Quand il l'a revu il avait été fou de joie. Croyant combler ce qu'il avait perdu.
Mais maintenant quand il le croisait ? Un sentiment de mal-être était constamment présent.
La mémoire pouvait être traître. Sabo ressemblait-il au moins au Sabo de son passé ? Il avait peur de la réponse.
Comment parlait-il, quelles étaient ses tournures de phrases ?
Dans sa jeune enfance, Sabo avait été une constante à ses côtés, tel Garp.
Maintenant, il allait jusqu'à douter si un jour ils tiendraient une discussion digne de ce nom.
Il était déjà en train de faire son deuil sur une amitié avec Marco qui n'aurait pas dû avoir lieu.
Alors, s'il vous plaît, ne lui retirez pas une autre personne importante de sa vie.
"Ne me laisse pas tomber sale piaf…" Gémis l'homme accroché à Marco, celui-ci resserra un peu plus son étreinte, laissant l'homme poser tout son poids sur lui pour mieux le guider à travers les couloirs.
Marco ne comprenait pas pourquoi ni comment son cerveau avait créé un tel scénario.
Non, sérieusement, il s'attendait à tout, à un concours de danse, à une fête de village, même à revoir comment le gamin avait passé une journée à le complimenter. Oui c'était arrivé. Tout ça juste car il avait appris par un quelconque moyen que c'était son anniversaire.
'Je ne peux rien t'offrir, alors laisse moi dire à quel point tu es beau, intelligent et fort !' Avait-il crié lorsque Marco avait commencé à courir loin, très loin de lui. C'était avant que les deux pirates apprennent qu'ils pouvaient mystérieusement emmener des objets dans le monde onirique, et donc offrir des cadeaux.
(Dieu merci pour ça, il était sûr que le gamin était dénué de tout bon sens et surtout en matière d'anniversaire. Attends, comment pouvait-il emporter des objets avec lui s'il était- ?)
En vérité, Marco aurait préféré 100 fois plus cette terrible (mais étrangement satisfaisante) journée à la place de cette bizarre histoire de... Il regarda l'homme accroché à lui se plaindre de nouveau.
Ils devraient retourner à l'infirmerie, c'est ce qu'il fallait faire. Mais comme ils étaient dans un rêve, Marco se permit de laisser sa bonne conscience sur le côté. Il ouvrit la bouche :
"Hey A-..." et le gamin déglutit difficilement avant de grogner de douleur.
"..." Marco était stupéfait, à quel point était-il borné ? "Est-ce que tu as failli vomir ? Là, tout de suite ?"
Il y eut une pause, une trop longue pause.
L'autre toussa difficilement et essaya de porter une main à sa bouche, mais elle retomba bien avant d'atteindre son but.
Marco ne pouvait pas voir son visage, mais il n'en avait pas besoin pour savoir à quoi ressemblait sa tête actuellement. Et enfin le gamin répondit à sa question : "...marche juste plus vite."
... Ce n'était pas bon.
"Si tu gerbes sur moi, je te promets trois mois de récurage de chiottes yoi."
"Si tu ne m'emmènes pas là-bas rapidement-" Marco était sûr que ce qu'il entendit à l'instant était une remontée gastrique, doux Jésus. "je vais gerber sur toi"
Ce n'était pas une menace, mais un fait.
"Tu aurais dû rester à l'infirmerie yoi…" Marco ne comprenait pas pourquoi il aidait leur nouvelle recrue à briser ainsi les règles. "Tu aurais dû pisser dans une bouteille comme n'importe quel autre homme alité ferait."
Oui car en effet, le gamin, malade comme il était, avait supplié Marco de le guider jusqu'aux toilettes, ne voulant pas utiliser un pot de chambre.
Pourquoi est-ce que les toilettes de l'infirmerie devaient être hors service aujourd'hui ?
"Si je dois mourir, ce sera avec dignité." eeeet... il gémit encore.
Marco était un docteur et un commandant, il ne devrait pas aider le pirate à côté de lui à déroger aux règles, et pourtant...
"Tu me diras donc qu'est ce qui te restera de dignité quand tu t'évanouiras dans une flaque douteuse."
"Merci pour l'image Marco, j'en avais vraiment besoin."
"De rien," Il pouffa de rire, et entre eux deux, il était bien le seul à être encore capable d'effectuer une telle action sans rencontrer Morphée ou son alter-ego : le sol et la perte de conscience qui allait avec.
"c'est pour te faire subir un peu de la souffrance que je ressens là actuellement yoi." Expliqua-t-il principalement pour entendre le grognement du gamin, le seul mécontentement qu'il pouvait exprimer en ce moment.
Et ils entrèrent dans un silence confortable, sans doute, car A-- ne pouvait plus parler, de peur de vraiment déverser son repas par terre et oh mon dieu Marco n'avait pas envie de voir ce que A- ingurgitait chaque jour.
Huh? A? A-... qu'est-ce que c'était déjà ?
Attends, quel était son nom ? Comment était-ce possible qu'il oublie le nom de leur nouvelle recrue ? Surtout qu'il avait fait une première impression fracassante en...
Huh ?
... Marco avait oublié qu'il était dans un rêve. Comment avait-il pu imaginer un nom ainsi qu'un passé pour le gamin ? Son subconscient aimait beaucoup trop ce brun.
"Hey..."
Il tourna la tête vers l'homme irréel à ces côtés, oubliant sur le coup sa crise intérieure.
"Si je m'évanouis comme tu dis..." murmura-t-il les joues rouges comme si la moindre pensée que quelqu'un apprenne cela lui faisait honte "Je compte sur ta discrétion."
Marco regarda le teint anormalement pale du jeune, puis ses yeux vitreux et la température plus que surhumaine que Marco ressentait jusque sur son front. Il s'était mis dans de beaux draps, pas vrais ?
"... Sale morveux."
Revenons dans le présent...
Thatch prit une grande inspiration sifflante, un peu sonné par les événements.
Il plia ses doigts, mesurant difficilement le reste de force lui restant.
Il... il ne regrettait rien. Ça lui avait manqué, la profonde douleur dans ses muscles, restreignant des os. Les crampes à ses avant-bras, il ressentait déjà de la douleur aux épaules, les attaques aériennes s'étaient révélées épineuses à parer...
Son cœur battant, plus fort et plus bruyamment que les tambours de leur dernière escale, tandis qu'il faisait face à une frappe meurtrière.
"On devrait faire ça plus souvent." Admit-il, le nez pointé vers le ciel, sa tête touchant le sol. Il était extenué, mais ô combien euphorique, il espérait que cette sensation dure encore un peu plus longtemps.
"Quelle partie ?" Questionna Marco, sa voie tout aussi fatiguée que celle du cuistot. "Celle où je score un magnifique point ?"
"Huhh..." Quand avait-il gagné des points ? Il y avait bien le jeté de cailloux dans sa... oh.
"Ou parlerais-tu plutôt de quand tu as déclaré pouvoir me battre juste avant de te prendre mon poing dans la gueule ?"
"Marco..."
"Ou plutôt lorsque tu as fui derrière mes lancers ? (de rocher- des lancers de rochers implémenta la tête de Thatch, Marco ne faisait jamais les choses à moitié)"
Thatch ferma ses yeux, prêtant une dernière pensée au mur de son ego qui s'écroulait.
Bon sang, qu'est-ce que Marco pouvait être épuisant quand il était claqué. Car oui, même avec son fruit, après ça, Marco se devait d'être fatigué, non ?
"Oui bon, OK ! Tu as gagné."
Bordel, il pouvait imaginer l'expression suffisante du blond.
Bam. Bam, bam.
Tous deux reconnurent les bruits de pas contre le bois du navire.
"Un peu engourdis Marco, Thatch ?"
Edward Newgate entra dans leurs champs de vision, sa carrure les plongeant dans l'ombre.
"Après ce combat, je pense qu'on est plus qu'engourdis."
"Heh, parle pour toi yoi." Mentit l'autre.
Leur capitaine ricana doucement,
Ses fils rirent avec lui, encore happés par l'euphorie du combat. Encore dans cette agréable sensation, Thatch observa le plancher à sa droite, les ridules et reflets du bois d'Adam semblant renfermer des secrets, il discerna une grande ombre allongée au côté de la silhouette du géant, ça ressemblait à une arme, à… un bisento, Murakumogiri.
Non...
"Pops..." Pourquoi devait-il être la voix de la raison ?
Il n'eut pas le temps de finir sa phrase que leur père inspira et déclara ceci :
"Au lieu de vous chamailler, que diriez-vous d'un deux contre un ? Cela fait un moment que je ne me suis pas échauffé."
Thatch était déconcerté, devait-il être heureux que son père l'inclue dans un combat malgré le fait qu'il était HS au sol, ou devait-il se sentir vexé qu'un combat de deux commandants contre leur capitaine serait comparable à un échauffement.
Je t'aime Pops, mais je viens de faire face à Marco, impossible qu'un de nous deux-
Il ouvrit la bouche pour parler.
"Je suis tenté yoi."
"Marco !"
Notes :
Hein ? Quatre mois sans update ? Quoi ? Ahah... c'était une illusion, nous sommes encore en janvier...
Marco ne devait pas se faire menacer par du vomit, réellement.
DONC, petit point chronologique qui ne fait pas de mal, il y a deux trames récurrentes depuis 4 chapitres :
- La partie retour de Thatch où Marco s'en prend à lui.
- La partie où Ace galère à parler avec Sabo.
La première se déroule une semaine après le chapitre 24, donc ça fait 3 semaines qu'il n'y a pas eu de réelle interaction Marace (lisez marace avec un accent anglais svp xD je vais continuer à appeler ce ship comme cela exprès pour la blague).
La seconde se déroule tout du long de cette semaine, on voit quelques tentatives infructueuses d'Ace.
Et ce chapitre marque la fin de cette galère chronologique, en effet les deux trames se retrouvent pour se dérouler en même temps.
Et cela clos la partie 'détente' de 4 chapitres chez les pirates de Barbe Blanche ! Dès le prochain, on se concentre plus sur Ace, et Marco, mais surtout Ace. (Et Sabo ? Et Sabo.)
Et si vous voulez savoir un truc… Garp était surtout content car Ace avait dit « papi » au lieu d'injures.
Ah et la science de Deuce est délibérément vague, s'il parlait des aspects physiques de la médecine j'aurais pu faire quelque chose, mais les neurosciences ? Je suis assez renseignée pour savoir que je ne toucherais pas à ça même avec un bâton de 30 mètres (jusqu'au moment où je devrais parler de Narcolepsie mais encore ça, ça va aller). Vous avez donc droit à Captain Obvious.