La chronique du Savant, épisode 37 : « Le serment » de Nefer chan.
Bonjour lectrices, lecteurs et très chers auteurs.
On se retrouve pour l'épisode 37 portant sur « Le serment » sur le fandom Naruto. Une fanfiction d'actuellement 9 chapitres que je vous propose de découvrir. Sans transition, voici l'épisode 37.
1° Le résumé
« Le serment » de Nefer chan
« L'Empire du Feu se compose de douze royaumes souverains. De tragiques événements vont forcer le royaume d'Haru à sortir de sa mystérieuse retraite pour venir prêter main forte à ses voisins et sauver l'Empire. »
2° L'analyse
L'avis de Sakka
Oyé braves lecteurs de la Chronique ! Nous nous retrouvons ce mois-ci sur une fanfiction qui prend racine dans notre fandom de prédilection : Naruto. Et l'auteure annonce un ship que les fans peuvent autant détester qu'apprécier : le SasuSaku ! Alors, décortiquons tout ça…
Parlons technique en premier lieu.
Les chapitres ne sont ni trop courts ni trop longs, et correctement agencés pour une lecture sur écran, soit découpés en petits paragraphes. Des petites erreurs sont commises dans les dialogues qui utilisent les guillemets, une petite vérification serait nécessaire pour les rendre typographiquement corrects, mais cela ne nuit pas à la lecture pour autant. Il y a quelques fautes, principalement des fautes d'inattention, comme la « gente féminine » au lieu de « gent féminine ». Le plus gros souci technique réside dans la ponctuation, car il manque énormément de virgules pour structurer les phrases, et malheureusement, cela peut nuire à la lecture. Je conseille donc à l'auteure de se faire aider d'un.e bêta afin de rectifier ces petits couacs.
Sur le récit en lui-même, l'auteure a une jolie plume, assez fluide et bien imagée qui ne souffre qu'aucun manque descriptif la description de la capitale dans le chapitre 1 est d'ailleurs très bien écrite, je la voyais parfaitement avec ses belles couleurs chatoyantes. Le vocabulaire est bien choisi et coordonné.
Parlons du fond, maintenant. Je précise que je n'ai lu que les 3 premiers chapitres.
Nous sommes sur un UA (univers alternatif) créé par l'auteure qui s'inspire du japon médiéval, un univers qui me plaît, je dois l'avouer. D'ailleurs, j'ai beaucoup apprécié les petites précisions historiques (ou de scénario) de l'auteure en fin de chapitre, qui nous explique le fonctionnement de l'époque dont elle s'est inspirée, c'est instructif et ça se marie très bien avec ma curiosité^^
L'auteure prend son temps pour poser les bases de son histoire et le décor, ce qui est appréciable. Nous débutons le récit par une course de deux cavaliers qui nous fait aisément ressentir l'urgence d'une situation encore inconnue. Le nom des cavaliers n'est pas révélé dans l'immédiat et leur fugace description physique est bien jouée, dans le sens où on ne s'attend pas à ces deux-là ! Il en est de même pour la jeune fille qu'ils rencontrent, d'ailleurs, comme pour chaque personnage lors de leur première apparition.
Les informations sont distillées au gré du texte, afin de nous donner assez de corps pour supposer, mais nous laissant tout de même dans le flou, de quoi garder son lecteur en haleine. En d'autres termes, le premier chapitre joue très bien son rôle. On le pressent, mais il faudra attendre le chapitre 2 pour en être certain : l'Empire est en guerre.
Pour ce qui est des personnages, même si je n'ai lu que les prémices de l'histoire, je peux dire que leur caractère est bien respecté. Je n'ai eu aucun mal à les reconnaître avant même qu'ils ne soient nommés, c'était même amusant de mettre un nom sur le personnage de la scène et de voir s'il s'agissait bien de lui ou de son paternel/rejeton !
Je n'ai malheureusement pas eu le temps de lire plus que les 3 premiers chapitres requis, ce qui laisse peu de matière à une critique plus approfondie, mais ce début m'a emballée. J'ai hâte de voir comment l'auteure a amené les évènements, ainsi que découvrir la mise en place du SasuSaku, qui n'est pas mon couple fétiche, mais je sens que l'auteure pourrait agréablement me surprendre. Voilà donc une fanfiction qui a atterri dans mes suivis et que je me ferais un plaisir de lire quand mon planning me le permettra.
Donc, pour conclure, nous avons là une histoire qui semble bien construite. Alors, si les univers et histoires historiques vous emballent autant que moi, je vous conseille d'aller lire Le serment, sans oublier de laisser une review à son auteure 😉
La review de Mugu
Je vais passer la phase d'introduction de la fiction que Sakka présente très bien et je vais entrer directement dans le vif du sujet.
Au niveau de l'écriture : c'est très bien. Le style est fluide et l'auteur a une bonne intuition sur ce qui est intéressant à montrer. Les pensées des personnages sont bien retranscrites, les descriptions sont efficaces. Il n'y a pas ou peu de mots inutiles. Toutefois, l'écriture est parfois un peu brouillonne, notamment au niveau des dialogues, où on y retrouve des surcharges d'adverbes, ou des verbes quelque peu écorchés.
D'un point de vue purement technique, les accords féminins/pluriels sont un peu défoncés, mais une passe de relecture corrigerait ce problème. Revoir les règles de la typographie française pour les dialogues : les verbes d'incises ne prennent pas de majuscules.
Maintenant passons au fond.
Le récit commence fort. De bonnes descriptions, une situation d'urgence, un univers riche au prime abord, l'arrivée d'un personnage mystérieux… avant que tout ne s'écroule et que la narration nous révèle les pensées de ce même personnage…. soupir. Ce n'est pas parce que le personnage principal entre en scène que nous sommes obligés de connaître ses pensées, surtout si le pov est celui d'un autre.
Il m'en faut peu pour sortir d'un texte, et je dois dire que ce détail m'a bien refroidi pour le coup, si bien que je suis plus entré dans une lecture analytique par la suite. Et pour être franc, je me suis arrêté quelque peu à la moitié de l'histoire (ce qui est déjà un beau morceau). Les raisons ? Le manque de rythme. L'auteur nous montre beaucoup de choses ; des choses intéressantes la plupart du temps, avec des points de vue plus accrocheurs que d'autres (ceux de Neji sont très bien), mais il nous manque… un fil conducteur;
Autant le worldbuilding semble assez consistant, autant on peut se questionner sur la pertinence des scènes dans l'intrigue. Et là où je trouve que le récit pèche, c'est que l'auteur veut trop nous montrer le monde qu'elle a conçu. Elle déploie trop de personnages en même temps, et aucun de ces personnages n'a le temps de briller individuellement. On a globalement des archétypes qui se dégagent, facilités par ceux de l'œuvre de base, mais il nous manque un côté intrigant au récit qui nous pousse à continuer. Tout est connu des personnages, qui savent quel est leur rôle, et comme l'auteur passe sur trop de personnages à la fois, il est impossible de vivre un développement évolué des personnages moteurs… ce qui rend le tout peu digeste à lire.
Les impressions de Rozenn
Salut la compagnie !
Ce mois-ci, nous nous retrouvons également sur la Chronique pour l'analyse de la fiction longue Le Serment, de Nefer chan, dans le fandom Naruto. Pour l'instant, elle comporte 9 longs chapitres, qui laissent entendre que l'histoire est loin d'être terminée. Clairement, il s'agit d'un gros morceau, avec une foule de personnages et de péripéties en perspective. Mon analyse portera sur les 3 premiers chapitres de cette fiction.
Pour dresser le topo, l'action prend place dans un UA (univers alternatif) inspiré du Japon médiéval. On y trouve des empires correspondant aux nations ninja de l'univers d'origine, à ceci près que l'Empire du Feu est divisé en 12 royaumes dirigés chacun par une puissante famille qui n'est autre qu'un des nombreux clans shinobi que nous connaissons. Sans surprise, Naruto, Sakura et Sasuke en sont les héritiers (bon, c'est un poil plus compliqué pour Sasuke vu qu'Itachi n'a pas déserté ni massacré sa famille pour l'instant). Pas de super pouvoirs ici, juste des guerriers, des seigneurs, des armées qui s'affrontent. Bref, du médiéval pur et dur.
L'intrigue ? Pour résumer, Orochimaru a encore fichu le bazar grâce à un coup d'État. Il a emprisonné les épouses et les filles dans la capitale, soigneusement gardée par son armée, et s'est mis à dos tous les souverains. Deux d'entre eux se rendent dans l'un des royaumes qui s'est volontairement ostracisé, pour le convaincre de se joindre à la bataille et de renverser l'usurpateur. Et c'est là que Sakura, fille cachée du roi de ce royaume, fait irruption comme une fleur et se joint à la lutte pour bien tout chambouler. Ajoutez à cela une pincée de romance et l'évocation d'un mystérieux serment suscitant des réactions mitigées, et vous obtenez là un cocktail intéressant.
Quels sont les points forts de l'histoire ?
Tout d'abord, il convient de souligner la richesse de l'univers créé. À travers le système de hiérarchie décrit et les concepts propres à la culture japonaise médiévale, on sent que l'auteure a réalisé un travail important sur son histoire.
Les caractères des personnages sont en outre plutôt bien respectés par rapport à l'univers d'origine. Sakura en tant que femme forte et fragile à la fois, Naruto en tant qu'imbécile heureux et sympathique et toujours affreusement talentueux, Sasuke en tant que prince antipathique et haineux sur les bords (bref, l'enfoiré habituel qui mérite des baffes), mais qui finira sans doute par se laisser amadouer par Sakura, comme dans le manga.
Le point de vue omniscient adopté par l'auteure permet un balayage efficace de la plupart des personnages et de leurs pensées, ce qui s'accorde bien à la complétude du cadre spatio-temporel et aux nombreux balayages visuels qui peuplent le texte.
Quels seraient les points plus problématiques ?
Lors de la rencontre avec Sakura dans le premier chapitre, je ne m'attendais pas à ce que ce soit Minato et Fugaku qui s'y rende. À la description, j'ai d'abord pensé qu'il s'agissait de Naruto et Sasuke, donc c'est bien joué d'avoir semé ainsi le doute quant à leur identité le temps de quelques paragraphes.
En revanche, ce qui est plus problématique, c'est la découverte de l'identité de Sakura, qui est peut-être un peu trop rapide. Qu'un secret pareil, gardé pendant 16 ans, soit éventé aussi vite, c'est un peu dommage. Le suspense aurait pu durer un peu plus longtemps. Par ailleurs, le camouflage très incomplet de Sakura me laisse perplexe. Pour quelqu'un qui semble vouloir se balader incognito, sortir avec un cheval pur-sang et ne pas tenter de modifier davantage son apparence que par un changement de tenue sommaire, ça ne semble pas très malin, comme si c'était une invitation à être découverte. Et ça contraste un peu avec l'image de princesse intelligente qu'elle affiche dans les chapitres suivants.
De même, Minato et Fugaku qui voyagent dans leurs riches armures, en personne (et risquant ainsi leur peau, en abandonnant en plus leurs royaumes en guerre), au lieu d'envoyer des émissaires, ce n'est pas très crédible non plus. Sans compter qu'ils dévoilent leur identité à une inconnue sans sourciller. En contexte de paix, cette absence de méfiance pourrait se justifier, mais en temps de guerre, c'est étrange.
Les descriptions, quant à elles, sont plutôt bien construites. On a assez de détails pour s'immerger sans difficulté dans l'univers, mais pas trop non plus au point de se noyer et de perdre le fil. C'est plaisant.
Concernant la forme, il y a pas mal de points à soulever sur cette histoire. Tout d'abord, le registre de langue choisi peut s'apparenter à un registre courant mâtiné de soutenu, qui est en parfaite adéquation avec l'univers médiéval dépeint dans la fic. Les phrases sont généralement assez courtes, ce qui permet de conserver un rythme fluide. Pour le lexique, là encore, il est en accord avec l'univers choisi.
Sur le plan ponctuation, on relève quelques virgules manquantes, ainsi qu'une utilisation inappropriée des guillemets pour les dialogues. Je me contenterai ici d'un bref rappel à ce sujet, vu que j'ai tout détaillé dans l'un des épisodes précédents. Il y a deux manières de présenter les dialogues :
─ Soit on utilise des guillemets pour ouvrir et fermer le dialogue, et des tirets cadratins pour changer d'interlocuteur.
─ Soit on n'a pas envie de s'embêter et on utilise uniquement les tirets cadratins.
Quant aux autres coquilles orthographiques, elles portent essentiellement sur les accords des participes passés (sans surprise), des verbes conjugués de façon erronée (« ria » est une forme verbale qui n'existe pas, pitié pour mes yeux !), et d'autres erreurs dont une que l'on croise presque tout le temps et sur laquelle je vais m'attarder.
L'adjectif « gente » est exactement ce qu'il est : un adjectif. C'est le seul usage qu'il possède. Par exemple, dans l'expression que la plupart d'entre vous connaissez sans doute : « gente dame ». Par conséquent, on écrira toujours « la gent féminine (ou masculine) », qui est un nom, sans « e » à la fin. Petite astuce pour éviter la faute : le « t » final de « gent » ne se prononce pas. Il n'y a donc aucune raison d'y ajouter un « e ».
Au risque de me répéter, lorsque vous écrivez un texte quel qu'il soit, n'hésitez pas à prendre le temps de vous relire ou, si vous n'avez pas le temps, pas l'envie ou pas les connaissances orthographiques nécessaires pour vous relire, n'hésitez pas à faire appel à un bêta-lecteur. Même moi, j'ai fini par sauter le pas. Et franchement, votre texte y gagne toujours. C'est dommage de voir des histoires extrêmement prometteuses truffées de coquilles.
D'un point de vue typographique, la disposition du texte s'articule autour de courts paragraphes qui présentent l'avantage d'aérer considérablement le texte et d'accroître sa fluidité. En revanche, cette aération s'avère un peu trop poussée ici. Certes, il est préférable d'éviter les gros blocs de paragraphes indigestes, mais trop de sauts à la ligne perdent un peu le lecteur également, dans le sens où le concept « un paragraphe = une idée » n'est plus respecté, et où on se perd donc dans les idées.
En résumé, l'auteure nous livre ici une fanfiction très riche, avec un UA médiéval qui change agréablement de la plupart des histoires que l'on peut trouver. Les personnages sont attachants, et l'histoire dispose d'un fil conducteur intéressant dont, à mon avis, on n'entrevoit pas encore toute la complexité. Si vous aimez l'action et la romance sur fond d'univers médiéval, cette histoire est faite pour vous !
3° L'interview
« Le serment » de Nefer chan
Sur quel-s fandom-s écris-tu généralement ?
J'ai commencé mes premières fics il y a longtemps sur le fandom de Fullmetal Alchemist. J'ai aussi fait un court OS dans l'univers d'Avatar le dernier maître de l'air, mais dans l'ensemble la majorité de mes histoires sont consacrées à Naruto.
Comment t'es venue l'idée d'écrire cette histoire, qu'est-ce qui t'a inspiré ?
A l'époque le manga Naruto venait de se conclure et j'écrivais un OS (« La boîte de Pandore » pour ne pas le nommer) qui avait pour but d'offrir une fin moins bancale, et en tout cas plus satisfaisante pour moi, au couple Sasuke-Sakura. Tout en l'écrivant je me suis dit que je n'avais pas envie de quitter les personnages de ce manga tout de suite. J'avais envie d'encore les faire vivre et d'écrire quelque chose de plus dense. Il se trouve que je n'avais jamais écrit d'Univers Alternatif de peur de trahir l'œuvre originale et de ne pas être capable de retranscrire correctement l'essence des personnages. Je me suis donc lancée ce défi pour me sortir de ma zone de confort.
Étant une adoratrice d'Histoire et lisant à ce moment là « La Religion » de Tim Willocks (qui ne se passe pas du tout dans un cadre similaire à cette fic mais qui reste un roman historique qui m'a donné envie d'écrire des scènes de batailles) j'ai décidé de placer cette fanfic dans un cadre historique en lui donnant des vagues aspects d'épopée, comme les histoires que je m'inventais étant gamine.
C'est comme ça que ce récit a vu le jour.
Comme beaucoup d'autres, écris-tu avec une musique en fond sonore ? Si oui, laquelle ?
Non, pas de musique, silence total.
Autant j'adore m'accompagner de musique sur toute autre activité, autant pour l'écriture même de la musique sans parole me distrait de mon travail.
Pourquoi devrait-on lire cette histoire ?
Aïe, question difficile. Je dirais, parce qu'elle offre un univers assez riche qui est même complété pour ceux qui désirent en savoir plus par des OS, et qu'elle cherche à proposer des personnages développés, même lorsqu'ils sont secondaires, avec une histoire, des buts et des ambitions.
Quelle est sa principale qualité ?
La réponse précédente y répond en partie. Mais s'il faut résumer ça je vais dire que sa principale qualité est la générosité de son contenu.
Quel est son principal défaut ?
C'est une fic très verbeuse, avec de longues descriptions et de très longs chapitres.
As-tu un personnage ou un chapitre préféré ?
Pour ce qui est du personnage je dois avouer m'éclater à mettre en scène Karin (qui pourtant est vraiment un personnage secondaire) parce que c'est un personnage ambigu, ni noir, ni blanc.
Pour ce qui est du chapitre préféré je vais peut-être surprendre parce que ça ne doit pas être spécialement le chapitre préféré de mes lecteurs, mais le chapitre 7 et notamment le passage avec Hinata.
Hinata n'est pas un personnage que j'apprécie spécialement dans le manga (j'ai du mal avec les « clichés » de filles super timides dans les mangas), pour autant j'ai voulu absolument l'intégrer dans ma fic, sans traiter son personnage par dessus la jambe. C'est une façon pour moi de mieux l'appréhender, de l'apprivoiser. Dans ce passage elle est confrontée à des choses dures et elle a une espèce de déclic (discret) qui montre qu'en dépit des apparences Hinata est quelqu'un de fort mentalement.
Et du coup, je crois qu'en écrivant ça je suis parvenue à un peu mieux cerner le personnage.
As-tu déjà la fin de ton histoire en tête ?
Oui, je sais comment je veux que cette histoire finisse. J'ai aussi la structure interne de la plus part des chapitres qui doivent de mener à cet épilogue. Ce qui est bizarre par contre c'est que quand je réfléchis à la composition de ces chapitres je peux les résumer en quelques points en moins de 5 minutes. Alors pourquoi au moment de coucher ces idées sur le papier je souffre d'une telle logorrhée, ça reste un mystère XD
Quel est ton auteur de fanfiction préféré ou celui que tu recommanderais ?
Pour mon autrice de fanfiction favorite, que du coup je vous recommande chaudement, c'est tout vu, c'est Mireba-chan ^^
Je l'ai découverte en la lisant et depuis on est devenu de vraies amies. On se motive comme on peut à deux sur l'écriture de nos fics respectives (qui ont dans leur ambiance et leur caractère « historique » certains points communs). Sa fanfic la plus connue est « Parce qu'à l'indifférence, je préfère la haine » mais je vous conseille grandement celle en cours « Et je t'offre cette fleur imprégnée de mon sang » (admirez la beauté de ses titres;))
Quelle est ta fanfiction préférée ?
J'ai un coup de cœur depuis de nombreuses années pour une fic mythologique sur Hadès et Perséphone de Laurele Adler, « Persephone Unleashed ». C'est un petit bijoux d'écriture et de maîtrise des personnages.
Parmi toutes les histoires que tu as écris, laquelle préfères-tu ?
Ah, encore une question difficile alors je vais tricher et en donner deux.
D'abord « Elizabeth » parce que c'est la toute première fic, en tout cas le tout premier OS que j'ai écrit et que j'ai donc une affection particulière pour cette histoire.
Et puis « Chronique du sable ». C'est sans doute pas la plus populaire de mes fics mais c'est pour moi l'une des plus aboutie et rien que pour ça elle a droit à sa place de favorite.
4° Le mot de l'auteur
Enfin, as-tu un petit mot à dire à tes lecteurs ?
Un grand merci à ceux et celles qui prennent la peine de me lire, de me soutenir, de me laisser des messages (et de me recommander à la Chronique du Savant;)) ça me touche toujours beaucoup.
Je pense que je suis très chanceuse d'avoir un lectorat si attentif et passionné.
En retour j'essaie aussi de mon côté de donner le meilleur.
Je remercie Nefer chan d'avoir joué le jeu en répondant à mes questions, ainsi que Mugu et Rozenn pour m'avoir apporté leur aide.
À suivre : épisode 38 : « Tsunami Uchiha » de Ywena.
*N'oubliez pas d'offrir des reviews à vos auteurs*
