Salut la compagnie. Je vous avais laissé sur un suspense. Le combat entre Ciri et la chasse ainsi que Dumbledore et Mandos à Skellige. Et la voilà, après un temps d'attente. Souvenez vous, les sorciers Anglais pensaient réussir à attraper le survivant, cataloguer de Mage noir alors que tous se préparaient pour un combat contre la chasse sauvage à Skellige.

Reviews :

lesaccrosdelamerceri : Désolé pour le stress ... j'ai eu des soucis d'ordinateur et puis le boulot a été épuisant. En espérant néanmoins que l'attente sera satisfaite.

Lala : Fidèle au poste comme toujours ^^. Voilà la suite attendue.

Alors, pour ne pas changer les bonnes habitudes quand même, les deux mondes sont issus des livres de J.K Rowling et deAndrzej Sapkowski.

Bonne lecture !


Chapitre 52 :

La tempête faisait rage autour d'eux ainsi que la bataille. La douleur, la rage, les cris, le sang. Tout passait dans cette tempête alors que le froid blanc planait entre les tumultes glacés de la mer en rage. Il pouvait entendre les cris de chacun alors que son esprit n'était concentré que sur une seule tache, une seule chose : Arrêter un homme de se prendre pour dieu. Arrêter quelqu'un qui avait dû à un moment être bon. Quelqu'un qui avait oublié que le plus grand bien n'est pas toujours au mépris de la vie des autres. Le plus grand bien peut dépendre de celui qui l'imagine, de celui qui le voit, de sa race, de sa religion, de ses convictions. Personne ne peut savoir ni prétendre connaitre le monde parfait. Il n'y a pas de perfection. Il n'y a que les hommes qui vivent, apprennent, échouent, se relèvent, se trompent et meurent. La vie n'est rien sans la mort.

La mort, on passe tous un jour devant elle. Soit elle vous fixe sans vous adresser le moindre mot, soit elle vous tend la main car c'est votre dernier voyage. Elle marche à vos cotés depuis le jour même de votre naissance. Ceux qui en ont peur, il peut comprendre. La mort, c'est quelque chose qui fait peur. C'est quelque chose que l'on ne comprend pas. Mais pourtant, elle n'est pas injuste. Tout le monde, un jour, passe devant elle. Tout le monde, un jour, se voit inviter à venir marcher avec elle.

Elle peut, néanmoins être dure. Elle peut emporter ceux que l'on aime, ceux avec qui ont vie. Elle peut les emmener alors que l'on n'a pas pu dire au revoir. Mais, on peut continuer à faire vivre quelqu'un tant que l'on ne l'oublie pas. Tant que l'on n'oublie pas ce qu'il nous a apporté. Il avait rencontré dans ses voyages sur les terres du nord, un vieil homme qui disait que parfois, on peut oublier un nom, on peut oublier un visage, mais, les morts ne restent pas toujours morts car ils ont laissé leur marque, invisible parfois, infime. Mais cela suffit parfois.

Voldemort était rentré dans l'histoire comme l'un des plus grands mages noirs de leur temps. Dumbledore comme le vainqueur de Grindeval. Lui, Harry Potter, comme celui qui survécu à la mort. Mais, il était aussi, Mandos Cerbin, guérisseur, compagnon d'arme des sorceleurs de l'école du loup. Et il n'était pas quelqu'un que l'on pouvait détruire parce qu'une personne pensait que c'était pour le plus grand bien.

Le plus grand bien de qui ? De personne. À cause de cette guerre, des sorciers sont morts. Des familles se sont fait déchirer. Des anciens rituels ont été interdit. Des créatures se sont retrouvés enfermé tel des bêtes alors que les non-humains ont tellement à apporter.

- Mon garçon. Arrêtes cette folie. Que diraient tes parents s'ils te voyaient ?

- Peut être que j'ai pris la bonne décision. Peut être même qu'ils seraient encore vivants si vous n'avez pas passé votre vie à chasser et suivre cette poésie.

Il roula, évitant que le sol ne l'engloutisse. Il dessina deux runes, transformant alors l'espace de la falaise en marais plus sombre que celui de Velen. Dumbledore tira à nouveau des sorts de feux pour bruler la nature. Mais les terres du nord sont emplies de magie et d'anciens esprits. Et ceux-ci, n'aime pas beaucoup qu'on les brule.

Il regarda les deux spectres émergés du sol derrière son professeur. Il resta de marbre de son coté alors que les deux fantômes plongèrent vers son ancien directeur.

- De la Nécromancie ? Voldemort t'a donc …

- Non. Nous sommes sur une terre où les esprits sont parfois en colère. Je nous ai amené ici pour plusieurs raisons. En premier, on ne peut pas repartir par magie. Il faut marcher pour quitter la zone.

Il prit une inspiration, frappant alors le sol et laissant alors la magie s'infiltrer entre les herbes. Plusieurs racines attrapèrent alors son ancien directeur qui eut dû mal à les défaire et à affronter les deux pénitents.

Mais, croire qu'un ancien est facile à battre, c'est comme affronter la chasse sauvage avec seulement une dague comme seule arme. Il sentit la magie pure glissée juste contre lui et grimaça. La peau de sa joue le tira comme si elle avait été coupée par quelque chose. Il passa ses doigts dessus et regarda le sang. Dumbledore ne jouait plus.

Il était certes un apprenti de Merlin. Il avait certes, eut plusieurs années supplémentaires pour terminer sa formation. Il n'en restait pas moins que plus jeune que l'ancien directeur. Il conjura son arc et tira plusieurs flèches à la suite, sautant entre les tirs de sorts informulés.

- Mon garçon, il est temps que tu comprennes que ton sacrifice sauverait le monde sorcier.

- Si vous sortez les yeux de la boue, vous verriez que le monde sorcier peut être sauvé. C'est votre aveuglement et votre idiotie de sang pur qui vous ont mené là. Si vous aviez expliqué et compris pourquoi d'anciens rituels sont nécessaires, il n'aurait jamais été interdit.

Il leva les mains, laissant alors la pluie se changer un instant en glace, gelant alors autours d'eux. Les deux pénitents ne purent néanmoins résister au Feudemon. Mais, plus Dumbledore lançait de sorts, plus il sentait la magie s'amenuir. Il regarda, cherchant avant de voir un petit objet concentrant la magie.

Il sauta alors dans les ombres, disparaissant de la vue de son ancien directeur pour réapparaitre juste devant lui, le bras qui était dirigé vers lui, sur son épaule. Dumbledore eut un choc en le voyant aussi proche. Sa main glissa alors la lame de la dague et il redisparut, évitant d'être touché par la riposte. Il regarda l'objet entre ses doigts et haussa un sourcil.

- C'est … un objet puissant. Fait de sang.

Il releva la tête vers Dumbledore qui passa la main sur ses pants de robes pour chercher l'objet. Il le regarda avec cette absence de lumière qui caractérisait les yeux de son directeur. Il voyait à présent ce qu'il voyait chez les mangemorts lorsqu'ils les avaient attaqués, lui et ses amis. Il revoyait ce regard de haine qu'il y avait chez certains humains lorsqu'il passait dans les villes. La haine, la rage, l'envie de le faire disparaitre. Il connaissait cela. Il le connaissait que trop bien.

- Je pense que la partie est terminée, Dumbledore. Il est temps que vous rentiez chez vous. Ici, je suis chez moi.

Il brisa l'objet et la magie s'évapora. Il regarda son professeur lever néanmoins sa baguette. Il regarda alors la pointe verte de lumière à son bout. Il se concentra alors sur les pierres au sol et monta alors ceux-ci devant lui. Le sort sombre frappa cette protection mais plusieurs pierres le griffèrent à nouveau au visage ainsi que lui frappèrent le corps.

Dumbledore avait utilisé le sort de mort. Il avait utilisé le mort pour le tuer ? Il laissa alors le calme l'entourer. Il était temps de mettre un terme à l'idéologie que la magie a deux face. La magie, ce n'est pas seulement du blanc, ou du noir. Ce sont des intentions. Et ça, il l'avait appris d'un certain professeur de potions un peu acariâtre qui avait vu sa meilleure amie, celle qu'il aimait, mourir car il avait été assez stupide d'écouter les mauvaises personnes.

Il se prépara à lancer un sort lorsqu'un des portails de la chasse apparut entre eux. Il grimaça en voyant plusieurs chiens ainsi que deux trois soldats. L'un d'eux le pointa alors du doigt.

- Attrapez l'Aen Seidhe. Attrapez le maitre de la mort.

- Bloede Aen.

Il vit à cet instant l'expression de Dumbledore changer en le regardant. Le vieux sorcier semblait être confus, surpris, et la rage n'était plus pour la même raison. Non. Il était ce que Dumbledore voulait être. Un des chiens sauta sur lui, les crocs en avant.

Il réussit à glisser juste à temps dessous et frapper avec la lame de sa dague contre l'attache du membre supérieur. L'animal tomba au sol, couinant de douleur. Il roula, évitant le sort. Ils avaient un sorcier et deux en armure lourde. Et il y avait Dumbledore qui serait assez idiot pour l'attaquer en même temps. Il grimaça. Ce n'était pas ce qu'ils avaient prévu. Certes, la chasse était bloquée à un lieu, comme Merlin lui avait promis avec l'artefact. Mais, là, il s'était lui-même mis dans le centre des problèmes.

Enfin, non. Il était dans des problèmes, mais celle qui souffrait ici, c'était Ciri. Surtout que le froid blanc était à leur porte. Avallac'h lui avait fait récupérer plusieurs objets. Il connaissait, à la différence des autres, la suite du plan. Il aurait voulu empêcher Ciri de le faire, mais ce ne serait pas respecter qui elle était. Elle était une femme fière, forte, une puissante sorceleuse. Elle était devenue une lumière dans sa nuit. Elle était devenue une accroche encore plus puissante.

Il roula, dégaina le second sabre que lui avait donné le jarl An Craite. Sa lame noire, forgé dans un métal noir comme l'ébène par des nains et gravé de runes par Merlin comme dernier présent. La seconde, une lame presque argent, comme les étoiles, où l'on pouvait sentir le froid glisser contre comme un ruisseau. Il glissa entre les gardes, interposant ses lames, dessinant alors avec sa magie des sorts. Le mage tenta d'en contrer un mais tomba alors le premier. Dumbledore, seulement, le toucha avec le sort de bombardement à cet instant.

Son corps frappa l'un des arbres encore debout. Il gémit presque mais roula, esquivant le chien. Sa respiration était lourde à cet instant. Il était un mage puissant, certes, mais, utiliser sa magie sans baguette ou focalisateur devenait éprouvant. Et cela, en combattant avec des guerriers et un vieux sorcier. Sans oublier les chiens de la chasses.

Il grimaça, regardant autours, caché derrière l'une des roches tombé. Il devait trouver une solution. Les soldats de la chasse n'avaient plus leur navigateur. Et ils savaient ce qu'il était. Et cela avait rendu Dumbledore enrager. Il cherchait donc bien les reliques de la mort pour contrôler cette dernière. Bien qu'en dise le titre, il était aussi mortel que n'importe quelle personne. Il pouvait être blessé ou mourir. Il était juste un lien avec la mort. Il pouvait intervenir ou écouter ceux qui ne pouvaient plus être entendu.

Il regarda la falaise. Les membres de la chasse portaient des armures lourdes. S'il les faisait tomber, il en serait débarrassé. Cependant, cela demanderait une énorme quantité de magie, ce qui le rendrait vulnérable à Dumbledore. Mais, il n'avait pas le choix. Et, avec de la chance, le vieux sorcier serait pris dans l'effondrement. Mais c'était comme jouer avec une roulette russe.

Il regarda le point de la falaise. Dumbledore avait été attaqué par les deux membres de la chasse. Ils voulaient, les uns comme les autres, l'attaquer lui mais sans partager la victoire. Ça aurait été leur chance en fait. Il entendit le grognement au-dessus de sa tête et leva les deux lames pour qu'elles se plantent dans la gorge du chien des glaces. Il roula sur le coté et courut, évitant les assauts. Il ne devait pas se tromper. Il glissa sa lame sur le sol, dessinant en murmurant les incantations. Une ombre passa sur sa gauche alors que sa main terminait de tourner. La masse le percuta assez violemment. Bon, définitivement, il avait le bras fracturé. Mais, il avait terminé.

- Que la terre Mère se déchaine. Que sa colère brise le sol et vous emporte dans les tréfonds des ténèbres.

Il enfonça la lame sombre dans le sol et la magie se concentra, donnant comme le centre d'un orage se matérialisant sur le sol. Les secousses sur le sol les surprirent tous. Il regarda alors les roches se dresser les unes après les autres dans une avalanche violente. Puis, la falaise se briser. Les membres de la chasse ne purent courir vers lui, ils furent trop lents. Et Dumbledore était trop loin.

La noirceur de la mer engloutit alors les corps, écraser entre les différents morceaux de pierres. Il grimaça, se laissant alors tomber contre l'arbre en se tenant le bras. Un bruit de plume le surprit. Il regarda Fumsec au-dessus de lui, chantant alors comme demandant s'il allait bien. Hugin se matérialisa après sur son épaule alors que Hedwige prit place sur le manche d'une de ses deux lames. Elle semblait passablement énervée.

- Hey … m'en veux pas pour cela. Je suis toujours en vie.

La chouette gonfla les plumes et hulula de colère. Il avait vraiment l'impression d'avoir une mère qui sermonnait un enfant pas sage. Il secoua la tête mais sentit sa magie comme lui crier de se relever. Hugin croassa de colère dans une direction. Il n'eut juste le temps de rouler sur le sol. Il regarda avec la lame de sa dague, seule arme qu'il avait à présent à porter de main.

Dumbledore était toujours là. Il semblait aussi blessé que lui voir même plus. Puis, il sentit surtout que la barrière anti transplanage venait de se faire détruire. Il regarda les sorciers apparaitre. Il grogna, voyant des personnes comme Ombrage parmi eux. Mais aussi Fudge. Celui-ci avança dans sa direction.

- Monsieur Potter, vous êtes en état d'arrestation pour acte de magie Noire. Destructions de propriété du Ministère. Association avec des sorciers noirs. Actes de guerre. Sortez et vous serez juger par une cour équitable.

Il rit. Il ne pouvait que rire en fait. Une cour équitable ?

- Une cour équitable qui voudra surtout ma mort avec Dumbledore comme juge ? Mais oui. Vous avez assez tué, tous autant que vous êtes. Vous n'avez même pas idée de ce qu'il se passe ici.

- Vous êtes coupable. Monsieur Potter. Vous êtes une de ses créatures obscures que l'on doit parquer pour le plus grand bien.

Il secoua la tête, toujours à couvert. Dolores Ombrage ne méritait pas beaucoup de clémence. Mais, il avait peu de magie à présent disponible, ses lames n'étaient plus dans ses mains, il avait un bras en miette. Que pouvait-il faire ? Il devait les renvoyer. Mais, ils tenteraient de revenir encore et encore.

- BOMBARDA MAXIMA !

Il sursauta et vit alors le sort frapper au milieu du groupe. Il vit Sirius grognant avec Régulus. Cependant, Draco apparut avec les autres. Les sorciers furent surpris de les voir apparaitre même. Il fut surpris de même voir Triss, les mains enflammées et la colère dans ses yeux.

- Vous devriez faire attention à ce que vous dites.

- … vous n'avez rien à nous dire, miss. Commenta Ombrage vers Triss. Vous n'êtes qu'une pauvre sang de bourbe.

La sorcière de la loge haussa juste un sourcil et claqua des doigts. Le sort de feu frappa alors Dolores sans que celle-ci ne puisse contrer. Il vit Dumbledore, cependant, armer à nouveau un sort. Il glissa ses doigts sur la baguette de Sureau qui ne le quittait pas depuis longtemps. Le mouvement fut rapide avec sa main valide.

- Stupéfix.

Le sort frappa l'ancien et l'envoya contre le mur. Fudge voulut réagir mais Blaise et Théodore étaient déjà de chaque côté de lui. Le damphir avait utilisé la vitesse et frappa la baguette des mains du ministre alors que Théodore avait les menottes en dyméthyrium. Sirius et Regulus, accompagné de Tonks, incapacitèrent les aurors qui n'étaient pas partis.

Il ne se concentra alors que sur Dumbledore, bougeant alors la baguette avec vitesse, laissant les vignes et la pierre du sol encore présente enfermer le vieux sorcier. Celui-ci perdit même sa baguette à cet instant.

Il se tourna vers Hermione qui menaçait de sa baguette Ombrage. Celle-ci tremblait de terreur face à la fureur de la princesse des Gryffondors.

- Comment vous saviez que j'avais des ennuis ?

- Tu es Mandos. Tu es définitivement toujours dans les ennuis. Ça va toi ?

- … j'ai le bras en miette. Et je crois que j'ai des blessures sur le …

- Mandos !

Il sursauta en voyant alors Iorveth arriver. Celui-ci le fixa un instant avant de l'attraper pour l'assoir. Il avait un peu trop poussé peut-être. Cependant, il vit une baguette se placer devant son œil. Il tenta de réagir, ne reconnaissant pas celle-ci. Iorveth lui attrapa la main à temps, déviant le sort. Il regarda alors Pomfresh. Que faisait elle ici ?

- Et bien. Vous ne vous êtes pas loupé, maitre Cerbin.

- … madame Pomfresh … je veux savoir ?

- Je pense qu'il sera certes, nécessaire de vous donner des explications.

Il tourna les yeux un instant et regarda des aurors supplémentaires avec Amélia Bones à leur tête. Ces derniers arrêtèrent les personnes présentes. Fudge hurlait mais fut mis sous sort de silence. Il voulait poser plus de question mais la bataille faisait encore rage sur la cote contre la chasse sauvage. Et les anglais nouvellement arrivés, semblaient pressé de repartir.

- Le portail ne va pas tarder à disparaitre. Ne vous inquiétez plus, ils ne reviendront plus. Ils seront jugés pour leur crime.

- … Jugé ou juste une tape sur les mains. Grogna Iorveth. Je ne fais pas trop confiance à votre justice.

La femme regarda son oncle alors que Pomfresh termina juste de coincer correctement son bras et soigner les quelques coupures sur son visage. Amelia Bones poussa un soupire avant de sortir un document avec plusieurs sceaux. Il lut juste le début et eut un rire.

- Ceci indique que le ministre Fudge a perdu sa fonction. Dolores Ombrage est mise aux arrêts pour agression envers élèves et créatures magique. Dumbledore ? Pour avoir fait usage d'un vol de magie envers un prisonnier de Nuremberg, Grindeval. Même s'il est en prison, tout le monde à des droits. Et la cour en charge des procès ne peut pas être anglaise mais sera une cour internationale.

- … Merci. Laissez-moi deviner. C'est le vieux Jones qui vous a ouvert la porte.

Il remarqua juste le rictus alors que les aurors terminèrent de poser les pierres de Runes étranges sur le sol avec l'aide de ses camarades. Il reconnut aussi le crane de cristal qu'il avait utilisé pour ouvrir l'arcade. Celui-ci fut poser au centre et une porte apparut depuis le sol.

- Exact. La famille Jones a réussi à apporter assez de preuves qui étaient étouffés. Donc, monsieur ?

- Commandant Iorveth.

- Commandant. Vous avez peut-être été déçu par les actions de certain. Mais j'espère que celles que nous avons faits aujourd'hui répareront cette vue. Adieu monsieur Potter. … vos parents auraient été fier de votre décision.

La femme tourna des talons alors que les personnes passèrent la porte vacillante. Il vit le visage de Dumbledore blafard de rage. Il était presque aussi livide que la mort alors qu'il était emmené. La porte se brisa dès que le dernier passa, les laissant alors enfin seuls. Il laissa un instant ce sentiment de liberté malgré les batailles qui résonnaient derrière lui. Il était libre réellement cette fois ci. Jusqu'à ce que Dumbledore trouve un nouveau moyen de venir.

- Je ne pense pas que je le laisse continuer à présent, mon petit elfe.

Il regarda le spectre par-dessus son épaule alors que Draco ordonnait qu'ils retournent chacun à leur poste. La chasse était toujours là et ils devaient terminer de détruire les soldats de cette dernière.

- Je l'attends à présent. Le juge que j'ai suggéré n'aura aucune pitié pour ceux qui ont bafoué la mère magie. Ma bonne amie est contente que l'équilibre revienne enfin.

- Ils ne pourront plus passer par la porte à présent ?

- Non. La porte est fermée. Les deux sphères sont maintenant loin l'une de l'autre. Un instant de plus, et ils restaient bloqué. Quel dommage. J'aurais aimé les présenter à un Blême.

Il secoua la tête alors que Iorveth revenait vers lui avec ses épées. Il rangea les deux. Une dans son dos, la seconde à sa hanche droite. Son arc aussi disparut dans la poche sans fond. Son oncle lui frotta les cheveux, l'aidant à avancer puisqu'ils étaient à présent seul. Les autres étaient revenus à leurs postes.

- Tu as bien grandi, Wedd.

- Mouais … mais trop de magie utilisé. Je suis crevé. Une minute de plus et ça aurait été bye-bye Mandos.

Il sentit la tension un instant et le bras qui le soutenait se serrer un peu plus. Mais Iorveth eut à cet instant une grimace terrifiante.

- Sur mon corps mort. Et ma rage des accords de Cintra n'aura été rien à coté de celle que j'aurais eu.

- Yeah … non. Draco a travaillé trop dur pour que ce qu'il s'est passé soit condamné. … je suis désolé que vous en soyez passé par là. Je ne te l'avais jamais dit je crois.

Il vit la tête bouger légèrement alors qu'ils avançaient dans la forêt pour rejoindre l'un des camps plus loin.

- Tous, nous faisons des erreurs. Roche a massacré beaucoup de non humain. J'ai tué de nombreux humain. Gwynbleidd est surnommé le boucher de Blaviken. Aucun d'entre nous ne peut juger l'autre. Nous sommes tachés de sang. Et toi … petit corbeau des champs de bataille. Tu n'as pas autant de sang que nous. Les hommes ont oublié que nous étions là avant. Ils ont oublié que nous sommes ceux qui leur ont appris la magie.

- Vrai. Mais, je pense qu'à présent, ils auront du mal à vous attaquer. Draco est un adepte des serments sorcier. Encore plus depuis qu'il a accès à la bibliothèque Black.

Ils se mirent à rire tous les deux alors qu'ils sortirent à cet instant de la forêt. Seulement, une explosion résonna. Il leva les yeux. Les mondes s'ouvraient au-dessus d'eux, les uns après les autres. Les boules de flammes tombèrent du ciel. Iorveth blêmit, tentant alors de le protéger. Mais, il avait fait distribuer à beaucoup des pierres de runes. Avallac'h, Ciri et lui savaient ce qui allait se passer dès que la conjoncture des sphères serait là.

- Tiens-toi bien, oncle Iorveth. Je vais t'emmener au centre de la scène pour mieux voir.

Il transplana rapidement, disparaissant avant qu'une boule de feu ne les frappe. Certes, il avait donné des boucliers à beaucoup et des porteloins, mais lui-même n'en avait pas. Et il n'était pas sûr que Iorveth n'est pas trouvé la rune cachée dans ses vêtements.


Et voila. le dernier Chapitre arrivera la semaine prochaine ^^