Edward & Bella, une rencontre, une nuit – OS concours
Titre: Sous un ciel enneigé
Auteur(s): Minipouce20
Bêta: Minipouce20
Disclaimer: Les personnages appartiennent à Stéphanie Meyer, je ne fais que jouer avec ...
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POV Bella
Bella ! Gronda Rosalie. Profite de notre dernier jour ici. Je sais pas moi, va faire du ski.
Cela faisait maintenant deux semaines que nous étions en vacances ici. Nous avions décidé, rectification, ma cousine Rosalie avait décidé de partir en vacances à la montagne. Je détestais le froid et l'humidité donc ce n'était pas le meilleur endroit pour moi. ''Quoi de mieux que de passer ses vacances d'hiver à la montagne'' avait-elle dit. Je n'avais pas eu le choix donc j'avais décidé de faire grève de toutes activités extérieures.
Cela fait deux semaines que tu ne fais rien ou plutôt si : manger, dormir, lire. Tu es désespérante à la fin ! Si je t'ai amené ici c'est pour que tu oublies ce Jacob de malheur, pas pour que tu restes dans ton coin à te morfondre et à lire. Alors secoue-toi un peu où je te mets dehors.
Tu n'oserais pas, affirmais-je mi-inquiète, mi-joueuse.
Tu es sûre de ce que tu avances ?! Fit-elle en levant les sourcils.
Je savais qu'elle en était tout à fait capable mais j'aimais trop la chaleur du chalet et la douceur de mon lit.
Je ne bougerais pas !
C'est ce qu'on verra, rétorqua-t-elle, un sourire machiavélique sur les lèvres. C'est au moment où tu t'y attendras le moins que j'agirais alors prend garde … menaça-t-elle.
Puis elle partit, laissant la porte entrouverte.
…
Je n'avais toujours pas bougé de ma chambre sauf pour aller manger. Nous étions 19h, la nuit était tombée depuis un moment. Je lisais tranquillement quand tout à coup Emmett, le mari de ma cousine, débarqua dans ma chambre tout essoufflé, un air inquiet sur le visage, en criant :
En rentrant de notre sortie au restaurant du coin, Rosalie s'est prise le panneau de bienvenue sur la tête. Elle ne bouge plus, allongée par terre. Qu'est-ce que je fais ? Qu'est-ce que je fais ? Me demanda-t-il en me secouant par les épaules.
Oh mon dieu, Rose !
Je me levais et accourais à l'extérieur du chalet suivi de près par Emmett. J'ouvris la porte, descendais les quelques marches, parcouru deux – trois mètres et regardais sur ma gauche, en direction du panneau, mais rien. Pas de Rosalie. Je me retournais et vis Rose et Emmett rigoler, tout deux pliés en deux, se tenant les côtes.
Je t'avais prévenu, Bells, se moqua ma cousine.
Je me mis à courir vers la porte. Emmett me lança un manteau et referma la porte puis la verrouilla.
Les portes ne seront pas ouvertes avant minuit alors bonne excursion nocturne … me crièrent-ils à travers la porte.
Vous ne pouvez pas me faire ça, ouvrez !
Mais personne ne répondit. Je grelotais. Commençant à ressentir le froid – dont je n'avais pas prêté attention jusqu'à maintenant – je ramassais le manteau et le mis.
… 10 minutes après …
J'avais beau appeler, crier, taper de toutes mes forces sur la porte, personne ne répondait.
La vengeance est un plat qui se mange froid et croyez moi celui que je vous réserve sera glacial, foi de Bella Swan ! Hurlais-je, pointant du doigt la porte en face moi.
Je m'assis sur les marches et attendais.
… 10 minutes plus tard …
Toujours rien. J'étais toujours dehors. Je décidais d'agir mais au moment où je me levais, je glissais sur une plaque de verglas et me retrouvais les quatre fers en l'air. Je vis quelqu'un s'approcher à vive allure.
Tout va bien, mademoiselle ?
Wow ...
Je n'avais pas quitté des yeux l'ange qui avait accouru vers moi quelques secondes plus tôt. Je crois que je n'avais même pas cligné des yeux, restant là, bouche semi-ouverte, abasourdie par la beauté de cet homme.
Mademoiselle ?? dit-il, un air inquiet sur le visage.
Il s'accroupit et se mit à ausculter mes yeux.
Elle a l'air tout à fait consciente pourtant, annonça-t-il pour lui même.
Secoue-toi un peu ma fille ! Dit quelque chose !
Je secouais la tête puis répondit :
Euh … oui, je … je crois.
Bien. Vous avez l'air gelé. Que faites-vous dans le froid ?
Et bien, ma cousine et son mari ont décidé de rester seuls ce soir donc ils m'ont mis dehors.
Très glacé le plat ! Croyez-moi.
Oh je vois.
Je ne pouvais pas lui dire la vérité, si ? En plus, je suis sûre que ce n'était pas totalement faux.
Vous ne pouvez pas rester là. Venez prendre un café, un thé ou quelque chose de chaud. Si vous restez là, vous allez finir par tomber malade.
Oh … euh.
Arrête de réfléchir ! Un dieu grec te propose un verre et un endroit chaud, fonce !
Je n'eus pas le temps de répondre qu'il me relevait de ses mains magnifiquement grandes et puissantes …
Adieu Sainte Prude ! Ce soir on fait la fête ! Se réjouie la petite voix dans ma tête.
C'est un inconnu ! Rétorquais-je à haute voix.
Zut, je n'avais quand même pas dit ça tout haut ?
Oh … désolé l'inconnu que je suis s'appelle Edward, se présenta-t-il alors que j'étais encore dans ses bras.
Et bin si, j'ai ENCORE pensé trop fort.
Be … Bella. Essayais-je d'articuler.
Bravo ! S'exclama la petite voix sur un ton ironique,un mot sans bafouiller maintenant ?
Ravie de faire ta connaissance, Bella.
Il affichait un sourire en coin.
Le sourire le plus beau du monde … (soupire) Reprend-toi !
Hum, soupirais-je, réponse destinée à la voix.
Bien, fit-il en souriant de toutes ses dents, allons-y …
J'étais toujours dans ses bras. On se fixait du regard.
Quel magnifique regard. Des yeux verts … hum … absolument superbes comme sa voix d'ailleurs.
Je ne bougeais pas, j'étais trop bien dans ses bras.
Oh c'est vrai … je suis dans ses bras … musclés … je me disais aussi que je sentais moins le froid.
Je ne m'étais même pas aperçu que pendant tout ce temps il ne m'avait pas lâché. Il dû s'en apercevoir aussi car il regarda ses bras, les retira de mon corps – comme si quelque chose l'avait brûlé – et passa sa main dans ses cheveux en murmurant un désolé. Il se racla la gorge et m'indiqua la route à suivre d'une de ses mains.
C'est par là.
Nous nous dirigeâmes donc vers l'endroit indiqué. Nous pénétrâmes dans un bâtiment puis nous montâmes jusqu'au troisième étage c'est-à-dire le dernier. Il ouvrit la porte qui était verrouillée et il me fit entrer la première.
Charmant ... très galant …hum ...
Son appartement était magnifique. Spacieux. Classe. Essentiellement composé de couleurs claires comme du blanc, du beige et du blanc cassé ainsi que du noir et du marron foncé. Plutôt design et moderne. Il devait être fortuné.
C'est une des maisons de vacances de ma mère. Elle aime beaucoup rénover de vieilles bâtisses , leurs redonner une seconde jeunesse.
C'est magnifique, elle a fait un travail remarquable. Elle est très douée, commentais-je en donnant des coups d'œil un peu partout.
Mon regard se fixa sur l'adonis qui se tenait appuyé contre le chambranle de la porte en face de moi. Il était à couper le souffle. Il était grand, mince mais apparemment bien bâti (sa musculature apparaissait sous son pull moulant). Il avait de grandes mains.
Arrête de fantasmer ! Me réprimandais-je par la pensée.
Mais non continue … me contredit la petite voix.
Ses cheveux étaient couleur cuivré. On aurait dit qu'il sortait du lit tellement ses cheveux étaient en bataille. Il avait un visage intéressant composé de deux magnifiques yeux verts dans lesquels je pourrais me perdre pendant des heures, un nez plutôt droit et des lèvres … qui t'appelaient, qui te suppliaient de joindre les tiennes.
POV Edward
Je l'avais amené jusqu'à mon appartement.
Mais pourquoi j'ai fait ça ?!
Oh ne fait pas l'innocent. Avoue que ça te chatouille hein ?!
Faisons ce qu'on a dit : je lui offre un café, on discute et je la renvoie chez elle.
Mais comment tu peux faire ça ? C'est un crime ! Regarde-la !
Elle était magnifique. Une beauté naturelle. Très différente de celles avec qui je sortais en général. Cette différence me plaisait beaucoup. Elle avait les cheveux marrons, de magnifiques yeux de la même couleur, un corps de déesse. Elle était à couper le souffle.
Histoire de ne pas recommencer à penser à elle et à ce que je pourrais lui faire, je me mis en quête de trouver de quoi la réchauffer.
Ton corps nu contre le sien fera l'affaire … me souffla une petite voix provenant de ma tête. Un peu de sport ne fait jamais de mal …
Je secouais la tête pour chasser ses idées de ma tête et ouvris un placard dans ma chambre. Je pris deux couvertures et quelques coussins qui traînaient sur mon lit. Je revenais dans le salon, disposa une des couvertures à terre près de la cheminée allumée ainsi que les coussins autour et invita la jeune femme à s'assoir. Une fois la demoiselle assise, je l'entourais de l'autre couverture pour la réchauffer. Je la fixais un moment.
Chocolat chaud ou café ? Demandais-je en me dirigeant vers la cuisine.
Un chocolat chaud ne serait pas de refus. Me répondit-elle de sa douce et mélodieuse voix.
J'entrais dans la cuisine et commençais la préparation. Trop distrait par des idées pas très catholiques envers la jeune femme, je poussais la tasse qui tomba et se brisa en mille morceaux. Bella arriva dans la cuisine, alertée par le bruit.
Tout va bien ? Me demanda-t-elle.
Oui, j'ai juste … je me passais la main dans mes cheveux, signe de ma gène, tout en désignant la tasse brisée.
Elle se baissa et se mit à ramasser les morceaux.
Non, je vais … aie ! En approchant ma main pour prendre ce qu'elle avait déjà ramassé je m'entaillais un doigt. Je le retirais rapidement.
Oh je suis désolée ! S'excusa-t-elle. Elle me prit le doigt et le porta à sa bouche.
Oh mon dieu ! Si elle continue je ne vais plus pouvoir me contrôler !
Je me mis à grogner. Elle retira enfin mon doigt de sa bouche et me dit :
Les bouts des doigts saignent toujours beaucoup pour pas grand chose mais ça devrait aller maintenant. Un petit pansement et c'est bon. Annonça-t-elle en inspectant mon doigt.
Bon dieu ! Ne se rendait-elle pas compte de ce qu'elle venait de faire ? Ni de ce que ça avait provoqué chez moi ?
Elle finit de ramasser les morceaux puis retourna au salon. Je n'avais pas bougé. Je restais là, fixant mon doigt, surement un sourire idiot sur le visage.
Je me ressaisis et finissais de préparer le chocolat chaud. Je revins au salon, le plateau dans les mains. Elle prit une tasse et la porta à ses lèvres qui, gentiment effleurèrent le bord de la tasse.
On se fixait un moment puis je me rapprochais gentiment de ces lèvres, sans que je l'ordonne, comme attiré par un aimant. Je commençais à l'embrasser. Elle ne bougeais pas, surement une conséquence de la surprise, puis elle me rendit mon baiser. C'était un baiser doux, agréable. Elle s'écarta, vrilla ses yeux dans les miens puis se jeta sur moi de manière très sauvage, m'empoignant par la cravate. Elle rapprocha son corps encore plus près du mien puis passa ses mains dans mes cheveux. Mon corps réagit automatiquement. Je la serrais fort dans mes bras.
Elle était maintenant à califourchon sur moi, m'embrassant fougueusement. Mes mains, qui étaient placées sur ces hanches, glissèrent sous son pull et commencèrent à descendre … tout doucement … faisant connaissance avec son corps parfait qui irradiait sous mes caresses. Elles rencontrèrent un obstacle, le jeans. Je laissais donc mes mains reposées là. Ma bouche prit le relais.
Je me détachais à contre cœur de sa magnifique et délicieuse bouche, lui enlevais son pull et commençais un long chemin allant de sa bouche vers sa clavicule. Je l'entendis gémir de plaisir quand j'atteignis mon but. Je sentais mon corps s'embraser encore et encore à chaque seconde, la chaleur n'ayant aucune limite. Je sentais mon cœur battre si fort et si vite …
Jamais aucune femme ne m'avait faire ressentir cela, ce bien être, cette envie ardente, alors qu'on ne fait que s'embrasser, se caresser, s'apprivoiser … Je veux plus ! Je veux plus !
Comme si elle avait lu dans mes pensées ou dans mes yeux qui la dévoraient chaque seconde, qui lui montraient sans gêne tout le désir que j'avais pour elle, elle enleva ma veste – qu'elle balança sans hésitation – et me poussa en arrière.
Sauvage … hum … mais très douce à la fois. J'aime ça !
Elle commença à déboutonner ma chemise. Chaque parcelle de mon corps dévoilé était parsemé de baisers, léché ou effleuré par ses lèvres si … hum … si magiques. Elle déboutonna le dernier bouton et avant même qu'elle puisse continuer sa douce torture, je me relevais en position assise, lui enlevais son t-shirt, lui reprit ses lèvres et l'embrassa avec urgence. Puis je fis descendre mes lèvres sur son corps en même temps que je la faisais basculer sur son dos. Je m'arrêtais un moment sur sa poitrine. Je voulais lui infliger la torture qu'elle m'avait fait subir. Cette torture bienfaisante.
Mes mains remontèrent sur son corps brulant jusqu'à sa poitrine. Je fis passer l'une d'elles dans le dos de Bella. Soudain, elle se leva, enleva elle-même son soutien-gorge qu'elle balança de la même manière que mon veston un peu plus tôt, négligemment. La jeune femme passa ses bras autour de mon cou et captura à nouveau mes lèvres. A bout de souffle, elle continua de déposer de tendres baisers au coin de ma mâchoire, dans mon cou et … sous mon oreille.
Hum … mon point sensible … elle va me rendre folle !
Elle s'affaira sur mon lobe d'oreille. Elle le mordillait, le titillait, le suçait… J'avais toujours était sensible à cet endroit mais jamais comme ça. Cette femme avait le don pour me mettre dans tous mes états. Je n'osais pas imaginer ce qu'elle pouvait faire ailleurs, la sensation de bien être qu'elle pourrait me procurer … Je voulais plus ! Et comme un gamin capricieux, je la renversais et commençais à lui lécher les tétons déjà durcis par le plaisir. Je l'entendais gémir. Ce doux son m'excitait et m'incitait à aller toujours plus loin. J'entrepris de lui caresser son autre sein. Elle glissa ses mains dans mes cheveux, les empoignant et les caressant sous l'effet du plaisir que je lui procurais. Mais je voulais toujours plus ! Cette petit bout de femme me rendait dingue !
Je poursuivais mon chemin à la découverte de son corps. Je descendais jusqu'à son nombril, fis le tour en un millier de baiser puis fis le chemin inverse, laissant cette fois-ci glisser ma langue suivant une ligne droite, passant au creux de ses seins pour finalement se loger dans son cou. Je fis lentement descendre mes mains qui allèrent directement déboutonner son jeans. Pousser par l'envie, je glissais ma main dans son jeans et remarquais qu'elle était déjà très humide. A la pensée de lui procurer autant de plaisir, mon corps réagit à nouveau.
Je me mis à quatre pattes au dessus d'elle et, lentement, dans un geste se voulant sensuel, je lui retirais son jeans. Arrivée au niveau des genoux, elle se redressa, retira son jeans et m'agrippa. Sa tête étant très proche de la mienne, sa bouche frôlant mon oreille, elle murmura :
Je veux plus … je veux sentir tes mains sur mon corps, je veux sentir tes lèvres sur moi … mais je veux encore plus te sentir en moi … je te veux ici et maintenant !
A ces mots, je ne pus retenir un grognement. Ma main glissa au niveau de sa petite culotte. Je laissais mes doigts effleurer son intimité à travers le tissu juste pour faire connaissance. Toujours accrochée à mon cou, je sentais son souffle chaud s'accélérer et ces petits gémissements résonner dans mes oreilles. C'en était que pure satisfaction, c'en était excitant …
POV Bella
J'en pouvais plus. Mon corps n'en pouvait plus. Je le voulais en moi. Je sentis sa main m'effleurer au niveau de mon entre-jambes. C'était très agréable et très frustrant à la fois.
Hum ...c'est sur il veut ma mort.
J'en pouvais plus. Je décidais donc d'accélérer les choses. Je me mis à lui retirer son pantalon. Il se laissa faire mais ce fut difficile car il me cherchait ... Il s'amusait à passer ses mains dans le moindre recoin de mon corps et s'attardait sur mes endroits sensibles. Chacune de ses caresses me provoquaient un courant électrique qui parcourrait mon corps s'en cesse.
Et là, comme s'il avait lu dans mes pensées, il retira de manière très sensuelle et provocatrice mon sous-vêtement ainsi que le sien. Il se rapprocha de moi, commença à m'embrasser puis me pénétra ce qui nous fit pousser un cri de plaisir. Il commença de long va et vient puis alla de plus en plus vite. Il s'enfonçait toujours plus loin en moi ce qui nous procurait toujours plus de plaisir. J'avais le souffle court et saccadé.
Il était très doux - me donnant caresses et baisers – et très sauvage, ce qui me plaisait énormément, faisant augmenter mon plaisir toujours plus fort. Un long moment de pure plaisir ...
Viens pour moi Bella,me dit-il, viens maintenant !
Ses baisers et ses paroles combinés aux caresses exercées sur mon bouton de plaisir qu'est mon clitoris, me firent jouir. Après quelques va et vient intenses, il jouit à son tour. Nous restâmes quelques instants dans cette position, savourant le plaisir que nous avions partagé et reprenant notre souffle. Nous nous endormîmes dans les bras l'un de l'autre.
POV Edward
Au petit matin, je me réveillais au sol près de la cheminée, ayant en tête la merveilleuse nuit que je venais de passer. Je tournais la tête pour voir ma chère et tendre partenaire mais personne. Elle avait disparu.
Elle doit être à la douche !
Je me levais et me dirigeais vers la salle de bain quand une feuille de papier, posée délicatement sur la table, attira mon regard. Je la pris et la lu :
Sous l'effet de mes caresses, je sentais ton corps réagir, je sentais ton corps s'enflammer, je sentais ton cœur battre à toute vitesse et ça m'a procuré une jouissance intérieure telle que mon cœur et mon corps se souviendront toujours de toi !
Bella.
Elle était parti ! Ni une ni deux je ramassais mes affaires, m'habillais et courrais jusqu'au chalet où je l'avais trouvé le soir précédent. Je frappais comme un dingue mais personne ne répondit.
Elle était parti mais elle m'avait laissé des images et des sensations d'une nuit dont je n'étais pas près d'oublier !
FIN
