Tous les personnages appartiennent à JK Rolling. Je ne fais qu'emprunter ses merveilleux personnages et les décors. Ceci est valable pour tous les chapitres.

J'écris pour le plaisir donc pour moi et pour vous. Cette fiction sera très citronnée donc warnning.

Chez les Weasley

Les Weasley c'est juste sept putain de beaux gosses dans une seule maison. Cet été les parents Weasley se sont absentés. Tout l'été ! Laissant le Terrier à la seule disposition de jeunes adultes et ado en chaleur. En chaleur parce qu'il fait très très chaud avec ce soleil qui cogne jour après jour sur tout le comté du Devon.

Au Terrier Ronald a évidemment invité ses amis Harry et Hermione. Ce qui fait que le Terrier était remplit. En effet il y avait bien Harry, Ron et Hermione. Mais il y avait aussi Ginny et les jumeaux. Ceux-ci avaient délaissé leur appartement du chemin de traverse pour profiter de l'absence des parents pour passer d'agréables vacances. En prime Percy et l'ainé Bill avaient aussi trouvé l'idée plaisante de venir passé leur vacance sous le soleil de Loutry Ste Chaspoule. Et pour le plus grand plaisir de Ginny, même leur frère Charlie avait trouvé le temps de prendre ses congés et ainsi délaissé un peu ses dragons.

Tout ce petit monde vivait au Terrier dans les tenues les plus légères qui soient. Hermione commençait à se rendre compte de l'effet qu'elle pouvait avoir sur les hommes et cela l'amusait beaucoup de jouer avec leurs nerfs.

Hermione venait de se réveillée dans la chambre qu'elle partageait avec Ginny. Habillée seulement d'une culotte simple noire et d'un débardeur gris, elle se leva et se dirigeât vers la salle de bain. Pied nu sur le parquet elle faisait des efforts pour ne réveiller personne. Pourtant Merlin sait qu'il en faut beaucoup pour tirer de son sommeil un Weasley Mâle. Hermione sourit à cette idée et se sentit cloche de faire autant d'effort pour rien. En descendant elle passa devant la chambre de Charlie où la porte avait été laissée grande ouverte. Elle s'y attarda un moment pour apprécier l'image qui s'offrait à elle. Charlie avait dormi la fenêtre ouverte et la fraicheur du petit matin lui avait fait remonter le drap sur son dos. Hermione regardait l'homme musclé endormit sur le ventre. Une cuisse et un bras musclés dépassaient du drap. On aurait dit un ange. Sortant de sa torpeur, Hermione poursuivit sa route. Elle put rapidement se calmer sous l'eau d'une douche bien fraiche. Elle ne pouvait décemment pas fantasmer sur un des frères de Ron ! Elle termina de se laver rapidement, se sécha tout aussi rapidement puis retourna à sa chambre en serviette. Elle ne croiserait sûrement personne puisqu' ils font régulièrement la grasse matinée. En passant devant la seule chambre avec la porte ouverte, un grognement la fit sursauter. Elle avait vraiment été bête de ne pas avoir pris de change, maintenant elle stressait pour rien. Car ce qu'elle voulait éviter c'est de montrer aux garçons qu'elle était totalement réceptive à leurs corps de rêve ! Et rien que de l'accepter mentalement, elle en rosit. Elle montait les escaliers en direction de la chambre de Ginny quand elle faillit percuter quelqu'un de « roux » descendant très vite les escaliers. Son cœur fit un bon, plus par surprise que par peur. Le bel homme au visage marqué d'une cicatrice la rassura d'une main sur son épaule humide :

« Ehh calme toi hermy, nous fait pas une syncope, ce n'est qu'moi »

Son cœur avait commencé à reprendre un rythme régulier, mais il avait fallu qu'il signe sa réplique d'un imperceptible clin d'œil qui l'a faisait fondre.

« Eheu ouais ok c'est bon ok, non non t'inquiete pas, ça va... c'est rien. J'vais monter. A plus »

Elle montait les marches, rouge de honte. Elle n'avait dit que de la merde alors que lui était si décontracté. D'habitude c'est elle qui faisaient chavirer les cœurs. Et ce lorsqu'elle est préparée. Confiante. Donc par définition, le scénario « quasi nu dans l'escalier » ne fait pas partie de ses moments de confiance. Elle se rattraperait Foi de Granger ! Une fois devant sa valise, elle ne fit pas vraiment attention à son look elle voulait juste avoir le moins chaud possible. Elle opta donc pour un simple short en jean bleu et un top blanc avec aux pieds des tongues. Elle descendit et trouva Bill qu'elle avait croisé dans les escaliers, afféré à préparer le café pour toute la maisonnée. Tout de suite elle entreprit de l'aider… sauf qu'il n'y avait pas grand-chose à faire, puisqu'il restait des crêpes d'hier soir à manger froide au ptit dej.

« Et si on prenait le petit déjeuné dehors ? On n'a qu'à installer les tables de jardin ? » Demanda Hermione à Bill.

« Pas de soucis, suit moi » Répondit l'intéressé.

A deux ils commencèrent le déplacement des tables d'extérieur, très vite rejoint par Percy, Fred et Georges. Hermione ainsi remplacée pu rentrer à la cuisine et commença à dresser la table du premier repas au Terrier. Il était maintenant plus de 10h30 et la quasi-totalité des jeunes mangeant tranquillement sous le soleil encore doux du matin.

Ginny qui n'avait pas pu passer ses vacances chez Luna, allait presque tous les jours chez elle. Hermione se retrouvait généralement vers 10h30 seule représentante féminine du Terrier. Et ce n'était pas pour lui déplaire.

« Ron garde en un peu pour Charlie ! Espèce de ventre sur patte ! » dit Hermione d'un ton de reproche.

« cha qua pas dormich chi tard » Se défendit Ron.

Harry qui écoutait la conversation qui se déroulait devant lui, approuva d'un signe de tête. Il s'était résolu à ne plus rester neutre. A présent il montrait un peu plus de solidarité masculine et Hermione n'avait pas l'air de s'en plaindre. Comme si c'était un jeu auquel elle adorait jouer. C'est donc sur un air faussement vexée qu'elle se leva de table, très vite rattrapé par une main fine sur ses hanches. Non deux mains ! Les jumeaux l'avaient rattrapée par les hanches :

« Part pas fâché Mione… »

Elle n'écoutait plus leurs paroles. Elle avait senti en elle comme des papillons. Leurs doigts dérivant très légèrement sur le côté de son ventre lui donnant ainsi des petits frissons. Elle se dégagea enfin de leur étreinte et rentra au terrier dans l'intention de réveiller Dormeur. Sur le chemin elle aurait voulu se calmer, seulement c'était tout le contraire elle se repassait mentalement les derniers images pour ressentir ce qu'elle avait ressenti de si délicieux. Mais à force de les refaire défilés, les sensations perdirent de leur saveur. Elle en voulait encore.