NdA : Hey ! Bon, ben, v'la un autre OS chelou. Nan, ça vaaaaa... Je précise que c'était pas mon idée, hein ! Mais celle de Epsilon Snape, d'abord ! Ouais, la fatigue l'a faite partir dans un délire agrémenté de Lucius et de Lucius (vous a-t-elle déjà scandé son amour pour Lucius ? Non, mais parce que Lucius), d'où le nom de l'OS (j'ai pas cherché très loin)
Thèmes : humour (vous commencez à me connaître), jardinage (hein?) et du cul (vous commencez à bien me connaître)
Discleamer: Ne faisons point de fioritures, le monde de Harry Potter est, et restera, toujours à JKR.
Sur ce, bonne lecture !
Le délire d'Epsi
Harry trépignait d'impatience. Mais que faisait donc Neville ?! Ce dernier l'avait fait venir au Manoir Malfoy pour lui montrer la nouvelle pousse de Beatum fallumique ou un autre truc dans le genre qu'il élevait.
Depuis la fin de la guerre, en effet, les Malfoy, qui, hélas pour eux, s'étaient retrouvés du mauvais côté de la bataille, avaient dû mettre leur fortune à contribution, ainsi que leur domaine, en guise de réparation. Bien sûr, les terres étant très riches, c'était l'endroit idéal pour y développer la vie botanique ! Le lieu avait donc été confié à Neville Longdubat, héros de guerre et passionné de cette discipline. Si, au premier abord, les rencontres entre les occupants des lieux et leur visiteur honoraire avaient été très froides, voire haineuses, à force de cohabitation et de griefs mis de côtés de part et d'autre, chacun avait appris à apprécier son interlocuteur, jusqu'à prendre quelques fois le thé dans une des serres où Neville faisait pousser ses précieux plants.
Serre où poireautait d'ailleurs le Survivant-par-deux-fois, aussi nommé le Sauveur du Monde Sorcier, et dont la patience s'égrenait de minutes en minutes.
- Bon sang, mais qu'est-ce qu'il fiche ? marmonna-t-il.
Harry aurait bien voulut esquiver cette... présentation du Beatum bidule dont, honnêtement, il n'avait strictement rien à faire, mais son ami avait tellement insisté et semblait tellement fier de le lui montrer, que Harry avait cédé. Et puis ce n'était pas comme s'il avait grand-chose à faire de toute façon.
Or, voilà que Neville était parti chercher le machin en question qu'il avait apparement oublié dans la serre voisine, lui demandant de patienter ici. Harry souffla. Il était nerveux. Même si Neville était devenu assez proche des Malfoy, ce n'était pas son cas. Ce qui était fort regrettable, pensa-t-il avec une légère déception teinté d'amertume et de jalousie.
Enfin... Il doutait que le propriétaire des lieux soit heureux de le trouver chez lui. Il voyait rarement Lucius Malfoy autre qu'aux réunions mondaines impos-heu, organisées par le Ministère et durant celle-ci, l'aristocrate ne faisait que le dévisager d'un air froid et impassible qu'Harry avait du mal à analyser autrement que par de la haine à son encontre. Le fait que sa femme ait été assassinée par des Mangemorts en fuite car ceux-ci avaient eu vent de sa « traitrise » lors de l'affrontement entre Harry et Voldemort dans la forêt ne devait pas aider...
Harry soupira en secoua la tête. Ce n'était pas le moment de penser à ça. Il entendit alors la porte de la serre s'ouvrir et il se retourna pour interpeller son ami. Cependant, loin des cheveux bruns de Neville, ce furent de long cheveux blonds qu'il aperçut à travers le feuillage. Écarquillant démesurément les yeux, Harry fit la première chose qui lui vint à l'esprit : il plongea sous la table de rempotage.
Lucius entra dans la serre que tenait Longdubat d'un air peu amène. Il venait rarement ici car l'endroit était plein de terre et c'était salissant. De plus, il y avait tant d'odeurs différentes que cela agressait son nez fin. Il daignait cependant se rendre dans une des serres voisines, plus propre et présentable afin de prendre le thé avec leur nouvelle... connaissance. Il n'était certes pas ami avec le Longdubat, au contraire de son fils qui était plus proche du jeune homme, mais ce dernier avait l'avantage d'être un sang-pur et de se montrer respectueux envers eux. Ce qui n'était pas négligeable, en plus de montrer une éducation décente.
Il se trouvait cependant que le dernier amant en date de Lucius n'avait pas apprécié leur rupture, Lucius avait pourtant mis les formes en lui envoyant une lettre plutôt que de lui faire l'affront de le faire devant lui, et avait donc décidé de ses venger, à sa manière. Il avait alors caché tous les jouets de Lucius sur le domaine, avec, bien évidement, un sort apposé dessus qui empêche d'attirer les objets d'un accio. Lucius, qui exécrait que l'on touche à ses affaires était donc passablement irrité quant au comportement puéril de l'autre homme. Il se félicitait d'avoir mis un terme à cette relation plus qu'encombrante.
Actuellement, Lucius était donc à la recherche de ses menottes de jeu. Il avait cherché partout dans le manoir, pestant contre ces imbéciles d'elfes incapables de retrouver un simple objet, et avait ensuite opté pour la serre, où il n'allait pour ainsi dire, presque jamais, suite à une suggestion de son fils. Qui était plus un reproche déguisé qu'autre chose.
Pestant intérieurement, Lucius entendit alors un son étouffé semblant provenir de sa droite. Il fronça les sourcils et se redressa. Prudent, il s'avança d'un pas léger vers l'endroit d'où le son lui avait sembler parvenir. Il remarqua alors un bout de chaussure dépassant de sous la table à rempotage. La cachette était fort peu efficace et Lucius douta immédiatement qu'il s'agisse de quelqu'un de dangereux. Quelqu'un de profondément stupide, oui, mais menaçant, impossible.
Approchant l'air de rien, Lucius se baissa soudainement lorsqu'il fut au niveau de la table afin de voir à qui il avait affaire. Quelle ne fut pas sa surprise de se retrouver face à Harry Potter en personne ! Lequel Harry Potter sembla tout aussi surpris que lui puisqu'il sursauta fortement en poussant un petit cri, et se cogna méchamment la tête contre la table en voulant se redresser. C'était bien ce qu'il pensait : quelqu'un de profondément stupide.
Le jeune homme brun rougit devant l'air moqueur du sorcier blond et sortit à quatre pattes de sous la table, tel un enfant pris en faute.
- Heum... Pardon, dit-il en se redressant après que Lucius ait fait de même. Je... Neville m'a invité...
- Je vois, répondit succinctement Lucius en dévisageant Potter de haut en bas.
Ce dernier s'était pas mal étoffé depuis la fin de la guerre. Il avait commencé une carrière de joueur de quidditch professionnel avant de laisser tomber suite à une mauvaise chute. Il avait cependant bien gagné en muscles, et d'après de que Lucius voyait de sa chemise serrée et de son pantalon fort bien ajusté, le Sauveur avait un corps tout à fait alléchant. Même s'il l'avait déjà remarqué aux quelques soirées qu'avait organisées le Ministère, c'était d'autant plus flagrant maintenant qu'il se tenait à quelques centimètres de lui. Potter avait grandit aussi, bien qu'il restât plus petit que lui. Lucius avait entendu son fils dire que c'était à cause de mauvais traitements dans son enfance. Il avait cependant le physique idéal pour un attrapeur. Ainsi que le physique idéal que Lucius cherchait chez un amant, il devait le reconnaître.
Lucius remarqua alors un éclat argenté prendre à la manche du jeune homme qui bégayait toujours des excuses dont il n'avait que faire. Ses menottes ! Accrochées au bouton de chemise. Ça alors, comment Potter avait-il mis la main dessus ? Elles devaient s'y être accrochées dans son empressement à se cacher. Une idée sournoise lui vint alors.
- Potter, dit-il interrompant le gryffondor dans sa litanie.
- Oui ? demanda le jeune homme avec un sursaut.
- Qu'est-ce que c'est que ça ?
Lucius pointa les menottes en question. Potter fronça les sourcils et regarda dans la direction indiquée avant de cligner des yeux, interloqué.
- Heu... Des menottes ?
- Et très précisément, Potter, mes menottes. Que vous n'avez pas manqué d'abîmer en vous asseyant dessus. De plus, je n'ose imaginer leur état à cause de l'humidité ambiante...
Potter écarquilla les yeux.
- Je suis désolé ! Je n'avais pas vu...
Lucius secoua la tête d'un air déçu. Potter attrapa la paire de menotte, les regardant intensément sous toutes les coutures.
- Elles ne sont pas cassées, si ?
- Il s'agit de menottes magiques, Potter. Je dois vérifier que les sortilèges ont tenus... Cependant le mécanisme a dû se rouiller, il me faudrait les tester...
- Les tester ?
- Oui. En guise d'excuse quant à votre comportement discourtois, je suppose que vous vous portez volontaire ?
Il ne sut pas vraiment pourquoi, mais Potter rougit et s'empressa d'acquiescer.
- Bien, sourit Lucius d'un air de prédateur. Tendez votre poignet.
Sagement, Potter obéit. Clac. Lucius referma l'une des menottes sur le poignet bronzé du Survivant. Ce dernier déglutit. Lucius releva le regard vers lui. Ses yeux verts, à présent privés de lunettes, le jeune homme avait pris l'habitude de porter des lentilles depuis sa carrière de joueur, étaient légèrement arrondis, la pupille noire dilatée. Intéressant.
- Potter, dit Lucius. Il s'agit de menottes magiques, elle se déferont seulement si vous le souhaitez vraiment.
Potter hocha la tête. Lucius haussa un sourcil, intrigué. Le jeune homme était bien plus conciliant que ce qu'il pensait. C'en était d'autant plus appréciable.
- Bien, passons aux choses sérieuses, susurra-t-il alors.
D'une poussée, Lucius entraîna Potter vers l'arche où Longdubat faisait habituellement pousser les rosiers.
Le gryffondor poussa un cri surpris, mais sans qu'il n'ait le temps de faire quoi que ce soit, Lucius lui avait ramené les bras dans le dos autour de l'arche et refermé la seconde menotte sur son autre poignet. Potter se retrouvait alors attaché. Lucius s'éloigna de deux pas et contempla le jeune homme.
- Qu'est-ce que vous faites ? s'exclama-t-il interloqué, les joues un peu rouges.
- Essayez de vous défaire des menottes, dit Lucius.
- Me défaire ?
Lucius leva les yeux au ciel.
- Êtes-vous sourd ?
Potter bafouilla.
- Non, non...
Il écarta les bras sur les côtés, tirant sur la chaîne, mais sans grande conviction. Lucius soupira.
- Vous n'y mettez pas du vôtre, Potter, cingla-t-il.
- Hé ! Je vous ferez remarquer que vous venez de m'attacher à un poteau avec des menottes ! répliqua le jeune homme mécontent, son regard vert s'enflammant.
Lucius avisa un pot de fleur qui semblait avoir accueilli un bouquet où il restait quelques tiges de blé pour la décoration.
- Espérons que ceci développe votre motivation.
Il attrapa un des brins de blé et se dirigea vers Potter dont il écarta brusquement les pans de la chemise, envoyant valser les boutons sur le sol.
- Qu'est-ce que... Mmmh...
Sournoisement, Lucius vint effleurer le téton de Potter du bout doux de la tige. Potter se crispa et tenta d'échapper au brin de blé, mais, sans cesse, Lucius le ramenait dessus, titillant la pointe rosée.
- A-arrêtez... Ça... chatouille..., se plaignit le gryffondor en se tortillant.
- Vous n'êtes pas très convainquant, Potter.
Le jeune homme leva vers lui un regard embarrassé et un peu trouble. Il se mordilla la lèvre inférieure et Lucius sentit brusquement son sang affluer dans son bas-ventre.
- Je... c'est que..., commença Potter.
Il semblait embêté, presque honteux. Lucius sourit et décida d'appuyé un peu plus sur cette faiblesse du gryffondor qu'il venait de découvrir et qui n'était pas pour lui déplaire.
- Allons, qu'y a-t-il, Potter ? Cela vous gêne, peut-être ?
Il changea de cible et caressa le ventre musclé du jeune homme, suivant la ligne des abdominaux qui se contractaient sous le passage de la tige, avant de revenir sur l'autre téton dont il fit le tour avec lenteur. Durant tout le processus, Potter avait retenu sa respiration avant de la relâcher dans un léger gémissement.
- Eh bien, Potter, se moqua Lucius. Cela ne semble pas suffisant pour vous faire vous libérer des menottes, faut-il que j'arrête ?
- N-non ! s'exclama Harry avant de rougir se rendant compte de ce qu'il disait. Heu... Je veux dire...
Lucius sourit.
- J'ai très bien compris, Potter.
Il posa la tige sur la table et étouffa un ricanement en voyant le regard emplit de déception que le jeune homme lui jeta. Délicieux.
- J'ai une autre idée, Potter, dit Lucius en s'approchant du brun qui retint sa respiration.
- O-oui ?
- Et je pense que ça va te plaire, lui susurra-t-il à présent si proche que Potter devait lever la tête pour le regarder. Dans le cas contraire, défais-toi de tes menottes.
Potter écarquilla les yeux, rougit, mais hocha la tête. Lentement, avec un sourire narquois, Lucius ouvrit la braguette du Survivant. Lequel étouffa un gémissement de frustration devant la lenteur de l'aristocrate. Il ne quittait pas l'autre des yeux, appréciant son regard émeraude se foncer petit à petit qu'il descendait le long du corps du brun, entraînant le pantalon avec lui.
Une fois presque accroupi, Lucius posa un genoux à terre et brisa le contact visuel pour fixer son regard devant lui et... Oh.
- Je... j'ai eu un problème de machine à laver et...
Lucius ne chercha pas à savoir ce qu'était cette machine à laver, car le fait était que Potter ne portait pas de sous-vêtement sous son pantalon et que Lucius se retrouvait donc à présent directement face à son membre en érection et d'une taille... fort honorable.
Cachant sa fascination, Lucius ne perdit pas de temps et, s'aidant d'une main, entreprit de lécher la verge dans sa longueur avant de la prendre en bouche. Potter, au-dessus de lui, poussa un fort gémissement.
- Ooh... putain...
Lucius éloigna ses lèvres, bien qu'il restât si près que son souffle caressait le sexe humide.
- Je te prierais de châtier ton langage, Potter. En particulier quand je te taille une pipe.
- O-oui ! D'accord ! Mais arrêtez paaaaaas ! Oh, Merd-lin...
Lucius, satisfait, avait repris ses activités et s'appliquait à sucer convenablement la verge, l'aspirant contre ses joues et utilisant sa langue pour en suçoter le bout. Il se savait doué et Potter était visiblement d'accord avec lui vu les gémissements et les mots sans queue ni tête qu'il débitait d'une voix hachée. Lucius s'occupant alors des délicates testicules de sa main droite et le brun ne se gêna pas pour manifester bruyamment son plaisir.
Humidifiant alors un de ses doigts d'un informulé, Lucius le dirigea insidieusement vers les fesses du jeune homme. Il eut cependant à peine le temps d'effleurer l'anneau de chair que...
- Non ! s'écria Harry, hoquetant.
Dans un sursaut de magie, le jeune homme écarta brusquement les bras, brisant la chaîne des menottes, et éloigna Lucius de lui en l'attrapant par les épaules. Essoufflé, il fixa le blond d'un regard trouble. Quant à l'aristocrate, il fut d'abord interloqué, puis contrarié. Il se releva le plus dignement qu'il put, époussetant le devant de sa robe d'un geste négligeant, le regard fier, malgré le fait qu'il se sente outrageusement blessé dans son orgueil. Jamais aucun de ses amants ne l'avait repoussé ainsi. Pourtant, Potter avait osé.
- Bien, dit-il d'un ton volontairement aigre. Puisqu'il semble que vous ayez brisé mes menottes pour vous en défaire, Monsieur Potter, je ne vous retiens pas plus. Au revoir.
Ce disant, Lucius fit volte-face.
- Attendez !
Potter le retint par le poignet.
- Je pense que vous m'avez mal compris... Je voulais dire, nous serions mieux dans... un lit, par exemple ? Le poteau n'est pas très pratique et cette table me semble plutôt bancale.
Il désigna du menton la table sous laquelle il s'était caché un peu plus tôt. Le visage de Lucius se para alors d'un sourire purement Serpentard tandis qu'il comprenait ce que le brun sous-entendait.
- Alors ? Qu'en pensez-vous, Lucius ? insista l'effronté Gryffondor, son sourire reflétant le sien.
- Avec plaisir… Harry.
Aussitôt, Lucius entoura la taille du brun de son bras et les fit transplaner.
Non loin de là, une silhouette à demi dissimulée derrière un mur de plantes grimpantes murmura :
- C'est bon, Draco, ils sont partis.
Un gémissement plaintif provint de sa gauche.
- Ça a marché au moins ? demanda le blond, recroquevillé par terre, les mains fermement plaquées contre les oreilles.
L'autre haussa les épaules.
- On dirait. En tout cas, ils semblent partis vers, heu... d'autres cieux.
Un second gémissement lui répondit.
- Pitié, Longdubat, épargne-moi tes réflexions salaces, c'est plus que je ne peux le supporter.
Neville jeta un regard moqueur au fier aristocrate accroupi derrière le mur de glycines. Il était plus pâle que d'ordinaire, la mine légèrement verdâtre.
- Oh, allez, Draco, fais pas cette tête. C'est bien que ton père se trouve quelqu'un, non ? En plus je suis sûr qu'avec Harry, ils vont...
- Stop ! Je ne veux pas en entendre plus ! Je suis assez traumatisé comme ça.
Neville s'éloigna en riant.
- Mais oui, mais oui...
Le blond le suivit, chancelant.
- Rien que de penser aux prochains repas de famille, je... Ah, Morgane ! Que quelqu'un me jette un oubliette, par pitié !
Neville éclata de rire devant l'expression proprement horrifiée de son ami. Jouer les cupidons était plutôt amusant...
Bien plus loin de là, une jeune femme s'éveilla en sursaut, le cœur battant. Ça, alors ! Quel rêve ! Un sourire illumina ses traits en pensant au bel aristocrate blond. Son port droit et fier, altier, ses longs cheveux qui... Avant de se figer, se rendant compte que, hélas !, trois fois hélas, Lucius n'était pas à elle. Des larmes amères dévalèrent ses joues, mais elle se dit que si c'était pour le céder à Harry, alors elle voulait bien se sacrifier... C'était une peine pour un bonheur.
Epsi, car tel était le nom de cette vaillante combattante, nous honorerons à jamais ta mémoire ! Ton sacrifice ne sera pas vain, nous le jurons devant le dieu du yaoi !
Fin.
Nda : Je vais quand même vous partager la discussion farfelue qui a donné naissance à cet OS abracadabrantesque... Je dénonce aussi mes part'ner in crime, alias Epsilon Snape, principale instigatrice, et Sayaka-san22, la pousse au crime manipulatrice... N'hésitez pas à aller faire un tour sur leurs profils ! Elles font des trucs bien, j'vous jure !
Saya : Peut-on être badasse en tongs ?
Epsi : Lucius peut !
Saya : Lucius peut tout selon toi
Epsi : Exactement.
Epsi : Il peut même sucer !
Saya : ...mais XDDD t'es en plein fantasme dans ta tête toi
Epsi : Non en vrai j'ai bossé toute la journée, je suis claquée et ça me fait rire de jouer la fangirl hystérique
Saya : Oh °° parle nous donc de Lucius qui suce alors. Il suce quoi ou qui ?
Epsi : Harry !
Saya : Ils sont où ?
Epsi : Manoir Malfoy
Saya : Quelle pièce ?
Epsi : Mmmmh... La serre
Saya : Et comment Harry est arrivé dans la serre Malfoy ?
Epsi : Il attend Neville qui s'occupe des plantes et qui voulait lui montrer sa nouvelle pousse de Beatum fallumique
Paka : Phallique*
Saya : Intéressant... et donc, il attend, un peu nerveux de se trouver là, pas super à l'aise et...?
Paka : "Tu veux voir mon cactus ?"
Saya : (chuuuut ! Epsi écrit en live ! Tais toi et profite !)
Paka : (Oups, pardon se tait)
Epsi : Harry se cache quand il voit Lucius arriver, car il pense ne pas avoir le droit d'être sur le domaine
Saya : Et qu'est ce qu'il pense en voyant Lucius arriver ? Comment il le trouve...?
Epsi : L'ex de Lucius a caché sa paire de menotte quand ils ont rompu. Et Lucius s'est dit que c'était peut-être dans la serre, dans un endroit où il ne met jamais les pieds. Et en cherchant sous la table à rempoter... Il trouve un Harry Potter rougissant !
Paka : Qui a mis la main sur la paire de menottes ?
Saya : Nooon ? Et ensuite ? Que fait Harry ?
Epsi : Il bafouille comme un débile. Lucius lui demande de sortir de là, et lorsqu'il le fait, il galère un peu parce que c'est petit et il a une paire de menotte accrochée au bouton de la manche de sa veste.
Saya : je vois... et donc, il se retrouve avec l'objet tant convoité... et ensuite ?
Epsi : Lucius fait un sourire en discret, et il explique à Harry qu'il a peur que les menottes soient cassés
Saya : Oooh cassées vraiment ? Et pour quelle raison ?
Paka : Ooooh ! Mais non !?
Epsi : La poussière, l'humidité, Harry assit dessus... Tellement de raisons... Il faut donc les tester !
Saya : Bien sûr ! Evidemment ! Et comment on vérifie la solidité de menottes ?
Paka : Il faut surtout les essayer !
Epsi : Harry est sincèrement contrit ! Il dit à Lucius qu'il va l'aider ! Et avant même de réaliser ce qu'il se passe, il se retrouve torse nu, attaché à l'arche qui fait pousser les rosiers, avec un brin de blé qui lui chatouille le téton !
Saya : Bien sur qu'il est contrit...qui ne le serait pas... et donc, que fait le grand méchant loup ensuite ?
Paka : Pauvre brin de blé ! Il n'avait rien demandé !
Epsi : Il demande à Harry s'il doit arrêter, mais Harry ressent un truc bizarre dans l'estomac et lui ordonne de ne surtout pas lâcher ce brin de blé !
Paka : Il lui ordonne ! Et donc ? Que fait Lucius ?
Epsi : Lucius est vraiment quelqu'un de bien et ne peut abandonner un pauvre être en perdition. Il se doit de continuer ce qui lui est demandé !
Paka : Oh, oui ! Et après ? Et après ?
Saya : Et ensuite ?
Epsi : Lucius explique à Harry que les tétons c'est plutôt cool, mais qu'il y a un autre bouton magique encore plus gros ! Malheureusement pour l'atteindre, il doit enlever le pantalon de Harry et, vraiment, Lucius est gêné, ce n'est pas du tout son genre de faire une telle chose...
Paka : Rooooh
Saya : Mais tu l'as dit ! Lucius est une belle personne et ne peut décemment pas laisser Harry sans lui inculquer les bases !
Paka : C'est vrai ça ! Il faut éduquer Harry !
Epsi : C'est exactement ce que Harry répond ! Alors, bien malgré lui, Lucius fait lentement descendre le pantalon de Harry jusqu'à ses pieds. Il enlève délicatement ses chaussures, ses chaussettes et relève enfin les yeux pour trouver... Merde ! Harry ne porte donc pas de sous vêtements !
Saya : Roooooh ! Harry a sûrement dû oublier non ?
Epsi : Harry a eu un problème avec sa machine à laver ce week-end... Il n'avait plus de caleçon propre malheureusement. Lucius se retrouve donc nez à verge avec un vrai problème...
Saya : Un gros problème ?
Epsi : Un TRÈS gros problème
Saya : Ooooh o.o ... mais est-vraiment un problème et pas plutôt une ... invitation ?
Epsi : Lord Malfoy n'avait de ses yeux vu, jamais pareil engin ! Mais il prit son courage à deux mains ! Étouffant toute sa verve, il attrapa la verge !
Epsi : J'ai tellement honte
Saya : ... quel est donc ce récit chère Epsi ! Rangez dont moi ces vers que je ne saurais voir et écrivez nous dont un lemon digne de votre gloire !
Paka : Je plussoie. Un innocent petit OS.
Paka : Moi, j'dis, ça part en fuc
Paka : En fic !
Saya : AHAHAHA
Paka : Quoique...
Saya : EN FUCK !
Paka : Tu lis dans mes pensées, partenaire.
Paka : L'inconscient c'est fort quand même
Saya : Y'a des choses qui coulent de source my friend
