Chapitre 46 : ''Father and Son''
Midorikawa, petit garçon de 5 ans à peine, avait regardé le ballon de foot plus gros que sa tête rouler jusqu'à ses pieds. Il avait pensé être le seul à venir dans ce coin perdu de l'orphelinat Ohisama En.
Un petit garçon aux cheveux raides et rouges encadrant un visage pâle s'était précipité vers lui pour rattraper le ballon.
Midorikawa lui avait offert son plus grand sourire.
_ Salut ! Moi c'est Ryuuji ! Midorikawa Ryuuji. Et toi ?
Son interlocuteur avait paru étonné de se voir interpellé, mais avait finalement sourit à son tour en acceptant la main tendue offerte par l'autre enfant.
_ Kiyama Tatsuya… Ah non, Hiroto, maintenant.
_ Tu ne te souviens plus de ton prénom ?
_ Si mais… père m'appelle Hiroto alors maintenant ça doit être ça mon nom...
_ Kiyama Hiroto… C'est joli, ça te va bien ! Tu as une tête à t'appeler Hiroto !
Les deux enfants s'étaient ensuite élancés à la suite du ballon en riant.
Ils ne s'étaient plus jamais quittés.
_oOo_
Fujiyama, QG de l'Aliea Gakuen, terrain de foot…
_ Hiroto ! Hiro… TATSUYA !
Hiroto resta interdit en entendant Midorikawa l'appeler par son ancien prénom. Il n'y avait que lui pour le connaitre, les autres étaient arrivés plus tard à l'orphelinat, et il ne le leur avait jamais dit.
Et il ne l'avait certainement pas dit à Midorikawa l'amnésique.
_ Ryuuji…
Son cœur fit une embardée dans sa poitrine alors qu'il prenait conscience de ce que ce simple prénom signifiait.
Il jeta un regard vers le tir monstrueux fondant vers lui et Ulvida dans un rugissement assourdissant. Même sans le limiteur de force, ils n'auraient aucune chance de l'arrêter.
Personne ne pouvait arrêter l'amour, et il était le mieux placé pour le savoir.
Il s'élança vers l'extérieur du terrain sans rien voir de plus que Midorikawa dont le soulagement se peignait sur son visage. Il ignora la foudre grondante traversant le terrain pour finir sa course dans les buts, ignora le coup de sifflet annonçant que Raimon reprenait la tête du match 5-4
Hiroto se jeta sur Midorikawa et le serra dans ses bras, sentant ses larmes rouler le long de ses joues pâles.
_ Tu te souviens…
_ Tu ne pensais pas que je t'oublierais éternellement, tout de même ? Il y a quelqu'un qui a dit un jour que ce qui touche le cœur se grave dans la mémoire. Et toi Hiroto, tu as fait bien plus que toucher mon cœur. Il n'y avait aucune chance pour que je ne me rappelle pas de nous un jour !
Hiroto laissa échapper un hoquet étranglé et serra un peu plus fort Midorikawa contre lui, enfouissant ses doigts dans ses longs cheveux verts.
_ Toi et tes dictons, franchement… tu n'imagines pas à quel point tu m'as manqué…
_oOo_
Endou observa Hiroto serrer un garçon qui ne lui était pas tout à fait inconnu dans ses bras, comme si c'était la seule chose qui avait de l'importance.
Kidou s'arrêta à côté de son capitaine, les yeux plissés derrière ses lunettes.
_ C'est… Reize ?
_ Reize ?
_ On dirait. Il a la même couleur de cheveux et de peau, en tout cas.
L'arbitre siffla soudain la fin du match, faisant sursauter un peu tout le monde.
Gouenji leva les yeux vers le tableau des scores. Il posa doucement sa main dans le dos d'Endou et sourit.
_ On a gagné.
_ Hein ?
_ Endou, nous avons gagné. Le match vient de se finir et nous sommes à 5-4. On a gagné !
Le jeune capitaine regarda à son tour le résultat du match et un large sourire se dessina sur son visage.
_ On a gagné !
Comme s'ils n'attendaient que son exclamation pour réagir, les Raimon Eleven explosèrent de joie, brandissant leurs poings vers le ciel avec de grands cris.
Endou se jeta dan les bras de Gouenji, fou de joie. Il l'embrassa sur la joue avec un sourire allant d'une oreille à l'autre.
_oOo_
Kira observa les Raimon Eleven célébrer leur victoire, puis Genesis dont les joueurs semblaient au bord du désespoir, et tourna finalement son regard vers Hiroto, qui semblait bien s'en moquer. Il avait retrouvé Midorikawa et c'était la seule chose qui semblait avoir de l'importance à ses yeux.
_ Hiroto…
L'homme au visage de Bouddha sentit quelque chose se craqueler en lui alors qu'il découvrait les larmes du jeune homme aux cheveux rouges. A quel point avait-il souffert, lui qui tenait à Midorikawa comme à la prunelle de ses yeux ? Il prit brutalement conscience de ce qu'il avait fait au jeune garçon, encore presque un enfant, et cela lui fit horreur. Ce n'était pas la défaite qui lui avait ouvert les yeux, ni les bonnes paroles de sa fille, mais les larmes de son fils.
Il s'avança doucement vers eux et s'arrêta à quelques mètres. Le bruit de ses pas attira l'attention du couple enlacé. Hiroto se retourna pour le regarder bien en face, gardant pourtant son compagnon contre lui d'un geste protecteur.
_ Hiroto… je suis désolé…
_ Père…
_ Je t'ai fait souffrir, et pourtant tu continues de m'appeler père… je ne mérite pourtant pas de l'être ! Je t'ai forcé à faire des choses terribles ! Toi, mais aussi les autres…
_ Vous vouliez seulement vous venger, père. Je sais bien que je ne suis pas le véritable Hiroto, parce que celui qui portait ce nom est mort, que je ne suis qu'un suppléant, mais… Mais même si vous avez fait des erreurs, vous êtes le seul père que j'ai ! Après tout, aucun de mes parents biologiques n'a voulut de moi, alors que vous si ; même si ce n'était que pour remplacer votre enfant.
Kira observa le jeune homme, le cœur brisé par la dureté de ses propos. C'était donc ainsi qu'il se voyait ? Comme un vulgaire remplaçant ?
_ C'et vrai que j'ai été troublé par ta ressemblance avec Hiroto, mon fils… Et j'ai commencé à t'appeler comme lui sans même m'en rendre compte, pardonne-moi, Tatsuya. Lorsqu'il est mort, j'ai remué ciel et terre pour savoir ce qui lui était arrivé, je refusais de croire que ce n'était qu'un banal accident. C'était il y a 10 ans, déjà… La vérité, c'est que celui qui a assassiné mon enfant est le fils d'un homme politique très puissant, bien trop puissant pour que la justice fasse son travail sans être corrompue. Tout en ce monde m'a parut corrompu, pourri jusqu'à la moelle. Je voulais me venger et lorsque j'ai trouvé la Pierre Aliea, j'y ai vu l'occasion de parvenir à mes fins. Je savais que le Premier Ministre refuserait de l'utiliser à des fins militaires, j'ai utilisé le football qu'il aimait tant pour détruire des collèges et emporter les vies d'enfants qui n'avaient rien demandé. Je voulais juste qu'il comprenne ce qui était arrivé à Hiroto ! Et à la fin, je voulais déclencher une guerre… je crois que tout est devenu confus dans ma tête… De simplement chercher à faire reconnaitre le meurtre de mon fils, j'en suis passé à vouloir la guerre !
Hitomiko s'approcha alors de son père et le regarda, bouleversée. Elle n'avait jamais réalisé à quel point il avait été brisé par la mort de son jeune frère, au point de concevoir un plan de vengeance absurde perdant toute logique alors que son concepteur lui-même perdait la raison.
Kira se tourna vers sa fille et secoua tristement la tête.
_ Hitomiko, pardonnes-moi, toi aussi… Je sais que tu n'avais que de bonnes intentions lorsque tu m'as proposé de créer l'orphelinat Ohisama En, qu'aider des enfants qui n'avaient rien pourrait m'aider, mais je n'ai fait que me servir de ta belle idée pour faire quelque chose d'atroce.
_ Papa… Je savais que c'était la mort de Hiroto le déclencheur… j'ai essayé de mettre le Premier Ministre sur la piste en lui envoyant le dossier de mon frère, mais…
_ Tu as fait ce que tu as put, ma fille, merci…
Kira sourit et reporta son attention sur Hiroto et Midorikawa.
_ Ryuuji, tu es celui a qui je dois le plus demander pardon… Toi qui es toujours si gentil et soucieux des autres, je t'ai forcé à faire quelque chose d'innommable. Tu as été le plus exposé, c'est ton visage qui est apparut sur les écrans, c'est toi qui a été filmé en train de tirer ces ballons noirs semant la destruction. Je ne sais pas si cela t'aidera, mais tu n'as rien à te reprocher. Tu n'as tué personne, Ryuuji. Ces ballons n'étaient que des diversions, ils n'étaient en rien responsables de la destruction des collèges, pas plus que toi. Je gère une entreprise d'armement, il m'a été très facile de placer des explosifs partout et de les déclencher au moment de l'attaque. Tu n'as rien fait d'autre que quelques trous dans les murs, Ryuuji !
Midorikawa laissa échapper un hoquet étranglé avant de se mettre à pleurer silencieusement, enfouissant son visage contre l'épaule de Hiroto, profondément soulagé. Bien sûr, une partie de lui se sentirait toujours responsable de ce qu'il s'était passé, mais les explications de Kira lui avaient retirées un poids immense qui s'échappait dans ses larmes.
Hiroto lui caressa délicatement les cheveux et observa l'homme au visage de Bouddha.
_ Père, merci…
_ Ne me remercie pas, Tatsuya, pas après ce que j'ai fait.
_ Hiroto. Si cela ne vous ennui pas, je préfère garder le prénom que vous m'avez donné.
Kira sourit doucement et hocha la tête, ému.
_ Alors… on a fait tout ça pour rien ?!
Le hurlement d'Ulvida fit sursauter tout le monde. Elle se tenait debout au milieu du terrain, visiblement folle de rage. Ses yeux bleus lançaient des éclairs, et si un regard avait put tuer, Kira serait mort sur le coup.
_ ON A TOUT SACRIFIÉ POUR VOUS ET C'EST COMME ÇA QUE VOUS NOUS REMERCIEZ ?!
Elle se jeta sur le ballon et tira dedans avec l'énergie du désespoir, décuplée par la rage et le limiteur de force désactivé.
Le ballon siffla dans les airs en direction de Kira qui resta immobile.
Il vit alors Hiroto se jeter devant lui et encaisser à sa place le tir de la jeune fille.
_ Hiroto !
Kira regarda son fils tomber lourdement au sol.
Midorikawa se précipita vers lui en même temps que Hitomiko. Ils l'aidèrent à se redresser en douceur. Le jeune homme regarda Ulvida en s'appuyant sur sa sœur et son compagnon.
_ Reina… je comprends que tu sois en colère… mais il reste notre père ! Et moi…
Il tourna alors le regard vers Kira et sourit doucement, un peu douloureusement sans doute.
_ Moi, je vous pardonne… je ne sais pas ce que j'aurais fait si je m'étais retrouvé à votre place… J'espère sincèrement que jamais je n'aurais à le savoir. Perdre un enfant, ça doit être terrible… et pourtant vous avez sut vous occuper de nous tous, nous donner de l'amour quand le monde entier nous le refusait… Je me souviens qu'enfant, j'attendais toujours avec impatience vos visites à l'orphelinat… Je voulais juste être votre fils…
Kira posa doucement sa main sur la joue pâle du jeune homme et lui sourit, des larmes dévalant son visage rond.
_ Tu l'es, Hiroto… Pas parce que tu lui ressembles ou que tu portes le même prénom que lui. Tu es mon fils, au même titre que Hitomiko, parce que tu es toi.
Il sourit et releva les yeux vers Ulvida. La jeune fille laissa échapper une larme, puis une seconde, avant d'éclater en sanglots, comme tous les autres joueurs de Genesis.
Après tout, ils n'étaient que des enfants…
_oOo_
Salle de commandes du QG de l'Aliea Gakuen…
Kenzaki Ryuuchi promena ses mains osseuses sur un clavier, effaçant un à un les dossiers renfermés dans les entrailles des ordinateurs du QG de l'Aliea Gakuen. Depuis quelques temps, il voyait les programmes de défenses lutter contre les intrusions de la police.
Il ne leur permettrait pas d'avoir accès à ses secrets.
Il avait tout orchestré, tout planifié avec méticulosité, se servant de Kira Seijirou pour parvenir à ses fins. Il avait même réussi à manipuler son esprit pour lui faire croire que plus que la vérité sur la mort de son rejeton, c'était de conquérir le monde qu'il rêvait !
Vraiment, Kenzaki était fier de lui. Il avait fait ses recherches et ses expériences en toute impunité, sans que personne ne soupçonne rien. Même Kageyama Reiji n'y avait vu que du feu. Quel dommage que sa Shin Teikoku Gakuen se soit effondrée. Mais au moins il avait put en tirer les conclusions qui s'imposait et ne referait pas les mêmes erreurs ayant conduit à la chute de cette équipe.
L'homme ramassa une mallette posée à côté de lui lorsque le dernier fichiers se fut désintégré sans laisser de trace et écrasa un bouton de son poing squelettique.
Un rire de dément s'échappa de ses lèvres, rapidement couvert par le son d'une sirène d'alarme se mettant à hurler.
Il se dirigea vers la sortie aves sa mallette sous le bras.
_oOo_
Terrain de football…
Endou sursauta lorsque le complexe tout entier se mit à trembler. Des explosions résonnaient au loin, mais ce n'était qu'une question de secondes avant qu'elles ne se rapprochent. Gouenji le ramena contre lui en jetant des regards anxieux autours d'eux.
Kira pâlit en comprenant ce qu'il se passait.
_ Le système d'autodestruction… Kenzaki ! C'est lui l'a enclenché !
Hitomiko se mordit la lèvre, effrayée. Il fallait qu'ils sortent tous d'ici, sans perdre un instant. Mais comment ? Ils n'auraient jamais le temps d'atteindre la sortie !
Le bruit d'un moteur la fit tourner la tête, juste au moment où l'Inazuma Caravane surgissait.
Furukabu abaissa la vitre et actionna l'ouverture automatique de la portière.
_ Dépêchez-vous de monter !
Sans perdre une seconde de plus, les joueurs de Raimon Eleven et de Genesis se précipitèrent vers le véhicule et s'y engouffrèrent.
Hitomiko et Midorikawa aidèrent Hiroto à marcher pour embarquer à leur tour. Le jeune homme aux cheveux rouges se retourna et regarda Kira rester assit alors que les premiers morceaux de plafonds se décrochaient.
_ Père ! Venez avec nous !
_ Hiroto… je devrais…
Il n'eut pas le courage de finir sa phrase, pas devant les visages bouleversés de son fils et de sa fille.
Il se leva et s'empressa de les rejoindre pour monter avec eux.
La porte de l'Inazuma Caravane se referma dans son dos et le véhicule s'ébranla.
_oOo_
Le véhicula s'arrêta à bonne distance du complexe de l'Aliea Gakuen et tous en sortirent. Il ne restait plus rien du QG, si ce n'était un cratère immense et fumant. Même la Pierre Aliea avait été réduite en cendres. Des centaines d'années-lumière de voyages pour finalement se faire exploser sans l'ombre d'un remord par de sombres individus… ce n'était pas une fin digne d'une météorite, tous pouvaient en convenir.
L'inspecteur Onigawara et ses hommes s'avancèrent alors vers Kira.
_ J'ai appelé les secours, ils ne devraient plus tarder. Ces enfants vont devoir passer une batterie d'examens, ce que vous avez infligés à leurs corps n'est pas sans risques.
_ Oui, j'en suis conscient… Faites tout ce qu'il faudra, je vous en pris.
_ Quant à vous, vous êtes en état d'arrestation.
_ Je n'avais pas l'intention de m'enfuir. J'ai commit des crimes, et je dois les payer, sinon je ne vaudrais pas mieux que l'assassin de mon fils.
_ Papa !
Kira se retourna alors que Hitomiko l'interpelait. Elle soutenait toujours Hiroto avec Midorikawa.
_ Hiroto et moi, nous t'attendrons ! Avec les autres enfants, nous attendrons tous ton retour !
Pour la première fois depuis très longtemps, l'homme au visage de Bouddha ouvrit les yeux, révélant deux iris noires pleines de bonté. Des larmes brillèrent au coin de ses cils.
Hitomiko sourit sincèrement et resserra son étreinte autour de Hiroto. Son petit frère, qu'ils soient du même sang ou non. Elle tourna la tête vers Hibiki, sans perdre son sourire.
_ Hibiki-san, Furukabu-san, je voudrais vous confier les Raimon pour les ramener chez eux. Moi, je dois rester avec les enfants de Genesis.
_ Oui, bien sûr, c'est normal. Hitomiko, accepterais-tu de prendre Aphrodi avec vous ? Il a été blessé durant le match et ce serait dommage qu'il ne puisse plus jouer parce que sa blessure n'a pas était soignée à temps.
_ Avec plaisir.
Hitomiko inclina la tête et sourit au jeune homme aux longs cheveux blonds qui rejoignit en boitant les joueurs de Genesis.
Les ambulances et un fourgon de police arrivèrent moins d'une heure plus tard. Kira se tourna vers les Raimon Eleven et les observa longuement.
_ A vous aussi je dois des excuses… et merci. Merci d'avoir sauvé les enfants.
Il monta sans opposer de résistance et Onigawara referma la porte avant de monter à l'avant.
_ Hibiki, on se retrouve à Inazuma !
Hiroto claudiqua grâce à Midorikawa et sa sœur jusqu'à Endou et lui tendit une main sans force avec un sourire.
_ Merci, Endou-kun… Grâce à toi, je sais ce qu'est le véritable football. J'espère qu'un jour, tu voudras bien me pardonner et rejouer honnêtement contre moi.
Endou balaya ses excuses d'un large sourire et serra sa main sans la moindre hésitation.
_ Bien sûr ! Dès que tu seras guéri, on rejouera tous ensemble au football !
Hiroto sourit et s'éloigna, montant dans l'une des ambulances.
Les Raimon Eleven les regardèrent s'éloigner avant de remonter à bord de leur propre véhicule, enfin prêts à rentrer chez eux.
Gouenji rattrapa Endou juste avant qu'il ne monte après tous les autres, et déposa un baiser sur ses lèvres. Il lui sourit et le relâcha pour le pousser doucement à monter avant que les autres ne s'impatientent et vienne voir ce qu'ils faisaient. Une ribambelle de coéquipiers pour tenir la chandelle, très peu pour lui !
Le titre de ce chapitre, c'est la chanson à la fin des Gardiens de la Galaxie 2. Qu'est-ce que je peux pleurer devant ce passage !
Pour moi, le fils biologique de Kira est mort, je suis une fan de la série originale, alors le voir surgir bien vivant dans Ares et Orion, ça m'a fait plisser le nez. Au moins ça a permit d'apprendre le véritable prénom de Hiroto. Si graphiquement je trouve ces dérivés plus beaux, je ne suis pas vraiment convaincue par les histoires. Et franchement le perso principal est fade, il lui manque un truc et son histoire à pleurer n'y change rien ! Et cette façon de faire apparaître les morts comme Atsuya ou Hiroto… non, j'ai du mal. Chacun ses gouts ^^
