Disclaimer : Kill Ben Lyk est l'oeuvre d'Erwan Marinopoulos.
Résumé : De la colocation à l'amitié puis à l'amour, il n'y avait qu'un pas. Un pas que Ben et Roberto avaient allégrement franchi. [Kill Ben Lyk]
Remerciements : Un grand merci à Li_Rex (Rexou) sur Twitter pour m'avoir très gentiment dessiné Ben et Roberto pour la couverture de ce recueil !
Note de l'auteur: Ce recueil d'OS répond à la troisième édition du défi "Sur Votre 31" de la page Facebook "Bibliothèque de Fictions." Le but est de poster, tous les jours de juillet, un drabble ou un OS entre 100 et 1000 mots dont le thème est déterminé par le jour de publication. Autre particularité de ce défi : on doit toujours utiliser le même couple ! Canon, UA, couple canon ou fanon, peu importe, mais une fois le couple choisi, on ne peut plus en changer Le but du jeu est de faire un recueil autour de ce couple avec 31 variations, car les deux mois comportaient 31 jours.
Jour 25: Merci
31 nouvelles anecdotes de colocation avec un twist
Merci
- Je me rends compte que je ne t'ai jamais remercié...
Ben hausse un sourcil, se demandant d'où cela venait. Roberto et lui sont allongés sur leur lit, ne faisant rien de particulier si ce n'est écouter le nouvel album d'un groupe de rock que son compagnon aime particulièrement. Réflexe oblige, le youtuber regarde ses commentaires sur ses réseaux mais c'est très rapide et il repose sous peu son téléphone.
- Remercié pour quoi ?
- Pour tout.
Il lui fait un peu peur. Puis le londonien se souvient qu'aujourd'hui, c'est l'anniversaire de leur première rencontre. L'anniversaire de l'éviction de Roberto de la maison parentale pour sa bisexualité aussi. Une date douce-amère qui est toujours sensible pour lui.
- Ben... Merci de m'avoir accueilli. D'être devenu mon ami. Merci de m'aimer. Merci de...
Le vidéaste l'interrompt en l'embrassant tendrement.
- Merci à toi, Robbie. Parce que sans toi, ma vie serait bien plus fade. Merci de m'aimer en entier. De me comprendre. Et surtout, merci d'être toi. Parce que qui tu es est la personne que j'aime le plus en ce bas monde.
Le soleil perce à travers les rideaux fermés de la chambre comme un signe de bénédiction divine.
FIN
