I Think I Need Help

Traductrice: Mestissa

Pairing: Harringrove

Rating: M

Genre : Romance – Drama – Hurt/Comfort

Disclaimer:Traduction de la fanfiction deSunwarmed_Ash_tree_and_the_dreaming_Stag sur Ao3. Les personnages de Stranger Things ne m'appartiennent pas.

Résumé: Billy ployait sous la violence constante de Neil. Il savait qu'il ne sera jamais assez bon ou qu'il ne sera jamais le fils que Neil avait toujours voulu. Pas après que Max soit entré en scène. Il était désespéré et projetais sa colère sur un Steve Harrington qui ne voulait rien avoir à faire avec lui.

Steve ne supportait pas ce nouveau crâneur nommé Billy putain de Hargrove. Il était un connard avec tout le monde autour de lui et Steve en avait juste assez. Jusqu'à ce que Billy se ne présente à l'école avec une quantité importante d'ecchymoses et que Steve ne commence à se demander pourquoi.

Billy pourrait-il obtenir l'aide dont il a besoin avant qu'il ne soit trop tard ?

Blabla de la traductrice: De retour avec une nouvelle fiction en 23 chapitres. Tout le mérite de cette histoire revient à l'auteur !


I Think I Need Help

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Chapitre 22 – Let's Hear It for the Boy- Deniece Williams

Avec Neil en prison sans possibilité de libération conditionnelle, et Susan quelque peu stabilisée par les antidépresseurs et les cours au refuge pour femmes battues de Hawkins, sur la recommandation de Joyce, Max était retourné chez elle. Elle n'était pas contente au début, mais Billy l'avait convaincue qu'au moins elle essayait, et ce serait bien si Max essayait aussi. Elle visitait toujours Billy chez Steve, presque tous les jours après l'école depuis «l'incident» de Billy. Billy s'était rapproché de tout le groupe en conséquence, après de nombreuses excuses et un témoignage féroce non seulement de Max mais aussi de Jane. Et Billy pouvait l'admettre, les petits blaireaux étaient plutôt attachants.

Dans les quelques semaines qui eurent précédé Noël, les parents de Steve décidèrent finalement de faire une apparition. À la surprise de Billy et de Steve, ils aimaient Billy et n'avaient aucun problème à le laisser vivre dans leur chambre d'amis dans un avenir prévisible. Charmer la maman de Steve n'était pas très difficile, Billy avait maintenant cette compétence perfectionnée. Le père de Steve prit cependant un peu plus de travail. Comme prévu, tout le truc gay avait été un choc assez important pour les Harrington et avait provoqué une tension évidente entre les quatre. Mais Billy avait fait des efforts importants pour trouver des intérêts similaires avec l'homme plus âgé et une fois que Billy eu réussi à engager une conversation sur la mécanique interne de la Camaro bleue flashy garée dans l'allée, John Harrington et Billy s'entendirent très bien.

«Tu pourrais apprendre une chose ou deux de ce jeune homme, Steven», avait-il dit un soir après quelques verres de scotch et une conversation agréable.

Billy ne put s'empêcher de sourire narquoisement alors que Steve levait les yeux au ciel.

Une fois la maladresse initiale de leur nouvelle relation réglée avec les parents de Steve, John aida même Billy à trouver un emploi de mécanicien dans l'un des ateliers de carrosserie locaux. Billy avait promis à Steve le matin de son retour de l'hôpital qu'il arrêterait de se prostituer, et jusqu'à présent, il avait tenu sa promesse. Risquer sa vie pour quelques centaines de dollars ne semblait pas en valoir la peine si cela signifiait qu'il perdait Steve dans le processus. Mais il avait du mal pour l'argent ces jours-ci, et il détestait être dépendant de Steve pour de l'argent, donc la perspective d'un autre emploi était une aubaine.

Le 12 décembre 1984, Steve obtint son diplôme avec les honneurs de Hawkins High et Billy était tellement fier. Assez pour qu'il fasse plaisir à Mme Byers quand elle obligea Jonathan à prendre mille photos d'eux après la cérémonie. Billy n'avait pas obtenu son diplôme cette année en raison du nombre de cours qu'il avait manqués et quand on lui avait donné la possibilité de redoubler l'année ou d'abandonner, il choisit cette dernière option. Aucune raison d'aller à l'école si Steve n'était pas là.

Une célébration intime de remise des diplômes eu lieu dans la maison des Harrington ce soir-là et Billy aida Mme Harrington à préparer le repas préféré de Steve. L'annonce que John et Maria seraient à la maison pour Noël cette année avait fait sortir la tête de Steve de son assiette dans un mélange de choc et d'exaltation.

«Attends, vraiment ?

-Je pense que nous sommes assez partis cette année, n'est-ce pas John ? » avait-elle demandé à M. Harrington et il avait accepté.

Le visage de Steve était envahit par un sourire pour le reste de la soirée.

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C'était la semaine avant Noël, même si on pouvait en douter avec le manque surprenant de neige au sol. Hawkins avait un hiver anormal selon Steve, mais honnêtement, Billy ne se souciait pas des températures plus chaudes, il détestait le froid.

Cela faisait environ un mois depuis «l'incident» et Billy guérissait bien. Ses cicatrices étaient toujours très visibles et obligeaient Billy à boutonner sa chemise qu'il détestait avec passion, mais cela battait certainement les regards qu'il aurait eu. Il avait un plan pour le recouvrir bientôt d'encre, mais cela demandait plus d'argent qu'il n'en avait pour le moment, et il y avait quelque chose qu'il devait acheter en premier. Cela était pour lui la priorité.

Il économisait depuis que John lui avait décroché un emploi pour quelque chose qu'il avait vu dans la bijouterie il y avait plusieurs semaines. Il ne pouvait pas se le permettre à l'époque, mais maintenant avec le revenu régulier qu'il gagnait il pouvait l'acheter, et il ne pouvait pas penser à un meilleur moment pour de le faire que pour Noël. Lorsqu'il s'arrêta au magasin en rentrant du travail, l'homme derrière le comptoir le reconnut instantanément, un sourire agréable se répandant sur son visage âgé.

«C'est bon de te revoir, fils.» dit-il gentiment et Billy se sentit vraiment lui rendre le sourire.

«Hey Bobby, c'est bon de vous voir aussi. Avez-vous toujours cette bague en stock ? Celle que j'ai regardé la semaine dernière ? »

Il était venu assez souvent au cours du dernier mois pour pouvoir appeler l'homme par son prénom. Ça et le fait qu'il avait tout le temps essayé de ne pas être un connard, alors il avait tenu à se présenter.

«Celle là a été très populaire ce mois-ci, je suppose que c'est à cause des vacances. J'ai dû la retirer de l'étagère pour que personne ne l'achète avant toi. »

La mâchoire de Billy s'ouvrit sous le choc, époustouflé par le fait que quelqu'un ferait quelque chose comme ça pour lui.

« V...Vous n'aviez pas à faire ça pour moi. »

L'homme haussa les épaules comme si de rien n'était, tendant la pièce d'argent spécialement fabriquée avec un sourire.

« Tu avais l'air de l'avoir en tête pour quelqu'un de spécial, je savais à quel point cela comptait pour toi. »

Billy sentit sa poitrine se contracter au geste aimable.

« Oui ça compte beaucoup. Merci. Combien coûte la gravure ?

-Habituellement, 50 $ de plus», dit-il et le visage de Billy baissa un peu, c'était plus que ce qu'il avait. «Mais pour les amis…» dit-il et la tête de Billy releva pour écouter. «25 $.

-Merci Bobby, j'apprécie vraiment.»

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Billy prit son temps pour rentrer chez lui, la petite boîte dans sa poche et le cœur dans ses mains. Il espérait que Steve l'aimerait, Dieu espérait que Steve l' accepterait . Leur relation avait traversé l'enfer, mais il pouvait honnêtement dire que maintenant elle était en plein essor. Billy avait choisi de travailler à plein temps à l'atelier de réparation tandis que Steve prévoyait d'entrer à l'université en janvier.

«C'était ça ou travailler avec papa en vendant des pneus et des silencieux pour le reste de ma vie», avait expliqué Steve et Billy se moquait du mépris de dégoût de son petit ami face à cette perspective.

Autant Billy aimait les voitures, pas Steve. L'université était la meilleure option pour l'avenir de Steve, même s'il détestait l'école avec une passion ardente.

Quand Billy rentra chez lui, la maison était vide à l'exception de Steve. C'était le week-end d'anniversaire de l'aîné Harrington et il se souvenait qu'ils avaient dit quelque chose au sujet d'aller en Illinois pour un dîner raffiné. Ils seraient de retour dans la matinée, donc ça voulait dire que ce soir, il avait Steve pour lui tout seul.

«Chéri, je suis à la maison,» appela Billy en entrant dans le couloir, la nostalgie le frappant et le remplissant de chaleur.

Il entendit Steve rire et crier une salutation depuis la cuisine.

Billy suivit la voix de Steve dans la cuisine, regardant avec un sourire narquois alors que Steve fixait la machine à expresso haut de gamme. Son père l'avait acheté pour sa mère comme cadeau de Noël précoce et elle en était ravie. Cependant, Steve était convaincu que c'était le diable incarné. Ils avaient le truc depuis une semaine entière maintenant et Steve n'avait toujours pas réussi à faire une tasse sans se brûler.

«Je déteste ce truc, putain,» grogna Steve, posant sa tasse vide sur le comptoir plus fort que nécessaire.

La petite crise de colère fit rire Billy.

«Bébé, c'est juste une machine à café,» taquina-t-il et le regard renfrogné de Steve se tourna vers Billy à la place.

« Très bien si c'est si facile fais le ! » souffla Steve avec exaspération et Billy roula des yeux avec un sourire.

Son petit ami était si dramatique.

Billy prit la place de Steve devant la machine et replaça sa tasse sous le bec. Il compléta la machine avec de l'eau fraîche et froide et remplacé l'ancienne dose par une nouvelle avant de basculer les interrupteurs nécessaires et d'appuyer sur les boutons dans le bon ordre. La machine reprit vie et commença à brasser. Lorsque la petite lumière passa au vert indiquant que la boisson était prête, il déplaça le levier vers l'avant régulièrement, remplissant la tasse presque à ras bord avec l'infusion chaude. Il pouvait sentir l'irritation de Steve grandir à côté de lui, mais il s'en fichait. C'était vraiment trop drôle. Quand la boisson eut fini de se verser, il la porta à ses lèvres, soufflant dessus doucement avant de la tendre à Steve avec un sourire mangeant de merde.

«Tiens princesse.»

Les yeux de Steve se réduisirent à des fentes.

« Je te déteste. »

Billy laissa échapper un gloussement.

«Non, non,» sourit-il et la résolution de Steve se brisa, un petit sourire rampant dans les coins.

«Non, je ne le fais pas. Merci », dit-il en prenant son verre et en buvant une gorgée. « Comment s'est passée ta journée ? Tu es à la maison plus tard que d'habitude.

-J'ai du faire une réparation de dernière minute, cela a pris un peu plus de temps car nous devions attendre des pièces.»

C'était un mensonge, mais un petit. Il ne voulait pas que Steve soit au courant du cadeau, du moins pas encore.

«Quoi qu'il en soit, je suis content que tu sois à la maison,» dit Steve, se penchant pour embrasser doucement Billy.

Quand ils se séparèrent, Steve fit la grimace.

« Quoi ?

-Tu sens comme une tondeuse à gazon.» dit Steve et Billy éclata de rire.

«Oh, je suis tellement désolé princesse. Je ne voulais pas t'offenser. »

Steve rit et repoussa Billy quand il essaya de l'embrasser à nouveau.

«Douche d'abord, puis tu pourras m'embrasser.

-Tu fais une bonne affaire Stevie,» taquina Billy, se tournant néanmoins pour monter à l'étage. «Essayez de ne pas te brûler sur la machine pendant mon absence !» Cria-t-il en ricanant au «va te faire foutre Hargrove» que Steve cria après lui.

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Quand il eut fini sa douche, humide et en jean seulement, Billy était encore plus nerveux que lorsqu'il entra. Il savait ce qu'il voulait dire. Il adorait Steve. Cette partie était évidente à ce stade. Mais c'était plus que ça. Billy voulait plus, voulait un avenir avec Steve, mais comment dire ça à quelqu'un sans lui faire peur ? Ils étaient encore des gamins, des gamins stupides, jeunes et irresponsables. Et si Steve pensait que Billy allaient trop vite ? Et si Steve ne voulait rien à long terme ? Le doute de soi et l'inquiétude s'enfonçaient comme une pierre dans son ventre, il ne pouvait pas faire ça. C'était une idée stupide.

Lorsqu'il ouvrit la porte de la salle de bain, Steve était sur leur lit, vêtu juste d'une paire de survêtement amples, se mordant la lèvre alors que ses yeux parcouraient les pages du livre qu'il lisait. Il leva les yeux quand Billy ouvrit la porte et sourit, Billy ne put s'empêcher de le rendre.

«Putain enfin,» rit-il avant de poser le livre et de traverser la pièce pour envelopper ses bras derrière le cou de Billy.

Avant que Billy ne puisse plus se mettre à douter de lui-même, Steve l'embrassait, faisant bondir son cœur dans sa poitrine comme à chaque fois depuis leur premier baiser. Il ne pensait pas qu'il se lasserait jamais de Steve. Pas dans un million d'années.

« Je t'aime. » sourit Steve dans le baiser, repoussant quelques boucles humides de Billy avant de revenir à ses lèvres.

«Alors épouse-moi.» marmonna Billy contre des lèvres douces, espérant presque que Steve n'avait pas entendu.

Ses lèvres bougeaient plus vite que son cerveau, mais au moins maintenant c'était dit. Il pouvait toujours revenir en arrière si Steve disait non.

«Attends, attends, quoi ?» Demanda Steve, ne reculant que suffisamment pour parler.

« Tu m'as entendus. »

Billy ne pensait pas qu'il aurait le courage de le demander une deuxième fois. La peur du rejet montait déjà dans sa gorge et menaçait de l'étouffer.

« Billy...

-Je sais que nous ne pouvons pas. Pas encore du moins »l'interrompit Billy,« mais si le monde sort un jour sa tête de son cul, nous pourrons le rendre officiel. Je veux passer le reste de ma vie avec toi. »

Des mots s'échappaient de sa bouche avant qu'il ne puisse les arrêter et il sentit des larmes piquer le coin de ses yeux quand Steve ne répondit pas immédiatement.

Le voilà, le rejet, le dégoût, le rire. Ce ne serait plus long maintenant.

« Tu veux m'épouser ? » demanda Steve et si Billy n'avait pas levé les yeux, il l'aurait manqué.

Le doute de soi se peignit sur tout le visage de Steve. Steve ne demandait pas parce qu'il pensait que le mariage était une idée stupide, il demandait parce qu'il ne croyait pas Billy voulait lui . Cela lui causa une douleur littérale dans la poitrine de voir cela.

«Bébé…»

Il devait montrer à Steve qu'il était sérieux. Billy se sépara du baiser pour fouiller dans son jean. La petite boîte grise semblait peser vingt livres, mais même avec des doigts tremblants, il réussit à l'ouvrir, en sortant la petite bague artisanale à l'intérieur.

«Je voulais te le demander avant, mais je n'avais pas assez d'économies pour cela.»

Steve regarda au moins deux fois entre l'anneau et Billy avant d'essayer de répondre. Cela rendait Billy incroyablement nerveux et le sentiment écrasant de vulnérabilité commençait à le tirer. Mais ensuite, Steve souriait et les craintes de Billy se dissipèrent.

«Je suis la vieille école Hargrove. Tu veux m'épouser, tu dois me faire ta demande en règles. »

Le poids et la peur s'échappèrent de la poitrine de Billy comme un ballon qui se dégonflait rapidement alors que des rires exaltés remplissaient la pièce. Ça prit une bonne minute avant que Billy ne puisse parler sans rire mais quand il le fit, il se mit à genoux, tendant la bague à son amant.

«Steve Harrington, mon Pretty Boy, mon amour et ma plus grande épine dans le cul, veux-tu me faire l'honneur de m'épouser ?»

Un sourire que Billy n'avait jamais vu auparavant éclata sur le visage de Steve et il hocha la tête, prenant la bague de la main de Billy et embrassant Billy plus fort qu'il ne l'avait jamais fait auparavant.

«Oui, oui bien sûr que je le veux. Dieu, il t'as fallu une éternité pour demander. »

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L'officialisation de leur relation se répandis dans leur groupe d'amis comme une traînée de poudre, mais jusqu'à présent, cela n'avait été que de la positivité. Ils étaient bons l'un pour l'autre et amoureux. C'était tout ce qui comptait. Steve avait rendu Billy heureux et fait de lui une meilleure personne et à son tour, Billy avait donné à Steve la stabilité et l'amour qu'il manquait de ses parents. Personne ne pouvait rechigner à cela.

Max et Jane avaient été de loin leurs plus grandes partisantes, menaçant de se battre contre Mike, Lucas et Dustin s'ils songeaient même à faire chier les garçons à ce sujet. Will était initialement resté silencieux pendant tout l'échange, mais avait trouvé les garçons en privé plus tard dans la soirée pour leur souhaiter ses félicitations. Billy savait qu'il aimait ce petit gamin Byers.

Nancy avait été choquée mais avait au moins les moyens de ne pas paraître blessée. Elle ne méritait pas de se sentir blessée, pas après ce qu'elle avait fait à Steve et Billy le lui aurait dit aussi si jamais elle avait exprimé de l'inquiétude. Jonathan était neutre et silencieux comme toujours, mais Billy se fichait de ce que pensait ce cinglé. Il avait déjà obtenu le feu vert de Joyce et Will et des règles de la majorité.

Les seules personnes à qui ils n'avaient pas parlé étaient les parents de Steve, et honnêtement, ce n'était pas grave. La nouvelle de leur fils unique et homosexuel les avait déjà heurté et Billy ne voulait pas pousser sa chance trop tôt ...

«Arrêtes de monopoliser le pop-corn.»

Le doigt fin de Steve poussant sa joue sortit Billy de son monologue intérieur. C'était la veille de Noël et il était assis dans le salon des Harrington en train de regarder Une histoire de Noël avec Steve, Max, Jane et Dustin. C'était calme et domestique, mais Billy pouvait honnêtement dire pour la première fois depuis longtemps qu'il était complétement heureux.

«Ma faute, Pretty Boy. Tiens, mange le reste. »

Steve avait plutôt passé le bol aux enfants, ignorant la nourriture pour la main de Billy. Il se blottit confortablement contre Billy et Billy enroula son autre bras autour des épaules de Steve de manière protectrice pour le rappel du film.

Si on avait dit à Billy il y a trois mois qu'il sortirait et finirait par se fiancer à un Steve Harrington, il l'aurait pas cru. Il aurait probablement ri au nez de cette personne avant de la remettre à sa que personne, pas même eux, n'aurait jamais pu le voir finir comme ça. Mais vous savez ce que dit le dicton, des choses étranges se produisent.

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Fin de cette histoire ! À très vite pour une nouvelle traduction !