Souvent, je perçois des murmures,
Qui percutent sur nos murs.
Certains diront que c'est une chambre à merveille,
D'autre diront c'est une chambre à problème.
Il y a des jours, où j'écoute ses murmures,
Qui percutent sur mes murs.
J'entends une femme qui crie,
Qui supplie.
Je ne sais pas qui elle est,
Et je n'essayerai jamais de la reconnaître.
Je n'ai jamais voulu,
J'aurais tellement aimé,
Qu'elle est le droit à la liberté.
Je ne veux plus l'entendre crier,
Crier sa mort.
Et d'ici, je fis le premier vœu de ma courte vie,
Et je dis,
Je veux une nouvelle vie,
Et de ce vœu,
Sans même que je ne le sente,
J'ai changé passé, présent et futur,
Aussi vite que l'on tuerait un homme.
On déplaça mon âme,
Là où j'eus droit à une nouvelle vie.
Ainsi commença l'histoire,
Dont je vais, aujourd'hui, vous faire part.
