Je me réveille dans un bois ou une forêt au milieu de la nuit, on peut voir le ciel étoilé avec des nuages à travers les arbres, mais je vote plus pour un bois, je me trouve heureusement à côté d'un chemin. Je me lève et remarque au sol des sacs reconnaissables avec six Pokeballs, mon sabre « Chinotsuki (lune de sang) » et TimCampis ( . -man+ ) en plus par terre, elles sont aussi très identifiables. Mes lèvres remontent toute seule vers le haut en les voyant, me disant que mon vœu et souhait a été enfin exaucé après un peu plus de deux ans. Cependant, je retrouve mon sang froid en gardant tout de même mon sourire digne d'un D.
J'attache ma sacoche noire à ma taille et jambe droite ( . ), mon autre sacoche qui est marron ; qui vient de mon jeu Pokemon intitulé « Legends Pokemon : Arceus » je l'accroche à ma taille comme dans le jeu. Tous mes autres objets, je remarque qu'ils sont dans ma sacoche noire sauf mon collier ( fr/spot/movie/atlantide-l-empire-perdu/9315/la-replique-du-collier-cristal-porte-par-atlante-dans-atlantide-l-empire-perdu ), qui est autour de mon cou. TimCampis vient s'envoler et se mettre sur mon épaule, j'attrape Chinotsuki et le met à ma taille du côté gauche. Je prends mon fruit du démon de type zoan qui me permettra de me transformer en tout type de créature mythique dans ma sacoche noire et le mange en entier même si c'est complètement immangeable et que j'ai envie de le vomir à chaque boucher.
Une fois tout inspecter et ranger, je me déplace sur le chemin de terre, direction les faibles lumières que je vois devant. En les atteignant, je remarque une aire de jeu exactement tel que dans le film Harry Potter, je me dirige donc vers le 4 Privet Drive en perdant mon sourire et en devenant très sérieuse. En arrivant devant, je me mets devant la porte et me concentre 5 bonnes minutes avant de réussir à ouvrir la porte avec la magie, je me dirige ensuite vers la porte sous le placard et fais le même chose. Une fois ouverte, je regarde dans les yeux d'un vert émeraude magnifique puis je m'accroupie.
- Et petit, je suis Paradoxe, tu t'appelles comment ? Dis-je doucement pour ne pas l'effrayer
- Je suis monstre, comment as-tu ouvert la porte ? Dit-il d'un air fasciner et un peu effrayer
- Monstre n'est pas un nom, les personnes qui t'appellent comme ça ne mérite pas de t'avoir, de te parler pétillant. Et j'ai ouvert la porte par magie. Dis-je d'un air complétement déterminé et sérieux
- La magie n'existe pas, Oncle Vernon l'a dit. Dit-il d'une petite voix
Je lui fais un petit tour de magie, transformant ma main en une part d'aile de phénix. Il regarde fasciner.
- Tu peux toucher si tu veux, mes flammes ne te bruleront pas. Dis-je en souriant
- Vrai…vraiment. Dit-il en touchant une de mes flammes doucement et en souriant à la sensation.
- Pétillant. Dis-je en l'appelant
- Qu… que veux dire pétillant ? Demande-t-il
- Pétillant est un terme que j'utilise pour les petits qui viennent de naître à la fin de l'enfance. Dis-je affectueusement
- Maintenant pétillant, veux-tu être mon fils, mon pétillant, je m'occuperais de toi du mieux que je peux, je te donnerai un nom si tu veux aussi. Dis-je en tendant la main et en devenant plus désespéré au cours de ma phrase mais je suis interrompue par le petit Harry qui se jette dans mes bras.
- Oui oui, s'il-te-plaît amène moi. Me dit-il avec espoir
- Très bien Orion alors allons-y. dis-je en le soulevant quand un fil de lumière nous relie et une connexion se créée.
- Qu'est-ce que c'est ? je me sens connecter à toi et des termes me viennent Daliluk (maman). Dit-il un peu effrayer
- Ce n'est rien, cela veut seulement dire que tu es mon pétillant, c'est tout Orion. Dis-je en commençant à partir, non sans récupérer tout l'argent de ses anciens tuteurs
- D'accord. Dit-il en baillant puis s'endort en s'accrochant à moi.
En sortant, il fait toujours nuit. Je me concentre sur le chemin où je veux aller et au bout quinze minutes environ j'y arrive. Je sors alors mon galopa shiny (couleur spéciale . )et monte dessus avec son aide. Heureusement Orion ne s'est pas réveillé.
- *souffle* ce serait bien si j'avais la cape d'invisibilité et si elle pouvait changer de taille. Dis-je en pensant à voix haute et en regardant le ciel nocturne sur mon galopa.
D'un coup je sens puis voie un tissu comme la cape d'invisibilité qui nous recouvre tous, non c'est bien la vraie cape.
